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Title:
TANK WITH A HOOKING DEVICE FOR A STEAM HAIRDRESSING APPARATUS
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2020/148288
Kind Code:
A1
Abstract:
The invention relates to a tank (2) intended for containing a liquid to be vaporised and for being assembled with a main body (1) of a hairdressing apparatus, said tank (2) being intended for being connected with a vaporising device of the hairdressing apparatus designed for vaporising the liquid and diffusing it towards a strand of hair. According to the invention, the tank (2) has a movable hooking device (3) comprising at least one hooking means designed to correspond with at least one complementary hooking means belonging to the main body (1) so as to hook the tank (2) with the main body (1), said movable hooking device (3) being movable between a first position providing the hooking of the tank (2) with the main body (1) and a second position allowing a user to assemble or disassemble the tank (3) with the main body (1).

Inventors:
PONCET STÉPHANE (FR)
GANEM MATHIAS (FR)
SABATTIER JOHAN (FR)
RENAULT FABRICE (FR)
Application Number:
PCT/EP2020/050825
Publication Date:
July 23, 2020
Filing Date:
January 14, 2020
Export Citation:
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Assignee:
SEB SA (FR)
International Classes:
A45D1/00; A45D1/04; A45D1/06; A45D2/00
Domestic Patent References:
WO2016189076A12016-12-01
WO2017008413A12017-01-19
Foreign References:
US20140166038A12014-06-19
US20120186599A12012-07-26
GB2512953A2014-10-15
Attorney, Agent or Firm:
BOURRIERES, Patrice (FR)
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Claims:
REVENDICATIONS

1 . Réservoir (2) destiné à contenir un liquide à vaporiser et à être assemblé avec un corps principal (1 ) d’un appareil de coiffure, ledit réservoir (2) étant destiné à être connecté avec un dispositif de vaporisation de l’appareil de coiffure conçu pour vaporiser le liquide et le diffuser en direction d’une mèche de cheveux, caractérisé en ce que le réservoir (2) comporte un dispositif d’accrochage mobile (3) comprenant au moins un moyen d’accrochage (333) conçu pour correspondre avec au moins un moyen d’accrochage complémentaire (1 12) appartenant au corps principal (1 ) de manière à accrocher le réservoir (2) avec le corps principal (1 ), ledit dispositif d’accrochage mobile (3) étant mobile entre une première position assurant l’accrochage du réservoir (2) avec le corps principal (1 ) et une deuxième position permettant à un utilisateur d’assembler ou de désassembler le réservoir (3) avec le corps principal (1 ).

2. Réservoir (2) selon la revendication précédente, dans lequel le dispositif d’accrochage mobile (3) comprend au moins un bouton (31 ) destiné à être directement actionné par l’utilisateur pour faire passer le dispositif d’accrochage mobile (3) de sa première position à sa deuxième position ou inversement.

3. Réservoir (2) selon l’une quelconque des revendications précédentes dans lequel le dispositif d’accrochage mobile (3) comprend deux boutons (31 ).

4. Réservoir (2) selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel le dispositif d’accrochage mobile (3) est mobile en translation par rapport au réservoir (2).

5. Réservoir (2) selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel le réservoir s’étend longitudinalement selon un premier axe (X-X’), ledit dispositif d’accrochage mobile (3) étant mobile en translation par rapport au réservoir (2) selon un second axe (Y-Y’) perpendiculaire audit premier axe (X-X’).

6. Réservoir (2) selon l’une quelconque des revendications 4 ou 5 dans lequel le dispositif d’accrochage mobile (3) comprend un dispositif de guidage en translation (331 ), le réservoir (2) comprend un dispositif complémentaire de guidage en translation (231 ), lesdits dispositif de guidage en translation (331 ) et dispositif complémentaire de guidage en translation (231 ) coopérant entre eux de manière à guider en translation le dispositif d’accrochage mobile (3) au sein du réservoir (2).

7. Réservoir (2) selon l’une quelconque des revendications 4 à 6 dans lequel le dispositif d’accrochage mobile (3) comprend un premier dispositif d’arrêt en première position (341 ), le réservoir (2) comprend un premier dispositif complémentaire d’arrêt en première position (232), lesdits premier dispositif d’arrêt en première position (341 ) et premier dispositif complémentaire d’arrêt en première position (232) coopérant entre eux de manière à empêcher la translation du dispositif d’accrochage mobile (3) au-delà de ladite première position.

8. Réservoir (2) selon la revendication précédente dans lequel le dispositif d’accrochage mobile (3) comprend un deuxième dispositif d’arrêt en première position (351 ), le réservoir (2) comprend un deuxième dispositif complémentaire d’arrêt en première position (233), lesdits deuxième dispositif d’arrêt en première position (351 ) et deuxième dispositif complémentaire d’arrêt en première position (233) coopérant entre eux de manière à empêcher la translation du dispositif d’accrochage mobile (3) au- delà de ladite première position.

9. Réservoir (2) selon l’une quelconque des revendications 4 à 8 dans lequel le dispositif d’accrochage mobile (3) comprend un dispositif d’arrêt en deuxième position (332), le réservoir (2) comprend un dispositif complémentaire d’arrêt en deuxième position (234), lesdits dispositif d’arrêt en deuxième position (332) et dispositif complémentaire d’arrêt en deuxième position (234) coopérant entre eux de manière à empêcher la translation du dispositif d’accrochage mobile (3) au-delà de ladite deuxième position .

10. Réservoir (2) selon l’une quelconque des revendications précédentes dans lequel la première position du dispositif d’accrochage mobile (3) est une position de repos.

1 1 . Réservoir (2) selon la revendication précédente dans lequel le dispositif d’accrochage mobile (3) comprend un dispositif de rappel élastique (32), ledit dispositif de rappel élastique (32) étant préférentiellement un ressort hélicoïdal.

12. Réservoir (2) selon la revendication précédente et selon la revendication 3 dans lequel le dispositif de rappel élastique (32) est disposé entre les deux boutons (31 ).

13. Réservoir (2) selon la revendication précédente dans lequel lorsque le dispositif d’accrochage mobile (3) est dans sa deuxième position, les deux boutons (31 ) sont en contact.

14. Réservoir (2) selon l’une quelconque des revendications 1 1 à 13 dans lequel le dispositif d’accrochage mobile (3) comprend un logement (312) conçu pour accueillir le dispositif de rappel élastique (32).

15. Réservoir (2) selon l’une quelconque des revendications précédentes dans lequel le réservoir (2) comprend un dispositif d’accrochage supplémentaire (221 ) fixe conçu pour coopérer avec un moyen d’accrochage supplémentaire complémentaire (1 13) appartenant au corps principal (1 ) lorsque le réservoir (2) se trouve en position accrochée.

16. Réservoir (2) selon l’une quelconque des revendications précédentes dans lequel le réservoir (2) comprend au moins un dispositif de guidage (24) conçu pour coopérer avec au moins un dispositif de guidage complémentaire (1 14) du corps principal (1 ) lorsque le réservoir se trouve en position accrochée.

17. Appareil de coiffure comprenant un dispositif de vaporisation conçu pour vaporiser le liquide et le diffuser en direction d’une mèche de cheveux, un corps principal (1 ), un réservoir (2) amovible et destiné à contenir un liquide à vaporiser et à être assemblé avec le corps principal (1 ) afin d’être connecté avec le dispositif de vaporisation pour alimenter ce dernier en liquide à vaporiser, caractérisé en ce que le réservoir (2) est conforme à l’une quelconque des revendications précédentes.

18. Appareil de coiffure selon la revendication précédente, dans lequel le corps principal (1 ) comporte un évidement (1 1 1 ) de forme complémentaire à au moins une partie de la forme du réservoir (2) et conçu pour recevoir au moins une partie du réservoir (2) lorsque celui-ci est en position accrochée, ledit évidement (111 ) comportant ledit au moins un moyen d’accrochage complémentaire (112).

19. Appareil de coiffure selon l’une quelconque des revendications 17 ou 18 caractérisé en ce qu’il comprend un premier bras (11 ) relié à un deuxième bras (12) par une charnière (13) de sorte à former une pince mobile entre une position ouverte et une position fermée.

Description:
RESERVOIR AVEC DISPOSITIF D’ACCROCHAGE POUR APPAREIL DE

COIFFURE A VAPEUR

Domaine technique

La présente invention se rapporte au domaine des appareils de coiffure et préférentiellement au domaine des appareils de coiffure vaporisant du liquide en direction d’une mèche de cheveux, comme par exemple les appareils de coiffure à vapeur.

Plus précisément, l’invention se rapporte au domaine des appareils de coiffure comprenant un dispositif de vaporisation destiné à diffuser du liquide vaporisé en direction d’une mèche de cheveux, un corps principal, un réservoir amovible et destiné à contenir un liquide à vaporiser et à être assemblé avec le corps principal afin d’être connecté avec le dispositif de vaporisation pour alimenter ce dernier en liquide à vaporiser.

L’invention se rapporte également au domaine des réservoirs pour appareils de coiffure, et plus particulièrement aux réservoirs destinés à contenir un liquide à vaporiser et à être assemblés avec un corps principal d’un appareil de coiffure, ledit réservoir étant destiné à être connecté avec un dispositif de vaporisation de l’appareil de coiffure conçu pour vaporiser le liquide et le diffuser en direction d’une mèche de cheveux

Technique antérieure

On connaît de nombreux appareils de coiffure ayant une fonction de vaporisation de liquide en direction des cheveux. En effet, on sait que vaporiser un liquide sur une mèche de cheveux lors de la coiffure permet d’améliorer l’efficacité de l’opération de coiffure et le résultat.

