La communication s’effectue dans le domaine par la voix, l’écriture, le son et Le signe, associés à la technologie. Elle mobilise les messages généralement passés dans les desktops, les laptops, les smartphones et les tablettes. Toutefois, ces moyens technologiques sont des plateformes communicationnelles habituellement destinées au public et aux étiquettes réelles de la provenance des biens et des services fabriqués dans les pays. Ils causent l’étouffement des personnes ayant un intérêt pour les produits et les exposent à la justice pour usurpation de label, quoiqu’il soit subjectif. En effet, la messagerie générale des NTIC ou Nouvelles Technologies de L’Information et de la Communication parle seulement des objets originaires des fabricants. Leur étiquetage exclusif contraint les pays à user des termes dérivant de l’expression « Made in Germany » prononcée par les autorités britanniques dans la loi protectionniste « Merchandise Marks Act 1887 », d’après WIKIPEDIA. Mais l’usage de l’expression dérivée s’effectue de nos jours en marge du droit allemand qui restreint la portée de manière à ce que le non-respect de la loi rende illégitimes et illégales les étiquettes des biens et des services labellisés. Car, en 1995, un tribunal de grande instance de Stutgart a estimé que ce label convient au « Germany’s Fair Trade Act », lorsqu’un bien manufacturé, soit n’a pas été produit à partir d’une fraction minimum de matière première extraite en Allemagne, soit n’est pas élaboré par une main d’œuvre allemande. Par ailleurs dans le contexte habituel de la propriété de l’objet ou de l’oeuvre, la contrainte oblige l’usager à utiliser un symbole réservé à un organisme américain, formé des lettres majuscules r dans o ou t et m, significatives de la marque déposée ou de la marque commerciale, ou bien un symbole préconisé par l’institution de protection du droit d’auteur formé des caractères lettriques c dans o majuscules. Aussi, l’obligation d’indiquer la géographie des objets force à nommer la région Y. L’indication géographique (IG) réfère, par le nom spécifique, la localité administrativement circonscrite dans le territoire du pays de l’objet communément désigné, par exemple : « Machin de Y ». Or, les termes dérivés taisent l'action du concepteur en parlant de celle du fabricant. L’IG fait autant, en nommant seulement la circonscription locale en marge des autres parties du territoire abritant la délocalisation et la relocalisation - - des mouvements de l’activité, évoqués dans le lexique de géographie, qui contraignent le concepteur X’ et le fabricant X” à domicilier leur activité dans un espace territorial sans indication dans l’étiquette. La déconsidération du sous-espace de domiciliation du concepteur-fabricant explique pourquoi l’objet délocalisé par ce personnage X se dit géographiquement d’origine étrangère. Tandis que celui relocalisé, sous entent l’origine locale. Enfin, les symboles originaux se détournent des superlatifs plus et moins personnels des marques déposées, des marques commerciales et des droits d’auteurs, en signifiant confusément l' appartenance des objets. Ce, à cause du desktop, du laptop, du smartphone ou de la tablette qui demeure passif à l' égard de cette troncature en étant capable de programmer tous les messages. Quand cet ordinateur ordinaire est spécialisé pour la médecine, la musique, le jeu, ..., les composants électroniques ne corrigent point les verbes irrationnels vis-à-vis de la productivité, de la spatialité et de l’originalité des biens et des services. Par conséquent, les médecins, les musiciens, les joueurs, communiquent également dans leurs secteurs, sous le label « Made in » des objets étiquetés.

L’invention vient remédier à la problématique inhérente à la passivité de l’art antérieur qui étouffe les personnes intéressées par les produits. Selon un mode de réalisation l’appareil est constitué de trois terminaux complémentaires dont l’architecture extérieure de chacun comprend une coque avant et une coque arrière, carrées aux coins arrondis, de côté inférieur ou égal à 21 cm, qui disposent des clips autour du pourtour interne de manière à former un cover couvrant des composants inamovibles et amovibles. Il représente l’encombrement d’une sous-tablette électronique susceptible d’insérer un système d’exploitation compatible avec un réseau mobile de communication à distance, prévue dans un programme informatique particulièrement modulé pour le concepteur-fabricant ou producteur, le commerçant ou le consommateur du bien ou service virtuellement étiqueté. La sous-tablette forme un terminal mobile pour l’applicabilité d’une messagerie spéciale à la production, à la