d’espacement/calage

L’invention concerne le domaine de l’emballage des packs comprenant plusieurs pots groupés les uns à côté des autres, grâce à un conditionnement en carton de type enveloppe tubulaire épousant le groupe de pots, réalisé par mise en forme et fermeture sur lui-même d’un flan en carton à plat.

L’invention a plus précisément pour objet un flan en carton, à plat, destiné à la formation d’un conditionnement d’un pack incluant au moins une couche de pots de base comprenant quatre pots deux à deux côte à côte et en vis-à-vis, espacés et calés sur leurs parois latérales au voisinage de leurs parois de fond, un procédé de réalisation d’un tel pack, un conditionnement, le pack réalisé, un dispositif de mise en volume, et, enfin, une ligne de réalisation d’un tel pack.

On connaît des flans en carton destinés à la formation d’un conditionnement d’un pack de pots, chaque pot comprenant une paroi de fond et une paroi latérale, les flans comprenant respectivement au moins un premier panneau de dessus, un premier panneau latéral, un panneau de dessous, un second panneau latéral et un second panneau de dessus, le panneau de dessous s’étendant dans un plan selon une direction longitudinale et une direction transversale perpendiculaires l’une de l’autre, le panneau de dessous comprenant :

- au moins deux parties de réception configurées pour recevoir chacune la paroi de fond d’un pot ; et

- au moins une partie d’espacement/calage disposée entre les deux parties réception, les deux parties de réception et la partie d’espacement/calage étant disposés selon la direction longitudinale.

Toutefois, de tels flans n’apportent pas entièrement satisfaction.

En particulier, de tels flans ne sont souvent pas assez robustes pour résister en cas de déplacement brusque des pots dans le conditionnement. En effet, les parties d’espacement/calage sont susceptibles de s’affaisser, à savoir ne plus être mises en volume, laissant libres les pots dans le conditionnement. En outre, les pots ne sont pas maintenus de façon satisfaisante selon toutes les directions, longitudinale et transversale, dans le conditionnement. L’invention vise ainsi à obtenir un conditionnement de pots dans lequel les pots sont espacés et calés les uns des autres, et maintenus de façon satisfaisante.

Ainsi, selon l’invention, la partie d’espacement/calage est configurée pour être mise en volume par pliage selon la direction transversale par rapport aux deux parties de réception, la partie d’espacement/calage comprend un volet d’espacement/calage, un premier élément de support et un second élément de support, le premier élément de support et le second élément de support étant configurés pour maintenir le volet d’espacement/calage écarté des deux parties de réception de pots une fois la partie d’espacement/calage mise en volume, et au moins le premier élément de support et le volet d’espacement/calage sont configurés pour constituer des bords d’arrêt au niveau des parois latérales de deux pots une fois la partie d’espacement/calage mise en volume.

Etant donné que la partie d’espacement/calage est mise en volume par pliage selon la direction transversale, un effort exercé par les pots sur la partie d’espacement/calage selon la direction longitudinale ne risque pas de faire affaisser, c’est-à-dire de replier, la partie d’espacement/calage, qui ne serait alors plus mise en volume. En outre, le volet d’espacement/calage est maintenu écarté des parties de réception de pots grâce à deux éléments de support, diminuant encore le risque d’affaissement. Enfin, les pots sont correctement espacés et calés car maintenu adjacents aux bords d’arrêt constitués du volet d’espacement/calage et d’au moins un élément de support, ce qui favorise également le maintien des pots selon toutes les directions, longitudinale et transversale, dans le conditionnement.

Selon une réalisation, le premier élément de support et le second élément de support sont configurés pour maintenir le volet d’espacement/calage parallèle ou sensiblement parallèle au plan du panneau de dessous.

Selon une autre réalisation, le flanc comprend deux parties d’espacement/calage, les deux parties d’espacement/calage étant disposées symétriques ou sensiblement symétriques l’une de l’autre par rotation axiale autour d’un axe d’élévation perpendiculaire au plan et centré sur le panneau de dessous.

Selon une autre réalisation, le premier élément de support est délimité au moins par une première ligne de pliage reliée au panneau de dessous, une seconde ligne de pliage reliée au volet d’espacement/calage et deux lignes découpées reliant respectivement les première et seconde lignes de pliage, les lignes découpées étant inclinées l’une par rapport à l’autre de sorte à être davantage rapprochée au niveau de la seconde ligne de pliage.

Selon une autre réalisation, le second élément de support est délimité au moins par une première ligne de pliage reliée au panneau de dessous, une seconde ligne de pliage reliée au volet d’espacement/calage et deux lignes découpées reliant respectivement les première et seconde lignes de pliage, les lignes découpées étant parallèles l’une de l’autre.

Selon une autre réalisation, la première ligne de pliage du second élément de support est disposée relativement plus proche du premier élément de support par rapport à la seconde ligne de pliage du second élément de support.

Selon une autre réalisation, le volet d’espacement/calage est délimité par les secondes lignes de pliage respectives des premier et second éléments de support et par deux lignes découpées, une des lignes découpées du second élément de support correspond à une des lignes découpées délimitant le volet d’espacement/calage.