Afin de pouvoir effectuer cette vaporisation, les appareils de coiffure connus sont équipés d’un réservoir pour contenir le liquide à vaporiser. Ce réservoir est généralement amovible par rapport au corps principal de l’appareil de coiffure afin de faciliter son opération de remplissage. Ainsi, l’utilisateur doit fréquemment, en général au moins une fois avant chaque opération de coiffage, enlever le réservoir du corps principal de l’appareil, le remplir de liquide (par exemple avec de l’eau), puis assembler le réservoir avec le corps principal de l’appareil de coiffure afin d’alimenter ce dernier en liquide à vaporiser.

Ces appareils de coiffure donnent globalement satisfaction à leurs utilisateurs, en particulier quant au résultat de coiffure obtenu. En revanche ils n’en présentent pas moins certains inconvénients ou risques lors de leurs manipulations, et notamment lors des opérations d’assemblage ou de désassemblage du réservoir avec le corps principal de l’appareil.

En effet, si le réservoir n’est pas assemblé correctement avec le corps principal de l’appareil, il risque d’y avoir des fuites de liquide au cours de l’opération de coiffage. Ces risques sont notamment accrus du fait que les appareils de coiffure en question sont destinés à être manipulés à la main par l’utilisateur et à subir de nombreux mouvements liés aux opérations de coiffage. En outre, le réservoir peut se détacher accidentellement de l’appareil de coiffure. Ces fuites ou ce détachement peuvent engendrer des désagréments pour l’utilisateur allant du simple mouillage de ses vêtements par exemple, au risque d’électrocution, les appareils de coiffure en question étant généralement des appareils électriques.

Afin de limiter ce genre de risque, il a été proposé différents principes d’accrochage du réservoir sur le corps principal de l’appareil de coiffure.

Une première solution connue consiste, comme on peut le voir par exemple sur de nombreux appareils commercialisés ou comme illustré par le document WO2017008413, à assembler le réservoir sur le corps principal de l’appareil de coiffure par coulissement : le réservoir doit alors coulisser au sein du corps principal pour pouvoir être assemblé ou désassemblé. Le maintien du réservoir est alors en partie assuré par frottement selon la direction de coulissement. Toutefois, cette solution s’avère particulièrement contraignante pour l’utilisateur qui, lorsqu’il souhaite assembler ou désassembler le réservoir de son appareil de coiffure, doit saisir fermement le corps principal de l’appareil de coiffure avec une première main, et saisir fermement le réservoir avec sa seconde main, puis exercer un mouvement relatif important entre leurs éléments pour des désassembler ou les assembler. Cette opération nécessite donc les deux mains de l’utilisateur ainsi qu’un mouvement important, tant en termes d’amplitude que de force (pour vaincre la force de frottement). En outre, au fur et à mesure des opérations d’assemblage et de désassemblage, les pièces en frottement les unes avec les autres sont s’user, du jeu va apparaître, et la fiabilité de l’assemblage va diminuer au cours du temps, ce qui risque d’entraîner des désassemblages accidentels au cours du temps.

Une autre solution connue consiste à équiper le corps principal de l’appareil d’un élément dont la déformation élastique permet d’assurer l’assemblage ou le désassemblage du réservoir. C’est donc l’élasticité de cet élément, en général une languette, qui va permettre, à la fois d’assurer le maintien du réservoir en position accrochée, mais également à l’utilisateur, en manipulant de force le réservoir, de déformer élastiquement cette languette lors des opérations d’assemblage ou de désassemblage. Cette solution s’avère particulièrement peu fiable vis-à-vis du maintien du réservoir et présente des risques de désassemblages accidentels. En outre, cette solution est peu durable dans le temps puisque, au fur et à mesure des opérations d’assemblage et de désassemblage, la languette va s’user et l’assemblage va prendre du jeu ce qui accroît le risque de désassemblage accidentel. En outre, le risque de rupture par fatigue de la languette, à force de se déformer est grand, et dès lors le réservoir ne peut plus être maintenu par le corps principal. La fiabilité et la durabilité de cette solution apparaît donc limitée.

Il existe donc un besoin pour améliorer les appareils existants, en particulier au niveau de l’assemblage du réservoir avec le corps principal de l’appareil.

Exposé de l’invention

La présente invention a pour objectif de pallier les inconvénients précités.

Un objectif de l’invention est de proposer un réservoir pour appareil de coiffure qui soit particulièrement fiable et robuste.

Un objectif de l’invention est de proposer un réservoir pour appareil de coiffure qui soit particulièrement durable.

Un objectif de l’invention est de proposer un réservoir pour appareil de coiffure qui soit particulièrement facile à manipuler, en particulier lors de son assemblage ou désassemblage avec un appareil de coiffure. Un objectif de l’invention est de proposer un réservoir pour appareil de coiffure qui soit particulièrement intuitif à manipuler et ergonomique, en particulier lors de son assemblage ou désassemblage avec un appareil de coiffure.

Un objectif de l’invention est de proposer un réservoir pour appareil de coiffure qui soit particulièrement compact et léger.

Un objectif de l’invention est de proposer un appareil de coiffure qui soit particulièrement fiable et robuste.

Un objectif de l’invention est de proposer un appareil de coiffure qui soit particulièrement durable.

Un objectif de l’invention est de proposer un appareil de coiffure qui soit particulièrement facile à manipuler, en particulier lors des opérations d’assemblage ou de désassemblage du réservoir avec le corps principal de l’appareil de coiffure.

Un objectif de l’invention est de proposer un appareil de coiffure qui soit particulièrement intuitif à manipuler et ergonomique, en particulier lors des opérations d’assemblage ou de désassemblage du réservoir avec le corps principal de l’appareil de coiffure.

Un objectif de l’invention est de proposer un appareil de coiffure qui soit particulièrement compact et léger.

Ces objectifs sont atteints à l’aide d’un réservoir destiné à contenir un liquide à vaporiser et à être assemblé avec un corps principal d’un appareil de coiffure, ledit réservoir étant destiné à être connecté avec un dispositif de vaporisation de l’appareil de coiffure conçu pour vaporiser le liquide et le diffuser en direction d’une mèche de cheveux, caractérisé en ce que le réservoir comporte un dispositif d’accrochage mobile comprenant au moins un moyen d’accrochage conçu pour correspondre avec au moins un moyen d’accrochage complémentaire appartenant au corps principal de manière à accrocher le réservoir avec le corps principal, ledit dispositif d’accrochage mobile étant mobile entre une première position assurant l’accrochage du réservoir avec le corps principal et une deuxième position permettant à un utilisateur d’assembler ou de désassembler le réservoir avec le corps principal. Ces objectifs sont également atteints à l’aide d’un appareil de coiffure comprenant un dispositif de vaporisation conçu pour vaporiser le liquide et le diffuser en direction d’une mèche de cheveux, un corps principal, un réservoir amovible et destiné à contenir un liquide à vaporiser et à être assemblé avec le corps principal afin d’être connecté avec le dispositif de vaporisation pour alimenter ce dernier en liquide à vaporiser, caractérisé en ce que le réservoir est conforme à la description précédente.

L’invention concerne donc deux produits distincts, en l’occurrence un réservoir pour appareil de coiffure et un appareil de coiffure, ayant un lien entre eux puisque le premier est conçu pour être connecté au second.

Préférentiellement le liquide est de l’eau. Toutefois, l’invention n’est pas limitée à ce liquide particulier et le liquide peut par exemple être de l’huile, un produit cosmétique, ou tout autre produit liquide qui pourrait être projeté sur les cheveux afin de leur conférer un traitement ou afin d’améliorer l’efficacité de l’opération de coiffage. Le liquide peut éventuellement être un mélange d’eau et d’un autre produit, comme par exemple un produit cosmétique.

L’expression « vaporiser » peut ici être entendue dans son sens le plus large. Ainsi, elle désigne n’importe quel type de projection de liquide, quelle que soit sa nature, sa forme ou quel que soit son état. Ainsi par exemple, le liquide peut être vaporisé en étant dispersé en une multitude de fines gouttelettes, préférentiellement de taille microscopique, par exemple à la manière d’un brumisateur.

Préférentiellement, l’expression « vaporiser » peut aussi être entendue dans son sens physique strict, c'est-à-dire, par une opération entraînant la transformation d’un liquide en vapeur. En d’autres termes, l’expression vaporisation peut sous- entendre un changement d’état : le liquide passe de l’état liquide à l’état gazeux. Par exemple dans le cas préférentiel où le liquide est de l’eau, cette transformation d’état, c'est-à-dire cette vaporisation, s’effectue lorsque le liquide atteint la température de 100°C sous une pression atmosphérique normale.

Par réservoir en désigne n’importe quel type de contenant pouvant contenir de façon étanche un liquide, et préférentiellement de l’eau. Préférentiellement la contenance du réservoir est comprise entre 5 ml_ et 500 ml_, et avantageusement entre 15 ml_ et 100 ml_. Préférentiellement le réservoir est en matière plastique. Avantageusement, le réservoir comporte un carter supérieur et un carter inférieur assemblés entre eux de manière indémontable (par exemple par collage ou soudage).

Le réservoir est amovible, ce qui signifie qu’il peut être assemblé ou désassemblé (ou accroché et décroché) à volonté du corps principal de l’appareil de coiffure sans détérioration ni du réservoir ni du corps principal.

