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Patent Searching and Data


Title:
TOILET SEAT WITH HYGIENIC BELLOWS
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2021/123510
Kind Code:
A1
Abstract:
Disclosed are hygienic bellows (300) to be installed between the upper edge of a toilet bowl (400) and the toilet seat (200) to protect the toilet and its surroundings from splashes when a male urinates standing up. The bellows (300) are attached to the hinge block (205) of the seat (200) by rods (202, 207) which are accommodated in hems of the bellows (300).

Inventors:
OUABBAS ABDERRAHIM (FR)
Application Number:
PCT/FR2019/000211
Publication Date:
June 24, 2021
Filing Date:
December 15, 2019
Export Citation:
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Assignee:
OUABBAS ABDERRAHIM (FR)
International Classes:
A47K13/08; A47K13/24
Foreign References:
DE20208741U12002-08-22
AT8583U12006-10-15
US3193845A1965-07-13
US7412732B12008-08-19
DE10034148A12002-01-24
US4133062A1979-01-09
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Claims:
REVENDICATIONS

1.- Lunette de WC à soufflet hygiénique et actionnement de chasse d’eau, caractérisée en ce qu’elle se compose de trois éléments indépendants et coopérant entre eux : a) Un abattant d'assise (200) comprenant un " accès d'assise " (204), b) Un abattant obturateur (100) pour recouvrir l’ " accès d'assise " (204) de l’ " abattant d'assise" (200), c) Un soufflet hygiénique (300) en matière souple et plissée, formé en arc de cercle et muni d'un " accès receveur " (301), sa partie supérieure et sa partie inférieure étant munies d’un ourlet pour recevoir un " joint articulé " (202) et un " joint fixe " (207), l’ " abattant obturateur " (100) et l’ " abattant d’assise " (200) étant articulés indépendamment l'un de l’autre autour de l’ " axe abattant " (A1) d’un " bloc articulation " (205) et le " soufflet hygiénique " (300) étant disposé entre l’ " abattant d’assise " (200) et le bord périphérique (401) de la " cuvette WC " (400) d’un équipement sanitaire ou entre l’ " abattant obturateur " (100) et l’ " abattant d'assise " (200).

2.- Lunette de WC à soufflet hygiénique et actionnement de chasse d'eau, selon la revendication 1, caractérisée en ce que 1" " abattant obturateur " (100), l’ " abattant d'assise " (200) tournent indépendamment l'un de l'autre autour de I’" axe abattant > (A1) d'un " bloc articulation " (205) rapporté sur le " talon cuvette " (404) du plan d'accès (402) d'une " cuvette WC " (400), ledit " bloc articulation " (205) comprenant des moyens mécaniques de recevoir les extrémités d'un " jonc fixe " (207) et les extrémités d'un " jonc articulé " (202) après que lesdits " jonc fixe " (207) et " jonc articulé " (202) aient été mis en forme d'arc de Cercle.

3.- Lunette de WC à soufflet hygiénique et actionnement de chasse d'eau, selon l'une quelconque des revendications 1 et 2, caractérisée en ce que le " bloc articulation » (205) dispose d'une part d'au moins deux éléments dits " support jonc articulé" (206) tournant autour de l' " axe abattant " (A1), chaque " support jonc articulé " (206) présentant à un endroit de son plan périphérique un trou dit " réceptacle jonc articulé" (209), de forme (cylindrique ou autre), dimensions (diamètre et profondeur), positionnement et constitution, adaptés pour recevoir par enfoncement en assemblage serré ou tout autre moyen notamment par encliquetage, une extrémité du " jonc articulé " (202) après que celui-ci ait été mis en forme d'arc de cercle et d’autre part à proximité de chacune de ses extrémités et sur sa face orientée vers l’ " espace receveur " (402) du " corps de cuvette " (400) , d'au moins un trou dit " réceptacle jonc fixe " (208) de forme (cylindrique ou autre), dimensions (diamètre et profondeur), positionnement et constitution, adapté pour recevoir par enfoncement en assemblage serré ou tout autre moyen notamment par encliquetage, l’extrémité d’un " jonc fixe " (207) après que ce dernier ait été mis en forme d’arc de cercle.

4.- Lunette de WC à soufflet hygiénique et actionnement de chasse d’eau, selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que le " jonc fixe " (207) et le " jonc articulé " (202) sont introduits dans leur forme initiale rectiligne, dans les ourlets inférieur et supérieur d’un soufflet souple dit " soufflet hygiénique " (300), le " jonc fixe " (207) étant introduit dans l’ourlet inférieur du " soufflet hygiénique " (300) et le " jonc articulé " (202) étant introduit dans l'ourlet supérieur du " soufflet hygiénique " (300), le " jonc fixe " (207) , le " jonc articulé " (202) et le " soufflet hygiénique " (300) étant formés manuellement en arc de cercle de telle manière que chacune des extrémités du " jonc fixe " (207) soit introduite dans le " réceptacle jonc fixe " (208) correspondant du " bloc articulation " (205) et chacune des extrémités du " jonc articulé " (202) soit introduite dans le " réceptacle jonc articulé " (209) correspondant du " support jonc articulé " (206) du " bloc articulation " (205). 5.- Lunette de WC à soufflet hygiénique et actionnement de chasse d’eau, selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que d’une part le " jonc fixe " (207) dont chacune des extrémités est insérée dans un " réceptacle jonc fixe " (208) du " bloc articulation " (205) après avoir été formé en arc de cercle, est positionné de manière fixe et préférablement en appui sur le bord supérieur périphérique (401) de la " cuvette WC " (400) pour maintenir la base du " soufflet hygiénique " (300) de manière fixe et en contact avec le bord supérieur périphérique (401) de ladite " cuvette WC " (400) et d'autre part le " jonc articulé " (202) dont chacune des extrémités est insérée dans un " réceptacle jonc articulé " (209) d’un " support jonc articulé > (206) tournant autour de l’ " axe abattant " (A1) du " bloc d’articulation " (205) après avoir été formé en arc de cercle, est articulé autour de l’ " axe abattant " (A1) de manière a être introduit et escamoté sur toute sa périphérie à l’intérieur du plan inférieur de l’ " abattant d’assise " (200) et maintenu verrouillé en position au moyen d’un dispositif mécanique (non représenté), pour maintenir en cette position le bord supérieur du " soufflet hygiénique " (300). 6.- Lunette de WC à soufflet hygiénique et actionnement de chasse d’eau, selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que lorsque l’ " abattant d’assise " (200) est en position rabattu sur le bord supérieur périphérique (401) de la " cuvette WC " (400), le " soufflet hygiénique " (300) est comprimé et escamoté à l’intérieur de l’ " abattant d’assise " (200) entre d’une part le " jonc fixe " (207) plaqué sur le bord périphérique supérieur (401) de la " cuvette WC " (400) et d’autre part le " jonc articulé " (202) intégré dans la partie inférieure de l’ " abattant d’assise " (200), pour laisser libre accès à un usage en position assise et lorsque " l’abattant d’assise " (200) est relevé et en position verticale, le " soufflet hygiénique " (300) est développé à la maniére d’un accordéon formant une pluralité successive de plis (302) entre d’une part sa base maintenue par le "jonc fixe " (207) plaqué sur le bord supérieur périphérique (401) de la " cuvette WC " (400) et d’autre part sa partie haute solidarisée avec le plan inférieur de l’ " abattant d’assise " (200) par le " jonc articulé " (202) lui- même verrouillé en position à l’intérieur dudit " abattant d’assise " (200).

