DOMAINE TECHNIQUE DE L'INVENTION [0001]La présente invention concerne une semelle de chaussure comprenant un dessous de semelle, pourvu d'une pluralité de zones de contact avec le sol, un dessus de semelle, adapté pour supporter le pied de l'utilisateur, une bordure de semelle définissant le pourtour de celle-ci, s'étendant sur l'ensemble du périmètre latéral de la semelle entre le dessous de la semelle et la tige de la chaussure.

ETAT DE LA TECHNIQUE ANTERIEURE

[0002] Depuis de nombreuses années, la mode et les cycles stylistiques influencent la conception et la réalisation des vêtements en tous genres. Les formes, agencements, couleurs et autres éléments de styles varient d'une saison à l'autre en fonction de grandes tendances portant sur des périodes durant souvent plusieurs années. Les derniers cycles de créations vestimentaires ont vu apparaître des matériaux nouveaux sur les vêtements, permettant de créer divers types d'effet de textures et de reliefs, en plus des jeux de couleurs.

[0003] Le secteur de la chaussure ne fait pas exception à ces tendances fortes. Les produits récents, notamment dans le secteur des chaussures de loisirs et d'activités sportives, comportent des couleurs de plus en plus vives et des matériaux rapportés permettant de créer des effets de contrastes particulièrement appréciés des utilisateurs. On constate toutefois que ces effets esthétiques concernent de façon générale le dessus de la chaussure uniquement. Les semelles, en particulier le dessous des semelles, du fait de leur visibilité restreinte lorsque les chaussures sont portées, sont toujours conçues de façon classique, avec une priorité accordée aux agencements de sculptures.

[0004]On connaît aussi certains types d'agencements spécifiques à certaines chaussures et/ou semelles. Par exemple, WO2009148877A1 décrit une chaussure comportant un système de marquage, configuré afin de permettre la localisation d'une ou plusieurs partie(s) de la semelle. Cette semelle est dotée d'un marquage comprenant une surface inférieure destinée au contact avec le sol, ainsi que d'une partie périphérique extérieure aisément visible même lorsque la semelle repose sur le sol.

[0005]La demande US2004020080 décrit une chaussure et des techniques de fabrication de ladite chaussure. La chaussure comporte une zone inférieure comprenant une partie de semelle et une partie de talon. La partie supérieure de la semelle se prolonge vers le haut. La surface inférieure de la chaussure comporte des zones dont le matériau est du tissu (tel que du coton, du nylon, du polyester ou tout autre tissu), ou une quelconque variété de matériaux, entrecoupés de zones en matériau durable. [0006]Le document WO20141 15284 concerne des chaussures munies d'un matériau prenant la forme de chaussettes basses, d'une semelle intermédiaire et d'un matériau de renforcement. Les matériaux en forme de chaussettes forment au moins une partie de la tige. Le matériau de renforcement est constitué d'une résine thermoplastique qui adhère aux surfaces latérales de l'intérieur à l'extérieur du matériau de base. La semelle intermédiaire est constituée d'une résine thermoplastique collée à la surface inférieure du matériau de base.

[0007]La demande US2009025258 décrit une chaussure comportant des zones latérales personnalisées. La chaussure peut par exemple comprendre une semelle en plusieurs couches et une tige reliée à la semelle. La zone personnalisable peut être personnalisée manuellement.

[0008]Le document WO2010084366 concerne un élément constitué de matériau caoutchouteux destiné à représenter une image par l'agencement de composants de couleurs différentes disposés sur au moins une surface. Les composants de couleurs différentes sont disposés sur ladite surface de manière à définir au moins une image prédéterminée par contraste chromatique. [0009]Le document EP1985195 décrit une chaussure de sport prévue pour éviter tout blocage, même lors d'un effort important, lorsque la chaussure glisse latéralement. La chaussure a une surface inférieure de semelle qui est formée avec une partie surélevée. Une portion bombée ayant une épaisseur égale ou supérieure à une épaisseur correspondant sensiblement à l'épaisseur de la portion surélevée de la semelle intermédiaire dans une direction de largeur de la chaussure est formée intégralement de manière à faire saillie vers l'extérieur. Une zone d'extension est formée s'étendant à partir du bord périphérique de la semelle extérieure vers une surface en saillie de la portion bombée.