En particulier, le réservoir peut occuper une position accrochée. Dans cette position, le réservoir est fixé au corps principal de l’appareil de coiffure : le réservoir est alors solidaire du corps principal, avantageusement connecté de manière étanche avec le corps principal. Cette position accrochée permet au réservoir de délivrer à l’appareil de coiffure le liquide qu’il contient pour que le dispositif de vaporisation vaporise le liquide puis le diffuse en direction d’une mèche de cheveux.

Le réservoir peut aussi occuper une position décrochée. Dans cette position il n’est pas solidaire du corps principal. Préférentiellement, le réservoir est indépendant du corps principal et peut alors être librement et facilement manipulé par l’utilisateur, par exemple pour procéder au remplissage du réservoir, à son nettoyage, etc.

Par dispositif d’accrochage mobile, on entend préférentiellement n’importe quel dispositif ou moyen mobile, c'est-à-dire déplaçable dans plusieurs positions, permettant, entre autres, d’accrocher (c'est-à-dire de fixer) le réservoir avec ou sur le corps principal de l’appareil de coiffure. A cette fin, le dispositif d’accrochage mobile de l’invention comprend au moins un moyen d’accrochage conçu pour correspondre avec au moins un moyen d’accrochage complémentaire appartenant au corps principal de manière à accrocher le réservoir avec le corps principal. Ainsi, deux moyens d’accrochages complémentaires entre eux sont mis en œuvre : d’une part, un moyen d’accrochage embarqué sur le dispositif d’accrochage mobile, préférentiellement un moyen d’accrochage mâle, et, d’autre part, un moyen d’accrochage complémentaire embarqué sur le corps principal de l’appareil de coiffure, préférentiellement un moyen d’accrochage complémentaire femelle. Lesdits au moins un moyen d’accrochage du dispositif d’accrochage mobile et au moins un moyen d’accrochage complémentaire du corps principal vont alors coopérer entre eux pour assurer l’accrochage, c'est-à-dire la fixation, entre le réservoir et le corps principal. Préférentiellement, le dispositif d’accrochage mobile comprend deux moyens d’accrochages conçus pour correspondre avec deux moyens d’accrochage complémentaires appartenant au corps principal de manière à accrocher le réservoir avec le corps principal en deux points distincts, ce qui renforce la résistance mécanique de l’accrochage.

Le dispositif d’accrochage de l’invention est mobile entre une première position assurant l’accrochage du réservoir avec le corps principal et une deuxième position permettant à un utilisateur d’assembler ou de désassembler le réservoir avec le corps principal. En d’autres termes, la première position du dispositif d’accrochage mobile correspond à la position accrochée du réservoir telle que définie précédemment. La deuxième position du dispositif d’accrochage mobile correspond à la position décrochée du réservoir telle que définie précédemment. Ainsi, grâce au dispositif d’accrochage mobile de l’invention, il est possible pour l’utilisateur de commander facilement et rapidement le passage du réservoir de sa position accrochée à sa position décrochée, ou inversement. En outre, le dispositif d’accrochage mobile est embarqué sur le réservoir ce qui permet à l’utilisateur de pouvoir l’actionner avec la même main que celle qui saisit le réservoir. Le dispositif d’accrochage mobile permet de faire passer le réservoir de sa position accrochée à sa position décrochée selon la volonté de l’utilisateur. Il est ainsi possible pour l’utilisateur d’accrocher ou de décrocher le réservoir d’une seule main. En particulier, seule une action volontaire de l’utilisateur sur le dispositif d’accrochage mobile (il doit le faire évoluer entre ses deux positions) permet de faire passer le réservoir de sa position accrochée à sa position décrochée ce qui évite tout décrochage accidentel du réservoir du corps principal de l’appareil de coiffure. Cela renforce significativement le confort et la sécurité d’utilisation de l’appareil de coiffure.

Par appareil de coiffure, on désigne n’importe quel type d’appareil permettant à un utilisateur de réaliser une opération de coiffure sur des cheveux (ou éventuellement sur des poils dans le cas d’animaux par exemple). Par exemple, l’appareil de coiffure peut être un lisseur permettant de réaliser un lissage des cheveux, un boudeur (ou « ourler » d’après le terme anglophone) permettant de réaliser des boucles ou des ondulations, ou bien un appareil polyvalent permettant de réaliser plusieurs mises en forme différentes.

Selon un mode de réalisation, l’appareil de coiffure comprend un premier bras relié à un deuxième bras par une charnière de sorte à former une pince mobile entre une position ouverte et une position fermée. La position ouverte permet à l’utilisateur d’insérer une mèche de cheveux à l’intérieur de l’appareil, tandis que la position fermée permet à l’utilisateur d’appliquer une pression sur les cheveux, et préférentiellement de la chaleur, pour effectuer une mise en forme de ces derniers, généralement un lissage. Ainsi, l’appareil forme une pince à lisser, appareil bien connu en tant que tel qui ne sera pas davantage détaillé ici. En particulier, ce type d’appareil comporte notamment au moins une surface de traitement chauffante, et préférentiellement deux, disposé(es) à l’extrémité d’un bras (ou de chaque bras) et destinée(s) à venir en contact avec les cheveux pour leur transférer de la chaleur.

Le corps principal désigne préférentiellement la partie de l’appareil de coiffure qui est conçue pour recevoir le réservoir. Selon un mode de réalisation, le corps principal comprend le dispositif de vaporisation, et avantageusement les premier et deuxième bras. On pourrait toutefois imaginer un mode de réalisation où l’appareil de coiffure comprend un corps principal contenant le réservoir amovible et un corps secondaire comprenant notamment le dispositif de vaporisation, et avantageusement les premier et deuxième bras. Le corps principal et le corps secondaire seraient dans ce cas reliés entre eux par un cordon conçu pour acheminer le liquide contenu dans le réservoir du corps principal vers le corps secondaire.

Avantageusement, le corps principal comporte un évidement de forme complémentaire à au moins une partie de la forme du réservoir et conçu pour recevoir au moins une partie du réservoir lorsque celui-ci est en position accrochée, ledit évidement comportant ledit au moins un moyen d’accrochage complémentaire. Ainsi, le réservoir est au moins partiellement situé à l’intérieur du corps principal de l’appareil de coiffure ce qui permet, d’une part de limiter l’encombrement global de l’appareil de coiffure, et d’autre part d’assurer un excellent maintien du réservoir dans sa position accrochée.

Selon un mode de réalisation préférentiel, le dispositif d’accrochage mobile comprend au moins un bouton destiné à être directement actionné par l’utilisateur pour faire passer le dispositif d’accrochage mobile de sa première position à sa deuxième position ou inversement. Cela permet de rendre particulièrement simple et intuitif l’utilisation du dispositif d’accrochage mobile et donc de l’appareil de coiffure. De manière avantageuse, le bouton est un bouton poussoir conçu pour pouvoir être actionné par un doigt de la main de l’utilisateur. Préférentiellement, le dispositif d’accrochage mobile comprend deux boutons, ce qui permet de répartir les efforts et donc d’améliorer l’ergonomie du réservoir et de l’appareil de coiffure. Avantageusement, les deux boutons sont coaxiaux et orientés selon des sens opposés de sorte à pouvoir être actionnés par l’utilisateur selon un mouvement de pincement entre deux doigts, par exemple entre le pouce et l’index. En effet, il s’agit d’un mouvement naturel et intuitif pour l’Homme qui cherche à manipuler un objet.

Selon un mode de réalisation avantageux, le dispositif d’accrochage mobile est mobile en translation par rapport au réservoir. En d’autres termes, la mise en mouvement du dispositif d’accrochage mobile va entraîner sa translation par rapport au réservoir qui restera fixe. Ce mode de déplacement du dispositif d’accrochage mobile permet de concilier simplicité, robustesse et ergonomie. En effet, grâce à ce mode de réalisation, l’utilisateur peut disposer le réservoir dans la paume de sa main tout en actionnant avec un ou plusieurs doigts de cette main le dispositif d’accrochage mobile en translation.

Préférentiellement, le réservoir s’étend longitudinalement selon un premier axe, et ledit dispositif d’accrochage mobile est mobile en translation par rapport au réservoir selon un second axe perpendiculaire audit premier axe. Le fait d’avoir un mouvement de translation perpendiculaire à l’axe longitudinal du réservoir permet d’obtenir un réservoir particulièrement ergonomique dans la mesure où un minimum d’effort est nécessaire pour maintenir le réservoir dans la main. En effet, l’axe longitudinal du réservoir est déposé dans la paume de la main, confèrent au réservoir un excellent maintien, et le mouvement de translation du dispositif d’accrochage mobile, perpendiculaire à l’axe longitudinal, se trouve alors remarquablement bien orienté par rapport à un mouvement du pouce et/ou de l’index de la main tenant le réservoir.

Selon ce mode de réalisation avantageux, le dispositif d’accrochage mobile comprend un dispositif de guidage en translation, le réservoir comprend un dispositif complémentaire de guidage en translation, lesdits dispositif de guidage en translation et dispositif complémentaire de guidage en translation coopérant entre eux de manière à guider en translation le dispositif d’accrochage mobile au sein du réservoir. Ainsi, le mouvement de translation du dispositif d’accrochage mobile est limité à une seule translation qui est guidée par le réservoir lui-même. Cela garantit un mouvement aisé, une bonne ergonomie et intuitivité pour l’utilisateur qui ne peut ainsi pas faire de mauvaise manipulation.

