On connaît, dans l'état de la technique, le document FR-A-2661827 dans lequel est prévu un caisson d'amincissement qui prévoit la combinaison du processus d'amincissement par transpiration et celui de remise en forme en présence d'algues. A l'intérieur de ce caisson, un patient s'allonge, est recouvert d'algues et est soumis à une température ambiante suffisamment élevée, comprise entre 40° C et 70° C, afin qu'il transpire. Ce type de caisson de traitement d'amincissement permet de maintenir une température assez élevée pendant un temps assez long sans que cela ne nécessite aucune consommation excessive d'énergie de chauffage.

Mais ce caisson présente l'inconvénient de n'tre prévu que pour une utilisation unique et ne peut pas, par exemple, tre utilisé pour des applications

de balnéothérapie classiques ou particulières. Or, on a préconisé, notamment dans de nombreux traitements de relaxation, l'application de moyens lumineux et/ou acoustiques qui seraient particulièrement efficaces en combinaison avec, en particulier, l'aspersion de jets d'eau sur le corps.

De plus, on sait par diverses statistiques et rapports scientifiques que les cures d'amincissement pour les hommes et les femmes peuvent entraîner des troubles psychologiques importants.

Le but de l'invention est donc de prévoir une enceinte, composée d'une sorte de baignoire surmontée d'une cloche amovible, qui permette de mettre en oeuvre les traitements évoqués ci-dessus sous toutes leurs formes et de résoudre les problèmes techniques engendrés par un tel appareil, notamment celui de la sécurité du patient pendant les différentes phases des traitements appliqués et favoriser son équilibre psychique.

Suivant une caractéristique de l'invention, 1'enceinte, composée d'une sorte de baignoire surmontée d'une cloche de traitement, comprend : -une sorte de baignoire, encastrée dans un caisson, qui est peu profonde à fond pratiquement plat, sensiblement rectangulaire, dont le bassin longitudinal qui est prolongé, côté tte, par un évidement centré, moins profond, sur le rebord de ladite baignoire étant prévues des ouies d'évacuation d'air et des ouies d'entrée d'air qui affleurent légèrement au-dessus du niveau du rebord supérieur de ladite baignoire -une cloche amovible semi-cylindrique qui s'adapte sur le rebord supérieur de la baignoire, et -une unité de ventilation reliée entre des ouies d'évacuation d'air et des ouies d'entrée d'air, -un moyen d'émission de lumières de différentes colorations, -également une ou plusieurs rampes de douchettes à ttes pivotantes et orientables, notamment latéralement, et -encore des moyens d'émission alternative de lumières rouge ou bleu, la diffusion de la couleur rouge étant utilisée dans des phases stimulantes et la diffusion de la couleur bleue dans des phase relaxantes.

Selon une autre caractéristique de l'invention, l'unité de ventilation comporte, en plus d'un ventilateur assurant la circulation d'air, un réchauffeur d'eau dont la sortie peut déboucher dans une conduite placée entre la sortie du ventilateur et les ouies d'entrée d'air.

Selon une autre caractéristique de l'invention, l'unité de ventilation comporte aussi un diffuseur d'huiles essentielles et un diffuseur d'actifs concentrés qui peuvent aussi déboucher dans ladite conduite sous le contrôle de moyens de commande, tels qu'une vanne d'alimentation.

Selon une autre caractéristique, l'unité de ventilation comporte aussi une unité de diffusion d'algues liquides et une unité de concentré d'eau de mer qui débouchent, en parallèle, dans ladite conduite et assurent des diffusions simultanées ou alternées, commandées par des vannes d'alimentation.

Selon une autre caractéristique de l'invention, le fond du bassin de ladite baignoire est creusé de canaux peu profonds, dans lesquels le patient place ses bras, sa colonne vertébrale et ses jambes, lesdits canaux étant munis de jets d'eau en surpression.

Selon une autre caractéristique de l'invention, le fonctionnement des jets est commandé en ce qui concerne la valeur de la surpression et la fréquence d'émission.

