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Title:
HELMET SUPPORT ASSEMBLY, AND HELMET
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2023/161590
Kind Code:
A1
Abstract:
The invention relates to an assembly comprising a helmet (2) for protecting the head of a user, and a helmet support (3) intended to be fastened to a bicycle or a scooter, the support (3) comprising a base (4) having, on one side, a shape matching an inner portion of the helmet (2) in order to be covered by the helmet (2) in a storage position, the base (4) being connected, on an opposite side, to a body (5) for fastening to the bicycle or the scooter, the support (3) comprising means (14) for locking the storage position of the helmet (2), which means can be actuated remotely by a smartphone. According to the invention, the base (4) comprises a through-stem (6) terminated by a handle (6a) intended to pass through a corresponding opening (7), formed in a bottom or top of the helmet (2) when the helmet (2) is in the storage position, the stem (6) and the base (4) being mounted pivotably relative to each other about the axis of the stem (6) so as to change from a release position, in which the handle (6a) is free to pass through the opening (7), to a blocking position for locking the helmet (2) in the storage position, and the locking means (14) being able to block the rotation of the stem (6) with respect to the base (4) in order to lock the blocking position.

Inventors:
HAMZAOUI ELIÈS (FR)
Application Number:
PCT/FR2023/050256
Publication Date:
August 31, 2023
Filing Date:
February 23, 2023
Export Citation:
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Assignee:
ON BOARD HELMET (FR)
International Classes:
A42B3/00; A42B3/04; B62H5/00; B62J11/24; B62K3/00
Foreign References:
US20210179220A12021-06-17
EP3841903A12021-06-30
US20210206445A12021-07-08
CN111980500A2020-11-24
CN111980500A2020-11-24
US20210179220A12021-06-17
Attorney, Agent or Firm:
SEMAOUNE, Idriss et al. (FR)
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Claims:
Revendications

[Revendications 1] Ensemble (1 ) comprenant un casque (2) de protection de la tête d’un utilisateur, et un support de casque (3) destiné à se fixer sur un vélo ou une trottinette, le support (3) comprend un socle (4) présentant d’un côté une forme complémentaire à une portion interne du casque (2) pour être coiffé par le casque (2) en position de rangement, le socle (4) étant relié d’un côté opposé à un corps de fixation (5) au vélo ou à la trottinette, le support (3) comprend des moyens de verrouillage (14) de la position de rangement du casque (2), actionnables à distance par un téléphone intelligent, caractérisé le socle (4) comprend une tige (6) traversante et terminée par une poignée (6a) destinée à traverser une ouverture (7) correspondante ménagée dans un fond ou sommet du casque (2) lorsque le casque (2) est en position de rangement, la tige (6) et le socle (4) sont montés pivotants relativement l’un par rapport à l’autre autour de l’axe de la tige (6) de sorte à passer d’une position de libération dans laquelle la poignée (6a) est libre de traverser l’ouverture (7), à une position de blocage verrouillant le casque (2) en position de rangement, et en ce que les moyens de verrouillage (14) sont aptes à bloquer la rotation de la tige (6) par rapport au socle (4) pour verrouiller la position de blocage.

[Revendications 2] Ensemble (1 ) selon la revendication 1 , caractérisé en ce qu’il comprend des moyens d’identification disposés sur ou à proximité du support de casque (3), et correspondant à un support de casque (3) identifié dans une base de données, les moyens d’identification étant lisibles par une caméra d’un téléphone intelligent connecté à la base de données, les moyens de verrouillage (14) étant aptes à être actionnés par un signal émis par le téléphone intelligent après avoir identifié le support de casque (3).

[Revendications 3] Ensemble (1 ) selon la revendication 1 , caractérisé en ce que les moyens de verrouillage (14) sont sous la forme d’une gâche électrique (14a) adaptée pour recevoir un élément (15) solidaire en rotation avec la tige (6) ou le socle (4).

[Revendications 4] Ensemble (1 ) selon la revendication 1 , caractérisé en ce que support (3) comprend une carte électronique équipée de moyens de communication sans fil de sorte à pouvoir recevoir un signal de déverrouillage/verrouillage émis par le téléphone intelligent, la carte électronique est configurée pour actionner les moyens de verrouillage (14) en fonction du signal reçu.

[Revendications 5] Ensemble (1 ) selon la revendication 1 , caractérisé en ce que le socle (4) et la tige (6) sont montés coulissants relativement l’un par rapport à l’autre, et à l’encontre d’un organe élastique (8) tendant à ramener la tige (6) à l’intérieur du socle (4).

[Revendications 6] Ensemble (1 ) selon la revendication 5, caractérisé en ce que le socle (4) comprend une nervure (4a) guidant le coulissement de la tige (6) et destinée à pénétrer dans l’ouverture (7) du casque (2) en position de rangement, afin d’empêcher une rotation du casque (2) autour de la tige (6)

[Revendications 7] Ensemble (1 ) selon la revendication 4, caractérisé en ce que le support (3) comprend des moyens de détection d’un état verrouillé ou déverrouillé des moyens de verrouillage (14), connectés à la carte électronique qui est configurée pour envoyer un signal d’état à un téléphone intelligent.