Toujours selon ce mode de réalisation avantageux, préférentiellement le dispositif d’accrochage mobile comprend un premier dispositif d’arrêt en première position, le réservoir comprend un premier dispositif complémentaire d’arrêt en première position, lesdits premier dispositif d’arrêt en première position et premier dispositif complémentaire d’arrêt en première position coopérant entre eux de manière à empêcher la translation du dispositif d’accrochage mobile au-delà de ladite première position. Ainsi, le mouvement de translation du dispositif d’accrochage mobile est limité par le réservoir lui-même pour ne pas dépasser la première position. Cela garantit un mouvement aisé, une bonne ergonomie et intuitivité pour l’utilisateur qui ne peut ainsi pas faire de mauvaise manipulation. En outre, de manière avantageuse, le dispositif d’accrochage mobile comprend un deuxième dispositif d’arrêt en première position, le réservoir comprend un deuxième dispositif complémentaire d’arrêt en première position, lesdits deuxième dispositif d’arrêt en première position et deuxième dispositif complémentaire d’arrêt en première position coopérant entre eux de manière à empêcher la translation du dispositif d’accrochage mobile au-delà de ladite première position. Ainsi, le mouvement de translation du dispositif d’accrochage mobile est doublement limité par le réservoir lui-même. Cela garantit une bonne résistance mécanique, avec deux points d’arrêts et supprime notamment tout risque de démontage accidentel du dispositif d’accrochage mobile par rapport au réservoir.

Toujours selon ce mode de réalisation avantageux, préférentiellement le dispositif d’accrochage mobile comprend un dispositif d’arrêt en deuxième position, le réservoir comprend un dispositif complémentaire d’arrêt en deuxième position, lesdits dispositif d’arrêt en deuxième position et dispositif complémentaire d’arrêt en deuxième position coopérant entre eux de manière à empêcher la translation du dispositif d’accrochage mobile au-delà de ladite deuxième position. Ainsi, le mouvement de translation du dispositif d’accrochage mobile est limité par le réservoir lui-même pour ne pas dépasser la deuxième position. Cela garantit un mouvement aisé, une bonne ergonomie et intuitivité pour l’utilisateur qui ne peut ainsi pas faire de mauvaise manipulation.

Finalement, lorsque les deux constructions préférentielles ci-dessus sont réunies au sein de ce mode de réalisation avantageux, le mouvement du dispositif d’accrochage mobile se trouve totalement limité par et au sein du réservoir à un mouvement de translation entre la première et la deuxième position. Cela garantit un mouvement aisé, une bonne ergonomie et intuitivité pour l’utilisateur qui ne peut ainsi pas faire de mauvaise manipulation.

Selon un mode de réalisation, la première position du dispositif d’accrochage mobile est une position de repos. En d’autres termes, le dispositif d’accrochage mobile est naturellement, ou par défaut, maintenu stable dans sa première position, c'est-à-dire dans la position qui garantit l’accrochage du réservoir avec le corps principal de l’appareil de coiffure. Cela améliore sensiblement la sécurité d’utilisation de l’appareil puisque, sans action de la part de l’utilisateur, le réservoir reste bien accroché au corps principal de l’appareil de coiffure. A cette fin, de manière préférentielle, le dispositif d’accrochage mobile comprend un dispositif de rappel élastique, ledit dispositif de rappel élastique étant préférentiellement un ressort hélicoïdal ce qui garantit fiabilité, robustesse et faible coût de construction. Toutefois, on pourrait bien entendu imaginer n’importe quel autre moyen adapté pour faire de la première position une position de repos, comme par exemple un dispositif ferromagnétique. Dans le cas préférentiel où le dispositif d’accrochage mobile comprend deux boutons, de manière avantageuse, le dispositif de rappel élastique est disposé entre les deux boutons de sorte à repousser, à écarter, ces derniers. Cela permet d’obtenir une construction simple, peu coûteuse, fiable et très efficace d’un point de vue mécanique. De manière préférentielle, le dispositif d’accrochage mobile comprend un logement conçu pour accueillir le dispositif de rappel élastique. Ce logement permet alors, d’une part de limiter l’encombrement du dispositif d’accrochage mobile en intégrant le dispositif de rappel élastique, et d’autre part d’assurer le guidage et le maintien dudit dispositif de rappel élastique au cours des mouvements, ce qui va améliorer la fiabilité globale. Avantageusement, lorsque le dispositif d’accrochage mobile est dans sa deuxième position, les deux boutons sont en contact ce qui permet de former un autre dispositif d’arrêt en deuxième position afin de bien encaisser les efforts appliqués par l’utilisateur sur les boutons. Cela renforce la résistance mécanique du dispositif d’accrochage mobile et la fiabilité du réservoir.

Selon un mode de réalisation, le réservoir comprend un dispositif d’accrochage supplémentaire fixe conçu pour coopérer avec un moyen d’accrochage supplémentaire complémentaire appartenant au corps principal lorsque le réservoir se trouve en position accrochée. Ainsi, deux autres moyens d’accrochage complémentaires peuvent être mis en oeuvre pour améliorer l’accrochage du réservoir sur le corps principal de l’appareil de coiffure : d’une part un dispositif d’accrochage supplémentaire fixe, c'est-à-dire non mobile et non déformable, préférentiellement un dispositif d’accrochage mâle, embarqué sur le réservoir, et d’autre par un moyen d’accrochage supplémentaire complémentaire embarqué sur le corps principal de l’appareil de coiffure, préférentiellement un moyen d’accrochage complémentaire femelle. Lesdits dispositif d’accrochage supplémentaire fixe et moyen d’accrochage supplémentaire complémentaire vont alors coopérer entre eux pour assurer l’accrochage, c'est-à-dire la fixation, entre le réservoir et le corps principal. Préférentiellement, lesdits dispositif d’accrochage supplémentaire fixe et moyen d’accrochage supplémentaire complémentaire sont disposés parallèlement à l’axe longitudinal du réservoir tandis que lesdits au moins un moyen d’accrochage et moyen d’accrochage complémentaire sont disposés perpendiculairement à l’axe longitudinal du réservoir. Cela permet de bien répartir les points d’accroche entre le réservoir et le corps principal et donc d’améliorer la résistance mécanique de l’accrochage.

Selon un mode de réalisation, le réservoir comprend au moins un dispositif de guidage conçu pour coopérer avec au moins un dispositif de guidage complémentaire du corps principal lorsque le réservoir se trouve en position accrochée. En d’autres termes, deux dispositifs de guidages complémentaires sont mis en oeuvre pour améliorer l’accrochage du réservoir sur le corps principal de l’appareil de coiffure mais aussi pour faciliter les opérations d’assemblage et de désassemblage du réservoir en guidant le mouvement de ce dernier : d’une part, un dispositif de guidage, préférentiellement femelle, embarqué sur le réservoir, et d’autre part un dispositif de guidage complémentaire, préférentiellement mâle, embarqué sur le corps principal, et préférentiellement compris dans l’évidement.

Brève description des dessins

La figure 1 est une vue en perspective d’un appareil de coiffure conforme à l’invention.

La figure 2 est une vue de détail de l’appareil de la figure 1 dans lequel le réservoir a été décroché et enlevé.

La figure 3 est une vue en perspective du dessus du réservoir de l’appareil de la figure 1 .

La figure 4 est une vue en perspective du réservoir de la figure 3 dans laquelle le carter supérieur du réservoir a été masqué.

La figure 5 est une vue en perspective du dessous du réservoir de la figure 3 dans laquelle le dispositif d’accrochage mobile a été masqué.

La figure 6 est une autre vue en perspective du dessous du réservoir de la figure 3.

La figure 7 est une vue de détail de la figure 5.

La figure 8 est une vue similaire à la figure 7 mais dans laquelle toutes les pièces sont présentes. La figure 9 est une vue en perspective du dispositif d’accrochage mobile du réservoir de la figure 3.

La figure 10 est une autre vue en perspective du dispositif d’accrochage mobile de la figure 9.

Description des modes de réalisation

Le mode de réalisation de l’invention illustré par les différentes figures est un mode de réalisation dans lequel l’appareil de coiffure objet de l’invention est un lisseur vapeur. Par conséquent le réservoir 2, également objet de l’invention, est un réservoir pour lisseur vapeur. Toutefois, on pourrait parfaitement imaginer, sans sortir du cadre de l’invention, d’autres modes de réalisation, comme par exemple un boudeur (ou curler selon l’expression courante anglophone) vapeur.

Comme on peut le voir à la figure 1 , l’appareil de coiffure comprend un premier bras 1 1 relié à un deuxième bras 12 par une charnière 13 de sorte à former une pince mobile entre une position ouverte et une position fermée. Les premiers et deuxième bras 1 1 , 12 constituent des moyens de préhension pour la main de l’utilisateur. A cette fin, ils forment préférentiellement, au moins sur une partie de leur longueur, une poignée formant zone de préhension. L’appareil de coiffure est représenté en position fermée dans la figure 1 . La charnière 13 est alors disposée sensiblement à l’extrémité desdits premier et deuxième bras 1 1 , 12. L’architecture et le fonctionnement de ce type d’appareil de coiffure sont bien connus en tant que tels, si bien qu’ils ne seront pas davantage détaillés ici. On sait par exemple que chacun desdits premier et deuxième bras 1 1 , 12, comprend une surface de traitement chauffante destinée à être au contact des cheveux. Ces surfaces de traitement sont disposées à l’extrémité de chacun desdits premier et deuxième bras 1 1 , 12, à l’opposé de la charnière 13. La charnière 13 est généralement un axe autour duquel sont montés lesdits premier et deuxième bras.

