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Title:
COUPLING DEVICE AND SYSTEM FOR AIDING LEARNING OF A SLIDING SPORT ON TWO SKATES
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2020/099458
Kind Code:
A1
Abstract:
The invention relates to a coupling device (2) for coupling two skates, characterized in that it comprises a first attachment module (6) and a second attachment module (6'), each one being designed to be attached to a skate and comprising a body (7) between the two attachment modules (6, 6'), said body (7) allowing at least a degree of freedom in translation between the two attachment modules (6, 6'), the distance between the two attachment modules (6, 6') being free between a predetermined minimum distance and a predetermined maximum distance, and said body (7) permitting a removable connection between the two attachment modules (6, 6').

Inventors:
ZAGURY ALAIN (CH)
Application Number:
PCT/EP2019/081121
Publication Date:
May 22, 2020
Filing Date:
November 13, 2019
Export Citation:
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Assignee:
ZAGURY ALAIN (CH)
International Classes:
A63C5/16
Domestic Patent References:
WO2010080876A22010-07-15
Foreign References:
US3171667A1965-03-02
US3907320A1975-09-23
US5531480A1996-07-02
DE2406754A11975-08-21
EP0561125A11993-09-22
Attorney, Agent or Firm:
AIVAZIAN, Denis et al. (FR)
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Claims:
REVENDICATIONS

1. Dispositif d’accouplement (2) pour coupler deux patins, caractérisé en ce qu’il comprend un premier module de fixation (6) et un deuxième module de fixation (6’), chacun conçu pour être fixé à un patin (8) et comprenant un corps (7) entre les deux modules de fixation (6, 6’), ledit corps (7) permettant au moins une liberté en translation entre les deux éléments de fixation (6, 6’), la distance entre les deux modules de fixation (6, 6’) étant libre entre une distance minimum prédéterminée et une distance maximum prédéterminée, et ledit corps (7) permettant une liaison amovible entre les deux modules de fixation (6, 6’).

2. Dispositif d’accouplement (2) selon la revendication précédente, caractérisé en ce que le corps (7) permet une liaison amovible apte à un détachement automatique à partir d’une contrainte prédéterminée exercée entre les deux modules de fixation (6, 6’).

3. Dispositif d’accouplement (2) selon l’une des revendications précédentes, caractérisé en ce que le corps (7) comprend au moins un aimant pour la mise en oeuvre de la liaison amovible entre les deux modules de fixation (6, 6’).

4. Dispositif d’accouplement (2) selon l’une des revendications précédentes, caractérisé en ce que le corps (7) comprend une première portion (1 1 ) liée au premier module de fixation (6) et une deuxième portion (12) liée au deuxième module de fixation (6’), la première portion (1 1 ) et la deuxième portion (12) comprenant chacune un élément de connexion comprenant au moins un aimant pour permettre leur liaison amovible mutuelle directe ou indirecte, notamment par l’intermédiaire d’une troisième portion (27) intermédiaire.

5. Dispositif d’accouplement (2) selon l’une des revendications précédentes, caractérisé en ce qu’il comprend un positionnement particulier qui autorise le détachement ou la fixation d’au moins deux portions séparables par la liaison amovible pour permettre le passage d’une configuration détachée à une configuration de fixation et inversement.

6. Dispositif (2) selon l’une des revendications précédentes, dans lequel le corps (7) comprend au moins une liaison glissière (32, 32’), ladite liaison glissière comprenant au moins une première butée (13, 13’) et au moins une deuxième butée (14, 14’) pour garder la distance entre les deux modules de fixation (6, 6’) respectivement entre la distance minimum prédéterminée et la distance maximum prédéterminée.

7. Dispositif (2) selon la revendication précédente, caractérisé en ce qu’il comprend des moyens d’amortissement (15) pour le blocage progressif contre la première butée (13, 13’) et / ou contre la deuxième butée (14, 14’).

8. Dispositif (2) selon l’une des revendications précédentes, caractérisé en ce que le corps (7) comprend un corps une première portion (1 1 ) comprenant une glissière (32) liée à un chariot (33) lui-même relié au premier module de fixation (6), et en ce que le corps (7) comprend une deuxième portion (12) comprenant une glissière (32’) liée à un chariot (33’) lui-même relié au deuxième module de fixation (6’).

9. Dispositif (2) selon l’une des revendications précédentes, caractérisé en ce que chaque module de fixation (6, 6’) est mécaniquement lié au corps (7) par une liaison rotule (62).

10. Dispositif (2) selon l’une des revendications précédentes, caractérisé en ce que le corps (7) comprend au moins deux portions (1 1 , 12 ; 1 1 , 12, 27) liées entre elles par des éléments de connexion (30, 30’ ; 31 , 31’ ; 40, 40’) et par un câble (42) fixé à un enrouleur automatique.