[Revendications 8] Ensemble (1 ) selon la revendication 4, caractérisé en ce que le support (3) comprend des moyens de détection de la position de rangement du casque (2), connectés à la carte électronique qui est configurée pour envoyer un signal de présence à un téléphone intelligent.

[Revendications 9] Ensemble (1 ) selon la revendication 8, caractérisé en ce que les moyens de détection sont un capteur à effet hall positionné sur la tige (6) et destiné à coopérer avec un élément complémentaire positionné sur le socle (4) lorsque le casque (2) est en position de rangement.

[Revendications 10] Ensemble (1 ) selon la revendication 1 , caractérisé en ce que le corps de fixation (5) est en deux parties (5a, 5b) verrouillables l’une à l’autre et de part et d’autre d’une partie fixe du vélo ou de la trottinette.

Description:
Description

Titre de l’invention : Ensemble de support de casque, et casque

Domaine technique

[0001] L’invention se rapporte au domaine technique des vélos ou trottinettes, et concerne plus particulièrement un ensemble de support de casque, et casque, destiné à se fixer sur les vélos ou trottinettes, ou plus généralement sur tout type de véhicule pour mobilité douce nécessitant le port d’un casque pour sa conduite, par exemple draisienne ou autre.

[0002] L’invention trouve une application avantageuse dans le domaine des véhicules dits partagés, sans que cela ne soit limitatif.

Art antérieur

[0003] Il est connu de l’art antérieur le document CN111980500 qui décrit un ensemble comprenant un casque de protection de la tête d’un utilisateur, et un support de casque destiné à se fixer à un vélo.

[0004] Le support comprend notamment un socle présentant, d’un côté, une forme complémentaire à une portion interne du casque pour être coiffé par le casque en position de rangement, et le socle étant relié, d’un côté opposé, à une sorte de panier formant un corps de fixation au vélo.

[0005] À l’instar de la présente invention, l’ensemble est destiné à équiper des vélos dits « partagés » c’est-à-dire en location libre-service, notamment en milieu urbain.

[0006] Ainsi, l’ensemble décrit dans ce document permet de mettre à disposition un casque, aussi partagé, pour les utilisateurs de ces vélos.

[0007] Afin d’assurer le maintien en position du casque, et pour éviter tout vol, ce document décrit que le support comprend des moyens de verrouillage de la position de rangement du casque, actionnables à distance par un téléphone intelligent.

[0008] Plus précisément, ce document décrit que le support comprend deux tiges escamotables latéralement pour s’insérer dans des orifices complémentaires prévus à cet effet dans une portion interne inférieure du casque. [0009] Les tiges sont escamotées par un système de pignons et crémaillères, entraîné par un moteur électrique, lequel moteur est piloté à partir d’informations émises par le téléphone intelligent de l’utilisateur.

[0010] Cependant, ce type d’ensemble est complexe, encombrant et onéreux, et nécessite de réaliser des modifications structurelles lourdes sur le casque pour le rendre compatible avec le support.

[0011] Par ailleurs, l’autonomie de cet ensemble peut encore être améliorée afin de pouvoir garantir le plus grand nombre d’utilisations possibles, avant de nécessiter un rechargement.

[0012] Il est également connu le document US2021/0179220A1 qui décrit un ensemble comprenant un casque de protection de la tête d’un utilisateur, et un support de casque destiné à se fixer sur un vélo ou une trottinette. Dans ce document, le support comprend un socle et des moyens de verrouillage d’une position de rangement du casque, actionnables à distance par un téléphone intelligent. Le socle comprend une tige destinée à traverser une ouverture correspondante ménagée dans le casque lorsque le casque est en position de rangement. Cet ensemble peut encore être amélioré.

[0013] S’agissant du casque, celui-ci comprend de manière générale une coque de protection rigide, revêtue intérieurement d’une mousse de confort. Ce type de casque n’est pas adapté en termes d’hygiène pour le domaine des casques partagés, ni ne présente une bonne recyclabilité.

Exposé de l’invention

[0014] L’un des buts de l’invention est donc de pallier les inconvénients de l’art antérieur en proposant un ensemble de support de casque, et casque, qui soit de conception simple, fiable et économique, tout en présentant un encombrement relativement faible.

[0015] Un autre objectif de l’invention est de proposer un ensemble de support de casque qui puisse s’adapter facilement sur tout type de véhicule pour mobilité douce, et dans plusieurs configurations possibles. [0016] Un autre objectif de l’invention est de fournir un tel ensemble qui soit autonome en énergie et avec une consommation faible pour garantir le plus d’utilisations possibles avant rechargement.

[0017] Un autre objectif de l’invention est de fournir un tel ensemble qui nécessite peu de modifications structurelles sur le casque afin de rendre l’ensemble davantage économique.

