La présente invention concerne un dispositif permettant de mettre face à face des aimants eu électroaimants à l'intérieur d'un tube et/ou boïtier et/ou toute forme de conduit permettant la translation de matis iiqide u gazeuses et/ou en poudre en restant en contact direct avec ces fluides.

Le but de cette invention est de faire baisser les taux d'émission de CO2 et de NO2 résultant de Ea mns4mmatioa des hydrocarbures et dérives d'améliorer le couple teur et de diminuer la consommation de carburant sur tous types de moteurs de brûleur ou tout autre système employant un quelconque carburant.

Depuis de nombreuses années l'utilisation des champs magnétiques est connue pour ses propriétés bénéfiques sur la consommation des hydrocarbures.

Aux Etats-Unis plusieurs brevets ont publié ceux qui s'intéressent à cette technologie ; le brevet U.S. N° 4.60.498 de Peter KULICH du 12/08/86 : un traitement par concentfation magnétique des hydrocarbures passant dans des tuyaux. Des aimants orientés de façon appro priée sont placés à l'intérieur d'une gaine possédant une ouverture centrale et qui est réparée en au moins deux parties, leur permettant d'être fixées autour d'un tuyau par de petites attaches ; cette façon de faire place les aimants à l'extérieur de la tuyauterie d'alimentation.

Sautes brevets américains font état de supports onques en plusieurs parles. Les différents systèmes décrits dans ce brevet sont difficiles à placer correctement, ils demandent une marge d'erreur et beaucoup d'essais. Ce système d'assemblage de pièces peut provoquer des cassures et aussi de la corrosion. Ils sont de plus difficiles à installer par une seule person surtout sur les engins où le tuyau de carburant est difficile à atteindre.

Le e brevet américain N° 337.148 présente les mêmes inconvémients et son système de fixation ne garantst pas la fiabilité du champ magnétique. Le brevet Fr. N° 9801568 comporte certains inconvénients majeurs, en effet son efficacité est fnacdon du diamètre du tuyau qui le traverse, il est donc difficile de calculer la durée de passage du carburant dans le champ magnétique et son système de SxatieB peut rendre ce te peu fiable voire même daigw= « Le brevet N° 011079 de Didier HENICKE prévoit de disposer quatre aimants en croix autour d'un tube dans lequel il a usiné une chambre magnétique dans laquelle il fait passer le carburant. Les aimants se situent à l'extérieur de l'appareil et non au contact du flux à iomssr- De plus, p ! acë à l'extérieur ils subissent tous les chocs thermiques ce qui les fragilisent dans le temps. il utilise des aimants en ferrite puisqu'il les situe à une résistance thermique supérieure à à 200°. Ces aimants étant les plus faibles des 3 aimantations connues la ionisation ne peut en F cas être assez puissante.

Theone de fonctionnement : La théorie de fonctionnement de cette invention repose sur l'utilisation des champs magnétiques, qu'il soit obtenue par écrasement avec deux aimants ou électro-aimant ou en crois avec quatre aimants ou électroaimants et/ou tout autre combinaison en 6, 8 et/ou tout X nombre d'aimant ou d'éloctmaimants disposés en opposition Nord Nord qui font subir aux flux traversant leur champ les effets du diamagnétisme.

Diamagnétisme : propriété des substances dont l'alimentation induite, en général très faible, est du sens contraire à celui du champ inducteur. Le diarnagnétisme s'applique parfaitement aux hydrocarbures et à leurs dérivés.

Conséquence : Les atomes qui possèdent un nombre pair de protons et/ou de neutrons auront leur spin chaotique mniid modifié et aligné s'ils sont soumis à un champ magnétique externe important. Travaux de Monsieur Félix BLOCH et Edward PURCEL, Prix Nobel de physique 1946.

Il a été démontré par USMANOV (ex URSS) que les molécules organiques incluant les hydrocarbures et les vapeurs d'alcool sont très sensibles au diamagtiédsme et que les effets scsi conservés quelques temps après la disparition du champ magnétique. La modification introduite par le champ magnétique agit plus particulièrement sur certaines chaînes carbonées.

Il s'agit des composés aromatiques tels que benzène, toluène, xylène et/ou N-octane qui se trouve en abondance dans les carburants. Ces molécules sont plates et comprennent un anneau d'atomes de carbone associés à des atomes d'hydrogène qui se situe à l'extérieur de l'anneau.

Examinons le premier d'entre eux, le benzène dont la formule est C6 H6. Lorsqu'un CHAMP MAGNETIQUE INTENSE est imposé à une molécule de benzène, les électrons sont extraits des atomes de carbone de l'anneau et un contact électrique non nAgligeable circule dans celui-ci provoqué par le déplacement des électrons. Caci créé selon la loi de LENZ une force électromotrice qui s'oppose aux forces attachant les atomes d'hydrogène aux atomes de carbone. Par n thermique normale et l'agitation mécanique les molécules se heurtent et les atomes d'hydrogène peuvent sortir tacitement de la molécule principale sans leur électron périphérique qui circule maintenant dans l'anneau. Cela créé un ion hydrogène positif. Cette modification de comportement ionique est appelée ionisation positive. Si le processus continue, les atomes de carbone sont également libérés.

Les effets du diamagnétisme modifient le processus normal pendant la combustion puisque les ions d'aydrogene supplémentaires ont tendances à se combiner plus facilement avec les tons rets de l'oxygène. Cette combinaison donne de l'eau (HO2) et diminue donc la création de dioxyde de carbone (CO2) et du dioxyde d'Azote (NO2). Ainsi la quantité d'oxygène qui auch été udlisé pour créer ces oxydes s'associe avec l'hydrogène, sugmentani la catian. d'eau mais diminuant les émanations de CO2 et de N02 et dXAzo. Ces oxydes ayant une valent. plus élevée, il y a moins d'énergie absorbée pour les créer : la combustion est done pius efficace. Ceci a été mis en évidence par les résultats des essais effectués par le WAR% £N SPRING LABORATORY (Laboratoire de l'Environnement du Ministère du Commerce et de l'Industrie Britannique).