1 1 . Système (1 ) d’aide à l’apprentissage d’un sport de glisse sur deux patins (8), en particulier deux skis, comprenant un dispositif d’accouplement (2) selon l’une des revendications précédentes.

12. Système (1 ) selon la revendication précédente, caractérisé en ce qu’il comprend au moins un brin (64) dont une première extrémité est fixée au module de fixation (6) et dont la deuxième extrémité est destinée à être fixé à l’utilisateur (5).

13. Système (1 ) selon la revendication précédente, caractérisé en ce qu’il comprend un enrouleur automatique (63) pour garder le brin (64) sous tension et pour bloquer le brin (64) lorsque ledit brin (64) atteint une longueur maximale prédéfinie.

14. Système (1 ) selon l’une quelconque des revendications 1 1 à 13, caractérisé en ce qu’il comprend au moins une laisse avec deux brins de guidage (3), chaque brin de guidage (3) étant conçu pour être fixé à un patin (8) ou à un module de fixation (6, 6’) de sorte que les patins (8) peuvent être ralentis ou guidé par lesdits brins de guidage (3).

15. Système (1 ) selon la revendication précédente, caractérisé en ce que chaque brin de guidage (3) comprend :

- au moins un enrouleur automatique (17) qui comprend une gâchette (18) conçue pour déclencher l’enroulage automatique du brin et/ou le déroulage automatique du brin de guidage (3) et

- au moins une portion élastique (9) et - au moins une portion cassable ou détachable (10) conçue pour séparer le brin de guidage (3) en deux parties en cas de tension mécanique supérieure à une contrainte prédéterminée. 16. Système (1 ) selon l’une des revendications 1 1 à 15, comprenant en outre une puce GPS (20) reliée à un dispositif électronique (22) par un moyen de transmission d’information (21 ).

Description:
Dispositif d’accouplement et système d’aide à l’apprentissage d’un sport de glisse sur deux patins

DESCRIPTION

L’invention concerne un dispositif d’accouplement entre deux patins. L’invention concerne aussi un système d’aide à l’apprentissage d’un sport de glisse sur deux patins, notamment des skis.

Des dispositifs similaires sont connus de l’état de la technique.

La demande EP0561 125, par exemple, décrit un dispositif permettant d’assurer et de diriger un élève lors de la pratique du ski. Ce dispositif se compose principalement d’un harnais qui est porté par l’élève et d’une laisse sans fin reliée audit harnais. Cette laisse permet à une autre personne, par exemple, à un moniteur de ski, de retenir l’élève dans la pente et de le diriger.

Cependant, cette approche présente notamment l’inconvénient d’avoir une influence défavorable sur l’équilibre de l’élève, notamment en modifiant la position de son bassin. D’autres dispositif connus, composés d’au moins un brin fixé sur au moins un patin, permettent de réguler la vitesse de l’élève, mais ils ne permettent pas de limiter la convergence et/ou la divergence des patins, sources de déséquilibre et de perte de contrôle, ni de favoriser une position du bassin vers l’avant pour permettre à l’élève d’être mieux positionné sur ses skis.

Le but de l’invention est d’améliorer les systèmes connus d’aide à l’apprentissage d’un sport de glisse sur des patins, notamment sur des skis. La présente invention a plus particulièrement pour but de réaliser un système permettant à un débutant d’éprouver ses premières sensations de glisse de la manière la plus réaliste possible et en toute sécurité.

La présente invention concerne un dispositif d’accouplement pour coupler deux patins. Le dispositif comprend un premier module de fixation et un deuxième module de fixation, chacun conçu pour être fixé à un patin. Le dispositif comprend en outre un corps entre les deux modules de fixation, ledit corps permettant au moins une liberté en translation entre les deux éléments de fixation. La distance entre les deux modules de fixation est libre entre une distance minimum prédéterminée et une distance maximum prédéterminée.

Dans un mode de réalisation, le corps comprend au moins une liaison glissière. La liaison glissière comprend au moins une première butée et au moins une deuxième butée pour garder la distance entre les deux modules de fixation respectivement entre la distance minimum prédéterminée et la distance maximum prédéterminée.

Dans un mode de réalisation, le dispositif comprend des moyens d’amortissement pour le blocage progressif contre la première butée et / ou contre la deuxième butée.

Dans un mode de réalisation, chaque module de fixation est mécaniquement lié au corps par une liaison rotule.

L’invention concerne également un système d’aide à l’apprentissage d’un sport de glisse sur deux patins, en particulier deux skis, comprenant un dispositif d’accouplement selon l’invention.

Dans un mode de réalisation, le système comprend au moins un brin dont une première extrémité est fixée au module de fixation et dont la deuxième extrémité est destinée à être fixé à l’utilisateur, notamment pour le maintien vers l’avant du bassin de l’utilisateur.

Dans un mode de réalisation, le système comprend un enrouleur automatique pour garder le brin sous tension et pour bloquer le brin lorsque ledit brin atteint une longueur maximale prédéfinie.