[0018] À cet effet, il a été mis au point un ensemble conforme à celui de l’état de la technique en ce qu’il comprend un casque de protection de la tête d’un utilisateur, et un support de casque destiné à se fixer sur une partie d’un vélo ou d’une trottinette. Le support comprend un socle présentant, d’un côté, une forme complémentaire à une portion interne du casque pour être coiffé par le casque en position de rangement, et le socle étant relié, d’un côté opposé, à un corps de fixation au vélo ou à la trottinette. Le support comprend également des moyens de verrouillage de la position de rangement du casque, actionnables à distance par un téléphone intelligent.

[0019] Selon l’invention, le socle comprend une tige qui est traversante et terminée par une poignée. La poignée est destinée à traverser une ouverture correspondante qui est ménagée dans un fond ou sommet du casque lorsque le casque est en position de rangement. La tige et le socle sont montés pivotants relativement l’un par rapport à l’autre, et autour de l’axe de la tige, de sorte à passer d’une position de libération dans laquelle poignée est libre de traverser l’ouverture à une position de blocage verrouillant le casque en position de rangement. Par ailleurs, les moyens de verrouillage sont aptes à bloquer la rotation de la tige par rapport au socle pour verrouiller la position de blocage.

[0020] De ce qui précède, la conception est simple, robuste, et peu encombrante. L’encombrement du support n’est pas plus grand que celui du casque, et est même logé à l’intérieur du casque lorsque le casque est fixé sur le support. De cette manière, l'invention permet de proposer un ensemble de support de casque qui puisse s’adapter facilement sur tout type de véhicule pour mobilité douce, et dans plusieurs configurations possibles. L’invention s’adapte aussi bien sur les véhicules partagés que sur les véhicules des particuliers. [0021] Le verrouillage est manuel et d’utilisation simple. Pour verrouiller le casque, il suffit de l’insérer autour de la tige et de pivoter relativement la tige par rapport au socle, par exemple d’un quart de tour. Seul le verrouillage et le déverrouillage de la position de blocage est électronique de sorte que l’ensemble consomme très peu d’énergie.

[0022] Selon une forme de réalisation particulière, l’ensemble comprend des moyens d’identification disposés sur ou à proximité du support, par exemple directement sur le vélo ou la trottinette, lesquels correspondent à un support de casque identifié dans une base de données. Les moyens d’identification sont lisibles par une caméra d’un téléphone intelligent connecté à la base de données, et les moyens de verrouillage sont aptes à être actionnés par un signal émis par le téléphone intelligent après avoir identifié le support de casque.

[0023] De cette manière, le déverrouillage/verrouillage est simple, et peut être authentifié et horodaté dans la base de données.

[0024] Les moyens de verrouillage sont de tous types appropriés, par exemple ils sont sous la forme d’une gâche électrique adaptée pour recevoir et verrouiller un élément, par exemple un doigt, solidaire en rotation avec la tige ou le socle.

[0025] Afin d’être moins énergivore, l’ensemble comprend une carte électronique équipée de moyens de communication sans fil, par exemple du type Bluetooth®, ou par radiofréquence, de préférence sur un réseau étendu à longue portée, ou sur la bande de fréquences de 433 MHz, ou encore utilise la modulation de fréquence LoRa. Il est ainsi possible d’obtenir une communication sans fil peu onéreuse, peu énergivore, peu encombrante. La carte électronique est alors apte à recevoir un signal de déverrouillage/verrouillage émis par le téléphone intelligent, et la carte électronique est configurée pour actionner les moyens de verrouillage en fonction du signal reçu. Les moyens de communication lorsqu’ils sont de type Bluetooth® sont utilisés de préférence en mode « basse énergie » (en anglais Bluetooth Low Energie) qui utilise un mode appelé en anglais « advertsing » qui envoi en basse fréquence toute les demi seconde pour ne pas consommer trop d’énergie.

[0026] De préférence, le socle et la tige sont montés coulissants relativement l’un par rapport à l’autre, et à l’encontre d’un organe élastique tendant à ramener la tige à l’intérieur du socle. [0027] Ainsi, le casque est maintenu fermement contre le socle en position de rangement, ce qui permet d’éviter que le casque ne vibre lorsque le vélo ou la trottinette est en circulation.

[0028] De préférence, le socle comprend une nervure guidant le coulissement de la tige et destinée à pénétrer dans l’ouverture du casque en position de rangement, afin d’empêcher une rotation du casque autour de la tige.

[0029] Avantageusement, le support comprend des moyens de détection d’un état verrouillé ou déverrouillé des moyens de verrouillage, connectés à la carte électronique qui est configurée pour envoyer un signal d’état à un téléphone intelligent.

[0030] De la même manière, le support comprend des moyens de détection de la position de rangement du casque, connectés à la carte électronique qui est configurée pour envoyer un signal de présence à un téléphone intelligent.