Descriptif de rînvenutm : La présente invention concerne un appareil destiné à recevoir des aimants à plat de m le à l'intérieur d'un corps et en opposition afin d'y ioniser le Sus qus selle entre eux avec un maximum de puissance et d'eflicacitF dues à leur proximité de ce flux. Le principe est de monter des abnants etlcou électroaimants à l'intérieur du corps d'un appareil, en contact direct avec le flux à ioniser ou au travers d'une très fine paroi collée à la source magnétique afin que la température du flux en présence physique des aimants modère la chaleur à laquelle ils sont confrontés dans le milieu ambiant sous capot. Cet appareil peut être selon sa destination composé de diverse façon dont trois essentiels ont été retenues

toujours tenant compte du fA que le montage des aimants se fasse à l'intérieur. Les trois modes de réalisations particulières de base retenues sont : t appareil se présentant comme un tube rectangulaire divisé en trois compartiments dans le sens de la largeur et sur toute la longueur. Les compartiments 1 et 3 sont destinés à recevoir les aimants en nombre différent et suffisant selon la longueur de l'appareil mais disposé de façon à ce qu'il soit en opposition avec le compartiment central placé entre eux (figure 1a par ou ts e r7uX 2/ Un appareil se présentant comme un tube dont la section représente une croix (figure 2a) les 4'branches de la croix sont remplies par quatre aimants ou electroaiïcants place en opposition, le centre étant réservé au passage du flux dans cette chambre de ionisation.

Ces deux premiers dispositifs sont fermés à chaque bout par des flasques injectés et/ou embouts evou collés et/ou soudés et/ou clipés et/ou maintenus par tout autre moyen qui leurs assurent une totale étanchéité. Le tut est glissé dans un tube qui peut ou non être destiné à faire office de cage de FARADAY. Entre l'appareil et le tube il peut exister une couche d'air ou un vide d'air qui ralenti la transmission de ! a chaleur externe ambiante.

3 Un troisième appareil plutôt destiné aux engins spéciaux et d'une taille plus importante. Il se compose de deux demi cylindres au centre desquels il a été pratiqué des niches destinés à wir les aimants ou électroaimant disposés en opposition. Ces deux demi cylindre est joint hermétiquement grâce à un joint torique et deux rangées de boulons, deux flasques ferment la sortie et sont vissées à chaque bout du boîtier. Le tout est glissé dans une cage de FARADAY et des sorties filetées sont pries sur chacun de ces fiasques afin de faciliter le raccordement.

DESCRIPTION GENERALE Le dispositif est formé d'un appareil central permettant de recevoir deux aimants en les mettant en opposition (figure 1) ou quatre aimants en opposition (figure 2) en les mettant au contact du flux à ioniser afin d'obtenir le maximum d'efficacité. Entre ces aimants et ces électroaimants il est laissé un espace calculé qui sert de chambre de magnétisation. L'appareil central contenant les aimants s'encastre da ns un tube faisant office ou non de cage de Faraday selon utilisation de l'appareil.

Entre l'appareil central muni ou non de sa cage de Faraday et le tube extérieur qui peut servir de cage de Faraday dans le cas où l'appareil central n'en n'est pas muni il est aménagé un vide d'air destiné à freiner la chaleur ambiante sous capot. Le flux à ioniser étant en contact physique avec les aimants, il les tempère.

Dans la figure 1 le corps central qui contient les aimants est muni en son pourtour d'ailettes lui permettant de s'intégrer dans le tube métallique faisant office de cage de Faraday Dans la figure 2 le corps central contenant les aimants est encastré dans une cage de Faraday métallique de bout en bout (mise de côté dans le dessin) Le tout est glissé dans un tube. Deux flasques viennent s'encastrer l'dans le corps contenant les aimants 2° dans et sur le tube.

Dans la figure 3 on voit nettement le débordement des flasques sur le tube.

Dans la figure 4 l'appareil central s'encastre dans les flasques qui débordent du tube faisant office de double bouchon d'étanchéité, tant envers le corps qu'envers le tube.

Les flasques sont garnies de pipettes de sortie et/ou de collerettes filetées ou non selon besoin et/ou de tout autre moyen destiné à faciliter l'entrée et la sortie du flux.

La figure 1 décrit : A-Corps de l'appareil, muni d'ailettes externes, destiné à recevoir les aimants.

B-Les aimants C-Tube faisant office de cage de Faraday D-Flasques E-Embouts pipettes La figure 2 décrit : A-Cage de Faraday venant envelopper le corps de l'appareil B-Corps de l'appareil destiné à recevoir les aimants C-Tube extérieur.

D-Flasques E-Embouts pipettes F-Aimants La figure 3 décrit : A-Appareil fini muni d'embouts pipettes B-Appareil fini muni d'embouts à collerettes filetées ou non La figure 4 décrit : A-Corps de l'appareil B-Aimants C-Coquille extérieure faisant office de cage de Faraday D-Flasque avec sorties pipettes ou filetées La figure 5 décrit : A-Demi-cylindres B-Les aimants C-Niche en attente d'aimants D-Flasques à embouts filetés E-Tube extérieur faisant office de cage de Faraday F-Boulons d'assemblage Ci-Joints toriques H-Vis de fixation des flasques