Selon une autre réalisation, les parties d’espacement/calage sont réalisés sans enlèvement de matière du panneau de dessous.

L’invention concerne également un procédé de réalisation d’un pack de pots, chaque pot comprenant une paroi de fond et une paroi latérale, dans lequel :

- on dispose d’un flan en carton, à plat tel que décrit ci-dessus,

- on sollicite la partie d’espacement/calage de sorte que la partie d’espacement/calage est mise en volume par pliage selon la direction transversale par rapport aux deux parties de réception,

- on dispose de pots, destinés à faire partie du pack,

- on dispose les pots sur les parties de réception,

- on met en forme le flan pour constituer un conditionnement autour des pots.

L’invention concerne également un conditionnement constitué par la mise en forme du flanc par le procédé de réalisation d’un pack de pots tel que décrit ci-dessus.

L’invention concerne également un pack de pots comprenant :

- au moins deux pots, chaque pot comprenant une paroi de fond, une paroi latérale, les pots étant espacés et calés sur leurs parois latérales au voisinage de leurs parois de fond, et

- un conditionnement tel que décrit ci-dessus. Selon une réalisation, les bords d’arrêt sont placés de façon adjacente à la paroi latérale des pots au voisinage de leurs parois de fond, de sorte à assurer l’espacement et le calage des pots au voisinage de leurs parois de fond.

Selon une autre réalisation, les bords d’arrêt sont configurés pour limiter le déplacement des pots selon la direction longitudinale et/ou la direction transversale.

L’invention concerne également un dispositif de mise en volume de la partie d’espacement/calage d’un flan tel que décrit ci-dessus, comprenant une paroi de fond et au moins un élément faisant saillie depuis la paroi de fond, l’élément ayant une forme complémentaire de la forme de la partie d’espacement/calage du flanc une fois mise en volume.

Selon une réalisation, le dispositif de mise en volume comprend deux rebords, les rebords étant configurés pour plier les panneaux latéraux par rapport au panneau de dessous.

L’invention concerne également une ligne de réalisation d’un pack de pots tel que décrit ci- dessus, comprenant :

- des moyens de mise à disposition d’un flan tel que décrit ci-dessus,

- des moyens de mise à disposition de pots, destinés à faire partie du pack, et

- un dispositif de mise en volume de la partie d’espacement/calage du flan tel que décrit ci-dessus.

On décrit maintenant brièvement les figures des dessins.

La figure 1 A est une vue en perspective d’un flan de carton selon l’invention, représenté à plat, destiné à la réalisation d’un pack ayant une seule couche de pots de base de quatre pots de calage.

La figure 1 B est une vue de dessus du panneau de dessous du flan de la figure 1.

La figure 2 est une vue en perspective du flan de la figure 1 dans lequel des parties d’espacement/calage sont mises en volume.

La figure 3 est une vue en perspective du flan de la figure 2, dans lequel quatre pots de calage, deux à deux en vis-à-vis, de la couche de pots de base sont espacés et calés sur leurs parois latérales au voisinage de leurs parois de fond contre les parties d’espacement/calage.

La figure 4 est une vue en perspective du flan de la figure 2, dans lequel seuls trois des quatre pots de calage de la couche de pots de base sont espacés et calés sur leurs parois latérales au voisinage de leurs parois de fond contre les parties d’espacement/calage.

La figure 5 est une vue en perspective, de dessus, d’un pack comprenant une unique couche de pots de base selon un mode de réalisation de l’invention.

La figure 6 est une vue en perspective, de dessus, d’un pack comprenant une couche de pots de base et une couche de pots supérieure selon un autre mode de réalisation de l’invention.

La figure 7 est une vue en perspective d’un dispositif de mise en volume des parties d’espacement/calage.

La figure 8 est une vue en perspective du dispositif de mise en volume des parties d’espacement/calage de la figure 7, dans lequel est disposé le panneau de dessous du flan de la figure 1 .

Un flan 1 en carton, à plat, est destiné à la formation d’un conditionnement 2, le conditionnement 2 faisant partie du pack 3 comprenant également des pots 4, dont quatre pots qualifiés de « pots de calage 4a ». La qualification de « pot de calage 4a » vise à distinguer un tel pot d’un éventuel autre pot du pack 3, à savoir un pot de couche de pots supérieure 4b, parfois désignés « pots supérieurs 4b ». Dans la description, l’expression « pot espacé et calé » s’applique à un pot de calage 4a, une fois qu’il est effectivement espacé et calé, par rapport aux autres pots de calage 4a.

Par « carton », il faut comprendre un matériau en couche, tel que celui couramment utilisé ou adapté à un flan ayant la destination indiquée. Un tel carton ne doit être ni trop rigide, ni trop souple. Il doit pouvoir être plié à l’endroit de lignes de pliage, telles que des lignes rainées et/ou des lignes découpées, prévues à cet effet.