Comme l’illustrent la figure 1 et la figure 2, l’appareil de coiffure comprend un corps principal 1 conçu pour accueillir un réservoir 2 comme cela sera détaillé par la suite. En d’autres termes, le réservoir 2 est destiné à être assemblé avec le corps principal 1 . Selon le mode de réalisation illustré, le corps principal 1 comprend lesdits premier et deuxièmes bras 1 1 , 12. Mais on pourrait aussi imaginer un autre mode de réalisation alternatif où l’appareil de coiffure comporterait un corps secondaire distinct du corps principal 1 qui accueille le réservoir 2. Le corps secondaire pourrait alors comprendre lesdits premiers et deuxième bras 1 1 , 12 et ladite charnière 13. Le corps principal 1 et le corps secondaire seraient alors reliés entre eux par un cordon pour acheminer le liquide depuis le réservoir 2 du corps principal 1 vers le corps secondaire, et plus précisément vers le premier bras 1 1 par exemple.

Comme on peut le voir sur la figure 2, de manière avantageuse, le corps principal 1 comporte un évidement 1 1 1 , c'est-à-dire un espace creusé au sein du corps principal 1 , dont la forme est complémentaire à au moins une partie de la forme du réservoir 2. En d’autres termes, l’évidement 1 1 1 forme une empreinte creuse pour au moins une partie du réservoir 2. L’évidement 1 1 1 est ainsi conçu pour recevoir au moins une partie du réservoir 2 lorsque celui-ci est en position accrochée, comme cela sera détaillé par la suite.

Préférentiellement, le corps principal 1 , ou plus précisément l’évidement 1 1 1 , comporte au moins un dispositif de guidage complémentaire 1 14, et avantageusement deux dispositifs de guidage complémentaire 1 14, comme le montre la figure 2. Ledit au moins un dispositif de guidage complémentaire 1 14 peut alors prendre la forme d’un demi pion circulaire.

L’appareil de coiffure comprend un réservoir 2 destiné à contenir un liquide à vaporiser, comme préférentiellement de l’eau. Le réservoir 2 est amovible, c'est- à-dire que l’on peut enlever, démonter le réservoir 2 de l’appareil de coiffure, comme on peut le voir sur la figure 2 qui illustre le corps principal 1 de l’appareil de coiffure une fois le réservoir 2 démonté. Le réservoir 2 est donc destiné à être assemblé avec le corps principal 1 d’un appareil de coiffure.

Le réservoir 2 peut occuper une position accrochée, comme on peut le voir sur la figure 1 , dans laquelle il est intégré au corps principal 1 de l’appareil de coiffure, précisément en étant disposé au moins partiellement à l’intérieur de l’évidement 1 1 1 . Cela permet de proposer un appareil de coiffure particulièrement compact avec le réservoir intégré dans le premier bras 1 1 . La position accrochée du réservoir 2 correspond à une position de fonctionnement de l’appareil de coiffure. Le réservoir 2 peut également occuper une position décrochée comme on peut le voir sur les figures 2 à 8, dans laquelle il est dissocié et indépendant du corps principal 1 de l’appareil de coiffure. Lorsque le réservoir 2 est dans la position décrochée, il est alors possible, pour un utilisateur, de remplir ce dernier, notamment après avoir ôté un bouchon de remplissage 26 visible aux figures 5 et 6. Plus précisément, comme on peut le voir sur la figure 4, le bouchon de remplissage 26 comprend un bouchon d’orifice de remplissage 261 , destiné à obturer de manière étanche un orifice de remplissage du réservoir 2, et un bouchon d’orifice de mise à l’air 262 destiné à obturer de manière étanche un orifice de mise à l’air du réservoir lors de son remplissage. En effet, afin de faciliter l’opération de remplissage, plus précisément pour garantir le maintien à la pression atmosphérique du réservoir 2 lors de son remplissage, le réservoir 2 est équipé de deux orifices : l’un de diamètre plus important destiné à recevoir le liquide, l’autre de diamètre plus faible destiné à assurer une mise à l’air même si l’orifice de remplissage est entièrement obstrué par le liquide ou par un entonnoir ou tout autre pipette de remplissage.

Avantageusement, comme on peut le voir sur la figure 3, le réservoir s’étend longitudinalement selon un premier axe X-X’, c'est-à-dire que le réservoir 2 présente globalement une forme allongée, comme une forme sensiblement rectangulaire, les angles étant arrondis. En effet, cette forme longitudinale est particulièrement adaptée pour permettre l’insertion du réservoir 2 dans le corps principal 1 et plus particulièrement dans le premier bras 1 1 comme le montre la figure 1 tout en maximisant la contenance du réservoir 2. Préférentiellement, le premier bras 1 1 s’étend parallèlement au premier axe X-X’. Avantageusement, le premier bras 1 1 s’étend selon le premier axe X-X’. Dans ce cas avantageux, comme illustré, le réservoir 2 peut alors s’étendre sur plus de la moitié de la longueur du premier bras 1 1 ce qui permet de maximiser la capacité du réservoir 2. Le réservoir 2 est alors intégré entièrement au premier bras 1 1 et constitue ainsi une zone de préhension pour la main de l’utilisateur.

Le réservoir 2 comprend également préférentiellement un dispositif de connexion 25 visible sur la figure 5 destiné à correspondre avec un dispositif de connexion complémentaire 15 visible sur la figure 2 et situé dans le corps principal 1 , et plus précisément dans l’évidement 1 1 1 . Comme on peut le voir sur ces figures, le dispositif de connexion 25 est un dispositif de connexion mâle, en l’occurrence une portion de tube faisant saillie du réservoir 2, tandis que le dispositif de connexion complémentaire 15 est un dispositif de connexion femelle, en l’occurrence un orifice. Lorsque le réservoir 2 occupe sa position accrochée, lesdits dispositifs de connexion 25 et dispositif de connexion complémentaire 15 coopèrent de manière étanche afin de permettre au liquide contenu dans le réservoir 2 d’alimenter le corps principal de l’appareil 1 , et plus précisément un dispositif de vaporisation comme cela sera détaillé par la suite. Préférentiellement, le dispositif de connexion 25 est disposé à une extrémité longitudinale du réservoir 2, comme on peut le voir sur la figure 5, et s’étend longitudinalement parallèlement au premier axe X-X’.

Comme on peut le voir sur la figure 4, le réservoir 2 comprend avantageusement un tuyau d’aspiration 251 connecté au dispositif de connexion 25 de manière étanche. Le tuyau d’aspiration 251 s’étend librement à l’intérieur du réservoir 2 et comprend à son extrémité libre une extrémité d’aspiration 252 dont la masse est plus importante que celle du tuyau d’aspiration 251 . Cela permet au tuyau d’aspiration 251 d’être entraîné par gravité là où le liquide est lui-même entraîné par gravité au cours des mouvements de l’appareil de coiffure. Cela garantit une bonne aspiration du liquide à l’intérieur du réservoir 2 et ce quels que soient son niveau de remplissage et sa position dans l’espace. Le tuyau d’aspiration 251 est libre à l’intérieur du réservoir 2, c'est-à-dire qu’il est souple et qu’il peut bouger à l’intérieur du réservoir 2. Associé à l’extrémité d’aspiration 252 lestée, cela permet de résoudre le problème de certains réservoirs actuels qui ne permettent pas l’aspiration totale du liquide : en d’autres termes il est impossible de les vider, l’aspiration devenant impossible par exemple lorsque la quantité d’eau a diminué de moitié. Il en résulterait alors un manque d’autonomie de l’appareil équipé du réservoir.

Le réservoir 2 comprend également préférentiellement un dispositif de mise à l’air 27 visible aux figures 4 à 6 et conçu pour, d’une part empêcher le liquide de s’échapper du réservoir 2, et d’autre part maintenir le réservoir 2 à une pression atmosphérique. Ce dispositif de mise à l’air 27 permet de résoudre le problème technique suivant. Lorsque le liquide est aspiré par le tuyau d’aspiration 251 , la quantité de liquide à l’intérieur du réservoir 2 diminue. Toutefois, le réservoir 2 est étanche si bien que la quantité de liquide aspiré ne peut pas être remplacée par de l’air. Il en résulte la création d’une dépression à l’intérieur du réservoir 2 au fur et à mesure de l’aspiration du liquide. Au bout d’un certain temps, la dépression est tellement importante qu’il devient impossible d’aspirer le liquide. Il devient alors impossible d’aspirer la totalité du liquide contenu dans le réservoir 2 ce qui limite l’autonomie de l’appareil de coiffure équipé du réservoir.

Le dispositif de mise à l’air 27 permet de contrer ce phénomène en permettant à l’air de pénétrer à l’intérieur du réservoir 2 au fur et à mesure de la diminution de la quantité de liquide à l’intérieur du réservoir 2 tout en empêchant le liquide de quitter le réservoir 2.

Comme on peut le voir sur la figure 4, le dispositif de mise à l’air 27 comprend une valve en forme de parapluie ou de champignon. Cette forme permet, grâce au poids du liquide appuyant sur le chapeau ou la tête de la valve de maintenir enfoncée la valve et donc d’empêcher le liquide de s’échapper du réservoir 2. En revanche lorsque la pression diminue à l’intérieur du réservoir 2, la pression atmosphérique extérieure pousse le pied de la valve malgré le poids du liquide, ce qui permet de faire entrer de l’air à l’intérieur du réservoir 2. Une fois la pression à l’intérieur du réservoir 2 équilibrée avec la pression extérieure (atmosphérique), la valve retrouve sa position initiale grâce au poids du liquide comme expliqué précédemment.

Comme on peut le voir aux figures 3 et 4, le réservoir 2 comprend un carter supérieur 21 et un carter inférieur 22 qui sont reliés entre eux de manière étanche et avantageusement définitive, c'est-à-dire non démontable, par exemple par collage ou soudage. Un tel assemblage permet de résoudre le problème du montage du réservoir 2 en facilitant considérablement, voire même simplement en permettant, l’installation des différents composants à l’intérieur du réservoir, et en particulier l’installation du tuyau d’aspiration 251 décrit précédemment.