[0031] Dans cette configuration, les moyens de détection sont par exemple un capteur à effet hall positionné sur la tige et destiné à coopérer avec un élément complémentaire positionné sur le socle lorsque le casque est en position de rangement.

[0032] Le corps de fixation est adapté pour se fixer sur tout type de vélo ou trottinette. Il peut être réalisé sur-mesure ou faire partie intégrante d’une gamme de vélo ou trottinette. De préférence, le corps de fixation est en deux parties verrouillables l’une à l’autre, et de part et d’autre d’une partie fixe du vélo ou de la trottinette, telle qu’une portion d’un cadre ou d’un guidon par exemple. La fixation est simple, la partie du vélo ou de la trottinette se retrouve enserrée entre les deux parties du corps de fixation, à la manière d’un étau.

Brève description des dessins

[0033] [Fig.1] est une vue en perspective d’un ensemble de support de casque, et casque selon la présente invention, fixé au cadre d’une trottinette.

[0034] [Fig. 2] illustre le support comprenant un corps de fixation en deux parties fixées de part et d’autre du cadre de la trottinette.

[0035] [Fig. 3] est une vue en perspective du support seul. [0036] [Fig. 4] est une vue en coupe longitudinale d’une première forme de réalisation du socle.

[0037] [Fig. 5] est une vue similaire à celle de la figure 4, la tige étant coulissée et tirée vers le haut.

[0038] [Fig. 6] est une vue similaire à celle de la figure 5, vue en perspective, la tige étant dans une position de libération dans laquelle la poignée est libre de traverser l’ouverture ménagée dans le casque.

[0039] [Fig. 7] est une vue similaire à celle de la figure 6, la poignée étant pivotée d’un quart de tour dans une position de blocage du casque.

[0040] [Fig. 8] illustre le casque en perspective vue de dessus.

[0041] [Fig. 9] illustre le casque en perspective vue de dessous.

Description détaillée de l’invention

[0042] En référence à la figure 1 , l’invention concerne un ensemble (1 ) comprenant, d’une part, un casque (2) de protection de la tête d’un utilisateur circulant à vélo ou à trottinette et, d’autre part, un support de casque (3) destiné à être fixé au vélo ou à la trottinette.

[0043] L’invention vise notamment à fournir un casque (2) dont le support (3) est destiné à équiper des vélos ou trottinettes ou tout autre véhicule pour mobilité douce, tel qu’une draisienne par exemple. L’application peut concerner aussi bien les véhicules partagés que les véhicules de particuliers. Le casque qui sera décrit a été développer pour faciliter l’usage partagé, mais ne se limite pas à cet usage.

[0044] Par « partagé », on entend le fait bien connu que ces véhicules pour mobilité douce sont à usage collectif, par exemple dans une flotte d’entreprise, ou à usage public en libre-service, gratuitement ou à la location. Ce type de véhicule est plus particulièrement rencontré soit comme moyen de circulation intra entreprise, soit en milieu urbain.

[0045] L’invention vise à fournir un tel ensemble (1) qui soit de conception simple, fiable, peu encombrante et économique, tout en ayant un fonctionnement autonome et à faible consommation pour garantir le plus grand nombre d’utilisations avec la charge électrique disponible. L’intérêt de l’invention réside également dans le fait que la fixation du support sur le véhicule est simple, rapide, et adaptable à tout type de véhicule. La solution proposée est dite « clé en main ».

[0046] D’une manière connue, et en référence aux figures 2 à 7, le support (3) comprend un socle (4) présentant, d’un côté, une forme complémentaire à une portion interne du casque (2) de manière à pouvoir, en position de rangement du casque (2), le positionner sur le support (3) en venant le coiffer avec le casque (2).

[0047] D’un côté opposé à la forme de réception du casque (2), le socle (4) est relié à un corps de fixation (5) à une partie du vélo ou de la trottinette, généralement le cadre, le guidon, la selle, le porte bagage, ou toute autre partie fixe du vélo ou de la trottinette, par exemple sur un tube de fourche.

[0048] Le corps de fixation (5) peut être de tous types appropriés, l’essentiel réside en ce qu’il assure une fixation fiable et robuste au vélo ou à la trottinette, en évitant de préférence les possibilités de vandalisme, ou de vol.

[0049] Le corps de fixation (5) peut être réalisé sur mesure pour une gamme de vélo ou de trottinette particulière, ou bien peut directement faire partie intégrante dudit vélo ou de ladite trottinette.

[0050] Selon une forme de réalisation particulière, notamment celle illustrée aux figues 1 et 2, le corps de fixation (5) est en deux parties (5a, 5b), verrouillables l’une à l’autre, et de part et d’autre d’une partie fixe du vélo ou de la trottinette, afin de la prendre en étau et d’assurer le verrouillage.