commercialisation et à la consommation des biens et des services sous étiquettes. Elle présente une vue frontale, une vue arrière, une vue de dessus, une vue de dessous, une vue de gauche et une vue de droite. La vue frontale contient un labelliseur, un speakin, un haut-parleur, un bouton aperçu, un bouton retour et un bouton accueil. La vue arrière possède un authentificateur et une encoche. La vue de dessous comporte un bouton volume, un bouton 20 et un port. La vue de gauche dispose un productable et un évaluateur. Le port comporte deux entrées et deux sorties adaptées à des broches pouvant connecter un chargeur de courant électrique et un cordon informatique à même de partager les données entre le terminal et son périphérique consistant à un ordinateur ordinaire. Il jouit d’une application apparente dans le système le système d’évaluation de manière à activer l’entrée et la sortie des données en audio, en vidéo, en alphabeta (abrégé de alphabet avancé). Le bouton 20 ou On and Off, couvre un système d’allumage intégrant le démarrage de la sous-tablette mise sous tension. Il jouit d’une application d’extinction, de redémarrage et de capture d’écran. Le productable, ou production table, est une commande reposant sur un annuaire lié à un répertoire et à un système à même d’aviser les cibles. Il s’accompagne des informations écrites et orales. Son annuaire dispose la liste des producteurs, des commerçants et des consommateurs abonnés auprès de l’opérateur de communication promotionnelle à distance et jouit des déclinaisons applicatives, liées chacune au système d’avis, à l’identifiant de l’abonné et au SMA de la personne ciblée. Le répertoire possède une déclinaison applicative du statut de l’abonné en possession du terminal mobile, les contacts des avisés ainsi que les déclinaisons d’ajout, de suppression, de blocage des contacts avisés. Le système d’avis comprend le termina] 1 et le terminal 2 de l’abonné et du tiers respectivement renfermant une application des répertoriassions. Cette application de répertoriassions comporte un système de transfert des données. Elle permet de transférer le contact de l’annuaire du terminal 1 vers le terminal 2 pour avis, puis de transférer le contact avisé dans le répertoire du terminal 1 suite à la validation de la déclinaison applicative dans le terminal 2. L’évaluateur constitue une commande couvrant les applications estimatives des concepteur-fabricants ayant, chacun, une adresse dans le producible. Il regorge également les applications permettant d’informer et de s’informer à propos des produits, de leur provenance et de leurs valeurs. Le labelliseur ou serial-label, s’agit d’un composant électronique constitué d’un symbole et d’un voyant relié au bouton 20 et au système de veille et d’extinction du terminal. Le symbole reproduit par un cercle intégré dans un carré, avec un voyant excentré à gauche. Sa reproduction donne un cercle-carré, ou explicitement, deux arcs de demi-carré. Elle forme un label pouvant être immatriculé en série. Le voyant excentré à gauche du symbole réunit des électrodes capables de refléter la couleur vert, rouge ou bleu de lumière du signal approprié au cadre de communication. Ce GRBL ou Green-Red-Blue Light possède une anode, une cathode verte, une cathode rouge et une cathode bleue, couvertes par un verre transparent. Il distingue les terminaux de l’appareil par la nuance de signalisation pareille à la couleur de l’étiquette AO ou active-origin, de l’étiquette prix ou de l’étiquette conseil prévue pour les produits. L’ISD assorti constitue un écran de forme carrée dont la mesure est donnée par le nombre de pouces conforme à la taille circulaire du labelliseur. Il possède une vitre tactile qui repose sur une dalle d’affichage à matrice active, comportant des polariseurs, des électrodes, des cristaux liquides et un rétro-éclairage. La dalle d’affichage intégrant une application de rotation de l’ISD, ou Integrator of Square Display, s’associe également aux contenus des vues ci-dessus et aux applications. Le speakin, ou speak in, constitue un microphone adossé sur l’application des contacts avisés pouvant s’afficher sur l’ISD. 11 contient les informations du parleur. Le bouton aperçu, le bouton retour, le bouton accueil insérant un système de gestion des collections de fiches du programme général et du module particulier, ont pour rôle de commander l’ouverture et la fermeture des applications et des déclinaisons applicatives de répertoriassions, d’évaluations et d’authentifications. L’authentificateur forme une coche juste supportant un bouton biométrique à droite et un ensemble de lentilles optiques numériques à gauche, est une