Par « à plat » dans l’expression « flan à plat », il faut comprendre que le flan 1 est déployé, de sorte à se trouver au moins sensiblement dans un seul et même plan P. Le conditionnement 2 est de type enveloppe tubulaire et il est réalisé par mise en forme et fermeture sur lui-même du flan 1 , de sorte à épouser les pots 4 du pack 3 qui sont ainsi maintenus groupés.

Par « enveloppe tubulaire », il faut comprendre que le conditionnement 2 a globalement six faces et s’inscrit dans une forme générale parallélépipédique, comporte quatre faces adjacentes fermées sur elles-mêmes et deux faces en vis-à-vis ouvertes.

Le terme « pack » doit être compris comme signifiant un lot formé de plusieurs pots 4 présentés groupés en couche(s), avec superposition en cas de pluralité de couches, en rangées longitudinales et/ou en rangées transversales, dans un conditionnement, de sorte à former un ensemble unitaire, destiné à être stocké, manipulé, déplacé, mis à la vente et vendu comme tel.

Un pot 4, tel que celui du pack considéré, comprend une paroi de fond 5a, une paroi latérale fermée sur elle-même 5b, et avec une ouverture opposée à la paroi de fond 5a avec fermeture de dessus 6.

Dans une réalisation, le pot 4 est en forme de cylindre ou de tronc de cône et comporte une collerette 7 transversale vers son ouverture supérieure, la fermeture de dessus 6 étant un opercule plat solidarisé à et sur la collerette 7. Dans d’autres réalisations, la génératrice de la paroi latérale 5b est une ligne autre qu’une ligne droite, ayant une forme plus ou moins complexe, et la courbe directrice est autre qu’un cercle, étant par exemple un carré curviligne à coins arrondis. Un tel pot 4 peut tenir droit en reposant sur sa paroi de fond 5a formant assise.

Selon les cas, les pots 4 sont individualisés ou bien ils sont reliés entre eux, par exemple par leurs collerettes 7, de sorte à former une plaquette de pots 4. Dans le contexte de l’invention, les pots 4 d’un pack 3 sont analogues, tout spécialement identiques, et ils sont emplis d’un certain contenu, identique ou non pour les différents pots 4, et fermés.

Dans une réalisation, un tel pot 4 est réalisé en matière plastique thermoformée et il présente une certaine tenue lui permettant d’être autoportant, mais le pot peut être réalisé en d’autres matériaux et par d’autres procédés.

Un tel pot 4 est destiné typiquement à contenir un contenu homogène ou non, présentant un état d’ensemble plus ou moins fluide, ce qui n’exclut pas la présence de morceaux plus ou moins solides. Un tel contenu est par exemple un produit lacté ou un dessert, cette liste n’étant pas limitative.

Dans une réalisation, le pot 4 est destiné à recevoir une dose d’un tel contenu à usage individuel et unitaire, par exemple de l’ordre d’une centaine de grammes et, dans ce cas, il peut avoir une hauteur de l’ordre de quelques centimètres et s’inscrire latéralement dans un cylindre dont le diamètre est également de l’ordre de quelques centimètres. Dans d’autres réalisations, le pot 4, destiné à une minidose, est plus petit ou, au contraire, destiné à une dose plus importante, est plus grand.

La description en référence aux figures 1A, 1 B, 2 à 5, concerne la réalisation particulière d’un pack 3 de pots 4, ayant une seule couche, qualifiée de couche « de base », de quatre pots de calage 4a, deux à deux côte à côte et en vis-à-vis, disposés en carré, espacés et calés.

Toutefois, plus généralement, l’invention vise également tout flan 1 , tout conditionnement 2 et tout pack 3 incluant des parties d’espacement/calage. De telles réalisations sont illustrées de manière non limitative par la figure 6, montrant qu’un pack 3 peut comporter deux couches de pots 4. Le pack 3 peut comporter trois ou un plus grand nombre de couches de pots (non illustré).

On peut définir, relativement au flan 1 dans le plan P, une direction longitudinale L et une direction transversale T, perpendiculaires entre elles, ainsi qu’une direction Z perpendiculaire ou sensiblement perpendiculaire au plan P.

Le flan 1 est de forme générale rectangulaire et il est limité par deux bords libres 8 dans la direction longitudinale L et deux bords libres 9 dans la direction transversale T. Dans la réalisation représentée, les bords libres 8, 9, sont rectilignes, mais dans d’autres réalisations, ils peuvent ne pas l’être. Les deux bords libres 9 délimitent les bords de deux faces ouvertes du conditionnement 2.

Le flan 1 comprend, disposés les uns à la suite des autres dans la direction longitudinale L, et entre les deux bords libres 8, s’étendant transversalement, un premier panneau de dessus 10a, un premier panneau latéral 1 1 a, un panneau de dessous 12, un second panneau latéral 1 1 b et un second panneau de dessus 10b. Par « panneau », il faut comprendre une pièce plane en forme de couche, en carton en l’espèce, délimitée par une bordure comprenant des lignes des pliages, telles que des lignes rainées et/ou des lignes découpées.