Dans un mode de réalisation, le système comprend au moins une laisse avec deux brins de guidage, chaque brin de guidage étant conçu pour être fixé à un patin ou à un module de fixation de sorte que les patins peuvent être ralentis ou guidé par lesdits brins de guidage.

Dans un mode de réalisation, chaque brin de guidage comprend un enrouleur automatique pour contrôler la longueur de chaque brin de guidage, l’enrouleur automatique comprenant une gâchette pour provoquer l’enroulement ou le déroulement du brin de guidage.

Dans un mode de réalisation, chaque brin de guidage comprend,

• au moins une portion élastique, et

• au moins une portion cassable ou détachable conçue pour séparer le brin de guidage en deux parties en cas de tension mécanique supérieure à une contrainte prédéterminée.

Dans un mode de réalisation, le système comprend en outre une puce GPS reliée à un dispositif électronique par un moyen de transmission d’information.

Dans un mode de réalisation, l’invention concerne un dispositif de maintien de position d’un élève comprenant un module de fixation destiné à être fixé sur un patin, le dispositif comprenant au moins un brin dont une première extrémité est reliée au module de fixation et dont la seconde extrémité est conçue pour être attachée à l’élève, préférentiellement afin de l’aider à maintenir une position vers l’avant. Ledit brin peut comprendre un enrouleur automatique et/ou un moyen de réglage de la longueur du brin, préférentiellement fixé au module de fixation.

Les dessins annexés représentent, à titre d’exemple, des modes de réalisation d’un dispositif d’accouplement et d’un système d’aide à l’apprentissage d’un sport de glisse sur des patins selon l’invention.

La figure 1 représente un élève et un moniteur utilisant le système selon un mode de réalisation de la présente invention.

La figure 2 est une vue en perspective d’un module de fixation selon un mode de réalisation de l’invention. Le module de fixation permet de fixer le corps du dispositif d’accouplement sur chaque patin.

La figure 3 est une vue schématique de coupe d’un dispositif d’accouplement selon un mode de réalisation de l’invention permettant de relier deux patins.

La figure 4 est une vue en perspective d’un corps d’un dispositif d’accouplement selon un deuxième mode de réalisation de l’invention dans lequel les mouvements de translation des patins sont limités.

La figure 5 est une vue en perspective d’un corps d’un dispositif d’accouplement selon un mode de réalisation dans lequel les deux portions du corps sont détachées.

La figure 6 est une vue schématique d’un brin de guidage du système selon un mode de représentation de l’invention.

La figure 7 est une vue schématique des composants électroniques présents dans un mode de réalisation du système. La figure 8 est une vue en perspective d’un module de fixation selon un mode de réalisation de l’invention formant une liaison avec le chariot du corps du dispositif d’accouplement.

La figure 9 est une vue en perspective d’un corps d’un dispositif d’accouplement selon un troisième mode de réalisation.

La figure 10 est une vue en perspective d’un corps d’un dispositif d’accouplement selon le troisième mode de réalisation dans lequel les deux portions du corps sont détachées.

Un exemple d’un système d’assistance 1 et d’un dispositif d’accouplement selon des modes de réalisation de l’invention sont décrits ci-après en référence aux figures 1 à 10. Pour faciliter la lecture, les mêmes références seront utilisées sur les différents modes de réalisation pour désigner les mêmes composants ou des composants équivalents.

Le système représenté figure 1 comprend une laisse comprenant au moins deux brins 3. Chaque brin 3 est conçu pour être fixé à un patin 8 de l’élève 5 et tenu par une autre personne 4 que nous appellerons « moniteur » dans la suite de cette description.

Le moniteur 4 peut ainsi contrôler la vitesse de l’élève 5 et l’aider à changer de direction en se déplaçant à l’intérieur du virage et/ou en tirant sur les brins 3.

Le système 1 comprend en outre un dispositif d’accouplement 2. Le dispositif d’accouplement 2 comprend au moins deux modules de fixation 6, 6’. Chaque module de fixation 6, 6’ est conçu pour être fixé à un patin 8, 8’. Les deux modules de fixation 6, 6’ sont reliés entre eux par un corps 7. Le corps 7 est donc relié aux deux modules de fixation 6, 6’. Avantageusement, chaque extrémité du corps 7 est relié à un module de fixation. De plus, le corps 7 s’étend entre les deux modules de fixation 6, 6’.

Un module de fixation 6 selon un mode de réalisation préférentiel de l’invention est illustré sur la figure 2. Le module de fixation 6 comprend au moins un élément de fixation 61 pour sa fixation au patin 8, 8’ et au moins un moyen de liaison 62 pour sa liaison au corps 7 du dispositif d’accouplement 2.

L’élément de fixation 61 peut comprendre une mâchoire pour être fixé de manière réversible à un patin. Par exemple, l’élément de fixation 61 peut comprendre un système de ventouse et/ou de serrage. Dans un mode de réalisation illustré sur a figure 7, l’élément de fixation comprend une mâchoire.