7.- Lunette de WC à soufflet hygiénique et actionnement de chasse d’eau, selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que le " soufflet hygiénique » (300) conçu pour être jetable après une période d’utilisation préétablie, est fabriqué dans une pièce à plat de matière souple (papier, carton, tissu imbibé ou plastifié, matière plastique etc) plissée et bordée en partie supérieure et en partie inférieure par un ourlet faisant office de gaine pour recevoir le " jonc fixe " (207) et le " jonc articulé " (202) et dispose lorsqu’il est dans sa position développée, c'est-à-dire base en contact avec la partie supérieure périphérique (401) de la " cuvette WC " (400) et partie haute solidaire de I' " abattant d’assise " (200) relevé, d'un orifice d’accès dit " accès receveur " (301) de dimensions adaptées ou adaptables pour permettre à l’ " usager homme " quelle que soit sa morphologie, d’uriner debout, au travers dudit " accès receveur " (301) dans l’ " espace receveur " (402) de la " cuvette WO (400).

8.- Lunette de WC à soufflet hygiénique et actionnement de chasse d’eau, selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que l’ " abattant obturateur " (100) est solidarisé et maintenu en position plaqué sur l’ " abattant d’assise " (200) pour pouvoir être relevés ou abaissés ensemble manuellement et développer automatiquement le " soufflet hygiénique " (300) lorsqu’un " usager homme " souhaite uriner debout dans l’ " espace receveur " (402) de la " cuvette WC " (400), l’ " abattant d’assise " (200) pouvant être désolidarisé manuellement de l’ " abattant obturateur " (100) en appuyant sur un bouton poussoir (201) présent sur l’ " abattant d'assise " (200) afin que ce dernier prenne automatiquement sa position rabattu sur le bord supérieur périphérique (401) de la " cuvette WC" (400) pour un usage confortable en position assise. 9.- Lunette de WC à soufflet hygiénique et actionnement de chasse d’eau, selon la revendication 1, caractérisée en ce que l’une des extrémités du " soufflet hygiénique " (300) déformé en arc de cercle est solidarisée à la face inférieure de l’ " abattant obturateur " (100) par un moyen de fixation mécanique permettant de le retirer et le remplacer (non représenté) et l’autre extrémité du " soufflet hygiénique " (300) est obturée de manière étanche par un plan dit " fond de soufflet " (303), ledit " fond de soufflet " (303) étant mécaniquement plaqué sur la face supérieure de l’ " abattant d’assise " (200) et maintenu en cette position par un dispositif mécanique placé sur l’un ou l'autre des abattants pour permettre de désolidariser manuellement le " fond de soufflet " (303) de l’ " abattant d'assise " (200) notamment un bouton poussoir (201) qu’il convient d'enfoncer de telle manière que l’ " usager femme " ou l’ " usager homme > souhaitant utiliser l'équipement en position assise, relève l’ " abattant obturateur " (100) solidarisé au " soufflet hygiénique " (300), désolidarise le " fond de soufflet " (303) de l' " abattant d’assise " (200) en appuyant sur le bouton poussoir (201) et plaque le " fond de soufflet " (303) sur la face inférieure de l’ " abattant obturateur " (100) relevé, contre lequel il sera maintenu verrouillé au moyen d’un dispositif mécanique prévu à cet effet (non représenté).

10.- Lunette de WC à soufflet hygiénique et actionnement de chasse d’eau, selon les revendications 1 à 5, caractérisée en ce que l’ " abattant obturateur " (100), l' " abattant d'assise " (200) et/ou le " bloc articulation " (205) sont aménagés pour permettre l’évacuation des urines contenues dans le " soufflet hygiénique " (300) vers l’ " espace receveur " (402) de la " cuvette WC " (400).

11.- Lunette de WC à soufflet hygiénique et actionnement de chasse d’eau, selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que l’ " abattant obturateur " (100) est conçu et équipé de manière à coopérer avec un dispositif mécanique (502) préférablement associé de manière intégrée ou rapportée au robinet d’arrivée d’eau (501) de la réserve d’eau dite " chasse d’eau " (500) , notamment un poussoir mécanique, de telle manière qu’ une fois relevé et rabattu contre ladite " chasse d’eau ", l’ " abattant obturateur " (100) interdise l’actionnement de la vidange de celle-ci, contraignant ainsi l’usager à rabattre ledit " abattant obturateur " (100) avant de pouvoir déclencher la vidange de la " chasse d’eau " (500) quel que soit l’usage qui aura été fait de l’équipement.

12.- Lunette de WC à soufflet hygiénique et actionnement de chasse d'eau, selon l'une quelconque des revendications 1 à 9, caractérisée en ce que l' " abattant obturateur " (100) est conçu et équipé de manière à coopérer avec un dispositif mécanique (502) préférablement associé de manière intégrée ou rapportée au robinet d'arrivée d'eau (501) de la réserve d’eau dite " chasse d'eau > (500), notamment un poussoir mécanique, de telle manière qu' une fois relevé et rabattu contre ladite " chasse d’eau ", l’ " abattant obturateur " (100) enclenche automatiquement un dispositif permettant le déclenchement automatique d’une vidange de petit volume réservée à l’évacuation des urines et/ou le déclenchement automatique d’une vidange de grand volume réservée à l’évacuation des selles solides lorsque les deux abattants sont refermés.

13.- Lunette de WC à soufflet hygiénique et actionnement de chasse d’eau, selon les revendication 1 à 8, caractérisée en ce que l’ " abattant obturateur " (100) et l’ " abattant d’assise " (200) sont conçus et équipés de manière à coopérer avec au moins un dispositif mécanique (502) préférablement associé de manière intégrée ou rapportée au robinet d’arrivée d’eau (501) ou à tout autre endroit de la réserve d’eau dite " châsse d’eau " (500) ainsi qu’à la " cuvette WC" (400) de l’équipement sanitaire, de telle manière que les opérations fonctionnelles de l’équipement sanitaire soient réalisées au moyen d'une pluralité de pédales (A)(B)(C) situées au bas de la " cuvette WO (400), notamment une première pédale (A) pour assurer par un premier appui l’ouverture simultanée des deux abattants associés et par un second appui la fermeture simultanée desdits deux abatants associés avec déclenchement automatique simultané d’une vidange de " chasse d’eau " (500) de petit volume réservée à l’évacuation des urines, une deuxième pédale (B) pour provoquer la désolidarisation des deux abattants (100) et (200) et une dernière pédale (C) pour refermer et rabattre l’ " abattant obturateur " (100) seul et le déclenchement automatique et simultané d’une vidange de " chasse d’eau " (500) de grand volume réservée à l'évacuation des selles solides.

14.- Lunette de WC à soufflet hygiénique et actionnement de chasse d’eau, selon les revendication 1 à 9, caractérisée en ce que l’" abattant obturateur " (100) et l’ " abattant d’assise " (200) sont conçus et équipés dé manière à coopérer avec au moins un dispositif mécanique (502) préférablement associé de manière intégrée ou rapportée au robinet d’arrivée d'eau (501) ou à tout autre endroit de la réserve d’eau dite " chasse d’eau " (500) ainsi qu'à la " cuvette WC " (400) de l'équipement sanitaire, de telle manière que les opérations fonctionnelles de l’équipement sanitaire soient réalisées au moyen dune pluralité de pédales (A)(B) et (C) situées au bas de la " cuvette WO (400) , par exemple une première pédale (A) pour assurer par un premier appui l’ouverture de l’ " abattant obturateur " (100) et le développement simultané du " soufflet hygiénique " (300) qui y est associé et par un second appui la fermeture de l’ " abattant obturateur " (100) sur l’ " abattant d’assise " (200) comprimant le " soufflet hygiénique " (300) associé sous l’ " abattant obturateur " (100) et déclenchant automatiquement une vidange de " chasse d’eau " (500) de petit volume réservée à l’évacuation des urines, une deuxième pédale (B) pour provoquer la désolidarisation du " fond de soufflet " (303) de l’ " abattant d’assise " (200) et une dernière pédale (C) pour refermer et rabattre l’ " abattant obturateur " (100) en déclenchant automatiquement et simultanément une vidange de " chasse d’eau " (500) de grand volume réservée à l’évacuation des selles solides.