[0051] Par exemple, les deux parties (5a, 5b) du corps de fixation (5) forment deux demi-coquilles, laissant entre elles un espace cylindrique pour recevoir une partie d’un cadre ou d’un guidon et s’y fixer autour. L’une des parties (5a) peut faire partie intégrante du socle (2). Le verrouillage des deux parties (5a, 5b) l’une à l’autre s’effectue par tous moyens appropriés, par exemple par vissage, éventuellement avec des vis présentant une tête avec une empreinte destinée à coopérer avec un outil spécifique, non disponible sur le marché, pour diminuer les risques de démontage intempestif.

[0052] Cette forme de réalisation présente l’avantage de pouvoir assurer le montage du support (3) sur une flotte de vélos ou de trottinettes déjà existante, sans impliquer une quelconque modification structurelle des vélos ou des trottinettes. [0053] Bien entendu, d’autres types de corps de fixation (5) peuvent être imaginés, sans sortir du cadre de l’invention.

[0054] En référence aux figures 2 à 7, et afin d’assurer le maintien en position du casque (2) sur son support (3), le socle (4) comprend une tige (6) traversant le socle (4) de forme générale hémisphérique, notamment au niveau du pôle ou d’une partie supérieure du socle (4), et est terminée par une poignée (6a) sous la forme d’une anse ou d’une boucle destinée à traverser une ouverture (7), voir figures 1 et 8, correspondante ménagée dans un fond du casque (2) lorsque le casque (2) est en position de rangement.

[0055] De cette manière, la mise en place du casque (2) sur le socle (4) du support (3) est simple et rapide, il suffit en quelque sorte devenir embrocher le casque (2) sur le socle (4), avec la tige (6) traversant l’ouverture (7) correspondante ménagée au sommet du casque (2).

[0056] L’intérêt de l’invention est que cette structure est de conception simple et fiable, et nécessite peu, voire pas, de modification structurelle sur le casque (2). En pratique, l’ouverture (7) ménagée au niveau du sommet du casque (2) peut faire office d’ouverture d’aération habituellement présente sur le casque (2).

[0057] Afin de verrouiller en position le casque (2), la tige (6) et le socle (4) sont montés pivotants, par exemple d’un quart de tour, relativement l’un par rapport à l’autre autour de l’axe de la tige (6). Ainsi, le pivotement de la tige (6) ou du socle (4) permet de passer d’une position de libération, voir figure 6, dans laquelle la poignée (6a) est libre de traverser l’ouverture (7) pour pouvoir insérer ou retirer le casque (2), à une position de blocage, voir figure 7, dans laquelle la poignée (6a) fait obstacle au retrait ou à l’insertion du casque (2).

[0058] Selon la forme de réalisation illustrée aux figures 4 à 7, le socle (4) est fixe, et c’est la tige (6) qui est montée pivotante pour passer de la position de libération à la position de blocage. La manipulation pour l’utilisateur est simplifiée. L’inverse, c’est- à-dire la tige (6) fixe et le socle (4) pivotant peut tout à fait être envisagé, sans sortir du cadre de l’invention.

[0059] De préférence, la tige (6) est assujettie à un système, non représenté, d’indexation des positions de libération et de blocage, par exemple au moyen d’une vis à bille reliée à la tige (6) ou à une partie du socle (4), destinée à s’engager avec des formes en creux complémentaires sur le socle (4) ou la tige (6).

[0060] Bien entendu, les dimensions de la poignée (6a) et de l’ouverture (7) ménagée dans le casque (2) sont adaptées pour permettre le verrouillage par rotation. Par exemple, l’ouverture (7) dans le casque (2) est oblongue, et la poignée (6a) présente une forme générale en « T » pour assurer un verrouillage par rotation, par exemple d’un quart de tour. D’autres formes peuvent être envisagées par l’homme du métier, sans sortir du cadre de l’invention.

[0061] Afin de maintenir fermement le casque (2) en position de rangement, et d’éviter que celui-ci n’entre en vibration lorsque le vélo ou la trottinette circule avec le casque (2) sur son support (3), le socle (4) et la tige (6) sont montés coulissants relativement l’un par rapport à l’autre, et à l’encontre d’un organe élastique (8), notamment un ressort de compression, tendant à ramener la tige (6) à l’intérieur du socle (4).

[0062] De cette manière, la poignée (6a) de la tige (6) réalise, en position de blocage, une pression sur le casque (2) en contre-appui avec le socle (4) de sorte que les vibrations sont atténuées, voire supprimées.

[0063] Selon une forme de réalisation préférée, illustrée aux figures 4 à 7, c’est la tige (6) qui est coulissante et le socle (4) qui est fixe. L’autre possibilité, à savoir la tige (6) fixe et le socle (4) monté coulissant autour de la tige (6) peut tout à fait être envisagée sans sortir du cadre de l’invention.

[0064] En référence aux figures 2 et 3, et afin d’empêcher tout mouvement de rotation du casque (2) lorsqu’il est en position de rangement, le socle (4) comprend par exemple une nervure (4a) guidant le coulissement de la tige (6) et destinée à pénétrer dans l’ouverture (7) du casque (2). Cette nervure (4a) présente par exemple une section longitudinale tronconique diminuant en s’éloignant du socle (4), et l’ouverture (7) dans le casque (2) peut présenter une section complémentaire de sorte à diminuer davantage les risques de vibration.