Le moyen de liaison 62 est destiné à coopérer avec un moyen de liaison du corps 7. Le moyen de liaison 62 est préférentiellement conçu pour former avec le corps 7, une liaison rotule. Le moyen de liaison 62 du module de fixation 6 illustré figure 2 comprend une liaison rotule femelle mais pourrait comprendre une liaison rotule mâle. Comme illustré sur la figure 8, le moyen de liaison permet de recevoir un moyen de liaison complémentaire d’un chariot 33.

Le module de fixation 6 comprend en outre un connecteur femelle 65 pour raccorder un brin de guidage 3.

Le dispositif d’accouplement 2 peut comprendre en outre au moins un brin 64 dont une première extrémité est reliée au module de fixation 6 et dont la seconde extrémité est conçue pour être attachée à l’élève 5 afin de l’aider à maintenir une position vers l’avant. Ce brin 64 permet d’aider les élèves, en particuliers les enfants en bas âge, à maintenir leur bassin vers l'avant des patins. Le brin 64 permet de relier le module de fixation 6 au corps de l'élève 5.

Ledit brin 64 peut comprendre un enrouleur automatique 63 et/ou un moyen de réglage de la longueur du brin. L’enrouleur automatique 63 permet de garder le brin 64 sous tension. L’enrouleur automatique 63 permet également de bloquer le déroulage du brin 64 lorsque celui-ci atteint une longueur maximale prédéfinie. Dans un mode de réalisation, l’enrouleur automatique comprend un moyen pour régler ladite longueur prédéfinie, par exemple, un bouton poussoir (non-représenté). Le bouton poussoir permet par exemple de libérer l’enrouleur d’un ressort de rappel et de modifier alors la longueur prédéfinie du brin 64.

D’autre part, le au moins un brin 64 peut servir de guide visuel pour exercer les prises de carres en mettant en évidence les mouvements du bassin. La deuxième extrémité comprend préférentiellement des attaches réversibles de type VELCRO® ou un mousqueton pour sa fixation au corps de l’élève. Préférentiellement, le brin 64 est conçue pour être fixé aux vêtements de l’élève, par exemple au niveau de la ceinture de façon à l’empêcher de basculer son bassin en arrière. Ces attaches sont conçues pour se détacher en cas de forte tension sur le brin.

Dans un mode de réalisation, l’invention concerne un dispositif de maintien de position d’un élève comprenant un module de fixation 6 destiné à être fixé sur un patin, le dispositif comprenant au moins un brin 64 dont une première extrémité est reliée au module de fixation 6 et dont la seconde extrémité est conçue pour être attachée à l’élève 5, préférentiellement afin de l’aider à maintenir une position vers l’avant. Ledit brin 64 peut comprendre un enrouleur automatique 63 et/ou un moyen de réglage de la longueur du brin, préférentiellement fixé au module de fixation 6. Le module de fixation 6 peut alors être conçu pour s’adapter sur un ski ou une planche des neiges.

Le dispositif d’accouplement 2 dans son ensemble est décrit ci-après en référence aux figures 3, 4, 5, 9 et 10.

Ledit dispositif d’accouplement 2 permet avantageusement, d’une part, de forcer l’élève 5 à garder ses deux patins 8 dans une plage de distance prédéterminée, et d’autre part, de limiter la divergence et la convergence des patins.

Le dispositif d’accouplement 2 est conçu pour autoriser au moins une translation du premier module de fixation 6 par rapport au deuxième module de fixation 6’ de manière à ce que la distance entre les deux modules de fixation puisse être libre entre une première distance minimum prédéterminée et une deuxième distance maximum prédéterminée. Par une distance libre, on entend ici que l’élève peut rapprocher et éloigner ses patins et donc les deux modules de fixation l’un de l’autre entre un éloignement maximum et un éloignement minimum.

Cette liberté contrôlée permet de forcer l’élève 5 à maintenir ses patins 8, 8’ dans une plage de distance prédéterminée et réglable l’un de l’autre. En variante, dans tous les modes de réalisation, le rapprochement et/ou l’éloignement entre les deux patins 8, et donc entre les deux modules de fixation 6, 6’ pourrait se faire par tout autre mouvement qu’une translation, mais de préférence par sensiblement une translation.

Le dispositif d’accouplement 2 comprend en outre un corps 7 entre les deux éléments de fixation 6, 6’. Préférentiellement, le corps 7 autorise au moins une translation entre les moyens de liaisons 62, 62’ des modules de fixations 6,6’. Le dispositif d’accouplement 2 comprend un corps 7 comprenant une première portion 1 1 et une deuxième portion 12. Le corps 7 relie le moyen de liaison 62 du premier module de fixation 6 au moyen de liaison 62’ du deuxième module de fixation 6’.