[0010]Le document WO2009088381A1 concerne un procédé de production de cuir artificiel dont l'apparence et les propriétés physiques se rapprochent du véritable cuir. Ce cuir artificiel a notamment été utilisé dans différents secteurs d'activité tels que les meubles, les vêtements, les chaussures, les sacs et accessoires. Ces produits sont enrobés de microfibres qui donnent l'apparence de daim véritable. Les textures de surface, mais également latérales et arrières du revêtement de ces produits sont obtenues simultanément et composées de polyuréthane et polychlorure de vinyle, donnant l'apparence de cuir véritable.

[0011]Le document DE102014001951 décrit une chaussure pourvue de motifs en forme de demi-billes faites de caoutchouc et/ou de matière plastique. Les motifs sont répartis sur la surface inférieure et sur les rebords latéraux de la semelle. Les dimensions de ces motifs sont relativement importantes, par exemple de quelques millimètres de diamètre.

[0012]Les documents suscités illustrent divers types d'exemples de réalisation dans lesquels la semelle ou la zone de bordure latérale de semelle contribue à agrémenter l'aspect visuel et esthétique global de la chaussure. Toutefois, aucun des documents ne démontre l'utilisation de textures spécifiques apposées sur la bordure de la semelle, à proximité de la zone de contact de la semelle avec le sol, permettant de dégager un effet visuel, en particulier un effet de fort contraste. [0013]Pour pallier ces différents inconvénients, l'invention prévoit différents moyens techniques. EXPOSE DE L'INVENTION

[0014] Tout d'abord, un premier objet de l'invention consiste à prévoir un moyen simple, efficace et durable pour générer des effets de forts contrastes sur la bordure latérale des semelles.

[0015]Un autre objet de l'invention consiste à prévoir une semelle dont les bords latéraux comportent des zones ou sections présentant un fort contraste entre elles. [0016]Un autre objet de l'invention consiste à prévoir une semelle dont les bords latéraux comportent des zones ou sections présentant un fort contraste de luminosité avec d'autres zones ou sections de ces bords latéraux.

[0017]Encore un autre objet de l'invention consiste à prévoir une semelle pourvue de zones contrastées favorisant la lisibilité de marquages ou autre indications susceptibles d'être appliquées sur les bordures latérales de la semelle.

[0018]Pour ce faire, l'invention prévoit une semelle de chaussure comprenant :

- un dessous de semelle, pourvu d'une pluralité de zones de contact avec le sol ; - un dessus de semelle adapté pour supporter le pied de l'utilisateur, ledit dessus pouvant être adapté à une tige ou un chausson ;

- une bordure de semelle définissant le pourtour de celle-ci, s'étendant sur l'ensemble du périmètre latéral de la semelle entre le dessous de la semelle et la tige de la chaussure ;

- au moins une zone pourvue de textures procurant un effet de contraste de luminosité par rapport à une zone immédiatement adjacente de la semelle ;

- ladite zone pourvue de textures étant prévue sur la bordure de la semelle et/ou sur la bordure de sculptures de la semelle ; les zones pourvues de textures comprenant une pluralité d'éléments en protubérance ou en creux par rapport à la surface, chaque élément s'étendant sensiblement perpendiculairement (θ=90°) à la surface de contact, les éléments en creux ou en protubérance de la texture étant venus de matière avec ladite semelle, tout ou partie des éléments en protubérance étant des brins répartis dans la texture selon une densité au moins égale à un brin par millimètre carré (mm ² ), chaque brin ayant une section moyenne comprise entre 0,003 mm ² et 1 mm ² et/ou tout ou partie des éléments en protubérance étant des lamelles sensiblement parallèles entre elles, le pas des lamelles dans la texture étant au plus égal à 0,5 mm, chaque lamelle ayant une largeur moyenne comprise entre 0,03 mm et 0,25 mm.