Selon une autre caractéristique de l'invention, ladite enceinte comporte encore des moyens sonores.

Selon une autre caractéristique de l'invention, ledit caisson contient un bassin tampon alimenté par la ou les bondes et pouvant alimenter lesdits jets et lesdites douches pour un fonctionnement en continu.

Selon une autre caractéristique de l'invention, ledit réchauffeur d'eau comporte un échangeur résistances électriques-eau, dont les résistances électriques sont alimentées en fonction d'une température détectée par une sonde.

Les caractéristiques de l'invention mentionnées ci-dessus, ainsi que d'autres, apparaîtront plus clairement à la lecture de la description suivante d'un

exemple de réalisation, ladite description étant faite en relation avec les dessins joints, parmi lesquels : la Fig. 1 est une vue en perspective d'une enceinte composée d'une sorte de baignoire, surmontée d'une cloche amovible, selon l'invention, la Fig. 2 est un diagramme schématique des moyens permettant le fonctionnement de 1'enceinte suivant l'invention, et la Fig. 3 est une vue schématique montrant une caractéristique de l'invention.

A la Fig. 1,1'enceinte, selon l'invention, est constituée d'un caisson I d'une hauteur d'environ plusieurs dizaines de centimètres, sensiblement parallélépipédique, dans lequel est encastrée une baignoire rectangulaire 2 au- dessus de laquelle est montée une cloche amovible 3 reposant, quand elle est fermée en utilisation, sur le rebord de la baignoire.

Le rebord supérieur de la baignoire 2 est constitué d'un cadre horizontal 4, sensiblement rectangulaire, autour d'un bassin allongé 5 de faible profondeur.

Le fond du bassin 5 est légèrement incliné de la tte aux pieds et comporte des creux constituant cinq canaux 6a, 6b, 7,8a et 8b, disposés de manière à épouser pratiquement la forme postérieure d'un 8tre humain. Vers la tte, deux canaux 6a et 6b sont prévus pour loger les épaules et les omoplates du patient, et sont parallèles à un petit côté du bassin 5. Un canal longitudinal central 7, parallèle aux grands côtés du bassin 5, est prévu pour loger la colonne vertébrale du patient. Vers les pieds, des canaux 8a et 8b, obliques divergents, sont prévus pour loger les membres inférieurs du patient. Le fond du bassin 5 est pourvu, à l'arrière, d'au moins une bonde 9 et, de préférence de deux bondes. Dans le cadre 4, côté tte, un évidement 10, moins profond que le bassin 5, est prévu pour loger l'arrière de la tte.

La cloche amovible 3, prévue pour venir se fermer sur la baignoire 2, a une forme sensiblement semi-cylindrique d'axe longitudinal, sa paroi semi cylindrique se terminant sur le cadre 4 de la baignoire par un encadrement rectangulaire qui vient s'appuyer sur celui-ci. La longueur et la largeur de l'encadrement sont évidemment légèrement supérieures à celles du bassin 5. La cloche 3 est fermée,

à ses deux extrémités, par une paroi avant 11 et une paroi arrière 12, de préférence bombées. Elle est avantageusement constituée d'un matériau en matière plastique qui peut tre transparent, comme du plexiglas ou du polyester.

L'encadrement d'appui de la cloche 3 est, de préférence, en inox pour améliorer la résistance et la fiabilité de l'ensemble.

La cloche 3 est montée, sur un grand côté du cadre 4, au moyen de deux charnières à axes longitudinaux 14 et 15. Ces charnières sont prévues, éventuellement équipées de vérins, pour permettre un pivotement fréquent et sans dégradation de l'ouverture et de la fermeture de la cloche. La cloche 3 peut pivoter sur ses charnières et prendre soit une position d'ouverture, soit une position de fermeture. En position fermée, son encadrement inférieur vient en contact avec le cadre 4 de la table 1 pour former, au-dessus du bassin 5, une enceinte fermée. En position ouverte, le bassin 5 est découvert.