Au moins une, préférentiellement les deux portions 1 1 , 12, comprend une glissière 32, 32’ conçue pour recevoir un chariot 33, 33’. Le chariot 33, 33’ est donc lié à l’une des portions 1 1 , 12 avec un degré de liberté en translation. En variante, un autre déplacement peut être envisagé, notamment sensiblement une translation.

Le chariot 33, 33’ est relié à un moyen de liaison 62, 62’ d’un module de fixation 6, 6’. La liaison mécanique entre le chariot 33, 33’ et le moyen de liaison 62, 62’ peut comprendre une liaison mécanique autorisant au moins un degré de liberté en rotation. Préférentiellement, la liaison mécanique entre le chariot 33, 33’ et le module de fixation 6, 6’ est une liaison rotule, autorisant trois degrés de liberté en rotation. Cette liaison rotule permet, lorsque les patins 8, 8’ sont des skis, de ne pas empêcher la prise de carre du skieur.

Préférentiellement, le chariot 33, 33’ comprend une portion conçue pour coopérer avec le moyen de liaison 62 de manière à former une liaison rotule.

La glissière 32, 32’ peut comprendre au moins une première butée 13, 13’ pour bloquer la translation du chariot 33, 33’ dans un premier sens. La glissière peut comprendre en outre au moins une deuxième butée 14, 14’ pour bloquer la translation du chariot 33, 33’ dans un deuxième sens opposé au premier sens.

Lors du déplacement d’un patin par rapport à l’autre, le chariot 33, 33’ suit la glissière entre la première butée 13, 13’ et la deuxième butée 14, 14’. Lors du mouvement d’un patin par rapport à l’autre, le chariot 33, 33’ peut ainsi se déplacer le long de la glissière 32, 32’entre la première butée 13, 13’ et la deuxième butée 14, 14’.

Lors de l’éloignement des patins, le au moins un chariot 33, 33’ glisse le long de la glissière 32, 32’ jusqu’à la au moins une première butée 13, 13’, définissant une distance maximale entre les moyens de liaison 62, 62’ de chaque module de fixation 6, 6’.

À l’inverse, lors du rapprochement des patins, le au moins un chariot 33, 33’ glisse le long de la glissière 32, 32’ jusqu’à atteindre la au moins une deuxième butée 14, 14’, définissant une distance minimale entre les éléments de fixation 6, 6’.

Dans un mode de réalisation, la position le long de la glissière d’au moins une butée 13, 13’, 14, 14’ est réglable.

La au moins une première butée 13, 13’ et / ou la au moins une deuxième butée 14, 14’ peuvent être déplacées le long la glissière 32, 32’. Cette amélioration autorise avantageusement à modifier les distances maximum et minimum en fonction des progrès de l’élève et/ou en fonction de l’élève.

La au moins une deuxième butée peut même être retirée pour régler la distance minimum à environ 0 cm. La première distance minimum et/ou la deuxième distance maximum sont variables en fonction de la position des butées.

Dans un mode de réalisation, la première distance minimum prédéterminée entre les deux moyens de liaison 62, 62’ est comprise entre 0 cm et 35 cm. Dans un mode de réalisation, la deuxième distance maximum prédéterminée entre les deux moyens de liaison 62, 62’ est comprise entre 2 cm et 40 cm.

Dans un mode de réalisation, l’écart entre la première distance minimum et la deuxième distance maximum est comprise entre 2 cm et 40 cm.

La première distance minimum et la deuxième distance minimum peuvent être réglées en déplaçant une ou plusieurs butées 13, 13’, 14, 14’ le long de la glissière 32, 32’. Dans un mode de réalisation, les premières butées sont démontables de la glissière de manière à prédéterminer la première distance minimum à 0 cm.

Préférentiellement, le corps 7 peut comprendre au moins un moyen de recentrage et/ou d’amortissement pour le blocage progressif du chariot 33, 33’ contre la première butée 13, 13’ ou contre la deuxième butée 14, 14’.

La première butée 13, 13’ et/ou la deuxième butée 14, 14’ peuvent comprendre le au moins un moyen de recentrage et d’amortissement 15. La ou les moyens de recentrage et d’amortissement 15 peuvent comprendre un matériau compressible tel une mousse ou un élastomère. La ou les moyens de recentrage et d’amortissement 15 peuvent comprendre un ressort.

Ces moyens de recentrage et d’amortissement 15 permettent avantageusement à l’élève 5 de favoriser le repositionnement des patins au centre de l’écartement prédéfini entre les butée 13, 13’ et les butées 14, 14’.

La fixation entre la première portion 1 1 et la deuxième portion 12 peut comprendre une fixation cassable ou détachable. Cette fixation de la première portion 1 1 et de la deuxième portion 12 entre elles est avantageusement une liaison amovible réversible. Particulièrement, cette fixation peut être détachable de manière automatique en cas de contrainte trop importante. Cette fixation permet avantageusement la fixation automatique ou semi-automatique, par exemple assistée, des deux portions 1 1 , 12. Pour cette fixation mutuelle, chaque portion 1 1 , 12 comprend des éléments de connexion correspondants.