Description:
LUNETTE DE WC A SOUFFLET HYGIENIQUE

La présente invention concerne une lunette de WC caractérisée en ce qu'elle dispose préférablement entre d’une part l'abattant d’assise et d’autre part le plan du bord supérieur de la cuvette, d’un élément de protection contre les souillures dues aux éclaboussures d’eau et d’urine rendant ainsi l’usage des toilettes plus hygiénique.

En effet, il est connu que la lunette de WC est un accessoire protecteur ayant plusieurs objets dont notamment celui de rendre confortable l’assise de l’usager pour l’évacuation des sellés solides ou l’évacuation des urines pour les femmes, et celui de recouvrir la cuvette pour éviter l’émission et la propagation des projections et miasmes lors de l’écoulement de la chasse d’eau en recourant à un abattant obturateur.

Dans l’usage courant, deux types d’usagers sont amenés à utiliser le même équipement sanitaire : d’une part les hommes dit " usager homme " qui urinent debout et défèquent assis et les femmes dites " usager femme " qui urinent et défèquent de la même manière en position assise.

On inclut également dans ces types d’usagers les enfants et les adolescents de chaque catégorie. La pratique de chacun des types d’usagers étant manifestement différente, il a été relevé depuis de très nombreuses années un problème récurent lié à l’hygiène, qui réside dans le fait que l’homme en position d’uriner debout est amené par négligence ou maladresse ou encore pour d’autres raisons non décrites ici, à uriner hors du réceptacle prévu à cet effet, ou au moins à générer des éclaboussures d’urine sur tout ou partie de l’équipement sanitaire ou de son environnement, souillant ainsi les autres parties auxquelles d’autres usagers sont amenés à porter les mains ou à s’asseoir. Pour limiter de tels effets et rendre confortable l'assise, il existe depuis toujours dans le commerce un accessoire dit " lunette WC ", le plus souvent en matière rigide et notamment en résine ou matière plastique, fixé communément sur la partie principale de l’équipement, dit " cuvette WC ", à l’arrière de l’ espace receveur " conçu pour recevoir et évacuer les urines et autres matières fécales. Cet accessoire est généralement composé de deux abattants dont un dit " abattant d’assise " prévu pour se rabattre sur le pourtour de l’ " espace receveur " et ainsi éviter le contact direct avec cet endroit lorsque l’usager est en position assise et un autre dit " abattant obturateur " constitué d’un plan plein et articulé préférablement sur le même axe que l’ " abattant d'assise " pour se rabattre directement sur ce dernier et fermer ainsi l’ " espace receveur ".

Malheureusement, cet accessoire n’a pu jusqu’ici solutionner complètement ou améliorer sensiblement les problèmes d’hygiène existants dans les lieux d’aisance. En effet, lorsqu’un " usager homme " entre dans un lieu d’aisance pour uriner et qu’il découvre le plus souvent un équipement sanitaire recouvert d’une lunette dont les deux abattants sont fermés, son comportement le plus fréquent et le plus regrettable consiste à relever seulement l’ " abattant obturateur " et uriner directement au travers de l’ " abattant d’assise " ce qui d’une part souille inévitablement cet abattant et crée un véritable problème pour l’usager suivant qui ne peut s’asseoir sur ledit " abattant d’assise " sans préalablement l’essuyer ou le recouvrir. D'autre part façon de faire émet des projections hors de la " cuvette " dans l’environnement directe de l’équipement.

Dans une autre situation, si l’ " usager homme " est plus soucieux du confort des autres, il relèvera les deux abattants simultanément pour uriner directement dans l’ " espace receveur ". Si cette attitude reste préférable à la précédente car l’ " abattant d’assise " est ainsi épargné, il n’en reste pas. moins que des éclaboussures et souillures seront inévitablement provoquées sur le bord de l’ " espace receveur " et parfois même sur le plan inférieur de l’ " abattant d’assise " et de l’ " abattant obturateur " ou autres parties de l’équipement, sans éviter pour autant les projections d’urine hors de l’équipement sanitaire. On remarquera également que contrairement aux conseils du corps médical, la plup •art des u ·sagers ayant accompli leur soulagement activent le/les boutons ou la tirette du réservoir de chasse d’eau immédiatement après s’être essuyé et sans refermer 1 " espace receveur ", ce qui provoque la diffusion hors dudit espace de particules et miasmes vecteurs de maladies.

L’auteur de la présente invention a donc imaginé le dispositif du présent brevet, dont il a défini un certain nombre d’objectifs tels que ci-dessous :

- Contraindre l’usager homme urinant debout à prêter suffisamment attention à l'action qu’il entreprend, en l’obligeant à concentrer son jet d’urine vers le centre de l’ " espace receveur " de la " cuvette WC " au moyen d’un accessoire fixant des limites dans l’ " espace ".

Limiter les projections d’urine sur le sol. - Eviter que l’usager homme ne puisse faire autrement que d’utiliser le dispositif de l’invention.

- Contraindre l’activation de la chasse d’eau exclusivement lorsque l’ " abattant obturateur " est fermé et rabattu sur l’ " abattant d’assise ".

- Limiter les actions manuelles tant dans les déplacements de. l’" abattant obturateur " et de l’ * abattant d’assise " que dans l’actionnement de la chasse d’eau.

- Limiter la consommation d’eau en distinguant les volumes nécessaires à l’évacuation des urines et des selles.

- Limiter les opérations d’entretien des locaux et équipements sanitaires et le remplacement des accessoires du dispositif. L'état de la technique propose de nombreux brevets existants portant sur l'aménagement et le fonctionnement des équipements sanitaires, mais aucun ne fait état des caractéristiques décrites dans le présent brevet notamment celle consistant à limiter et à concentrer le jet d’urine d’un " usager homme " par un accessoire positionné entre les abattants et le bord supérieur de la " cuvette

WC".

Selon le mode de réalisation préféré de l’invention, la " lunette de WC " est constituée de deux abattants superposés dont d’une part un " abattant d’assise " de préférence fabriqué dans un matériau solide et résistant tel que par exemple de la résine ou de la matière plastique, comprenant un espace libre central le traversant de part en part dit " accès d’assise " et d’autre part un " abattant obturateur " de préférence fabriqué dans un matériau solide et résistant tel que par exemple de la résine ou de la matière plastique, consistant en un plan plein de dimensions adaptées pour recouvrir l’ " accès d’assise " de l’ " abattant d’assise " sur lequel il vient se rabattre.

Selon le mode de réalisation préféré de l’invention, l’ " abattant obturateur " et l’ " abattant d’assise " qu’il recouvre, sont articulés autour d’au moins un axe horizontal dit " axe abattant " inclus dans un bloc dit " bloc articulation " conçu pour être rapporté et fixé sur la partie arrière dite " talon cuvette " du plan d’accès dit " accès cuvette " du " corps de cuvette " d’un équipement sanitaire. De préférence, le " bloc articulation " dispose à chacune de ses deux extrémités d’un aménagement permettant sa fixation solide et immuable sur le " talon cuvette ", par exemple un orifice dit " trou de fixation " permettant le passage d’un système d’attache mécanique, ou tout autre dispositif de fixation rapide ou automatique.

Selon le mode de réalisation préféré de l’invention, le " bloc articulation " intègre en plus du ou des " axe abattant ", des moyens mécaniques de recevoir d’une part les extrémités d’un jonc souple fixe préférablement en plastique ou en fibres dit " jonc fixe " et d’autre part les extrémités d’un jonc souple mobile préférablement en plastique ou en fibres dit " jonc articulé ", après que lesdits " jonc fixe " et " jonc articulé " aient été mis en forme d’arc de cercle.