Au centre de la paroi 11, est découpée une ouverture semi-circulaire 17 de diamètre sensiblement égal à la largeur de l'évidement 10. La cloche 3 étant fermée, 1'ouverture 17 est dans le plan vertical du bord intérieur 18 de l'évidement 10, lequel est ainsi à l'extérieur de l'enceinte formée par la cloche 3.

Sur la génératrice supérieure de la cloche 3, est montée une rangée de douchettes à ttes pivotantes 19 sur une rampe 20, solidaire de la cloche 3. Les douchettes 19 sont régulièrement espacées le long de la rampe 20 et sont, par exemple, au nombre de cinq. Elles sont dirigées généralement vers le centre du bassin 5 et ont une ouverture telle qu'elles peuvent arroser toute la largeur du bassin 5. Ces douchettes peuvent encore tre munies de ttes orientables permettant des applications spécifiques sur différents endroits du patient, comme on pourra le voir plus loin dans le texte. La rampe 20 est reliée, vers l'avant, à un tuyau 22 qui est prévu souple pour permettre sans dommage le pivotement de la cloche 3. Dans un autre exemple de réalisation, il est prévu plusieurs rampes de douchettes, semblables à 20.

La cloche 3 est munie d'au moins une ou plusieurs sources de lumière 27 fixées sur le ou les parties supérieures latérales. Par exemple, on peut prévoir deux sources de lumière 27 sur un côté de la cloche, comme le montre la Fig. 1.

Ces sources de lumière 27 sont disposées à égale distance entre elles pour éviter, pendant l'utilisation, toute zone non éclairée. Les sources sont alimentées en basse tension pour des raisons de sécurité. Elles comportent en alternance des ampoules teintées en rouge ou bleu. La diffusion d'une couleur rouge est utilisée dans des phases stimulantes et la diffusion d'une couleur bleue dans des phases relaxantes, selon un programme préalablement défini. L'alimentation des sources de lumière se fait avantageusement par fibres optiques.

Les canaux 6a, 6b, 7,8a et 8b sont pourvus d'ouvertures pour des jets verticaux 33 qui sont alimentés par un tuyau commun 34, montré à la Fig. 2, lequel est relié au tuyau 22, Figs. 1 et 2, et alimenté en eau par une pompe 35.

Sur le tuyau 34, est montée, de préférence, une vanne d'alimentation 47 au point de dérivation du tuyau 22. Cette vanne 47 permet de pratiquer des massages séquentielles ou en continu, des pieds jusqu'à la poitrine et/ou du talon jusqu'à la nuque. La pompe 35 est alimentée par l'intermédiaire d'une électrovanne 48, elle- mme reliée à un mitigeur thermostatique 49. Le mitigeur 49 est alimenté en eau chaude par la conduite 41 et en eau froide par la conduite 50.

Pour des raisons d'économie d'eau, la bonde 9 est reliée par l'intermédiaire d'un tuyau 51, à un bac tampon 52, ce qui permet de récupérer 1'eau issue des douchettes 19 et des jets 33. Le bac tampon 52 est muni d'une sortie 53 reliée directement à la pompe d'alimentation 35. Ainsi, la diffusion d'eau à température peut se dérouler en circuit fermé. Pour vidanger le bac 52, est prévue une électrovanne 54 permettant la vidange par un tuyau 55, Pour permettre le rinçage du patient ou du lit, a été montée, à une sortie du bac tampon 52, une électrovanne à flotteur 59 permettant d'utiliser une douchette de rinçage 56, et des vannes d'alimentation 57 et 58 sont montées entre l'électrovanne 53 et la douchette 56.