[0019] Les textures selon l'invention permettent l'obtention de zones particulièrement favorables afin d'y apposer des éléments de marquages de diverses natures.

[0020] En outre, pour accentuer d'avantage le contraste, le marquage en tant que tel peut être dépourvu des textures lorsque la zone adjacente est elle-même texturée. [0021]De manière avantageuse, le niveau de luminance des zones pourvues de textures est inférieur à celui des zones voisines non texturées. Ainsi, les textures produisent un effet d'absorption de lumière plus marqué. Il en résulte un fort effet de contraste de luminosité entre les deux zones. [0022]Selon un mode de réalisation avantageux, la différence de luminance des zones comprenant des textures avec les zones dépourvues de textures est d'au moins 5 points.

[0023]Selon un autre mode de réalisation avantageux, la luminance des zones comprenant des textures est comprise entre 5 et 18, préférentiellement entre 8 et [0024] De manière préférentielle, au moins 30% des éléments en protubérance de la texture fait un angle a supérieur à 40° par rapport à un plan tangent à la surface de contact et au plus 25% des éléments en protubérance de la texture fait un angle a inférieur à 20° par rapport au plan tangent.

[0025]Selon encore une variante de réalisation, une partie des éléments en protubérance forme des parallélépipèdes de côté (C) compris entre 0,05 mm et 0,5 mm, de hauteur (Hp) comprise entre 0,05 mm et 0,5 mm, la distance entre deux parallélépipèdes adjacents dans la texture étant comprise entre 0,05 mm et 0.5 mm.

[0026]Selon une autre variante, les éléments en protubérance présentent dans la texture des formes et des distances entre éléments en protubérance variables. [0027] Egalement en variante, les éléments en creux forment des ouvertures sur la semelle et la texture comprend une pluralité d'ouvertures, lesdites ouvertures étant réparties dans la texture selon une densité au moins égale à une ouverture par millimètre carré (mm ² ), ces ouvertures 15 présentant sur la semelle des diamètres équivalents (Dt) compris entre 0,03 mm et 1 ,2 mm.

[0028]L'invention prévoit également une chaussure comprenant une semelle telle que préalablement décrite.

DESCRIPTION DES FIGURES

[0029]Tous les détails de réalisation sont donnés dans la description qui suit, complétée par les figures 1 à 8, présentées uniquement à des fins d'exemples non limitatifs, et dans lesquelles :

- les figures 1 , 2A et 2B sont des représentations schématiques d'exemples de semelles selon l'invention ; - la figure 3 représente une partie de la texture d'une semelle telle que celle des figures 1 ou 2A ou 2B, selon un premier exemple de réalisation selon lequel la texture présente des éléments en protubérance en forme de brins ;

- la figure 4 représente une partie de la texture d'une semelle telle que celle des figures 1 ou 2A ou 2B, selon un autre second exemple de réalisation dans lequel la texture présente des éléments en protubérance en forme de lamelles ;

- la figure 5 représente une partie de la texture d'une semelle telle que celle des figures 1 ou 2A ou 2B, selon un troisième exemple de réalisation dans lequel la texture présente des éléments en protubérance en forme de parallépipèdes ;

- la figure 6 représente une partie de la texture d'une semelle telle que celle des figures 1 ou 2A ou 2B, selon un quatrième exemple de réalisation dans lequel la texture présente des éléments en protubérance dont les formes et les distances entre éléments en protubérance sont variables ;

- la figure 7 représente une partie de la texture d'une semelle telle que celle des figures 1 ou 2A ou 2B, selon un cinquième exemple de réalisation dans lequel la texture présente des éléments en creux, coniques dans cet exemple ;

- la figure 8 représente une vue agrandie d'une cavité d'un élément en creux de la texture de la figure 7. DESCRIPTION DETAILLEE DE L'INVENTION