[0065] Ainsi, en pratique, après avoir positionné le casque (2) sur son socle (4), avec la poignée (6a) traversant l’ouverture (7) ménagée dans le casque (2), l’utilisateur saisit la poignée (6a) effectue une traction pour sortir complètement la poignée (6a) de l’ouverture (7), et une rotation, par exemple d’un quart de tour, pour passer en position de blocage. Inversement, pour retirer le casque (2), l’utilisateur effectue une traction sur la poignée (6a), et un mouvement de quart de tour inverse. Le fonctionnement est simple, fiable et rapide.

[0066] En référence aux figures 4 et 5, la poignée (6a) est éventuellement rabattable, en étant par exemple articulée autour d’un axe (6b) orthogonal à la tige (6) afin de diminuer l’encombrement. Il peut être également envisagé que le casque (2) présente une empreinte complémentaire à celle de la poignée (6a), dans laquelle la poignée (6a) vient se loger en position rabattue.

[0067] En référence aux figures 4 à 7, et pour réaliser les fonctions qui viennent d’être décrites, le socle (4) présente une forme hémisphérique et est sensiblement creux. Le socle (4) est fixé à une platine (9) par exemple par l’intermédiaire de plots de fixation (10) périphériques.

[0068] La tige (6) est montée coulissante en traversant une ouverture (4c) ménagée au sommet du socle (4), en étant guidée par des joints ou bagues de glissement (11 ).

[0069] En partie inférieure, la tige (6) s’insère et est guidée dans un fût (12), relié à la platine (9). L’organe élastique (8) tendant à ramener la tige (6) à l’intérieur du socle (4) est positionné entre une butée inférieure de la tige (6) et une butée supérieure du fût (12).

[0070] Le fût (12) et la tige (6) sont solidaires en rotation, par exemple par l’intermédiaire d’une clavette, de sorte qu’une rotation de la tige (6) autour de son axe entraîne également la rotation du fût (12). À cet effet, le fût (12) est monté libre en rotation autour de son axe à l’intérieur d’une bague de guidage (13) solidaire de la platine (9).

[0071] Le fait que le fût (12) soit solidaire en rotation avec la tige (6) permet d’intégrer aisément, et de manière fiable et robuste, des moyens de verrouillage (14) de la position de rangement du casque (2), notamment par blocage de la rotation de la tige (6) par rapport au socle (4), voir figures 6 et 7.

[0072] Selon une forme de réalisation particulière, les moyens de verrouillage (14) sont par exemple sous la forme d’une gâche électrique (14a), ou une solénoïde bistable, adaptée pour recevoir et verrouiller un élément (15), tel qu’un doigt solidaire en rotation de la tige (6) ou le socle (4). Le fonctionnement de la gâche électrique (14a) consomme peu d’énergie.

[0073] La gâche électrique (14a) est par exemple positionnée sur une partie fixe du support (3), par exemple fixée à la platine (9) ou sur une partie du corps de fixation (5), et l’élément (15) est par exemple positionné sur un bras (16) en saillie latéralement du fût (12). La gâche électrique (14a) est positionnée de sorte que lors de la rotation de la tige (6), et donc de celle du fût (12), l’élément (15) vienne s’insérer et se verrouiller à l’intérieur de la gâche électrique (14a). Le verrouillage est donc simple et efficace.

[0074] Selon une autre caractéristique de l’invention, le verrouillage/déverrouillage de la position de blocage s’effectue à distance par un téléphone intelligent, notamment connecté à une application, c’est-à-dire un logiciel exécuté par le téléphone intelligent, comme ceci est déjà connu dans le domaine considéré des vélos ou trottinettes partagés.

[0075] À cet effet, le support (3) comprend par exemple une carte électronique, non représentée, équipée de moyens de communication sans fil, par exemple du type Bluetooth®, ou par radiofréquence en utilisant la modulation de fréquence LoRa, de sorte à pouvoir recevoir des signaux émis par le téléphone intelligent exécutant le logiciel. Et la gâche électrique (14a) est apte à être actionnée par la carte électronique en fonction d’un signal de déverrouillage/verrouillage émis par le téléphone intelligent exécutant le logiciel.

[0076] De préférence, le support (3) selon l’invention comprend des moyens d’identification, non représentés, disposés sur ou à proximité du support de casque (3), par exemple directement sur le vélo ou la trottinette. Ces moyens d’identification sont de tous types bien connus, et sont par exemple de type RFID ou des codes 2D, tels que des codes DATAMATRIX. Ces moyens d’identification sont robustes et peu onéreux, et la mise en œuvre est aisée.