Sur chaque grand côté de la baignoire 2, à l'intérieur de l'enceinte formée par la cloche 3 en position fermée, sont prévues, légèrement au-dessus de la surface du cadre 4, deux paires de ouies longitudinales d'aération 61,62 et 63, 64,61,63 étant placées du côté tte, et 62,64 du côté pieds. Les ouies 61,62 sont des ouies d'évacuation de l'air de la cloche 3 et les ouies 63, 64 des ouies

d'entrée d'air. Les ouies d'évacuation 61 et 62 et d'entrée d'air 63 et 64 sont respectivement reliées à une unité de ventilation classique 65 qui est normalement logée dans le caisson 1, sous la baignoire 2.

L'unité de ventilation 65 est représentée à la Fig. 2. Elle est constituée d'une entrée d'aspiration 66 et d'une sortie 67 reliées entre elles par un ventilateur 68 à turbine à la sortie duquel est raccordée la sortie d'eau d'un réchauffeur électrique 69. L'entrée 66 est reliée, en parallèle, aux ouies d'évacuation 61 et 62, Fig. 1. La sortie 67 est reliée à une conduite 70 qui conduit aux ouies d'entrée d'air 63 et 64, Fig. 1.

Il est également encore prévu un diffuseur d'huiles essentielles (71) et un diffuseur d'actifs concentrés 71a, raccordés à la conduite 70 de l'unité de ventilation 65 dont la régulation est assurée par des vannes d'alimentation 72, 72a dont les modalités de fonctionnement seront décrites ci-après.

De mme, une unité de diffusion d'algues liquides 73 et une unité de concentré d'eau de mer 74 sont raccordées en parallèle à la conduite 70 et assurent des diffusions simultanées ou alternées qui sont régulées par des vannes d'alimentation 75 et 76.

Un réchauffeur électrique 77 est aussi raccordé à la conduite 70 et est lui- mme alimenté par la conduite d'eau chaude 41. II est prévu, entre la conduite d'eau chaude 41 et le réchauf&ur électrique 77, une électrovanne 78.

Une sonde de température 79, est montée entre le réchauffeur électrique 77 et le ventilateur 68. Elle est reliée à une unité de régulation 80 qui, en fonction d'une consigne de température prédéterminée, commande ou non le réchauffeur électrique 77. Ainsi, lorsque la température mesurée par la sonde 79 est inférieure à la température de consigne, l'unité de régulation 80 alimente le réchauffeur 77 et, inversement, lorsqu'elle est supérieure, elle coupe son alimentation. La température dans l'enceinte formée par la cloche 3 est ainsi en équilibre à une température donnée correspondant à la température de consigne.

Cette dernière est avantageusement comprise entre 35° C et 40° C et, de préférence, est de l'ordre de 38° C.

On comprendra que la conduite 70, par laquelle sort de l'air sous pression vers les ouies 63 et 64, joue le mme rôle qu'un tube dans un vaporisateur, autrement dit elle sert à vaporiser sous forme de microparticules d'eau en suspension, d'huiles essentielles, de produits actifs concentrés, d'algues sous forme liquide, de concentré d'eau de mer, qui peuvent lui tre appliqués par 71, 73,74 et 77.

Pour des raisons de sécurité, il a été prévu un bouton d'arrt permettant de couper l'alimentation générale en cas de problèmes en cours de traitement. Ce bouton peut tre, par exemple, monté sur le rebord 2.

On a également prévu des moyens sonores pour émettre à l'intérieur de 1'enceinte, composée d'une sorte de baignoire surmontée d'une cloche, des ondes sonores. Ces moyens sont constitués d'un ou de plusieurs haut-parleurs 81, 82, 83 et 84 montés dans le caisson 1, sous la baignoire 2, par exemple aux quatre coins du caisson et reliés à une source sonore constituée d'un lecteur de support audio, par exemple du type lecteur de CD (non représenté). Pour piloter les différents moyens évoqués ci-dessus soit séquentiellement soit simultanément, on a prévu d'utiliser une unité de commande approprié 85.

On va maintenant décrire comment on utilise 1'enceinte suivant l'invention.