commande composée qui intègre une application renfermant des déclinaisons associées à un lecteur d’empreinte et à un capteur d’image. Il regroupe les informations justificatives de la source du produit disponible dans le terminal. Le bouton biométrique a un réceptacle en verre rond de l’empreinte digitale lié à un circuit de lecture et au système de mémorisation de la sous-tablette. Il effectue le verrouillage du terminal à travers la biométrie consistant à introduire le doigt de la main de l’utilisateur dans le réceptacle et à lire son empreinte de manière à afficher les applications d’accès au productable et à l’évaluateur, dans lesquelles s’insère le code statutaire de l’abonné afin d’activer le déverrouillage des deux boutons précédents. Les lentilles reposent sur une application et les déclinaisons applicatives de l’appareil photo, de l’appareil photo braqué, de la caméra ou de la caméra braquée. Elles comprennent une commande click de prise d’image, adossée au système de stockage de masse du terminal. En option appareil photo braqué ou caméra braquée, les lentilles et le capteur d’image supportent le bouton click adossé à l’icône de la coche juste précédé d’un système d’étalonnage et d’identification. Ce braquage d’objectifs intègre l’étalon d'étiquetage et les identifiants du concepteur-fabricant, du commerçant, du consommateur du produit et l’abonné. Ainsi, le bouton click active la capture de l’étiquette réelle du bien ou du service disponible, puis l’arrime à l’étalon ou l’étiquette virtuelle et aux identifiants personnels. L’architecture intérieure comprend un châssis, en matière rigide dont, la partie externe possède les interstices sur son pourtour. La partie interne dispose une carte-mère, une antenne STIM et des trous. Le trou avec filetage est adapté à une vis en acier permettant d'immobiliser un accumulateur. La batterie raccordée à la carte-mère possède une application de charge susceptible d’indiquer l’électricité accumulée dans la sous- tablette. Elle jouit des cellules d’accumulation associées à des broches de raccordement à la carte-mère. La carte-mère constitue un circuit imprimé associé à la dalle d’affichage, mobilisant une puce-systèmes, un port, un switch GRB, des bus et des connecteurs. La puce- systèmes regroupant les composants de mémorisation, de traitement et de coordination des données est reliée à la mémoire morte de la sous-tablette, dans laquelle se grave les logiciels d’alphabétisation initiale et avancée, du clavier virtuel ainsi que du programme général et de son module particulier. La puce-systèmes de mémorisation forme un MS, un MSI et un MSIL Le MS, ou Memory System, possède une cellule de stockage en masse et une cellule de stockage volatile de la messagerie, ayant une capacité de stockage des données inhérentes aux applications générales. Le MSI est une mémoire de masse capable de stocker les données particulières intègre le MS et peut jouir d'une extension au moyen du slot de la carte-mère disposant des broches mâles compatibles aux broches femelles d’une carte-mémoire. Le MSI! constitue une mémoire dynamique pouvant stocker les données particulières durant le temps que fonctionne la sous-tablette. La puce-systèmes de traitement forme un TS, un TSI, un TSII et un ATS. Elle est assortie d'un mécanisme de vibration consistant à une masse excentrée en rotation par micromoteur, pouvant être mis sous commande du bouton volume. Le TS, ou Treatment System, est un microprocesseur doté d'une fréquence d’exécution des instructions lui permettant de traiter les données des applications apparentes sur tous les trois terminaux, suivant la cadence attribuée par l’homme de métier. Le TSI étant une unité du TS exécutant les instructions particulières, assure le traitement des données des applications propres au terminal du présent appareil. Le TSII est une unité du TS et une sous-unité du TSI traitant des questions liées au graphisme. L’ATS, ou Additionnai Treatment System, mobilise les circuits additionnels : le système de traitement du signal réseau, le système de traitement vidéo, le système de traitement du son, l’unité de calcul en virgule flottante, l’instruction unique, données multiples et le contrôleur de périphériques. Il intègre deux sous-unités. La sous-unité graphique insère l’encodage des fichiers d’applications générales et particulières. Elle renferme les codes des formats de fiches issues du réseau domestique, du réseau Internet et des périphériques du terminal et aux quelles peuvent se joindre l’interface du clavier virtuel. La sous-unité spéciale mobilise les instructions des logiciels de commutation du signal et de communication initiale et avancée. La