Le flan 1 est tel que, en direction longitudinale L, les deux panneaux latéraux 1 1 a et 1 1 b ont la même dimension.

Le premier panneau de dessus 10a est large selon la direction longitudinale L, destiné à former la totalité de la surface d’une paroi de dessus 10c, alors que le second panneau de dessus 10b est relativement plus étroit, comme un volet, apte à venir au recto du premier panneau de dessus 10a, sur son bord libre 8. Une telle réalisation peut comprendre un moyen de solidarisation entre le premier panneau de dessus 10a et le second panneau de dessus 10b, tel que des pattes, des encoches ou une colle de solidarisation.

Le flan 1 comprend également des lignes de pliage, telles que des lignes rainées de direction transversale T. Ces lignes sont aptes et destinées au pliage relatif des panneaux 10a, 10b, 1 1 a, 1 1 b, et 12, à la mise en forme du flan 1 et à la constitution du conditionnement 2 et du pack 3. Des lignes rainées sont bien connues dans le domaine de l’emballage et du carton et permettent de plier de façon relative deux panneaux adjacents en un emplacement prédéfini. De telles lignes rainées sont formées par mise en œuvre d’un outil de rainage. Il est entendu que l’expression « ligne rainée » doit être comprise de la façon la plus large comme signifiant que la ligne est adaptée et destinée au pliage relatif de deux panneaux adjacents.

Le flan 1 comprend deux lignes rainées de dessous 14 entre le panneau de dessous 12 et les deux panneaux latéraux 1 1 a, 1 1 b, et deux lignes rainées de dessus 15 entre les deux panneaux de dessus 10a, 10b et les deux panneaux latéraux 1 1 a, 1 1 b.

Le flan 1 comprend, dans le plan P, un axe médian longitudinal ML de direction longitudinale L, un axe médian transversal MT de direction transversale T, se coupant à une intersection X. Le flan 1 comprend également un axe d’élévation MZ de direction Z, perpendiculaire ou sensiblement perpendiculaire au plan P. Lorsque les packs 3 sont en cours de constitution ou dans la position habituelle de stockage et présentation, l’axe d’élévation MZ est vertical ou sensiblement vertical. Le flan 1 est symétrique ou sensiblement symétrique par rotation axiale autour de l’axe d’élévation MZ, si l’on fait abstraction des panneaux de dessus 10a, Dans une réalisation possible, la dimension longitudinale de l’ensemble formé par le panneau de dessous 12 est sensiblement égale à la dimension longitudinale de la paroi de dessus 10c, et en particulier est sensiblement égale à la dimension du premier panneau de dessus 10a. La dimension longitudinale et la dimension transversale du panneau de dessous 12 sont du même ordre de grandeur, la dimension longitudinale pouvant être cependant plus petite que dimension transversale, de sorte que les pots 4 soient écartés des deux faces en vis-à-vis ouvertes, vers l’intérieur du conditionnement 2.

Le panneau de dessous 12 du flan 1 comprend également des parties de réception de pots 16, chaque partie de réception de pots 16 étant apte et destinée à la réception d’un pot de calage 4a au niveau de sa paroi de fond 5a. Chaque partie de réception de pots 16 (parfois désignée, par ellipse, « partie de réception 16 ») s’étend sur une partie du panneau de dessous 12, dans le plan P. Chaque partie de réception de pots 16 est en particulier centrée sur une ouverture 17, avantageusement circulaire, découpée dans le panneau de dessous 12 et visible plus particulièrement sur les figures 1 A et 1 B.

Le panneau de dessous 12 du flan 1 comprend également au moins une partie d’espacement/calage de pots 18 (parfois désignée, par ellipse, « partie d’espacement/calage 18 »), provenant du panneau de dessous 12, avec des lignes découpées. Comme illustré sur les figures, le flan 1 comprend plus précisément deux parties d’espacement/calage de pots 18.

Une partie d’espacement/calage 18 est réalisée par découpe dans le panneau de dessous 12, avantageusement sans enlèvement de matière.

Les deux parties d’espacement/calage 18 sont sensiblement disposés de part et d’autre de l’axe médian longitudinal ML. Comme illustré sur la figure 2, les deux parties d’espacement/calage 18 peuvent toutefois être disposés chacune allant jusqu’à l’axe médian longitudinal ML, voire en dépassant légèrement au-delà de l’axe médian longitudinal ML.

Les deux parties d’espacement/calage 18 sont disposées symétriques ou sensiblement symétriques l’une de l’autre par rotation axiale autour de l’axe d’élévation MZ. Les deux parties d’espacement/calage 18 sont en outre disposées selon la direction transversale T, en particulier parallèles ou sensiblement parallèles aux lignes rainées de dessous 14 situées entre le panneau de dessous 12 et les deux panneaux latéraux 1 1 a, 1 1 b.

Chaque partie d’espacement/calage 18 est centrée sur l’axe médian transversal MT. Ces parties d’espacement/calage 18 sont aptes et destinées à être mise en volume par rapport aux parties de réception 16, de sorte à constituer des bords d’arrêt 34 des pots de calage 4a, propres à les arrêter sur leurs parois latérales 5b, au voisinage de leurs parois de fond 5a.