Comme on l’aura compris, les dispositifs décrits ci-avant, et en particulier le tuyau d’aspiration 251 et le dispositif de mise à l’air 27 permettent de résoudre chacun un problème technique particulier et peuvent constituer à ce titre des inventions en tant que telles.

Comme on peut le voir sur la figure 5 et plus en détail sur la figure 7, le réservoir 2 comprend avantageusement un châssis de guidage 23 qui comprend lui-même préférentiellement différentes barres permettant d’assurer différentes fonctions de guidage et d’accrochage comme cela sera détaillé par la suite. Le châssis de guidage 23 est avantageusement situé à une extrémité longitudinale du réservoir 2, préférentiellement à l’opposé du dispositif de connexion 25.

L’appareil de coiffure, comprend un dispositif de vaporisation conçu pour vaporiser le liquide et le diffuser en direction d’une mèche de cheveux. Le dispositif de vaporisation peut par exemple comprendre une chambre de vaporisation dans laquelle, sous l’effet de la chaleur, le liquide contenu dans le réservoir 2 est transformé en vapeur. La vapeur est ensuite diffusée en direction d’une mèche de cheveux, par exemple par l’intermédiaire d’orifices de distribution. Un tel dispositif est bien connu en tant que tel et ne sera donc pas davantage détaillé ici. Un autre dispositif de vaporisation peut par exemple être un système de brumisation qui va transformer le liquide en de fines gouttelettes à la manière d’un brumisateur, sans passer par un changement d’état du liquide.

Ainsi, le réservoir 2 est destiné à être connecté avec le dispositif de vaporisation de l’appareil de coiffure conçu pour vaporiser le liquide et le diffuser en direction d’une mèche de cheveux. Le réservoir 2 va alors alimenter ce dernier en liquide à vaporiser. Préférentiellement la connexion est étanche et est notamment effectuée au moyen du dispositif de connexion 25 et du dispositif de connexion complémentaire 15. L’appareil de coiffure, et plus préférentiellement, le corps principal 1 peut également comprendre un dispositif de génération de débit, comme une pompe par exemple, et préférentiellement une pompe péristaltique qui permet d’aspirer le liquide contenu dans le réservoir, grâce au tuyau d’aspiration 251 pour acheminer le liquide vers le dispositif de vaporisation.

Selon l’invention, le réservoir 2 comporte un dispositif d’accrochage mobile 3 comme on peut le voir sur les figures 1 , 3, 4, 6, 8. En d’autres termes, le dispositif d’accrochage mobile 3 est embarqué sur le réservoir 2, c'est-à-dire que le dispositif d’accrochage mobile 3 est solidaire du réservoir 2. Cela permet une meilleure ergonomie pour l’utilisateur du réservoir 2, et donc de l’appareil de coiffure, dans la mesure où il est possible de manipuler simultanément d’une seule main le réservoir 2 et le dispositif d’accrochage mobile 3.

Comme on peut le voir sur la figure 10, le dispositif d’accrochage mobile 3 comprend au moins un moyen d’accrochage 333. Plus précisément, le dispositif d’accrochage mobile 3 comprend préférentiellement un pied 33 qui comporte lui- même a son extrémité un décroché formant une nervure qui fait saillie du pied 33 et destiné à s’accrocher avec une pièce complémentaire ; ladite nervure formant alors le moyen d’accrochage 333. En d’autres termes, le moyen d’accrochage 333 est un moyen d’accrochage mâle dont la forme est sensiblement rectangulaire. Avantageusement, comme illustré, le dispositif d’accrochage mobile 3 comprend deux moyens d’accrochage 333 ce qui permet de multiplier les points d’accrochage entre le réservoir 2 et le corps principal 1 et donc de renforcer la résistance mécanique de l’accrochage. Les deux moyens d’accrochage 333 sont avantageusement symétriques par rapport à un plan médian P perpendiculaire au premier axe X-X’ du réservoir comme on peut le voir sur la figure 10.

Ledit au moins un moyen d’accrochage 333 est conçu pour permettre l’accrochage du réservoir 2 avec le corps principal 1 , c'est-à-dire pour maintenir le réservoir 2 dans la position accrochée. Préférentiellement, le moyen d’accrochage 333 est rigide, c'est-à-dire qu’il ne peut pas se déformer. Cette caractéristique permet de garantir la résistance mécanique de l’accrochage entre le réservoir 2 et le corps principal 1 et d’éviter ainsi tout risque de décrochage accidentel. En outre, contrairement aux techniques d’accrochage de réservoir actuellement connues qui fonctionnaient sur la base d’une déformation élastique d’un tel dispositif d’accrochage, la rigidité du moyen d’accrochage 333 de l’invention permet de garantir la résistance mécanique de l’accrochage dans le temps, c'est-à-dire y compris après de nombreuses utilisations. En effet, le risque de rupture du moyen d’accrochage 333 par fatigue est supprimé. La fiabilité et la longévité du moyen d’accrochage 333 et donc du réservoir 2 et donc de l’appareil de coiffure est ainsi accrue. Comme on peut le voir sur la figure 2, le corps principal 1 , et plus particulièrement l’évidement 1 1 1 , comporte au moins un moyen d’accrochage complémentaire 1 12. Ce dernier est conçu pour être complémentaire du moyen d’accrochage 333, c'est-à-dire pour coopérer avec ce dernier de manière à assurer l’accrochage du réservoir 2. Comme on peut le voir sur la figure 2, le moyen d’accrochage complémentaire 1 12 est préférentiellement un moyen d’accrochage femelle, en comportant par exemple une cavité de forme sensiblement rectangulaire. Ce moyen d’accrochage complémentaire 1 12 va alors recevoir le moyen d’accrochage 333 mâle pour assurer l’accrochage. Les formes préférentiellement sensiblement rectangulaires desdits moyen d’accrochage 333 et moyen d’accrochage complémentaire 1 12 permettent de répartir les efforts mécaniques sur une certaine longueur ce qui améliore la résistance mécanique, en particulier à l’arrachement, de l’accrochage du réservoir 2 avec le corps principal 1. Ainsi, ledit au moins un moyen d’accrochage 333 est conçu pour correspondre avec ledit au moins un moyen d’accrochage complémentaire 1 12 appartenant au corps principal 1 de manière à accrocher le réservoir 2 avec le corps principal 1 . Préférentiellement, ledit évidement 1 1 1 comporte ledit au moins un moyen d’accrochage complémentaire 1 12 comme on peut le voir sur la figure 2, avantageusement à proximité d’un angle. Préférentiellement, le corps principal comporte deux moyens d’accrochage complémentaire 1 12 situés un second axe Y-Y’ perpendiculaire au premier axe X-X’.

Le dispositif d’accrochage mobile 3 est mobile entre une première position assurant l’accrochage du réservoir 2 avec le corps principal 1 et une deuxième position permettant à un utilisateur d’assembler ou de désassembler le réservoir 3 avec le corps principal 1 . En d’autres termes, pour pouvoir faire passer le réservoir 2 de sa position accrochée à sa position décrochée, il faut que l’utilisateur fasse bouger le dispositif d’accrochage mobile 3.

Plus précisément, pour amener ou maintenir le réservoir 2 dans sa position accrochée, il faut amener ou maintenir le dispositif d’accrochage mobile 3 dans sa première position. La première position du dispositif d’accrochage mobile 3 correspond donc à la position accrochée du réservoir 2 et donc à une position de fonctionnement de l’appareil de coiffure. Afin de sécuriser l’accrochage du réservoir 2 et de limiter les interventions de l’utilisateur, de manière avantageuse, la première position du dispositif d’accrochage mobile 3 est une position de repos. En d’autres termes, sans action de la part de l’utilisateur, le dispositif d’accrochage mobile 3 se trouve naturellement dans sa première position, c'est- à-dire dans la position assurant l’accrochage du réservoir 2 avec le corps principal 1 de l’appareil de coiffure.

Inversement, pour amener le réservoir 2 dans sa position décrochée, il faut amener le dispositif d’accrochage mobile 3 dans sa deuxième position qui va entraîner le décrochage du réservoir 2 comme cela sera détaillé par la suite.

Dans les différentes figures, le dispositif d’accrochage mobile 3 est justement représenté dans cette deuxième position.

Préférentiellement, comme on peut le voir sur les différentes figures, le dispositif d’accrochage mobile 3 comprend au moins un bouton 31 , et préférentiellement deux boutons 31 . Par bouton on entend n’importe quelle pièce destinée à être directement actionnée par l’utilisateur, préférentiellement par la main de l’utilisateur et plus particulièrement par au moins un doigt de l’utilisateur. Préférentiellement, le bouton 31 est un bouton poussoir conçu pour pouvoir être actionné par un seul doigt de l’utilisateur. Ledit au moins un bouton 31 est connecté, préférentiellement de manière rigide, avec le moyen d’accrochage 333 si bien que lorsque l’utilisateur actionne ledit au moins un bouton 31 , cela va faire bouger le moyen d’accrochage 333, plus précisément faire sortir le moyen d’accrochage 333 du moyen d’accrochage complémentaire 1 12 (c’est à dire que lesdits moyen d’accrochage 333 du moyen d’accrochage complémentaire 1 12 ne coopèrent plus entre eux) et donc faire passer le dispositif d’accrochage mobile 3 de sa première position à sa deuxième position ou inversement. En d’autres termes, le dispositif d’accrochage mobile 3 peut alors évoluer entre lesdites première et deuxième positions.