puce-systèmes de coordination constitue le CS, ou Coordination System, un chipset relié aux composants électroniques de la sous-tablette inventée. Le switch GRE constituant trois quatuors diodes reliés aux électrodes du voyant de labellisation de l’origine-active, en rapport avec les messages effectués par les personnes cibles, embarque un circuit électrique qui comporte la reliure : de la première diode à l’anode ; de la deuxième diode à la cathode verte ; de la troisième diode à la cathode rouge ; de la quatrième diode à la cathode bleue. Il reçoit les instructions du système de traitement des données. La première instruction consiste : à la diode passante de l’anode ; à la diode passante de la cathode verte ; à la diode non passante de la cathode rouge ; à la diode non passante de la cathode bleue. La deuxième instruction revient : à la diode passante de l’anode ; à la diode non passante de la première cathode verte ; à la diode passante de la cathode rouge ; à la diode non passante de la cathode bleue. La troisième instruction est inhérente : à la diode passante de l’anode ; à la diode non passante de la cathode verte ; à la diode non passante de la cathode rouge ; à la diode passante de la cathode bleue. Ces instructions de commutation sont liées à une application du signal dépendant de la touche du bouton producible, évaluateur ou authentificateur. L’antenne STIM, ou Subscriber Terminal Identification Module, constitue un câble à deux sections avec un connecteur capable de la raccorder à la carte-mère. Ce circuit de relai insère le démarrage du terminal en deux étapes unies par une application à code d’activation du réseau mobile. Les sections de câble, consistant chacune à un bus informatique, intègrent un système d’émission et de réception des données en lien avec un microcontrôleur. Elles sectionnent les applications de réseautagc des messages radio, texte, multimédia, accommodés aux systèmes de mémorisation et de traitement des données de la sous-tablette. La première section adaptée au réseau filaire, forme deux sous-sections de câble. La première sous-section s’agit d’un bus contenant ta fréquence du réseau mobile et les normes de transmission des données. La deuxième sous- section renferme les paramètres TMA, OMA, SMA, SWMA, un compte communicationnel, un compte Internet standard, l’indicatif et le sigle du pays, la boîte à outils et tes protocoles de base, l’ensemble associé au productable et à une application de sauvegarde des répertoriassions de l’abonné dans le système informatique de l’opérateur. L’OMA, ou Operator Messages Access, est le numéro d’identification de toutes les opérations sur le réseau de communication promotionnelle. Cet identifiant comprend les chiffres attribués à l’opérateur. Le SMA, ou Subscriber Messages Access, possède un chiffrage pouvant succéder à l’indicatif du pays, qui. forme le numéro d’accès de l’abonné à la messagerie spéciale. Le SWMA. ou Subscriber Web Messages Access, agence la référence ou bien le contact web de l’abonné dans son adresse internet. Cette référence précédant le domaine et le lieu d’adressage représenté par le sigle du pays. Elle est agencée par le chiffre du SMA incorporé dans la voyelle-muette du système de communication avancée, et ce, en remplacement du nom de l’intemaute dans le courriel et le lien du site Web. Le TMA, ou Terminal Messages Access, peut consister au numéro de série du terminal attribué à l’usine, des chiffres non publiés sur le réseau, et, attachés aux broches mâles et femelles du système d’émission et de réception des données. Le système de traitement des données établit la correspondance du TMA mâle et du TMA femelle et effectue le raccordement du circuit émetteur-récepteur à la carte-mère via le code d’activation ci-dessus. Le compte communicationnel, y inscrit, intègre les systèmes de crédit et de débit, accompagnés d’un système de recharge et de report de la communication promotionnelle, protégée au moyen d'un code secret PIN, ou Personnal Identification Number, inséré dans le terminal. Le compte Internet standard, apparent dans l’application statutaire de l’abonné, insère le lien standard auquel peut s’ajouter un mot de passe et des liens secondaires avec lieu et référencement idem, et, domaines web distincts. Il jouit des unités de la messagerie, déduites du crédit disponible dans le compte communicationnel. La deuxième section de câble adapté au réseau non filaire, mobilise les normes de radiocommunication compatibles avec le réseau mobile. Elle encadre le lien entre le mécanisme de vibration et le système de réception des messages oraux et écrits. Le bus constitutif d'un circuit électronique à