Selon le mode de réalisation préféré de l’invention, les " jonc fixe " et " jonc articulé " sont préférablement en matière plastique ou en fibres et conçus pour être déformés manuellement et aisément pour prendre sous contrainte la forme d’un arc de cercle et reprendre leur rectitude après relâchement.

Selon le mode de réalisation préféré de l’invention, le " bloc articulation " dispose préférablement à proximité de chacune de ses extrémités et sur sa face orientée vers l’ " espace receveur " du " corps de cuvette " , d’au moins un trou dit " réceptacle jonc fixe " à axe perpendiculaire ou incliné par rapport à ladite face, de forme (cylindrique ou autre), dimensions (diamètre et profondeur), positionnement et constitution, adaptés pour recevoir l’extrémité du " jonc fixe ". Ainsi, lorsque le " jonc fixe " est formé manuellement en arc de cercle chacune de ses extrémités est insérée par enfoncement en assemblage serré ou tout autre moyen par exemple par encliquetage, dans chacun des " réceptacle jonc fixe " du " bloc articulation ".

Selon le mode de réalisation préféré de l’invention, le " bloc articulation " est conçu de telle manière qu’il dispose d’un élément dit " support jonc articulé » tournant préférablement autour de l’ " axe abattant ", ledit " support jonc articulé " disposant à un endroit de son plan périphérique d'un trou dit " réceptacle jonc articulé" à axe perpendiculaire ou incliné par rapport à l’ " axe abattant ", de forme (cylindrique ou autre), dimensions (diamètre et profondeur), positionnement et constitution, adaptés pour recevoir l’extrémité du " jonc articulé ". Ainsi, lorsque le " jonc articulé " est formé manuellement en arc de cercle chacune de ses extrémités est insérée par enfoncement en assemblage serré ou tout autre moyen par exemple par encliquetage, dans chacun des " réceptacle jonc articulé " du " support jonc articulé " du " bloc articulation ". Selon le mode de réalisation préféré de l’invention, le " jonc fixe " et le " jonc articulé " sont introduits dans leur forme initiale rectiligne, dans les ourlets inférieur et supérieur d’un soufflet souple dit " soufflet hygiénique ", le " jonc fixe " étant introduit dans l'ourlet inférieur du " soufflet hygiénique " et le " jonc articulé " étant introduit dans l'ourlet supérieur du " soufflet hygiénique ". Une fois introduits dans leur ourlet respectif du " soufflet hygiénique ", le " jonc fixe " , le " jonc articulé " et le " soufflet hygiénique " sont formés manuellement en arc de cercle de telle manière que chacune des extrémités du " jonc fixe " soit introduite dans le " réceptacle jonc fixe " correspondant du " bloc articulation " et chacune des extrémités du " jonc articulé " soit introduite dans le " réceptacle jonc articulé " correspondant du " support jonc articulé " du " bloc articulation ".

Selon le mode de réalisation préféré de l'invention, le " jonc fixe " dont chacune des extrémités est insérée dans un " réceptacle jonc fixe " du " bloc articulation " après avoir été formé en arc de cercle, est positionné de manière fixe et préférablement en appui sur le bord supérieur périphérique de la " cuvette " et sur la quasi-totalité de la périphérie de l’ " espace receveur " de celle-ci, pour maintenir la base du " soufflet hygiénique " de manière fixe et préférablement en contact avec le bord supérieur périphérique de ladite " cuvette ".

Selon le mode de réalisation préféré de l’invention, le " jonc articulé " dont chacune des extrémités est insérée dans un " réceptacle jonc articulé " d’un " support jonc articulé " tournant autour de l’ " axe abattant " du " bloc d’articulation " après avoir été formé en arc de cercle, est articulé autour de l’ " axe abattant " de manière a être introduit et escamoté sur toute sa périphérie à l’intérieur du plan inférieur de l’ " abattant d’assise " et maintenu verrouillé en position au moyen d’un dispositif mécanique, pour maintenir en cette position le bord supérieur du " soufflet hygiénique ". Lorsque l’ abattant d’assise " est en position rabattu sur le bord supérieur périphérique de la " cuvette ", le " soufflet hygiénique " est comprimé entre d’une part le " jonc fixe " plaqué sur le bord périphérique supérieur de la " cuvette " et d’autre part le " jonc articulé " intégré dans la partie inférieure de l’ " abattant d’assise ", laissant ainsi libre accès à un usage en position assise. Lorsque " l'abattant d'assise " est relevé et en position verticale, le " soufflet hygiénique " est développé à la manière d’un accordéon entre d’une part sa base maintenue par le " jonc fixe " plaqué sur le bord supérieur périphérique de la " cuvette " et d’autre part sa partie haute solidarisée avec le plan inférieur de l’ " abattant d’assise " par le * jonc articulé " lui-même verrouillé en position à l’intérieur dudit " abattant d’assise ".

Selon le mode de réalisation préféré de l’invention, le " soufflet hygiénique » est réalisé dans un matériau, des dimensions et une conception adaptés, lui garantissant une parfaite fonctionnalité lorsqu’il est formé en arc de cercle, une résistance optimum à un nombre important de cycles répétitifs de fermeture et de développement, un maintien des caractéristiques techniques fonctionnelles et une efficacité en matière de protection hygiénique. Selon le mode de réalisation préféré de l’invention, le " soufflet hygiénique " est conçu spécifiquement pour présenter lorsqu’il est dans sa position développée, c’est-à-dire base en contact avec la partie supérieure périphérique de la " cuvette " et partie haute solidaire du " plan d’assise " relevé, un orifice d accès dit " accès receveur " de dimensions adaptées ou adaptables pour permettre à l’ " usager homme " quelle que soit sa morphologie, d’uriner debout, au travers dudit " accès receveur " dans l’ " espace receveur " de la " cuvette ".

Selon le mode de réalisation préféré de l’invention, le " soufflet hygiénique » est préférablement conçu pour être jetable après une période d’utilisation préétablie. Il est fabriqué dans une pièce de matière souple et plissée telle que papier, carton, tissu imbibé ou plastifié, matière plastique etc. Fourni préférablement à plat et bordé en partie supérieure et en partie inférieure par un ourlet faisant office de gaine, le " soufflet hygiénique " est installé et remplacé manuellement et aisément en glissant le jonc correspondant à l’intérieur de chacun des ourlets supérieur et inférieur. Le " jonc fixe " est glissé à l’intérieur de l’ourlet inférieur et le " jonc articulé " est glissé à l’intérieur de l’ourlet supérieur du " soufflet hygiéni q ue » . Une fois les joncs placés dans leur ourlet respectif, le " jonc fixe » est manuellement mis en forme d'arc de cercle afin que chacune de ses extrémités soit introduite dans un des " réceptacle joint fixe " du " bloc articulation " et le " jonc articulé " est manuellement mis en forme d'arc de cercle afin que chacune de ses extrémités soit introduite dans un des " réceptacle joint articulé" du " support jonc articulé " du " bloc articulation ". Le " jonc articulé " est alors relevé et intégré à l'intérieur du plan inférieur de l’ " abattant d’assise " dans lequel il est verrouillé en position au moyen d'un élément mécanique prévu à cet effet.