Plus particulièrement, chaque partie d’espacement/calage 18 peut se trouver dans deux situations : soit à plat c'est-à-dire dans le plan P même du flan 1 lorsque celui-ci est à plat, avant mise en volume, soit en saillie par rapport au panneau de dessous 12, après mise en volume.

En saillie, les parties d’espacement/calage 18 assurent ou participent au calage des pots de calage 4. Les parties d’espacement/calage 18 sont alors écartées des parties de réception 16, c’est-à-dire maintenu à distance du plan P comprenant les parties de réception 16, selon la direction Z.

Chaque partie d’espacement/calage 18 est formée, plus particulièrement constituée, par trois portions du panneau de dessous 12, à savoir un volet d’espacement/calage 20 et deux éléments de support 21 , 22.

Chaque partie d’espacement/calage 18 comprend ainsi un premier élément de support 21 vers un bord libre 9 dans la direction transversale T.

Le premier élément de support 21 est délimité au moins par une première ligne de pliage 23 reliant le premier élément de support 21 au panneau de dessous 12. Le premier élément de support 21 est également délimité par une seconde ligne de pliage 24 reliant le premier élément de support 21 au volet d’espacement/calage 20. La première ligne de pliage 23 est relativement plus rapprochée du bord libre 9 par rapport à la seconde ligne de pliage 24.

Les première et seconde lignes de pliage 23, 24 définissent donc des segments de pliage s'étendant dans la direction longitudinale L. Avantageusement, les première et seconde lignes de pliage 23, 24 sont des lignes à découpage alterné. Par « à découpage alterné », il faut comprendre que sur la ligne, le carton est régulièrement et alternativement découpé de façon traversante puis non découpée, et ainsi de suite, de sorte à crée une ligne mixte.

Le premier élément de support 21 est également délimité par deux lignes découpées 25, 26, reliant respectivement les première et seconde lignes de pliage 23, 24. Les lignes découpées 25, 26 sont rectilignes, comme visible sur la figure 2. Toutefois, ces lignes découpées 25, 26 peuvent également être incurvée pour former un berceau susceptible d'épouser le profil de la paroi latérale 5b d'un pot 4.

Les lignes découpées 25, 26 sont notamment inclinées de sorte à être davantage rapprochée de l’axe médian transversal MT au niveau de la seconde ligne de pliage 24. Le premier élément de support 21 a ainsi une forme générale trapézoïdale isocèle dont la grande base est la première ligne de pliage 23 et la petite base est la seconde ligne de pliage 24.

Chaque partie d’espacement/calage 18 comprend en outre un second élément de support 22, disposé relativement plus proche de l’axe médian longitudinal ML par rapport au premier élément de support 21 .

Le second élément de support 22 est délimité au moins par une première ligne de pliage 27 reliant le second élément de support 22 au panneau de dessous 12. Le second élément de support 22 est également délimité par une seconde ligne de pliage 28 reliant le second élément de support 22 au volet d’espacement/calage 20. La première ligne de pliage 27 est relativement plus rapprochée du bord libre 9, ou encore plus éloignée de l’axe médian longitudinal ML, par rapport à la seconde ligne de pliage 28.

Les première et seconde lignes de pliage 27, 28 définissent donc des segments de pliage s'étendant dans la direction longitudinale L. Avantageusement, les première et seconde lignes de pliage 27, 28 sont des lignes à découpage alterné (ce terme devant être compris comme précédemment).

Le second élément de support 22 est également délimité par deux lignes découpées 29, 30, reliant respectivement les première et seconde lignes de pliage 27, 28. Les lignes découpées 29, 30 sont rectilignes, comme visible sur la figure 2. Toutefois, ces lignes découpées 29, 30 peuvent également être incurvées pour former un berceau susceptible d'épouser le profil de la paroi latérale 5b d'un pot 4.

Les deux lignes découpées 29, 30 sont notamment parallèles l’une de l’autre de sorte à être davantage rapprochées de l’axe médian transversal MT au niveau de la première ligne de pliage 27. Le second élément de support 22 a ainsi une forme générale parallélogramme. Le volet d’espacement/calage 20 est relié aux premier et second éléments de support 21 , 22 respectivement par leurs secondes lignes de pliage 24, 28. En particulier, comme illustré plus particulièrement sur la figure 4, le volet d’espacement/calage 20 comprend une première portion 35 s’étendant selon la direction transversale T et une seconde portion 36 s’étendant selon la direction longitudinale L. La première portion 35 et la seconde portion 36 sont d’un seul tenant l’une avec l’autre, notamment dépourvues de lignes de pliage entre elles.

La première portion 35 est reliée au premier élément de support 21 par sa seconde ligne de pliage 24. La seconde portion 36 est reliée au second élément de support 22 par sa seconde ligne de pliage 28.