Ladite fixation cassable ou détachable selon le mode de réalisation est par exemple conçue pour séparer la première portion 1 1 de la deuxième portion 12 en cas de choc mécanique supérieur à une contrainte prédéterminée. Cette disjonction du corps 7 permet de limiter certains risques de blessures, par exemple dans le cas où l’élève ne déchausserait qu’un seul pied alors que les deux patins restent reliés par le dispositif.

Ladite fixation détachable peut comprendre une liaison amovible ou réversible. Par exemple, la fixation détachable peut comprendre un dispositif de fixation de type VELCRO® ou une fermeture par crochets et/ou boucles flexibles.

Dans le mode de réalisation illustré sur la figure 3, la fixation comprend deux aimants 30, 30’ sur l’extrémité de la première portion 1 1 et de la deuxième portion 12. En variante, toute fixation comprenant au moins un aimant peut être mise en oeuvre. Ainsi, les éléments de connexion des portions 1 1 , 12 sont conçus pour une liaison mutuelle aimantée, et comprennent pour cela au moins un aimant, voire au moins deux aimants (un aimant chacun ou plus).

Le ou les aimants 30, 30’ sont conçus pour être séparés. Cette séparation est obtenue à partir d’une contrainte prédéterminée.

Ladite fixation détachable peut comprendre un matériau dont la résistance à la traction est inférieure à 30 MPa. La première portion 1 1 et la deuxième portion 12 peuvent également comprendre des moyens de fixations complémentaires, autrement dit des éléments de connexion, comme des couples mâles / femelles. Ces moyens de fixations ou éléments de connexion complémentaires peuvent comprendre au moins un téton 31 et au moins un trou 31’ conçu pour recevoir le téton 31 , comme illustré par un deuxième mode de réalisation sur la figure 5. Dans ce mode de réalisation, le au moins un téton 31 et le au moins un trou 31’ conçu pour recevoir le téton 31 comprennent les deux aimants 30, 30’.

Les figures 9 et 10 illustrent un troisième mode de réalisation d’une liaison amovible aimantée entre une première portion 1 1 et une deuxième portion 12 d’un corps 7. Dans ce troisième mode de réalisation, le corps 7 comprend une première portion 1 1 liée au premier module 6, une deuxième portion 12 liée au deuxième module 6’, et une troisième portion 27 intermédiaire liée respectivement aux deux premières portions 1 1 , 12. Les deux premières portions 1 1 , 12 forment donc des portions d’extrémité du corps 7.

La troisième portion 27 intermédiaire comprend différentes parties mobiles les unes par rapport aux autres afin de régler la longueur de cette troisième portion 27. Cette construction permet au corps 7 de remplir la fonction de liberté en translation permettant la modification libre de la distance entre les deux éléments de fixation 6, 6’ dans une limite prédéfinie. Dans ce mode de réalisation, la troisième portion comprend des cylindres télescopiques coulissants les uns par rapport aux autres. Des butées de réglage sont prévues pour définir l’amplitude de déplacement de chaque cylindre télescopique. Naturellement, tout autre agencement permettant de remplir la même fonction de manière équivalente peut être envisagée en variante. Chacune des deux premières portions 1 1 , 12 comprend un élément de connexion 41 pour former une liaison amovible avec un élément de connexion 40 correspondant de la troisième portion 27. Cet agencement permet de former deux liaisons identiques entre la troisième portion 27 et respectivement la première portion 1 1 et la deuxième portion 12. Selon ce mode de réalisation, ces deux liaisons sont amovibles et aimantées. Pour cela, les éléments de connexion 40, 41 mettent en oeuvre une fixation mutuelle aimantée. D’autre part, selon ce mode de réalisation, l’élément de connexion 40 de la troisième portion 27 présente une forme tronconique et est un aimant. L’élément de connexion 41 des portions 1 1 , 12 d’extrémité présente une forme creuse correspondante, permettant le logement de l’élément de connexion 40 de forme tronconique mentionné ci-dessus. D’autre part, cette forme creuse est ouverte latéralement, pour permettre le détachement de la forme tronconique, selon une direction particulière prédéfinie, comme cela sera détaillé ci-dessous. Son extrémité est aussi ouverte pour le passage d’une tige de liaison 43 reliant l’élément de connexion 40 tronconique à la troisième portion 27 intermédiaire dans la configuration de fixation. En variante, la deuxième liaison entre la deuxième portion 12 et la troisième portion 27 pourrait être différente, par exemple présenter des éléments de connexion différents, et/ou ne pas être amovible, et/ou ne pas être aimantée.