deux conduites comprend un débit des données générales et un débit des données particulières, associés à la mémoire morte du terminal et aux mémoires vives ; MS, MSI, MSII. Il effectue la reliure entre les composants électroniques de manière à assurer la transmission des données de la messagerie spéciale. Le connecteur consiste à des broches de raccordement fixées à un boîtier, une carte ou une nappe, intégrant entre mitre le bouton 20, le bouton volume, le productable, l’évaluateur et le slot d’extension de la mémoire de masse. Le clavier virtuel, en liaison avec la vitre tactile, repose sur les interfaces paginant son tableau inférieur et son tableau supérieur, assortis d’une commande d’alternance et des boutons de lettres de l’alphabet initial et de l’alphabet avancé, des boutons numériques et des boutons significatifs. Ce périphérique est la version virtuelle du clavier réel connectable à l’ordinateur périphérique accommodé à l’application du message sur une durée longue, afin d’éviter le chauffage de l’appareil et le risque d’endommager ses composants. Il possède une application graphique qui renferme un curseur activable de façon digitale ou automatique suivant les commandes programmées en faveur de l’applicabilité du message sur une durée courte. Au regard du programme, la localité, la délocalité ou la relocalité exprimée dans l’étiquette virtuelle est une zone de région de l’espace du pays abritant la conception et la fabrication du produit. Le nom commun à ce domicile régional découle du lexique de géographie des mouvements de l’activité : « localisation » ; « délocalisation » ou « relocalisation ». Les radicaux « locali... », « dé - locali... » et « re - locali... » s’accompagnant évidemment du suffixe « té » qui remplace l’ajout « sation ». De façon normale, la zone spatiale est chiffrée par une variable qualitative de l’origine-active, un sous-code dégagé de l’anus (alphanumerical specification) du concepteur-fabricant. L'œuvre de ce personnage comprend les deux phases de production déterminées par une variable quantitative pouvant s’élevée au taux : T ₁ = α ₁ % dans la localité ; T ₂ = α ₂ % dans la relocalité ; T ₃ 3 α ₁ % dans la délocalité. Aussi, l’unicité de la productivité varie proportionnellement à l’entièreté des phases, la première nouveauté ou la deuxième nouveauté du produit se déduit du superlatif d’appartenance plus ou moins à la personne active : XX" = ± 1 , C’est-à-dire que conformément à la proportion de l’AOI, de l’AO2 et de l' AO3, ce bien ou service est personnellement spécifique au pays domiciliataire : Y = X'X". Car, le déterminant de spécificité Δ sous-tend la donnée proportionnelle de la prenouveauté ou de la denouveauté de l’objet, en partant des propriétés de quantification. Soit : Δ ₁ = 0 donne 100% pour n = 1 et 75% à 50,25% pour 2 ≤ n ≤ ; Δ ₁ = 1 dégage 50% quel que soit n l’indice du personnage actif. D’où l’inclusion de la valeur unique de l’originalité dans le pourcentage d’AO, par exemple : 100% = 100 x 1 %, par lequel, la programmation planifie l’étiquetage du label « PRODUCE IN », abrégé de l’anglicisme : « PODUCTION ESTABLISHED IN ». Elle préconise l’étiquette de l’ongine-active à travers une reproduction encerclée du symbole de la marque déposée, de la marque commerciale ou du copyright, à partir du plan vert du premier module programmatique exprimant l’AOl en les termes : « α ₁ % PRODUCE IN : P », « LOCAL », «+ ORIGINAL » ; l’A O2 en les termes : « α ₂ % PRODUCE IN : P », « RELOCAL », « + ORIGINAL » ; l’AO 3 en les termes : « α ₃ % PRODUCE IN : P », « DELOCAL », « ORIGINAL ». L’étiquette prix est prévue dans le plan rouge du second module, exprimant le coût de la version du produit estimé par le commerçant. La prévision du plan bleu du troisième module programmatique assurant l’expression du conseil du consommateur. Les dessins de l’annexe illustrent l’invention : la figure 1 représente l’extérieur ; la figure 2 représente la coque arrière ; la figure 3 schématise l’intérieur.