Le volet d’espacement/calage 20 est également délimité par au moins par deux lignes découpées 31 , 32. Les deux lignes découpées 31 , 32 s'étendent selon la direction transversale T pour épouser, au moins partiellement, une fois misent en volume de la partie d’espacement/calage 18, deux pots 4 en regard par leurs faces latérales 5b.

Selon une réalisation, la ou les lignes découpées 31 , 32 sont incurvées pour former un berceau susceptible d'épouser le profil d'un pot 2 du pack 3.

Selon une autre réalisation, la ou les lignes découpées 31 , 32 forme une ligne brisée comprenant plusieurs tronçons. La ligne découpée 32 comprend un tronçon correspondant à la ligne découpée 29 du second élément de support 22 et un tronçon 33 incliné par rapport à la ligne découpée 29 du second élément de support 22.

Chaque partie d’espacement/calage 18 forment ainsi un bord d’arrêt 34 pour deux pots de calage 4a disposés en vis-à-vis et de chaque côté de la partie d’espacement/calage 18. Les bords d’arrêt 34 sont formés par, en particulier sont substantiellement constitués par, le premier élément de support 21 et le volet d’espacement/calage 20. Les bords d’arrêt 34 sont plus particulièrement formés par les lignes découpées 25, 26, 31 , 32 du premier élément de support 21 et du volet d’espacement/calage 20. Avantageusement, les bords d’arrêt 34 peuvent être également formés par la ligne découpée 30 du second élément de support 22. Ainsi, le pot de calage 4a est maintenu par ses deux côtés selon la direction transversale T ainsi que selon la direction longitudinale L.

Sur les figures, en particulier sur la figure 2, il est ainsi prévu quatre bords d’arrêt 34, un par pot de calage 4a. Un tel bord d’arrêt 34 a une forme générale proche ou s’apparentant à celle d’un arc circulaire. Les deux bords d’arrêt 34 formés par une partie d’espacement/calage 18 sont disposés face à face selon la direction longitudinale L.

Dans un tel pack 3, les pots de calage 4a sont reçus par leurs parois de fond 5a sur les parties de réception 16, les bords d’arrêt 34 sont placés de façon adjacente aux parois latérales 5b des pots de calage 4a, au voisinage de leurs parois de fond 5a, de sorte à assurer l’espacement et le calage de ces pots 4a au voisinage de leurs parois de fond 5a.

Les bords d’arrêt 34 sont propres à arrêter les pots de calage 4a sur leurs parois latérales 5b, au voisinage de leurs parois de fond 5a.

Par « arrêter les pots de calage 4a sur leurs parois latérales 5b », il faut comprendre que, dans le pack 3, les pots de calage 4a sont empêchés, au moins dans une certaine mesure, de se déplacer de façon relative - de façon intempestive -, par rapport au conditionnement 2, ou de se choquer les uns les autres, car la paroi latérale 5b de chaque pot de calage 4a est adjacente à un bord d’arrêt 34 propre à ce pot 4a. Le bord d’arrêt 34 étant formé par le premier élément de support 21 et le volet d’espacement/calage 20 d’une partie d’espacement/calage 18, les pots de calage 4a sont maintenus aussi bien selon la direction longitudinale L, par le volet d’espacement/calage 20, que dans la direction transversale T par le premier élément de support 21.

Par arrêter les pots de calage 4a sur leurs parois latérales 5b « au voisinage de leurs parois de fond 5a », il faut comprendre que la partie de la paroi latérale 5b de chaque pot de calage 4a qui, dans le pack 3, est adjacente au bord d’arrêt 34 considéré est, pour une partie substantielle, écartée de la partie de fond 5a avec un écartement relativement faible au regard de l’écartement entre la partie de fond 5a et la fermeture de dessus 6.

La « partie substantielle » de la partie de la paroi latérale 5b écartée de la partie de fond 5a est celle correspondant à la partie du bord d’arrêt 34 comprenant le premier élément de support 21 et le volet d’espacement/calage 20.

Par exemple, dans une réalisation possible envisagée, où les pots de calage 4a ont une hauteur de l’ordre de 6cm, l’écartement entre cette partie substantielle de la paroi latérale 5b et la paroi de fond 5a peut être de l’ordre de 2cm, cette réalisation n’étant toutefois pas limitative, l’écartement pouvant être autre, plus petit ou plus grand. Par le terme « adjacent » concernant la paroi latérale 5b d’un pot de calage 4a et le bord d’arrêt 34 correspondant, il faut comprendre que, selon les circonstances, la paroi latérale 5b d’un pot de calage 4a est au contact du bord d’arrêt 34 correspondant, avec même une certaine force d’appui, de sorte à assurer le blocage d’arrêt du pot de calage 4a dans cette position, ou bien que la paroi latérale 5b est seulement à proximité immédiate de ce bord d’arrêt 34 de sorte que le déplacement du pot de calage 4a est limité au faible écartement entre la paroi latérale 5b et le bord d’arrêt 34 correspondant, et qu’en fin de déplacement éventuel du pot de calage 4a, la paroi latérale 5b vienne au contact du bord d’arrêt 34, de sorte à assurer le blocage d’arrêt du pot de calage 4a dans la position de fin de déplacement.