La figure 10 illustre le dispositif d’accouplement 2 selon le troisième mode de réalisation dans une configuration détachée, plus précisément semi détachée. En effet, dans cette configuration, la première portion 1 1 et la troisième portion 27 intermédiaire sont détachées. Leurs éléments de connexion 40, 41 correspondants ne sont plus en prise. En revanche, la deuxième portion 12 et la troisième portion 27 intermédiaire restent fixées l’une à l’autre. En variante, ces deux portions 12, 27 pourraient aussi être détachées, de manière similaire aux deux portions 1 1 , 27. Selon le mode de réalisation, un câble 42 est fixé d’une part à l’élément de connexion 40 de la troisième portion 27 et d’autre part à la première portion 1 1 . Avantageusement, cette première portion 1 1 intègre un enrouleur automatique, qui permet au câble 42 de se dérouler automatiquement pour augmenter la distance entre les deux portions 1 1 , 27. Toutefois, l’enrouleur exerce une force de rappel sur le câble 42, qui enroule le câble automatiquement si les deux portions 1 1 , 27 se rapprochent, et favorise le rapprochement des deux portions 1 1 , 27, pour assister un utilisateur lors d’une phase de fixation du corps 7. Le même agencement est symétriquement agencé entre la deuxième portion 12 et la troisième portion 27. Naturellement, ce câble 42 reste optionnel et il est possible d’envisager une variante de réalisation sans câble.

Le fonctionnement de ce troisième mode de réalisation est avantageux. En effet, il permet un détachement convivial du dispositif d’accouplement. Si l’utilisateur souhaite par exemple procéder à une marche avec ses deux patins 8, 8’, durant laquelle il n’a plus besoin du support du dispositif d’accouplement 2, il peut facilement procéder au détachement des portions du corps 7 pour atteindre une configuration détachée qui favorise cette marche. L’agencement est tel que ce détachement peut être obtenu automatiquement en positionnant les deux patins 8, 8’ dans une position prédéfinie. Dans ce mode de réalisation, il suffit de positionner les deux patins selon des axes parallèles et rapprochés, et avec un pied fortement avancé par rapport à l’autre. Cette position des patins permet de positionner le corps 7 du dispositif d’accouplement 2 dans une direction sensiblement parallèle aux deux patins 8, 8’. Dans cette direction, les éléments de connexion 40, 40’ se séparent automatiquement. En remarque complémentaire, en cas de chute de l’utilisateur, les efforts exercés sur le corps 7 présentent une amplitude suffisante pour dépasser la force magnétique de la liaison aimantée. De plus, la direction des forces exercées est sensiblement aléatoire et finit par atteindre la direction de détachement. Par conséquent, la solution permet aussi le détachement automatique des portions du corps 7 lors d’une chute, au-delà d’une contrainte exercée, pour atteindre la mise en sécurité de l’utilisateur.

En complément, le troisième mode de réalisation permet de plus d’assister l’utilisateur à la fixation des différentes portions du corps 7, pour passer de la configuration détachée à la configuration attachée. En effet, l’utilisateur peut repositionner ses patins en alignement tel que décrit pour le détachement, puis les rapprocher de sorte que le ou les câbles 42 s’enroulent automatiquement complètement, guidant dans le même temps le rapprochement des éléments de connexion 40, 40’. Lorsque ces derniers sont suffisamment proches, la forme magnétique des aimants suffit à leur rapprochement final en configuration de fixation. La solution selon ce mode de réalisation permet ainsi de mettre en oeuvre un détachement et une fixation automatiques d’au moins deux portions du corps 7.

Selon un mode de réalisation, il existe donc un positionnement particulier du dispositif d’accouplement 2, particulièrement de la position relative des deux modules de fixation 6, 6’, qui autorise le détachement ou la fixation d’au moins deux portions séparables par une liaison amovible. Ce positionnement particulier permet donc le passage de la configuration détachée à la configuration de fixation et inversement. Les autres positionnements du dispositif d’accouplement 2, particulièrement de la position relative des deux modules de fixation 6, 6’, n’autorisent pas ce changement de configuration.

Les différents modes de réalisation décrits précédemment pourraient naturellement être combinés pour former d’autres modes de réalisation. Par exemple, un câble et un enrouleur pourraient aussi être agencés dans les solutions des modes de réalisation des figures 3, 4 et 5. Les éléments de connexion pourraient prendre d’autres formes sans sortir du cadre de l’invention. Ils pourraient mettre en oeuvre une liaison aimantée, comme décrit, ou non aimantée, mais par exemple simplement clippée. De plus, le corps 7 peut comprendre deux, trois ou plus portions indépendantes, mobiles l’une par rapport à l’autre, notamment détachable pour former une liaison amovible du dispositif d’accouplement 2.