Avantageusement, le dispositif d’accrochage mobile 3 est mobile en translation par rapport au réservoir 2, c'est-à-dire que le dispositif d’accrochage mobile 3 se déplace selon un mouvement de translation, et avantageusement uniquement un mouvement de translation, vis-à-vis du réservoir 2 qui constitue alors un référentiel fixe.

Préférentiellement, comme on peut le voir sur la figure 8, ledit dispositif d’accrochage mobile 3 est mobile en translation par rapport au réservoir 2 selon un second axe Y-Y’ perpendiculaire audit premier axe X-X’. En d’autres termes, le mouvement de translation du dispositif d’accrochage mobile 3 s’effectue alors perpendiculairement à la direction longitudinale du réservoir 2. Dans le cas préférentiel où le dispositif d’accrochage mobile 3 comprend deux boutons 31 , cela signifie que les deux boutons 31 sont mobiles en translation selon le second axe Y-Y’. Une telle configuration présente une amélioration de l’ergonomie tout à faire remarquable puisqu’il est alors possible pour l’utilisateur de manipuler le réservoir 2 et son système d’accrochage, à savoir le dispositif d’accrochage mobile 3 d’une seule main. Plus précisément, l’utilisateur peut positionner le réservoir 2 dans la paume de sa main, le premier axe X-X’ sensiblement perpendiculaire à son bras. Le dispositif d’accrochage mobile 3 et en particulier les boutons 31 se retrouvent alors en position idéale pour pouvoir être directement actionnés par le pouce et l’index de la main de l’utilisateur qui tient le réservoir.

Comme on peut le voir sur les figures 9 et 10, le dispositif d’accrochage mobile 3 comporte un plan de symétrie P perpendiculaire au second axe Y-Y’. En d’autres termes, le plan P peut comprendre le premier axe X-X’. Le dispositif d’accrochage mobile 3 est ainsi parfaitement symétrique par rapport au plan P. Le dispositif d’accrochage mobile comprend deux sous-ensembles répartis de part et d’autre du plan P et symétriques par rapport au plan P. Par conséquent, dans la description suivante, un seul des sous ensemble sera décrit, l’autre étant la symétrie du premier sous ensemble, à la manière d’un miroir.

Le pied 33 du dispositif d’accrochage mobile est solidaire dudit bouton 31 . Préférentiellement, le pied 33 est en continuité de matière avec le bouton 31 , c'est-à-dire qu’il est réalisé dans le même matériau et peut être réalisé simultanément avec le bouton par exemple par une opération d’usinage ou de moulage. Toutefois, le pied 33 peut aussi être assemblé avec le bouton 31 par exemple par soudage. Le pied 33 a préférentiellement sensiblement la forme d’un T renversé. La barre verticale du T est alors solidaire du bouton 31 tandis que la barre horizontale du T comprend le moyen d’accrochage 333.

Préférentiellement, le dispositif d’accrochage mobile 3 comprend un dispositif de guidage en translation 331 avantageusement formé par la barre verticale du T du pied 33. Le réservoir 2 comprend alors un dispositif complémentaire de guidage en translation 231 visible sur la figure 7, avantageusement formé par une barre du châssis de guidage 23. Lesdits dispositif de guidage en translation 331 et dispositif complémentaire de guidage en translation 231 coopèrent alors entre eux de manière à guider en translation le dispositif d’accrochage mobile 3 au sein du réservoir 2, et plus précisément au sein du châssis de guidage 23.

Préférentiellement, comme on peut le voir sur la figure 8, le guidage en translation est effectué par une liaison glissière avantageusement formée par la barre verticale du T se déplaçant à l’intérieur d’un espace en U formé par le châssis de guidage 23 comme on peut le voir sur les figures 7 et 8, et par la barre horizontale du T qui vient en appui sur le U, la longueur de la barre horizontale du T étant supérieure à l’ouverture du U. Préférentiellement, le U formé au sein du châssis de guidage 23 est ouvert vers l’extérieur, et le second axe Y-Y’ est un axe de symétrie pour l’espace en U du châssis de guidage 23. En outre, le bouton 31 est également conçu pour s’appuyer sur le U du châssis de guidage 23. Ainsi, la forme particulière du dispositif d’accrochage mobile 3, et en particulier de son pied 33, combiné à la forme complémentaire du châssis de guidage 23 permet de réaliser une liaison glissière pour guider en translation le dispositif d’accrochage mobile 3 au sein du châssis de guidage 23 du réservoir 2 de l’appareil de coiffure. On pourrait imaginer, sans sortir du cadre de l’invention, un guidage en translation similaire qui pourrait être réalisé à l’aide d’un dispositif de type queue d’aronde. Préférentiellement la liaison glissière est d’axe Y-Y’.

Préférentiellement, le dispositif d’accrochage mobile 3 comprend un premier dispositif d’arrêt en première position 341 comme on peut le voir sur la figure 9 ou 10. Plus précisément, le bouton 31 présente, en vue de dessus la forme d’un T, la barre horizontale du T constituant la portion que l’utilisateur va actionner avec son doigt, comme on peut le voir sur la figure 9. Le bouton 31 comprend avantageusement un premier ergot 34 qui fait saillie depuis la barre verticale du T que forme le bouton 31 , dans une direction similaire à celle du pied 33. Préférentiellement, l’ergot 34 et le pied 33 s’étendent selon des directions parallèles, et avantageusement dans le même sens. De manière avantageuse, le premier ergot 34 comporte une surface sensiblement plane perpendiculaire à la barre verticale du T que forme le bouton 31 , ladite surface formant ledit premier dispositif d’arrêt en première position 341 . ledit premier dispositif d’arrêt en première position 341 est ainsi avantageusement parallèle au plan P.

Avantageusement, le bouton 31 comporte des reliefs permettant d’améliorer la qualité du contact entre le bouton 31 et le doigt de l’utilisateur. Ces reliefs permettent également d’indiquer visuellement à l’utilisateur où positionner son doigt pour décrocher le réservoir 2.

Préférentiellement, le réservoir 2 comprend un premier dispositif complémentaire d’arrêt en première position 232, comme on peut le voir sur la figure 7. Plus précisément, ledit premier dispositif complémentaire d’arrêt en première position 232 est compris dans le châssis de guidage 23 qui forme à cet endroit une fenêtre de forme sensiblement rectangulaire. Ledit premier dispositif complémentaire d’arrêt en première position 232 est alors formé par une barre parallèle au premier axe X-X’. Préférentiellement ladite barre est de section rectangulaire ou carrée de manière à offrir des surfaces latérales sensiblement planes, et en particulier une surface latérale sensiblement parallèle au premier dispositif d’arrêt en première position 341 .

Lesdits premier dispositif d’arrêt en première position 341 et premier dispositif complémentaire d’arrêt en première position 232 coopèrent alors entre eux de manière à empêcher la translation du dispositif d’accrochage mobile 3 au-delà de ladite première position, en d’autres termes, de manière à offrir une butée de première position au dispositif d’accrochage mobile 3. Comme on peut le voir sur les figures 7 à 10, la coopération en question est avantageusement une coopération de type plan sur plan. Cela permet d’offrir un bon contact qui répartit bien les efforts et garantit donc un arrêt en première position fiable, robuste et durable dans le temps. Cela permet de limiter le mouvement de translation du dispositif d’accrochage mobile 3 de sorte que ce dernier ne puisse pas dépasser sa première position. Une bonne qualité d’arrêt est d’autant plus importante que comme expliqué précédemment, la première position peut correspondre à une position de repos, c'est-à-dire à une position très fréquemment occupée par le dispositif d’accrochage mobile 3.

Préférentiellement, le dispositif d’accrochage mobile 3 comprend un deuxième dispositif d’arrêt en première position 351 visible notamment sur les figures 9 et 10. Plus précisément, le bouton 31 comprend avantageusement un deuxième ergot 35 qui fait saillie depuis la barre verticale du T que forme le bouton 31 , dans une direction opposée mais parallèle à celle du pied 33. Préférentiellement, le premier ergot 34 et le deuxième ergot 35 s’étendent dans des directions parallèles mais opposées. En d’autres termes, lesdits premier et deuxième ergot 34, 35 s’étendent de part et d’autre de la barre verticale du T que forme le bouton 31 comme on peut le voir sur la figure 9. Préférentiellement, le deuxième ergot 35 est parallèle au plan P.

Préférentiellement, le réservoir 2 comprend un deuxième dispositif complémentaire d’arrêt en première position 233 visible sur la figure 7. Ce dernier peut alors être formé par une paroi d’une échancrure réalisée directement dans le carter supérieur 21 du réservoir 2. Préférentiellement, le deuxième dispositif complémentaire d’arrêt en première position 233 s’étend longitudinalement parallèlement au premier axe X-X’.

Lesdits deuxième dispositif d’arrêt en première position 351 et deuxième dispositif complémentaire d’arrêt en première position 233 coopèrent alors entre eux de manière à empêcher la translation du dispositif d’accrochage mobile 3 au- delà de ladite première position, en d’autres termes, le manière à offrir une butée de première position au dispositif d’accrochage mobile 3. Là aussi, la coopération est avantageusement une coopération de type plan sur plan qui présente donc les mêmes avantages que ceux précédemment cités. Le fait que le dispositif d’accrochage mobile comprend deux dispositifs d’arrêt en première position 341 , 351 coopérant chacun avec deux dispositifs complémentaires d’arrêts en première position 232, 233 du réservoir 2 permet donc d’offrir deux butées de première position au dispositif d’accrochage mobile 3. Cela permet de bien répartir les pressions de contact entre les deux butées, et donc d’améliorer la résistance, la fiabilité et la durabilité du dispositif d’accrochage mobile 3. En outre, chacune de ces butées permet de maintenir le bouton 31 solidaire du réservoir et d’éviter le démontage accidentel du dispositif d’accrochage mobile 3 du réservoir 2.