Selon le mode de réalisation préféré de l’invention, l’ " abattant obturateur " est solidarisé et maintenu mécaniquement en position plaqué sur l’ " abattant d’assise " de telle manière que les deux abattants ainsi solidarisés puissent être relevés ou abaissés ensemble manuellement. Lorsqu’un " usager homme " souhaite uriner debout dans l’ " espace receveur " de la " cuvette ", il relèvera simultanément l’ " abattant d’assise " recouvert de * l’abattant obturateur " développant automatiquement le " soufflet hygiénique ". Au terme de l’opération, l’ " usager homme " rabattra simultanément les deux abattants solidarisés avant d’activer la " chasse d’eau ".

Selon un mode de réalisation différent de l'invention, l'une des extrémités du " soufflet hygiénique " déformé en arc de cercle est solidarisée à la face inférieure de l’ " abattant obturateur " et l'autre extrémité du " soufflet hygiénique " est obturée de manière étanche par un plan dit " fond de soufflet ", ledit " fond de soufflet " étant mécaniquement plaqué sur la face supérieure de l’ " abattant d’assise " et maintenu en cette position par un dispositif mécanique.

Selon ce mode de réalisation différent de l’invention, l’ " abattant obturateur " ou l’ " abattant d’assise " dispose en son extrémité d’un élément mécanique pour permettre de désolidariser manuellement le " fond de soufflet" de l’ "abattant d’assise " notamment un bouton poussoir qu’il convient d’enfoncer. L’ " usager femme " ou l’ " usager homme " souhaitant utiliser l’équipement en position assise, relève l’ " abattant obturateur " et le " soufflet hygiénique " qui y est associé et désolidarise le " fond de soufflet " de l’ " abattant d'assise " en appuyant sur le bouton poussoir. Il plaque alors le " fond de soufflet " sur la face inférieure de l’ " abattant obturateur " contre lequel il sera maintenu verrouillé au moyen d'un dispositif mécanique prévu à cet effet.

Selon ce mode de réalisation différent de l’invention, l’ " abattant obturateur ", l’ " abattant d'assise " et le " bloc articulation " sont aménagés pour permettre l’évacuation des urines contenues dans le " soufflet hygiénique " vers l’ " espace receveur " de la " cuvette WC ".

Selon le mode de réalisation préféré de l’invention, l’ " abattant d’assise " dispose en son extrémité d’un élément mécanique pour permettre de désolidariser manuellement l’ " abattant obturateur " de l’ " abattant d’assise " notamment un bouton poussoir qu’il convient d'enfoncer. L’ " usager femme " ou l’ " usager homme " souhaitant utiliser l’équipement en position assise, relèvera les deux abattants solidarisés et appuiera sur le bouton poussoir de l’ " abattant d’assise " afin que ce dernier prenne automatiquement sa position rabattu sur le bord supérieur périphérique de la " cuvette " pour un usage confortable en position assise.

Selon un autre mode de réalisation de l’invention, l’ " abattant obturateur " est conçu et équipé de manière à coopérer avec un dispositif mécanique préférablement associé de manière intégrée ou rapportée au robinet d’arrivée d'eau de la réserve d'eau dite " chasse d’eau ", par exemple un poussoir mécanique, de telle manière qu’ une fois relevé et rabattu contre ladite " chasse d’eau ", l’ " abattant obturateur " interdise l’actionnement de la vidange de celle-ci contraignant ainsi l’usager à rabattre l’ " abattant obturateur " sur la " cuvette WC " avant de pouvoir déclencher la vidange de la " chasse d’eau " quel que soit l’usage qui aura été fait de l’équipement.

Selon un mode de réalisation différent de l'invention, l’ " abattant obturateur " est conçu et équipé de manière à coopérer avec un dispositif mécanique préférablement associé de manière intégrée ou rapportée au robinet d’arrivée d’eau de la réserve d’eau dite " chasse d’eau ", par exemple un poussoir mécanique, de telle manière qu’ une fois relevé et rabattu contre ladite " chasse d'eau ", l’ " abattant obturateur " enclenche automatiquement un dispositif permettant le déclenchement automatique d’une vidange de petit volume réservée à l’évacuation des urines, lorsque les deux abattants associés sont refermés simultanément. Quel que soit l’usage fait, la chasse d’eau est enclenchée lorsque l’ " abattant obturateur " est fermé protégeant ainsi des projections et odeurs.

Selon un autre mode de réalisation de l’invention, l’ " abattant obturateur " et l’ " abattant d’assise " sont conçus et équipés de manière à coopérer avec au moins un dispositif mécanique préférablement associé de manière intégrée ou rapportée au robinet d’arrivée d’eau ou à tout autre endroit de la réserve d’eau dite " chasse d’eau ", de telle manière qu'une fois relevés et rabattus contre ladite " chasse d’eau ", l’ " abattant obturateur " et l’ " abattant d’assise " enclenchent automatiquement un dispositif permettant le déclenchement automatique d’une vidange de petit volume réservée à l’évacuation des urines lorsque les deux abattants associés sont refermés simultanément et le déclenchement automatique d’une vidange de grand volume réservée à l’évacuation des selles solides lorsque l’ " abattant obturateur " est refermé seul après que l’ " abattant d’assise " ait été désolidarisé.

Selon un mode de réalisation différent de l’invention, l’ " abattant obturateur " et l’ " abattant d’assise " sont conçus et équipés de manière à coopérer avec au moins un dispositif mécanique préférablement associé de manière intégrée ou rapportée au robinet d’arrivée d’eau ou à tout autre endroit de la réserve d’eau dite " chasse d’eau " ainsi qu’à la " cuvette " de l’équipement sanitaire, de telle manière que les opérations fonctionnelles de l’équipement sanitaire soient réalisées au moyen dune pluralité de pédales situées au bas de la " cuvette ", par exemple une première pédale pour assurer par un premier appui l’ouverture simultanée des deux abattants associés et par un second appui la fermeture simultanée desdits deux abatants associés avec déclenchement automatique simultané d'une vidange de " chasse d’eau " de petit volume réservée à l’évacuation des urines, une deuxième pédale pour provoquer la désolidarisation i · des deux abattants et une dernière pédale pour refermer et rabattre l’ " abattant obturateur " seul et le déclenchement automatique et simultané d’une vidange de " chasse d’eau " de grand volume réservée à l’évacuation des selles solides.

Selon un autre mode de réalisation de l’invention, l’ " abattant obturateur " et l’ " abattant d’assise " sont conçus et équipés de manière à coopérer avec au moins un dispositif mécanique préférablement associé de manière intégrée ou rapportée au robinet d’arrivée d’eau ou à tout autre endroit de la réserve d’eau dite " chasse d’eau " ainsi qu’à la " cuvette " de l’équipement sanitaire, de telle manière que les opérations fonctionnelles de l’équipement sanitaire soient réalisées au moyen dune pluralité de pédales situées au bas de la " cuvette ", par exemple une première pédale pour assurer par un premier appui l’ouverture de " l’ " abattant obturateur " et le développement simultané du " soufflet hygiénique " entre l’ " abattant obturateur " et l’ " abattant d’assise " et par un second appui la fermeture de l' " abattant obturateur " sur l’ " abattant d’assise " et la compression du " soufflet hygiénique " associé sous l’ " abattant obturateur ", déclenchant automatiquement une vidange de " chasse d’eau " de petit volume réservée à l’évacuation des urines, une deuxième pédale pour provoquer la désolidarisation du " fond de soufflet " de l’ " abattant d’assise " et une dernière pédale pour refermer et rabattre l’ " abattant obturateur " seul et le déclenchement automatique et simultané d’une vidange de " chasse d’eau " de grand volume réservée à l'évacuation des selles solides.

Le dispositif ici décrit dans le cas précis d’une application particulière, n’est en aucune manière limité à cette seule application, il peut être mis en œuvre dans d’autres applications et selon d’autres modes de fabrication par exemple industriels. La description suivante en regard des dessins annexés à titre d'exemples non limitatifs, permettra de mieux comprendre comment l’invention peut être mise en pratique La figure 1 est une vue en perspective d’un équipement sanitaire équipé de la lunette WC de l’invention, montrant le " battant obturateur " et le " battant d’assise désolidarisés et ouverts partiellement pour laisser paraître le " soufflet hygiénique " de protection offert à un " usager homme ".