Un mode de réalisation non-représenté, la première portion et la deuxième portion peuvent comprendre des tubes concentriques coulissant l’un dans l’autre. Chaque portion est alors fixée à un module de fixation par une liaison mécanique ne comprenant pas de degrés de liberté en translation. La première portion peut coulisser le long de la deuxième portion entre une première butée bloquant la translation des deux portions dans un premier sens et une deuxième butée bloquant la translation des deux portions dans un deuxième sens opposé au premier sens.

La distance entre les deux modules de fixation varie alors entre une distance maximum et une distance minimum quand la première portion est bloquée respectivement par la première butée et la deuxième butée.

Dans un mode de réalisation, le brin de guidage 3 est destiné à être fixé au module de fixation 6.

Le module de fixation 6 comprend préférentiellement un raccord enfichable 65 destiné à recevoir une extrémité du brin de guidage 3.

Un exemple d’un brin de guidage 3 est décrit ci-après en référence à la figure 6.

Le brin de guidage 3 comprend préférentiellement au moins une première portion élastique 9. La au moins une portion élastique 9 permet d’amortir les chocs lorsque le brin 3 est mis sous tension. Cette portion élastique 9 permet avantageusement à l’élève 5 de moins ressentir les à-coups. Les à-coups peuvent en effet être source de déséquilibre, par exemple lorsqu’il y a un différentiel de vitesse entre le moniteur et l’élève et que le brin de guidage 3 se retend. Le brin de guidage 3 comprend de plus avantageusement au moins une portion munie de franges 9’ conçue pour augmenter sa visibilité.

Préférentiellement, la portion élastique 9 permet l’amortissement élastique des chocs en cas de tension mécanique sur le brin de guidage 3 jusqu’à une contrainte prédéterminée.

Ladite portion élastique 4 peut comprendre un matériau élastomère, tel que le polyisoprène synthétique (IR).

Le brin de guidage 3 peut comprendre en outre une portion cassable ou détachable 10. Ladite portion cassable ou détachable 10 est conçue pour séparer le brin de guidage 3 en deux parties en cas de tension mécanique supérieure à une contrainte prédéterminée. Les deux parties sont les parties situées d’un côté et de l’autre de ladite portion cassable ou détachable 10.

Ladite portion cassable ou détachable 10 peut comprendre un matériau dont la résistance à la traction est inférieure à 20 MPa.

Ladite portion cassable ou détachable 10 peut comprendre une liaison amovible, ladite liaison étant apte à céder en cas de tension supérieure à une contrainte donnée. Préférentiellement, ladite liaison amovible est réversible. Par exemple, la liaison amovible peut comprendre un dispositif de fixation de type VELCRO® ou une fermeture par crochets et/ou boucles flexibles. Ladite liaison amovible peut également comprendre deux aimants conçus pour être séparés à partir d’une contrainte prédéterminée. Dans un mode de réalisation, la portion élastique 9 comprend un matériau dont la limite d’élasticité est supérieure à la contrainte nécessaire pour faire céder la liaison de ladite portion cassable ou détachable 10.

Ainsi, en cas d’accident ou si un brin de guidage 3 se prend dans un obstacle, le brin de guidage 3 se détache en deux parties. Le patin 8 de l’élève 5 n’est alors plus relié mécaniquement au moniteur 4.

Dans un mode de réalisation, chaque brin de guidage 3 comprend un enrouleur automatique 17. L’enrouleur automatique 17 est conçu pour être porté dans la main du moniteur 4. L’enrouleur automatique 17 permet avantageusement d’enrouler le brin de guidage 3 sur lui-même, permettant ainsi au moniteur 4 de régler la distance du brin de guidage 3 entre lui et l’élève 5.

Préférentiellement, l’enrouleur automatique 17 comprend une gâchette 18 conçue pour déclencher l’enroulage automatique du brin et/ou le déroulage automatique du brin de guidage 3.

L’enrouleur automatique 17 peut comprendre un moyen pour rester à proximité du poignet du moniteur si ce dernier le lâche. Ledit moyen peut comprendre une sangle attachée à l’enrouleur 17 et destinée à être passée autour du coup ou du poignet du moniteur. La sangle peut également être destinée à être attachée à la combinaison du moniteur, préférentiellement au niveau de la manche.

Dans un mode de réalisation illustré sur la figure 7, le système d’aide à l’apprentissage 1 comprend une puce GPS 20 et des moyens de transmission 21 pour transmettre des informations de positions et de déplacement à un système électronique 22 à proximité. L’appareil électronique 22 est préférentiellement un téléphone portable. Le système 1 peut comprendre en outre au moins une centrale à inertie 23 pour transmettre au système électronique 22 des informations concernant les accélérations linéaires de l’élève dans les trois directions orthogonales. La centrale à inertie 23 comprend préférentiellement trois accéléromètres qui calculent les accélérations linéaires selon trois axes orthogonaux.

Le système 1 peut comprendre en outre au moins un gyromètre 24 pour calculer et transmettre au système électronique 22 des rotations ou des vitesses angulaires de l’élève.