Les bords d’arrêt 34 étant propres à arrêter les pots de calage 4a, comme il vient d’être exposé, ils participent à ce que, dans le pack 3, les pots de calage 4a ne puissent pas, ou ne puissent que peu, se déplacer de façon intempestive ou se choquer les uns les autres. C’est pourquoi les bords d’arrêt 34 participent à la partie 18 qualifiée « d’espacement/calage ».

Le pack 3 peut comporter des fentes ou découpes 40, 41 dans les lignes de pliage 14 notamment pour laisser saillir la collerette 7 ou encore la base des pots 4 vers l'extérieur du pack 3.

Le flan 1 décrit peut être décliné et adapté notamment en fonction de la forme des pots 4.

On se réfère maintenant à la figure 6 qui représente un flan 1 spécialement apte et destiné à un pack 3 ayant deux couches de quatre pots, à savoir la couche de base qui comprend les quatre pots de calage 4a et une couche de pots supérieure qui comprend quatre pots supérieurs 4b.

Les quatre pots de calage 4a de la couche de pots de base portée par le panneau de dessous 12 sont espacés et calés sur leurs parois latérales 5b au voisinage de leurs parois de fond 5a, avec les parties d’espacement/calage 18 conformes à celles précédemment décrites en relation avec les figures 1 à 5.

Les quatre pots supérieurs 4b de la couche de pots supérieure reposent par leurs parois de fond 5a sur les fermetures de dessus 6 des quatre pots de calage 5a de la couche de pots de base. La couche de pots supérieurs 4b est donc portée par la couche de pots de base 4a. Par rapport à la réalisation des figures 1 à 5, et dans la réalisation non limitative illustrée par la figure 6, il n’est pas prévu que le flan 1 comporte des fentes ou découpes pour les collerettes des quatre pots de calage 4a de la couche de base.

L’invention concerne également un procédé de réalisation du conditionnement 2 et du pack 3.

Pour ce procédé, on a à disposition un flan en carton, à plat, 1 , quatre pots de calage 4a et, le cas échéant quatre pots supérieurs 4b destinés à faire partie du pack 3.

Les parties d’espacement/calage 18 n’ont pas été mise en volume.

On sollicite les parties d’espacement/calage 18 de sorte que le volet d’espacement/calage 20 de chaque partie d’espacement/calage 18 soit écarté du plan P du panneau de dessous, et notamment des parties de réception 16.

A cet effet, on fait pivoter les parties d’espacement/calage 18, notamment au niveau des premières lignes de pliages 23, 27 respectivement du premier élément de support 21 et du second élément de support 22. Le pivotement est réalisé autour de la direction longitudinale L, par pliage autour des premières lignes de pliages 23, 27 selon la direction transversale T par rapport aux parties de réception 16. Le sens de pivotement est tel que les parties d’espacement/calage 18 sont éloignées de l’axe médian longitudinal ML, notamment vers les bords libres 9 du flan 1.

Le volet d’espacement/calage 20 de chaque partie d’espacement/calage 18 se trouve alors sensiblement horizontale et parallèle au plan P du panneau de dessous 12. Le volet d’espacement/calage 20 est dans un plan perpendiculaire à l’axe d’élévation MZ.

Ce faisant, la partie d’espacement/calage 18, une fois mise en volume ne peut changer de forme, s’effondrer, cesser d’être opératoire pour les pots de calage 4a. En particulier, une certaine force d’appui des pots de calage 4a sur les volets d’espacement/calage 20 ne risque pas d’affaisser les parties d’espacement/calage 18, auquel cas les pots de calage 4a ne seraient plus maintenus correctement.

On dispose, successivement ou simultanément les quatre pots de calage 4a en une couche de pots de base sur la partie de réception 18, le flan 1 étant alors disposé globalement horizontalement, de sorte que les pots de calage 4a sont agencés deux à deux côte à côte et en vis-à-vis, en carré. Plus précisément, on dispose les quatre pots de calage 4a sur les parties de réception 16, une par pot de calage 4a.

Puis on met en forme le flan 1 , autour des pots 4 du pack 3, par pliage des deux panneaux latéraux 1 1 a, 1 1 b, autour des deux lignes rainées de dessous 14, et des deux panneaux de dessus 10a et 10b, autour des deux lignes rainées de dessus 15.

Dans cette étape, on peut faire coopérer la collerette 7 de chaque pot 4 de la couche de pot de base, avec une fente ou découpe 40 dans la ligne rainée de dessus 15.

On dispose de façon coplanaire, par exemple l’un sur l’autre, et on solidarise l’un à l’autre, les deux panneaux de dessus 10a et 10b, de sorte à fermer sur lui-même le flan 1 , à former la paroi de dessus 10c, par mise en œuvre du moyen de solidarisation, et à constituer un conditionnement entourant les pots 4 du pack 3.

Dans le conditionnement 2, le panneau de dessous 12 est disposé dans le plan P de sorte que les parties de réception 16 sont coplanaires ou sensiblement coplanaires.