La figure 2 est une vue en perspective d’un équipement sanitaire équipé de la limette WC de l’invention, montrant le " battant obturateur " et le " battant d’assise désolidarisés et ouverts partiellement sans " soufflet hygiénique " pour laisser paraître les " jonc fixe " et " jonc articulé " installés.

La figure 3 est une vue en perspective d’un équipement sanitaire équipé de la lunette WC de l’invention, montrant le " battant obturateur " partiellement relevé et le " battant d'assise " abaissé pour un usage en position assise de l’équipement sanitaire.

La figure 4 est une vue de détail partielle en perspective montrant un exemple d’articulation d’un " abattant d’assise " intégrant l'articulation d’un " support jonc articulé " d’un " bloc articulation ".

Les figures 5a et 5b sont des vues schématiques de profil d’un équipement sanitaire équipé de la lunette WC de l’invention, montrant le dispositif permettant de bloquer la vidange de la " chasse d’eau " lorsque les " abattant obturateur " et " abattant d’assise " associés sont relevés.

Les figures 6a et 6b sont des vues schématiques de profil d'un équipement sanitaire équipé de la lunette WC de l’invention, montrant le dispositif permettant de désolidariser manuellement l’ " abattant obturateur " de l’ " abattant d’assise " au moyen d'un bouton poussoir, pour permettre à l'usager un usage en position assise.

Les figures 7a, 7b et 7c sont des vues schématiques de profil d'un équipement sanitaire équipé de la lunette WC de l’invention et de pédales pour ouvrir et fermer les abattants solidarisés pour un usage exclusivement réservé aux " usager homme " avec déclenchement automatique d’une vidange de " chasse d’eau " à volume réduit pour l’élimination des urines.

Les figures 8a, 8b et 8c sont des vues schématiques de profil d’un équipement sanitaire équipé de la lunette WC de l’invention et de pédales pour d’une part désolidariser les abattants et d’autre part refermer l’ " abattant obturateur " seul avec déclenchement d’une vidange de " chasse d’eau " de grand volume pour l’élimination des selles solides.

Les figures 9a, 9b, et 9c sont des vues d’un mode de réalisation de l’invention montrant le " soufflet hygiénique " placé entre d’une part l’ " abattant obturateur " et d’autre part l’ " abattant d’assise ". La présente invention vise à rendre l’usage d’un équipement sanitaire de type WC plus hygiénique en limitant et protégeant par une barrière physique et notamment un " soufflet hygiénique " (300) l’espace disponible entre d’une part le bord supérieur périphérique (401) de la " cuvette WC" (400) et le plan inférieur de l’ " abattant d’assise " (200) lorsque ce dernier est relevé et plaqué sur le réservoir de " chasse d’eau ", ne laissant pour seul accès à l’ " espace receveur " (402) de la " cuvette WC " (400) qu’un orifice dit " accès receveur " (301) adapté ou adaptable, réalisé dans ledit " soufflet hygiénique " (300) afin de contraindre un " usager homme " à uriner dans ledit " espace receveur " (402) de la " cuvette WC " (400) sans souiller par ses projections les autres parties de l’équipement et l’environnement. L’équipement et le fonctionnement de la lunette WC de l’invention permettent évidemment à " un usager homme " ou un " usager femme ", l’utilisation en position assise. Des modes de réalisation différents et non limitatifs de l’invention prévoient un usage manuel ou automatique interdisant l’actionnement de la vidange de la " chasse d’eau " (500) lorsque l’ " abattant obturateur " (100) n’est pas rabattu sur l’ " abattant d’assise " de la " cuvette WO (400) pour limiter les projections et les odeurs ou encore l’adaptation des volumes vidangés en fonction des déjections à évacuer.

Selon le mode de réalisation préféré de l’invention, la lunette de WC est constituée de deux abattants superposés à installer sur la " cuvette WC " (400) d'un équipement sanitaire de type WC, dont d’une part un " abattant d’assise " (200) de préférence fabriqué dans un matériau solide et résistant par exemple de la résine ou de la matière plastique, comprenant un espace libre central le traversant de part en part dit " accès d’assise " (204) et d’autre part un " abattant obturateur " (100) de préférence fabriqué dans un matériau solide et résistant par exemple de la résine ou de la matière plastique, consistant en un plan plein de dimensions adaptées pour recouvrir au moins l’ " accès d’assise" (204) de l’ " abattant d’assise " (200) sur lequel il est rabattu. (Voir Fig 1 et 3).

Selon le mode de réalisation préféré de l’invention, l’ " abattant obturateur " (100) et l’ " abattant d’assise " (200) qu’il recouvre, sont articulés indépendamment l’un de l’autre autour d’au moins un axe horizontal dit " axe abattant " (A1) inclus dans un bloc dit " bloc articulation " (205) conçu pour être rapporté et fixé en position sur la partie arrière dite " talon cuvette " (404) du plan d’accès dit " accès cuvette " (402) du corps de cuvette d’un équipement sanitaire de type WC. De préférence, le * bloc articulation " (205) dispose à chacune de ses deux extrémités d’un aménagement (210) permettant sa fixation solide et immuable sur le " talon cuvette " (404), par exemple un orifice dit * trou de fixation " (211) permettant le passage d’un système d’attache mécanique, ou tout autre dispositif de fixation rapide ou automatique. (Voir Fig 4)..

Selon le mode de réalisation préféré de l'invention, le " bloc articulation " (205) intègre en plus du ou des " axe abattant " (A1), des moyens mécaniques de recevoir d’une part les extrémités d’un jonc souple fixe préférablement en plastique ou en fibres dit " jonc fixe " (207) et d'autre part les extrémités d’un jonc « souple m · obile préférablement en plastique ou en fibres dit " jonc articulé "

(202), après que lesdits " jonc fixe " (207) et " jonc articulé " (202) aient été mis en forme d’arc de cercle. (Voir Fig 2)

Selon le mode de réalisation préféré de l’invention, les " jonc fixe " (207) et " jonc articulé " (202) sont préférablement en matière plastique ou en fibres et conçus pour être déformés manuellement et aisément pour prendre sous contrainte la forme d’un arc de cercle et reprendre leur rectitude après relâchement.

Selon le mode de réalisation préféré de l’invention, le " bloc articulation " (205) dispose préférablement à proximité de chacune de ses extrémités et sur sa face orientée vers l’ " espace receveur " (402) de la " cuvette WC " (400) , d’au moins un trou dit " réceptacle jonc fixe " (208) à axe perpendiculaire ou incliné par rapport à ladite face, de forme (cylindrique ou autre), dimensions (diamètre et profondeur), positionnement et constitution, adaptés pour recevoir l’extrémité du " jonc fixe " (207). Lorsque le " jonc fixe " (207) est formé manuellement en arc de cercle, chacune de ses extrémités est insérée par enfoncement en assemblage serré ou tout autre moyen par exemple par encliquetage, dans chacun des " réceptacle jonc fixe " (208) du " bloc articulation " (205). (Voir Fig 2 et 4)

Selon le mode de réalisation préféré de l’invention, le " bloc articulation " (205) est conçu de telle manière qu’il dispose d’au moins deux éléments dits " support jonc articulé" (206) tournant préférablement autour de F * axe abattant " (A1), lesdits " support jonc articulé " (206) disposant à un endroit de leur plan périphérique d’un trou dit " réceptacle jonc articulé" (209) à axe perpendiculaire ou incliné par rapport à l’ " axe abattant " (A1), de forme (cylindrique ou autre), dimensions (diamètre et profondeur), positionnement et constitution, adaptés pour recevoir une extrémité du " jonc articulé " (202). Ainsi, lorsque le " jonc articulé » (202) est formé manuellement en arc de cercle chacune de ses extrémités est insérée par enfoncement en assemblage serré ou tout autre moyen par exemple par encliquetage, dans chacun des " réceptacle jonc articulé " (209) du " support jonc articulé " (206) du " bloc articulation " (205). (Voir Fig 2 et 4).