[0077] Les moyens d’identification disposés sur le support (3), le vélo ou la trottinette, correspondent à un support de casque (3) identifié dans une base de données et sont lisibles par une caméra d’un téléphone intelligent connecté à la base de données et exécutant le logiciel. [0078] En pratique, l’utilisateur vient scanner les moyens d’identification avec son téléphone intelligent qui est connecté :

- à une application spécifique, c’est-à-dire un logiciel exécuté par le téléphone intelligent et programmé pour gérer la mise à disposition du casque (2) ; ou, de préférence directement à l’application, c’est-à-dire le logiciel, programmé pour gérer la mise à disposition du vélo ou de la trottinette qui intègre alors un module spécifique de type API (de l’anglais « application programming interface » ou en français « interface de programmation d’application ») qui est une interface logicielle qui permet de « connecter » un logiciel ou un service à un autre logiciel ou service afin d’échanger des données et des fonctionnalités, notamment celles de la gestion du casque (2).

[0079] Après avoir lu les moyens d’identification, et que la mise en correspondance a été effectuée par rapport à la base de données, ce qui permet de confirmer

« l’identité » du support de casque (3) concerné, le logiciel exécuté par le téléphone intelligent est programmé et configuré pour proposer le déverrouillage de la position de blocage du casque (2).

[0080] Si l’utilisateur confirme le déverrouillage par l’intermédiaire de son téléphone intelligent, cela émet un signal, par exemple Bluetooth® ou par radiofréquence en utilisant la modulation de fréquence LoRa, à la carte électronique, laquelle actionne la gâche électrique (14a) pour déverrouiller la rotation de la tige (6).

[0081] La carte électronique est donc configurée pour actionner les moyens de verrouillage (14) en fonction d’un signal reçu par un téléphone intelligent.

[0082] Selon une forme de réalisation particulière, le support (3) peut comprendre un bouton, non représenté, qui actionne les moyens de communication sans fil de la carte électronique, de sorte à ne pas émettre de signal en continu. L’utilisateur qui souhaite déverrouiller/verrouiller le casque, appui sur ce bouton et met en communication son téléphone intelligent pour qu’il détecte le signal émis par le support (3). Le signal est émis par le support (3) pour quelques secondes, voire minutes. Cela permet de diminuer la consommation d’énergie du support (3).

[0083] Afin de faciliter la gestion de la mise à disposition du casque (2), le support (3) comprend également des moyens de détection, non représentés, d’un état verrouillé ou déverrouillé de la gâche électrique (14a), lesquels moyens sont connectés à la carte électronique qui est aussi configurée pour envoyer un signal, par exemple Bluetooth®, ou autre, d’état verrouillé ou déverrouillé, au téléphone intelligent.

[0084] Ces moyens de détection peuvent être de tous types appropriés, et sont par exemple sous la forme d’un capteur monté directement sur la gâche électrique (14a).

[0085] Toujours dans le même but, le support (3) comprend des moyens de détection, non représentés, de la position de rangement du casque (2), connectés à la carte électronique qui est aussi configurée pour envoyer un signal de présence au téléphone intelligent.

[0086] Par exemple, ces moyens de détection sont sous la forme d’un capteur à effet hall positionné sur la tige (6) et destiné à coopérer avec un élément complémentaire positionné sur une partie solidaire en coulissement avec le socle (4). Pa exemple, le capteur à effet hall est positionné sur la tige (6) et l’élément complémentaire est positionné dans l’épaisseur du fût (12). Les deux éléments viennent coopérer ensemble (1 ) lorsque la tige (6) est coulissée par rapport au socle (4) en laissant un espace entre la poignée (6a) et le socle (4) correspondant à l’épaisseur du casque (2).

[0087] De cette manière, la détection est mécanique, simple et peu onéreuse. Lorsque le casque (2) est en position de rangement, le capteur à effet hall est activé et envoie une information à la carte électronique qui la communique au téléphone intelligent.

[0088] Ensuite, l’utilisateur pivote d’un quart de tour la poignée (6a) pour passer en position de blocage, laquelle position est détectée et l’information est envoyée au téléphone intelligent. En retour, le téléphone peut envoyer un signal de verrouillage de la gâche électrique (14a) de sorte que l’utilisateur peut mettre fin, sur le logiciel, à l’utilisation du casque (2). En pratique, cela peut par exemple confirmer par le logiciel qu’une caution ne sera pas prélevée sur le compte de l’utilisateur, que le casque (2) a bien été retourné, et que la position de blocage a bien été verrouillée.

[0089] L’invention a été étudiée pour consommer peu d’énergie et être autonome, en ayant recours à le moins de maintenance possible. L’ensemble (1 ) selon l’invention est peu encombrant et léger pour ne pas gêner ou déséquilibrer le conducteur. La carte électronique est alimentée par une pile positionnée dans le support (3), et accessible par une trappe par exemple. La durée de vie, avant remplacement de la pile est de préférence de 1 à 2 ans avec 3 à 5 utilisations par jour. On peut imaginer alimenter la carte par une batterie spécifique, ou par la batterie du vélo ou de la trottinette s’ils sont électriques. La batterie peut être branchée pour être rechargée séparément ou en même temps que celle du vélo ou de la trottinette. On peut également imaginer que cette batterie soit reliée à un panneau solaire fixé sur le support (3) pour se recharger de manière autonome.