La cloche 3 étant ouverte, le patient s'allonge à l'intérieur du cadre 2, sa tte dans l'évidemment 10 et son dos et ses jambes reposant dans les canaux du fond du bassin 5, prévus à cet effet. Une fois qu'il est correctement installé, son corps et ses membres sont recouverts d'algues, puis la cloche 3 est fermée et l'unité de ventilation est mise en route.

Les micro-particules qui sont soufflées par l'intermédiaire de l'unité de ventilation 65 sont refoulées par les ouies d'entrée 63 et 64 dans 1'enceinte qui est formée par la cloche 3 au-dessus du bassin 5. Elles circulent, en suivant le contour de la cloche 3, de l'ouie d'amenée 63 jusqu'à l'ouie d'évacuation 61 et de l'ouie 64 à l'ouie 62. Des ouies 61 et 62, elles sont de nouveau aspirées par l'unité de ventilation 65.

Au passage dans {'enceinte sous la cloche 3, a été transférée une partie de la chaleur au patient qui a alors les pores de la peau qui se dilatent et qui, par

conséquent, transpirent. Il le fait en présence d'un enveloppement à base d'algues fraîches et combine ainsi un traitement d'amincissement et un traitement de remise en forme. D'autres enveloppements peuvent tre prévus pour des traitements particuliers.

L'unité 65 décrite ci-dessus permet de maintenir constante la température à l'intérieur de 1'enceinte sous la cloche 3 et avec une consommation en énergie électrique qui est minimisée.

Au bout d'un temps prédéterminé, on arrte le fonctionnement de l'unité 65, on ouvre la cloche 3 et on attend que la température dans 1'enceinte soit tombée à la température ambiante. On referme alors la cloche 3 et, au moyen des douchettes 19, on douche le patient pour le laver des algues.

Une fois passée sur le patient, 1'eau s'écoule dans le fond du bassin 5 et dans les canaux 6a, 6b, 7,8a et 8b, où elle est entraînée, du fait de leur pente, vers la bonde 9.

Au cours de cette douche, le corps du patient est également lavé par les jets 33 prévus dans les canaux 6a, 6b, 7,8a et 8b.

Des moyens non montrés sont prévus pour éviter des infiltrations d'eau dans les ouies 61 à 64.

Cette première phase du traitement peut tre poursuivie par une deuxième phase de relaxation consistant à prévoir un massage du corps du patient à l'aide des jets 33 et des douchettes 19 de manière synchrone ou en alternance selon une thérapie prédéfinie selon les maux du patient.

Cette deuxième phase peut alors tre suivie, par exemple, de manière séquentielle, par une troisième phase comprenant des plages sonores et des plages lumières. Ces plages sonores et lumières sont commandées par un système électronique dont le fonctionnement est classique.

Enfin, la quatrième phase du programme peut comprendre la diffusion d'huiles essentielles par l'intermédiaire des moyens décrits ci-dessus pour apaiser et relaxer le patient.

Dans un autre exemple de réalisation, le fond du bassin 5 n'est pas muni de canaux tels que décrits ci-dessus. Mais, la configuration de ce fond est similaire à un matelas à structure gaufrée sans jets verticaux.

L'un des avantages de l'invention telle que décrite est de supprimer quasiment les dépôts de calcaire en raison du mode de production de 1'eau chaude. De plus, les moyens de nettoyage des tuyaux ont été optimisés pour éviter la stagnation de divers dépôts pouvant entraîner des blocages dans le circuit ou des odeurs désagréables.

On comprendra que 1'enceinte baignoire-cloche, telle que décrite ci- dessus, permet, de par sa conception, toutes phases de traitement en alternance ou en simultané et facilite le bien-tre du patient au cours de sa cure. Cette nouvelle ensemble baignoire-cloche est encore facile d'utilisation pour les manipulateurs et son nettoyage assure un hygiène optimale.

Cette enceinte, selon l'invention, est également pourvue de moyens lumineux et acoustiques, déjà décrits ci-dessus, pour divers traitements anti- stress ou plus généralement pour le traitement des divers maux liés au monde moderne.