Selon le mode de réalisation préféré de l’invention, le " jonc fixe " (207) et le " jonc articulé " (202) sont introduits dans leur forme initiale rectiligne, dans les ourlets inférieur et supérieur d’un soufflet souple dit " soufflet hygiénique " (300), le " jonc fixe " (207) étant introduit dans l’ourlet inférieur du " soufflet hygiénique " (300) et le " jonc articulé " (202) étant introduit dans l’ourlet supérieur du " soufflet hygiénique " (300). Une fois introduits dans leur ourlet respectif du " soufflet hygiénique " (300), le " jonc fixe " (207) , le " jonc articulé " (202) et le " soufflet hygiénique " (300) sont formés manuellement en arc de cercle de telle manière que chacune des extrémités du " jonc fixe " (207) soit introduite dans le " réceptacle jonc fixe " (208) correspondant du " bloc articulation " (205) et chacune des extrémités du " jonc articulé " (202) soit introduite dans le " réceptacle jonc articulé " (209) correspondant du " support jonc articulé " (206) du " bloc articulation " (205). (Voir Fig 1, 2 et 4).

Selon le mode de réalisation préféré de l’invention, le " jonc fixe > (207) dont chacune des extrémités est insérée dans un " réceptacle jonc fixe " (208) du " bloc articulation " (205) après avoir été formé en arc de cercle, est positionné de manière fixe et préférablement en appui sur le bord supérieur périphérique (401) de la " cuvette WC " (400) et sur la quasi-totalité de la périphérie de l’ " espace receveur " (402) de celle-ci, pour maintenir la base du " soufflet hygiénique " (300) de manière fixe et préférablement en contact avec le bord supérieur périphérique (401) de ladite " cuvette WC " (400). (Voir Fig 2 et 4).

Selon le mode de réalisation préféré de l’invention, le " jonc articulé " (202) dont chacune des extrémités est insérée dans un " réceptacle jonc articulé " (209) d'un " support jonc articulé > (206) tournant autour de l’ " axe abattant " (A1) du " bloc d’articulation " (205) après avoir été formé en arc de cercle, est articulé autour de l’ " axe abattant " (A1) de manière a être introduit et escamoté sur toute sa périphérie à l’intérieur du plan inférieur de l’ " abattant d'assise " (200) et maintenu verrouillé en position au moyen d'un dispositif mécanique (non représenté), pour maintenir en cette position le bord supérieur du " soufflet hygiénique " (300). Lorsque l’ " abattant d’assise " (200) est en position rabattu sur le bord supérieur périphérique (401) de la " cuvette WC " (400), le " soufflet hygiénique " (300) est comprimé entre d’une part le " jonc fixe " (207) plaqué sur le bord périphérique supérieur (401) de la " cuvette WC " (400) et d’autre part le " jonc articulé " (202) intégré dans la partie inférieure de l’ " abattant d’assise " (200), laissant ainsi libre accès, à un usage en position assise. Lorsque " l’abattant d’assise " (200) est relevé et en position verticale, le " soufflet hygiénique " (300) est développé à la manière d'un accordéon formant une pluralité successive de plis (302) entre d’une part sa base maintenue par le " jonc fixe " (207) plaqué sur le bord supérieur périphérique (401) de la " cuvette WC " (400) et d’autre part sa partie haute solidarisée avec le plan inférieur de l’ " abattant d’assise " (200), par le " jonc articulé " (202) lui-même verrouillé en position à l’intérieur dudit " abattant d’assise " (200). (Voir Fig 1, 2 et 3).

Selon le mode de réalisation préféré de l’invention, le " soufflet hygiénique " (300) est réalisé dans un matériau, des dimensions et une conception adaptés, lui garantissant une parfaite fonctionnalité lorsqu’il est formé en arc de cercle, une résistance optimum à un nombre important de cycles répétitifs de fermeture et de développement, un maintien des caractéristiques techniques fonctionnelles et une efficacité en matière de protection hygiénique.

Selon le mode de réalisation préféré de l’invention, le " soufflet hygiénique " (300) est conçu spécifiquement pour présenter lorsqu’il est dans sa position développée, c'est-à-dire base en contact avec la partie supérieure périphérique (401) de la " cuvette WC " (400) et partie haute solidaire du " plan d’assise " (200) relevé, un orifice d’accès dit " accès receveur " (301) de dimensions adaptées ou adaptables pour permettre à l’ " usager homme " quelle que soit sa morphologie, d’uriner debout, au travers dudit " accès receveur " (301) dans l’ " espace receveur " (402) de la " cuvette WC" (400). (Voir Fig 1). Selon le mode de réalisation préféré de l'invention, le " soufflet hygiénique " (300) est • préférablement conçu pour être jetable après une période d'utilisation préétablie. Il est fabriqué dans une pièce de matière souple et plissée telle que papier, carton, tissu imbibé ou plastifié, matière plastique etc. Fourni préférablement à plat et bordé en partie supérieure et en partie inférieure par un ourlet faisant office de gaine, le " soufflet hygiénique " (300) est installé et remplacé manuellement et aisément en glissant le jonc correspondant à l'intérieur de chacun des ourlets supérieur et inférieur. Le " jonc fixe " (207) est glissé à l’intérieur de l’ourlet inférieur et le * jonc articulé " (202) est glissé à l’intérieur de l'ourlet supérieur du " soufflet hygiénique " (300). Une fois les joncs placés dans leur ourlet respectif, le " jonc fixe " (207) est manuellement mis en forme d’arc de cercle afin que chacune de ses extrémités soit introduite dans un des " réceptacle joint fixe " (208) du " bloc articulation > (205) et le " jonc articulé " (202) est manuellement mis en forme d’arc de cercle afin que chacune de ses extrémités soit introduite dans un des " réceptacle joint articulé" (209) du " support jonc articulé " (206) du " bloc articulation " (205). Le " jonc articulé " (202) est alors relevé et intégré à l’intérieur du plan inférieur de l’ " abattant d’assise " (200) dans lequel il est verrouillé en position au moyen d’un élément mécanique prévu à cet effet (Non représenté). (Voir Fig 2 et 4).