[0030]Les semelles 1 illustrées dans les exemples des figures 1 , 2A et 2B, comportent un dessous 2 de semelle, un bord latéral 5, et une cambrure 3. Les modes de réalisation des figures 1 et 2A comportent des zones pourvues de textures 10 entourant le talon et l'avant de la semelle. Dans ces figures, les textures 10 sont représentées par des hachures, de façon à illustrer l'effet visuel de fort contraste entre les zones texturées et celles non texturées. Les textures 10 sont décrites plus en détails plus loin. [0031]Dans le mode de réalisation de la figure 1 , les textures sont délimitées en plusieurs sous-zones au moyen de rainures 4 dont la surface est dépourvue de textures. Ces rainures intercalaires permettent de créer un effet de contraste notable, tel qu'expliqué plus loin. Les formes, dimensions et agencements des zones texturées et/ou des rainures, ainsi que le nombre de rainures peuvent varier selon une quasi-infinité de possibilités, en fonction des cas. [0032] L'exemple de réalisation de la figure 2A diffère de celui de la figure 1 en ce que les rainures 4 sont remplacées par un élément de marquage 6, dépourvu de textures. Ce marquage a également pour objet de créer un effet de contraste notable, tel qu'expliqué plus loin. Les formes, dimensions et agencements du ou des marquages peuvent varier selon une quasi-infinité de possibilités, en fonction des cas.

[0033] L'exemple de réalisation de la figure 2B vise à créer un effet de contraste inverse de l'exemple de la figure 2A. En outre, la seule zone pourvue de textures 10 est délimitée dans un élément de marquage 6 prévu sur le flanc. Ce marquage a également pour objet de créer un effet de contraste notable, tel qu'expliqué plus loin. Les formes, dimensions et agencements du ou des marquages peuvent varier selon une quasi-infinité de possibilités, en fonction des cas.

[0034]Puisque les bords 5 de la semelle ne sont pas en contact avec le sol, les textures sont protégées contre l'usure. L'effet de contraste perdure ainsi tant et aussi longtemps que les bords ne sont pas usés, soit, en cas d'usage normal des chaussures, après usure du dessous de la semelle.

[0035]De ce fait, la semelle de la chaussure peut grandement contribuer à rehausser et agrémenter l'aspect général de la chaussure.

[0036]Selon une variante de réalisation non illustrée, les sculptures de la semelle créent un agencement de bordures de sculptures pourvues de textures 10 telles que préalablement décrites. Selon cette variante, les zones ainsi texturées se retrouvent non seulement en bordure externe de semelle, tel qu'illustré au figures 1 et 2A, mais également sur des surface internes. En outre, une telle variante s'avère particulièrement attrayante lorsque les sculptures sont de petites dimensions, permettant ainsi de visualiser les zones centrales du dessous de semelle.

[0037]L'effet de contraste préalablement évoqué provient du fait que le niveau de luminance des zones comprenant des textures 10 est inférieur à celui des zones voisines non texturées. Divers arrangements ou configurations de textures permettent de produire un tel effet, tel que décrit ci-après, en relation avec les figures 3 à 8. [0038]L'appareil de mesure de la luminance approprié est un spectro-colorimètre

CM 700D de la marque KON ICA-MINOLTA (marque déposée). Cet appareil est adapté pour mesurer :

la luminosité L ^* 1 , L ^* 2 des zones de la semelle (zones recouvertes par la texture, zones non recouvertes par la texture) ;

- une composante a ^* qui définit une première nuance de couleur entre le rouge et le vert ;

une composante b ^* qui définit une deuxième nuance de couleur entre le jaune et le bleu.

On positionne ledit appareil sur la partie de la semelle que l'on veut mesurer et ledit appareil donne les valeurs des trois paramètres L ^* , a ^* , b ^* relatifs à la texture. Ces mesures sont effectuées avec le mode « SCI » (Mode de réflexion spéculaire incluse) paramétré à un angle de 10° et un réglage de la lumière de type D65 (réglage défini selon la Commission Internationale de l'Eclairage, CIE).