[0090] Afin d’éviter ou de répondre à toute tentative de vol ou de vandalisme de l’ensemble selon l’invention, ou bien du véhicule sur lequel il est installé, le support (3) comprend un capteur antivol et/ou un traceur GPS, non représentés. En particulier, le capteur peut être un détecteur de mouvement, associé à une alarme sonore, connecté à la carte électronique embarquée. Le capteur antivol s’active ou se désactive de préférence par l’intermédiaire de l’application exécutée par le téléphone intelligent, en envoyant un signal à la carte électronique par exemple Bluetooth® ou par radiofréquence en utilisant la modulation de fréquence LoRa.

[0091] En référence à la figure 8, le casque (2) présente lui aussi des caractéristiques avantageuses, en lien avec le domaine considéré des casques « partagés ».

[0092] De préférence, le casque (2) est dépourvu de coque en tant telle, et réside dans une couche (2a) d’absorption de choc, qui est étanche pour une protection relative contre la pluie, et monobloc. Le casque (2) est donc réalisé en une couche (2a), par exemple en polypropylène expansé (EPP). Le casque (2) est recyclable et présente donc un bilan écologique satisfaisant.

[0093] Le casque (2) selon l’invention est robuste hygiénique. A cet effet, il est par exemple revêtu d’un revêtement « lisse » tel qu’un vernis, une peinture, ou un film plastique, afin de conférer au casque (2) une certaine résistance, tout en étant hygiénique et facile à nettoyer.

[0094] De préférence, la surface du casque (2) monobloc en EPP est autonettoyante et/ou antibactérienne, par l’ajout, dans la composition de l’EPP, d’ions argent, de microsphères céramiques, ou de tout autre agent antimicrobien. La surface interne du casque (2) est continue, sans élément en creux ou en relief pour limiter l’encrassement et faciliter le nettoyage.

[0095] Par ailleurs, selon des caractéristiques prises isolément, le casque (2) comprend des sangles (2b), en textile ou en matériau élastomère, qui s’attachent sur le casque (2), au niveau des oreilles du porteur.

[0096] Par exemple, les extrémités des sangles (2b) présentent des œillets qui s’attachent autour de tétons prévus à cet effet sur le casque (2), par exemple à l’intérieur du casque (2) de manière à laisser le plus de surface continue sans interférence.

[0097] En référence à la figure 3, le socle (4) présente avantageusement des fentes ou casiers latéraux formant des logements (17) de réception desdites sangles (2b) pour éviter qu’elles ne flottent et ne gênent le conducteur lorsque le casque (2) n’est pas utilisé et est en position de rangement alors que le vélo ou la trottinette est en circulation.

[0098] Selon d’autres caractéristiques avantageuses, indépendante du caractère monobloc du casque (2), le casque (2) comprend intérieurement un anneau de serrage (2d), bien connu de l’état de la technique, pourvu d’une molette de serrage ou d’un élastique pour s’adapter à la morphologie du porteur.

[0099] De préférence, l’anneau de serrage (2d) est prolongé par une visière (2c) pour former un ensemble monobloc. L’anneau de serrage (2d) est éventuellement également prolongé par les sangles (2b) pour former un tout monobloc comprenant la visière (2c), l’anneau de serrage, et les sangles (2b). Il peut également être envisagé de ne pas avoir de visière (2c) et que l’ensemble monobloc soit constitué par l’anneau de serrage (2d) et les sangles (2b).

[0100] Dans ces différentes configurations monobloc, la matière utilisée est avantageusement une matière élastomère et de préférence recyclable.

[0101] De préférence, la visière (2c) peut être revêtue d’un textile, à la manière des casquettes d’habillement.

[0102] En référence à la figure 9, et afin de ne pas entraver la continuité de la surface interne du casque (2), l’anneau de serrage (2d) est fixé sur la tranche du casque (2). Par exemple, il est logé dans une rainure (2e) ménagée le long de la tranche.

[0103] La fixation de l’anneau de serrage (2d) peut être réalisée par tout moyen approprié, tel que par collage.

[0104] Les sangles (2b) sont fixées par tout moyen à l’anneau de serrage (2d) ou au casque (2) directement. Par exemple, les sangles (2b) sont fixées par un pion (2f) traversant l’extrémité des sangles (2b) et l’épaisseur de l’anneau de serrage (2d). Il peut également être envisagé que le pion (2f) traverse également l’épaisseur du casque (2) pour fixer l’ensemble.

[0105] Les sangles peuvent être aussi fixées à des passants en saillie de l’anneau de serrage. Les passants peuvent également faire saillie directement du casque (2), ou se présenter sous la forme d’inserts intégrés dans le casque (2), au niveau d’une portion interne ou externe.