Selon le mode de réalisation préféré de l’invention, l' " abattant obturateur " (100) est solidarisé et maintenu mécaniquement en position plaqué sur l’ " abattant d’assise " (200) de telle manière que les deux abattants ainsi solidarisés puissent être relevés ou abaissés ensemble manuellement. Lorsqu’un " usager homme " souhaite uriner debout dans l’ " espace receveur " (402) de la " cuvette WC "

(400), il relève simultanément l’ " abattant d’assise " (200) recouvert de " l’abattant obturateur " (100) développant automatiquement le " soufflet hygiénique " (300). Au terme de l’opération, l’ " usager homme " rabat simultanément les deux abattants solidarisés avant d’actionner la vidange de la " chasse d’eau ". (Voir Fig 5a et 5b). Selon un mode de réalisation différent de l'invention, l'une des extrémités du " soufflet hygiénique " (300) déformé en arc de cercle est solidarisée à la face inférieure de l’ " abattant obturateur " (100) par un moyen de fixation mécanique permettant de le retirer et le remplacer (non représenté) et l’autre extrémité du " soufflet hygiénique " (300) est obturée de manière étanche par un plan dit " fond de soufflet " (303), ledit " fond de soufflet " (303) étant mécaniquement plaqué sur la face supérieure de l’ " abattant d’assise " (200) et maintenu en cette position par un dispositif mécanique. (Voir Fig 9a et 9b). Selon ce mode de réalisation différent de l’invention, l’ " abattant obturateur " (100) ou l’ " abattant d’assise " (200) dispose en son extrémité d’un élément mécanique pour permettre de désolidariser manuellement le " fond de soufflet " (303) de l’ " abattant d’assise " (200) par exemple sur l’ " abattant d’assise " un bouton poussoir (201) qu’il convient d’enfoncer. L’ " usager femme " ou l’ " usager homme > souhaitant utiliser l’équipement en position assise, relève l’ " abattant obturateur " (100) et le " soufflet hygiénique " (300) qui y est associé, désolidarise le " fond de soufflet " (303) de l’ " abattant d’assise " (200) en appuyant sur le bouton-poussoir (201) et plaque le " fond de soufflet " (303) sur la face inférieure de l’ " abattant obturateur " (100) relevé, contre lequel il sera maintenu verrouillé au moyen d’un dispositif mécanique prévu à cet effet (non représenté). (Voir Fig 9c et 9d).

Selon ce mode de réalisation différent de l’invention, l’ " abattant obturateur " (100), l’ " abattant d’assise " (200) et/ou le " bloc articulation " (205) sont aménagés pour permettre l’évacuation des urines contenues dans le " soufflet hygiénique " (300) vers l’ " espace receveur " (402) de la " cuvette WC " (400).

Selon le mode de réalisation préféré de l’invention, l’ " abattant d'assise " (200) dispose en partie avant libre, d’un élément mécanique pour permettre de désolidariser manuellement l’ " abattant obturateur " (100) de l’ " abattant d’assise " (200) notamment un bouton poussoir (201) qu’il convient d’enfoncer. L’ " usager femme " ou l’ " usager homme " souhaitant utiliser l’équipement en position assise, relève les deux abattants solidarisés et appuie sur le bouton poussoir (201) de l’ " abattant d'assise " (200) afin que ce dernier prenne automatiquement sa position rabattu sur le bord supérieur périphérique (401) de la " cuvette WO (400) pour un usage confortable en position assise. (Voir Fig 6a et 6b).

Selon un autre mode de réalisation de l'invention, l’ " abattant obturateur " (100) est conçu et équipé de manière à coopérer avec un dispositif mécanique (502) préférablement associé de manière intégrée ou rapportée au robinet d'arrivée d'eau (501) de la réserve d’eau dite " chasse d'eau " (500) , par exemple un poussoir mécanique, de telle manière qu' une fois relevé et rabattu contre ladite . " chasse d’eau ", l’ " abattant obturateur " (100) interdise l’actionnement de la vidange de celle-ci contraignant ainsi l’usager à rabattre au moins l’ " abattant obturateur " (100) avant de pouvoir déclencher la vidange de la " chasse d’eau " (500) quel que soit l’usage qui aura été fait de l’équipement. (Voir Fig 5a et 5b).

Selon un mode de réalisation différent de l’invention, l’ " abattant obturateur " (100) est conçu et équipé de manière à coopérer avec un dispositif mécanique (502) préférablement associé de manière intégrée ou rapportée au robinet d'arrivée d’eau (501) de la réserve d’eau dite " chasse d’eau " (500), par exemple un poussoir mécanique, de telle manière qu' une fois relevé et rabattu contre ladite " chasse d’eau ", l’ " abattant obturateur " (100) enclenche automatiquement un dispositif permettant le déclenchement automatique d’une vidange de petit volume réservée à l’évacuation des urines, lorsque les deux abattants sont refermés. Quel que soit l’usage fait, la chasse d’eau est enclenchée lorsque I’ " abattant obturateur " (100) est fermé protégeant ainsi des projections et odeurs. (Voir Fig 5a, 5b)

Selon un autre mode de réalisation de l'invention, l’ " abattant obturateur " (100) et l’ " abattant d’assise " (200) sont conçus et équipés de manière à coopérer avec au moins un dispositif mécanique (502) préférablement associé de manière intégrée ou rapportée au robinet d'arrivée d’eau (501) ou à tout autre endroit de la réserve d'eau dite " chasse d’eau " (500), de telle manière qu'une fois relevés et raba •ttus cont ·re ladite " chasse d’eau" (500), l’ " abattant obturateur" (100) et l’ " abattant d’assise " (200) enclenchent automatiquement un dispositif permettant le déclenchement automatique d’une vidange de petit volume réservée à l’évacuation des urines et/ou le déclenchement automatique d’une vidange de grand volume réservée à l’évacuation des selles solides lorsque les deux abattants sont refermés (Voir Fig 7a et 8a).

Selon un mode de réalisation différent de l’invention, l’ " abattant obturateur " (100) et l’ " abattant d'assise " (200) sont conçus et équipés de manière à coopérer avec au moins un dispositif mécanique (502) préférablement associé de manière intégrée ou rapportée au robinet d’arrivée d’eau (501) ou à tout autre endroit de la réserve d’eau dite " chasse d’eau " (500) ainsi qu’à la " cuvette WC" (400) de l’équipement sanitaire, de telle manière que les opérations fonctionnelles de l’équipement sanitaire soient réalisées au moyen dune pluralité de pédales (A)(B) et (C) situées au bas de la * cuvette WC" (400) , par exemple une première pédale (A) pour assurer par un premier appui l’ouverture simultanée des deux abattants associés et par un second appui la fermeture simultanée desdits deux abatants associés avec déclenchement automatique simultané d’une vidange de " chasse d’eau " (500) de petit volume réservée à l’évacuation des urines, une deuxième pédale (B) pour provoquer la désolidarisation des deux abattants (100) et (200) et une dernière pédale (C) pour refermer et rabattre l’ " abattant obturateur " (100) seul déclenchant automatiquement et simultanément une vidange de " chasse d’eau " (500) de grand volume réservée à l’évacuation des selles solides. (Voir Fig 7a, 7b, 7c, 8a, 8b, 8c).

Selon un autre mode de réalisation de l’invention, l’ " abattant obturateur " (100) et l’ " abattant d’assise " (200) sont conçus et équipés de manière à coopérer avec au moins un dispositif mécanique (502) préférablement associé de manière intégrée ou rapportée au robinet d’arrivée d’eau (501) ou à tout autre endroit de la réserve d’eau dite " chasse d’eau " (500) ainsi qu’à la " cuvette WC " (400) de l’équipement sanitaire, de telle manière que les opérations fonctionnelles de l’équipement sanitaire soient réalisées au moyen dune pluralité de pédales (A)(B) et (C) situées au bas de la " cuvette WO (400) , par exemple une première pédale (A) pour assurer par un premier appui l’ouverture de I' " abattant obturateur " (100) et le développement simultané du " soufflet hygiénique " (300) qui y est associé et par un second appui la fermeture de l’ " abattant obturateur " (100) sur l’ " abattant d’assise " (200) comprimant le " soufflet hygiénique " (300) associé sous l’ " abattant obturateur " (100) et déclenchant automatiquement une vidange de " chasse d'eau " (500) de petit volume réservée à l’évacuation des urines, une deuxième pédale (B) pour provoquer la désolidarisation du " fond de soufflet " (303) de l’ " abattant d'assise " (200) et une dernière pédale (C) pour refermer et rabattre l’ " abattant obturateur " (100) en déclenchant automatiquement et simultanément une vidange de " chasse d’eau " (500) de grand volume réservée à l’évacuation des selles solides. (Voir Fig 9a, 9b, 9c et 9d).