Grâce à cet appareil, on quantifie la luminosité de la texture qui est comparée à la luminosité du reste de la semelle.

[0039]Les figures 3 à 8 illustrent des exemples de textures pouvant être disposées sur la semelle selon l'invention. [0040] La figure 3 illustre un mode de réalisation dans lequel la texture comporte une pluralité de brins 1 1 . Les brins 1 1 sont répartis dans la texture selon une densité au moins égale à un brin par mm ² , chaque brin ayant une section moyenne S comprise entre 0,0005 mm ² et 1 mm ² . On note que la section moyenne de chaque brin correspond à la moyenne des sections S mesurées à intervalles réguliers depuis la base du brin. Les brins 106 ont une forme globalement conique avec une section diminuant dans la hauteur Hb de ces brins.

[0041] La figure 4 illustre un mode de réalisation dans lequel la texture comporte une pluralité de lames 12 parallèles entre elles, le pas des lames 12 dans la texture étant au plus égal à 0,5 mm, chaque lame 12 ayant une largeur moyenne comprise entre 0,02 mm et 0,5 mm. On note que la largeur moyenne correspond à la moyenne des largeurs I mesurées à intervalles réguliers dans la hauteur Hl de la lame, la hauteur de chaque lame étant comprise entre 0,05 et 0,5 mm.

[0042]Dans une autre variante de réalisation, la texture comporte une combinaison de brins 1 1 et/ou et de lames 12.

[0043]L'invention n'est pas limitée aux exemples décrits et représentés et diverses modifications peuvent y être apportées sans sortir de son cadre. Ainsi, selon une autre variante de réalisation non limitative, les lames 12 de la figure 4 peuvent être discontinues. Elles présentent une partie plane entre elles. Elles peuvent en outre présenter entre elles des différences de section. De plus, les lames peuvent posséder des courbures ou des angles, notamment dans leur longueur. Elles peuvent en outre, être de longueur variable.

[0044] Dans l'exemple de la figure 5, les textures ont une section parallélépipédique 13 de côté C compris entre 0,05 mm et 0,5 mm, de hauteur Hp comprise entre 0,05 mm et 0,5 mm, la distance Dp entre deux cavités adjacentes dans la texture étant comprise entre 0,05 mm et 0.5 mm. En variante la section des textures peut être circulaire, polygonale (par exemple hexagonale). Avec les structures carrées ou polygonales, il est possible d'organiser plus facilement les éléments les uns par rapport aux autres de sorte à limiter la surface des zones intermédiaires entre les éléments. [0045] Dans la variante de la figure 6, les éléments 14 présentent des formes et des distances variables entre eux. Cette variante permet de rentre moins visible les détails de la texture. [0046] La figure 7 illustre une texture selon une autre variante de réalisation non limitative. Dans cette variante, la texture est formée par une pluralité de cavités 16. Les cavités 16 sont ici en forme de cônes qui s'étendent dans la profondeur de la surface et débouchent sur cette surface en formant des ouvertures circulaires 15. Les cavités 16 ont ainsi une section qui diminue dans la profondeur. On note que dans cette variante, les ouvertures 1 1 des cavités 16 ne se touchent pas. Les ouvertures 1 1 sont séparées par des zones intermédiaires 17. En outre, les ouvertures 1 1 sont régulièrement réparties de sorte que la distance d entre chaque ouverture est globalement similaire. [0047]La figure 8 est une vue agrandie de la texture de la figure 7. Tout ou partie des cavités a ici au moins une paroi 18 qui, selon une vue en coupe, forme un angle β compris entre 10° et 60° par rapport à une direction Z perpendiculaire à la texture.

Numéros de référence employés sur les figures

Semelle

Dessous de semelle

Cambrure

Rainures

Bord latéral

Elément de marquage

Zones pourvues de textures

Brins

Lames

Parallélépipèdes

Eléments en protubérance variables

Ouvertures circulaires

Cavités

Zones intermédiaires

Paroi