Préférentiellement, le dispositif d’accrochage mobile 3 comprend un dispositif d’arrêt en deuxième position 332 visible sur la figure 10 et avantageusement formé par le pied 33. Plus précisément, ledit dispositif d’arrêt en deuxième position 332 est formé par une surface du pied 33 qui est sensiblement parallèle au premier dispositif d’arrêt en première position 341 et préférentiellement parallèle au plan P. Ainsi, lesdits dispositif d’arrêt en deuxième position 332 et premier dispositif d’arrêt en première position 341 forment deux butées parallèles qui limitent le mouvement de translation du dispositif d’accrochage mobile 3.

Préférentiellement, le réservoir 2 comprend un dispositif complémentaire d’arrêt en deuxième position 234, visible sur la figure 7. Le dispositif complémentaire d’arrêt en deuxième position 234 est alors avantageusement parallèle au premier dispositif complémentaire d’arrêt en première position 232, par exemple en étant disposé sur une face opposée de la même barre du châssis de guidage 23.

Lesdits dispositif d’arrêt en deuxième position 332 et dispositif complémentaire d’arrêt en deuxième position 234 coopèrent alors entre eux de manière à empêcher la translation du dispositif d’accrochage mobile 3 au-delà de ladite deuxième position de manière à former une butée de deuxième position, notamment lorsque l’utilisateur exerce une pression sur le ou les bouton 31 .

Préférentiellement, comme mentionné précédemment, le plan P forme un plan de symétrie pour le dispositif d’accrochage mobile. Ainsi, le dispositif d’accrochage mobile comprend deux boutons 31 , deux pieds 33, deux premiers ergots 34, deux deuxièmes ergots, deux dispositifs de guidage en translation 331 , deux dispositifs d’arrêt en deuxième position 332, deux moyens d’accrochage 333, deux premiers dispositifs d’arrêt en première position 341 , deux deuxièmes dispositifs d’arrêt en première position 351 , chacun d’entre eux étant répartis symétriquement de part et d’autre du plan P comme on peut le voir sur les figures 9 et 10. Avantageusement, le dispositif d’accrochage mobile 3 comprend un dispositif de rappel élastique 32, visible sur la figure 9, conçu pour maintenir le dispositif d’accrochage mobile 3 dans sa première position. Le dispositif de rappel élastique 32 est préférentiellement un ressort hélicoïdal, conçu pour maintenir écartés les boutons 31 . Toutefois on pourrait, sans sortir du cadre de l’invention, imaginer d’autres dispositifs de rappels qui permettraient de maintenir écartés les boutons 31 , c'est-à-dire de maintenir le dispositif d’accrochage mobile 3 en première position. On pourrait par exemple penser à un dispositif électromagnétique, le réservoir 2 étant équipé d’un aimant et chacun des boutons 31 étant en matériau magnétique (ou inversement). De manière préférentielle, comme illustré par la figure 9, le dispositif de rappel élastique 32 est disposé entre les deux boutons 31 , ce qui permet de bénéficier d’une construction simple et permettant au dispositif de rappel élastique 32, en l’occurrence le ressort hélicoïdal, de transmettre tout son effort aux boutons 31 et uniquement aux boutons 31 . Préférentiellement, le dispositif d’accrochage mobile 3 comprend un logement 312 conçu pour accueillir le dispositif de rappel élastique 32 comme on peut le voir sur la figure 9. Cela permet d’assurer le maintien en position du dispositif de rappel élastique 32 et de guider ce dernier lorsqu’il se déforme. Le logement 312 est avantageusement formé par une rainure débutant depuis une extrémité du bouton 31 , en l’occurrence l’extrémité libre de la barre verticale du T que forme le bouton 31 et s’étendant en partie vers l’intérieur du bouton 31 , préférentiellement selon le second axe Y-Y’. Ainsi, lorsque le dispositif d’accrochage mobile 3 est dans sa deuxième position, les deux boutons 31 sont en contact, l’encombrement du dispositif d’accrochage mobile est nul puisqu’il se retrouve entièrement intégré dans le logement 312, c'est-à-dire à l’intérieur des boutons 31 . Cela permet de limiter l’encombrement du dispositif d’accrochage mobile 3. Comme on peut le voir sur la figure 9, le dispositif de rappel élastique s’étend longitudinalement selon le second axe Y-Y’.

Avantageusement, comme on peut le voir sur la figure 9, le second axe Y-Y’ forme un axe de symétrie pour le dispositif d’accrochage mobile 3. Comme on peut le voir sur la figure 8, le premier axe X-X’ forme un axe de symétrie pour le châssis de guidage 23, le plan P forme préférentiellement un plan de symétrie pour le châssis de guidage.

De manière préférentielle, le réservoir 2 comprend un dispositif d’accrochage supplémentaire 221 fixe, c'est-à-dire non mobile et non déformable, visible sur les figures 5 et 6, et comprenant avantageusement une languette, de forme sensiblement rectangulaire, faisant saillie du réservoir dans une direction parallèle au premier axe X-X’. Préférentiellement, le dispositif d’accrochage supplémentaire 221 est situé à une extrémité longitudinale du réservoir 2 et avantageusement à l’opposé du dispositif d’accrochage mobile 3, lui-même situé à une autre extrémité longitudinale du réservoir 2. Cela permet d’éloigner au maximum les différents points d’accrochage du réservoir 2 sur le corps principal 1 ce qui améliore la stabilité et la résistance mécanique de l’accrochage du réservoir 2 par rapport au corps principal 1. En outre, dans le cas préférentiel illustré où le dispositif d’accrochage mobile 3 comprend deux moyens d’accrochage 333, cela confère au réservoir 2 trois points d’accroches sur le corps principal 1 , ce qui correspond à un assemblage isostatique. En outre, les points d’accroche peuvent remarquablement être disposés en triangle grâce à la disposition de deux moyens d’accrochage 333 sur le second axe Y-Y’ et à la disposition du dispositif d’accrochage supplémentaire 221 sur un axe parallèle au premier axe X-X’, ou éventuellement sur le premier axe X-X’. Un agencement des points d’accroche du réservoir 2 sur le corps principal 1 en forme de triangle permet d’améliorer la stabilité et la résistance mécanique de l’accrochage entre le réservoir 2 et le corps principal 1 , et donc la fiabilité de l’accrochage entre les deux éléments.

Le corps principal 1 comprend alors un moyen d’accrochage supplémentaire complémentaire 1 13 visible sur la figure 2. Le moyen d’accrochage supplémentaire complémentaire 1 13 comprend par exemple une rainure de forme sensiblement rectangulaire réalisée à l’intérieur du corps principal 1 depuis l’évidement 1 1 1 dans une direction parallèle au premier axe X-X’.

Lesdits dispositif d’accrochage supplémentaire 221 et moyen d’accrochage supplémentaire complémentaire 1 13 sont alors conçus pour coopérer ensemble lorsque le réservoir 2 se trouve en position accrochée, le dispositif d’accrochage supplémentaire 221 étant préférentiellement un dispositif d’accrochage mâle et le moyen d’accrochage supplémentaire complémentaire 1 13 étant préférentiellement un moyen d’accrochage femelle complémentaire. Le mode de réalisation illustré utilise au moins un moyen d’accrochage supplémentaire complémentaire 1 13 coopérant avec au moins un dispositif d’accrochage supplémentaire 221 , mais on pourrait tout à fait imaginer la multiplication de ces éléments afin de renforcer la résistance mécanique de l’accrochage.

Comme le montrent les figures 5 et 6, le réservoir 2 comprend au moins un dispositif de guidage 24 conçu pour coopérer avec au moins le dispositif de guidage complémentaire 1 14 du corps principal 1 lorsque le réservoir se trouve en position accrochée. Cela permet de proposer au moins un moyen de guidage entre les moyens d’accrochage 333 et le dispositif d’accrochage supplémentaire 221 ce qui facilite grandement l’opération d’accrochage du réservoir 2 sur le corps principal en offrant à l’utilisateur un guidage intermédiaire. En outre, les dispositifs de guidage 24 et dispositif de guidage complémentaire 1 14 permettent de renforcer la résistance mécanique de l’accrochage une fois que le réservoir 2 se trouve dans la position accrochée, en bloquant tout mouvement de translation du réservoir 2 selon le premier axe X-X’. Cela permet de soulager les moyens d’accrochage 333 et le dispositif d’accrochage supplémentaire 221 qui n’ont alors plus qu’à assurer une fixation anti arrachement, selon un troisième axe perpendiculaire au premier axe X-X’. La résistance et la durabilité du réservoir est ainsi améliorée. Plus la longueur du réservoir 2 est importante plus la présence de ce point de guidage intermédiaire est importante. Préférentiellement le dispositif de guidage 24 est un dispositif de guidage femelle, comme par exemple un trou ou comme illustré une échancrure latérale en forme de demi trou. Le dispositif de guidage complémentaire 1 14 est alors un dispositif de guidage mâle complémentaire qui peut prendre la forme d’un demi (suivant un sens longitudinal) pion circulaire comme on peut le voir sur la figure 2. Avantageusement, le réservoir 2 comprend deux dispositifs de guidage 24 et le corps principal 1 comprend deux dispositifs de guidage complémentaires 1 14.