Les deux panneaux latéraux 1 1 a, 1 1 b sont érigés, vers le haut, par rapport au plan du panneau de dessous 12 et forment avec lui un angle, notamment obtus. Les panneaux latéraux 1 1 a, 1 1 b, s’étendent jusqu’à la paroi de dessus 10c. La paroi de dessus 10c est disposée au-dessus et à l’aplomb du panneau de dessous 12.

Un tel conditionnement 2 est illustré tout spécialement par les figures 5 ayant une seule couche de pots de base comprenant quatre pots de calage 4a. La forme de détail du conditionnement est adaptée à la forme de détail des pots 4. La description du conditionnement 2 qui vient d’être faite n’est donc pas exclusive d’autres, dans le cas de pots 4 de formes différentes.

Le procédé est analogue dans le cas d’un pack 3 ayant deux ou plus de deux couches de pots. Dans le cas d’un pack 3 ayant deux ou plus de deux couches de pots, le conditionnement final 2 est, dans son ensemble, analogue à celui d’un pack 3 à une seule couche de pots de base, si ce n’est, tout d’abord, que sa dimension selon l’axe d’élévation MZ est plus grande de sorte à être adaptée au nombre de couches.

L’invention porte également sur une ligne de réalisation d’un pack 3 tel qu’il vient d’être décrit. Une telle ligne comprend des moyens de mise à disposition de flans 1 en carton à plat. Elle comprend également des moyens de mise à disposition de pots 4, destinés à faire partie du pack 3.

Une telle ligne comprend également, associés aux moyens de mise à disposition de flans en carton à plat et aux moyens de mise à disposition de pots, des moyens de convoyage aptes et destinés à convoyer des flans à plat, des flans avec pots reposant dessus, et des moyens fonctionnels.

Ces moyens fonctionnels comprennent notamment un dispositif de mise en volume 50 des parties d’espacement/calage 18, tel qu’illustré sur les figures 7 et 8.

Le dispositif de mise en volume 50 comprend une paroi de fond 51 , sensiblement plane, et deux éléments faisant saillie 52 depuis la paroi de fond 51. Les deux éléments 52 ont une forme complémentaire de la forme des parties d’espacement/calage 18 une fois mises en volume.

Ainsi, chaque élément 51 comprend un plateau 53. Le plateau 53 est sensiblement horizontale, notamment parallèle à la paroi de fond 51 du dispositif de mise en volume 50. Le plateau 53 est disposé à distance de la paroi de fond 51. Le plateau 53 a une forme identique ou sensiblement identique à la forme du volet d’espacement/calage 20 d’une partie d’espacement/calage 18.

Chaque élément comprend également deux parois inclinées 54, 55 reliant respectivement le plateau 53 au fond 51. Les deux parois inclinées 54, 55 ont une forme identique ou sensiblement identique à la forme des premier et second supports 21 , 22 d’une partie d’espacement/calage 18.

Ainsi, lorsque le panneau de dessous 12 du flan de carton 1 est disposé dans le dispositif de mise en volume 50, un effort est exercé sur les parties d’espacement/calage 18 contre les éléments faisant saillie 52. L’effort exercé entraîne la mise en volume des parties d’espacement/calage 18 comme décrit ci-dessus.

Le dispositif de mise en volume 50 peut en outre comprendre deux rebords 55, faisant saillie depuis la paroi de fond 51. Lorsque le panneau de dessous 12 est disposé dans le dispositif de mise en volume 50, les lignes rainées de dessous 14 sont disposées au niveau des rebords 55. Ainsi les panneaux latéraux 1 1 a, 1 1 b sont pliés, notamment inclinés vers le haut, par rapport au panneau de dessous 12. Ceci facilite ensuite la constitution du conditionnement 2 entourant les pots 4. Les moyens fonctionnels comprennent également de l’amont vers l’aval des moyens de saisie, déplacement, et disposition de pots de calage 4a, aptes et destinés à disposer ces pots 4a sur la partie de réception 16 des flans 1 sur les moyens de convoyage.

Les moyens fonctionnels comprennent des moyens de pliage, aptes et destinés à mettre en volume les flans 1 autour des pots 4, par pliage des panneaux latéraux 1 1 a, 1 1 b autour des lignes rainées de dessous 14 et des panneaux de dessus 10a, 10b autour des lignes rainées de dessus 15.

Les moyens fonctionnels comprennent des moyens de fermeture et de solidarisation, aptes et destinés à disposer de façon coplanaire et à solidariser l’un à l’autre les deux panneaux de dessus 10a, 10b, et à constituer un conditionnement 2 entourant les pots 4.

Les moyens fonctionnels comprennent, enfin, des moyens d’évacuation des packs 3. Bien évidemment, l'invention n'est pas limitée aux modes de réalisation décrits précédemment et fournis uniquement à titre d'exemple. Elle englobe diverses modifications, formes alternatives et autres variantes que pourra envisager l'homme du métier dans le cadre de la présente invention et notamment toutes combinaisons des différents modes de fonctionnement décrits précédemment, pouvant être pris séparément ou en association.