L’appareil annexé se réalise de manière à établir la communication promotionnelle sur ses trois terminaux mobiles complémentaires spécialement programmés pour le producteur, le commerçant et le consommateur. En références aux figures illustratives, le cover (1), protège les composants électroniques du terminal, dans lequel sont installés te programme général et le module particulier permettant d’informer et de s’informer dans le cadre de la production, de la commercialisation ou de la consommation. Le port (2), paraissant du cover ( l ), connecte tour à tour un chargeur d’électricité et un cordon informatique et pourvoit les composants électroniques en énergie électrique, ou en données audio, vidéo, streaming ou alphabetatiques (relatif à l’alphabet avancé), grâce à une application affichée à l’écran de la sous-tablette protégée. Le bouton 20 (3) assorti au cover (1) allume et éteint l’écran et le voyant mis sous tension électrique via le port (2). En y pressant fortement le doigt de la main, s’active le système d’exploitation et le démarrage de la sous-tablette éteinte. Un léger appui allume l’écran en mode veille. A l’allumage, la forte pression digitale exercée sur ce bouton affiche l’application d’extinction et de redémarrage. L’ISD (4) supporte la vitre tactile et affiche les applications, les messages et les informations. Le productable (5) commande l’annuaire et le répertoire en activant 1TSD (5) dont l’écran découvre les contacts non avisés et avisés. L’évaluateur (6) commande les applications estimatives de l'active-origin des concepteurs- fabricants répertoriés dans le productable (5) ainsi que les applications informatrices. Le labelliseur (7) signale la communication promotionnelle à travers son GRBL qui reflète la couleur verte, rouge ou bleu de la lumière du signal, dès la touche du bouton productable (5) ou évaluateur (6) jusqu’à la mise en veille de l’écran ou jusqu’à l’extinction du terminal. Le speakin (8) constitue le microphone s’activant via le contact avisé dans le productable (5) pour permettre de parler. Le haut-parleur (9) activé par l’application du productable (5), de l’évaluateur (6) et du bouton d’authentification diffuse les informations sonores. Le bouton volume (10) active l’ISD (4) augmente et baisse le son diffusé du haut-parleur (9). Il commande l’augmentation et la baisse du son et la vibration de la sonnerie lorsque l’ISD (4) est allumé. Le bouton retour (11) revient à la page précédente de l’application ouvertement affichée à l’écran du terminal. Le bouton aperçu (12), présente la suite d’applications ouvertes et permet de supprimer les pages aperçues. Le bouton accueil (13) retourne à la première page du programme dans le cas de toute application ouverte. Ils assurent la gestion de l’ouverture et de la fermeture des applications et des déclinaisons applicatives à l’écran de l’ISD (4). L’authentificateur (14) verrouille et déverrouille l’accès au productable (5) et à l’évaluateur (6). Il braque, en outre, les lentilles sur l’étiquette réelle de la version du produit et permet de prendre et de stocker l’image capturée, d’étalonner ta photo ou la vidéo avec l’étiquette virtuelle et d’arrimer celle-ci aux identifiants du producteur, du commerçant, du consommateur et de l’abonné titulaire du terminal. L’encoche (15) ouvre le cover (1 ) et écarte également l’authentificateur (14) en maintenant la coche juste sur la coque arrière et en y séparant le bouton biométrique du lecteur d’empreinte digitale et les lentilles de l’appareil photo et de la caméra, adossés à la coque frontale. Le châssis (16) supporte le circuit imprimé, le circuit émetteur-récepteur et le circuit d’alimentation énergétique. Le trou (17) insère une vis en acier et fixe le circuit d’alimentation énergétique, sur le châssis (16). La batterie (18) est un composant amovible capable d’accumuler les charges à partir du port (2) et d’alimenter le terminal en énergie électrique. La carte-mère (19) embarque le port (2), la puce-systèmes, l’emplacement de la carte-mémoire, le commutateur GRB, les circuits de transmissions et de raccordements. Elle mobilise les raccordements au bouton 20 (3), au productable (5), à l’évaluateur (6) et au bouton volume (10). L’antenne ST1M (20) s’actionnant au démarrage du terminal par le bouton 20 (3) active l’ISD (4) qui affiche l’application dans laquelle s’insère le code provoquant le redémarrage et l’activation du réseau mobile relayé. Elle assure l’émission et la réception des données de l’abonné et de l’opérateur de télécommunication. Le MSI (21 ), cellules du MS et de la mémoire morte du terminal est une mémoire de masse reliée au port (2), au productable (5), au labelliseur (7) et à l’authentificateur (14) dont les applications et les déclinaisons applicatives activent le stockage général et le stockage particulier des données textuelles, audio et vidéo, des contacts et des identifiants justes. Le MS1I (22) stocke les données le temps que l’ISD (4) et le Iabelliseur (7) sont allumés ou en veille. Le slot (23) effectue l' extension de la capacité de stockage du MSI (21) en raccordant une carte-mémoire de masse des données générales et particulières, qui s’active par une application affichée sur l’ISD (4). Le TSI (24) activé à travers les commandes digitales et automatiques exécute les instructions et traite les données particulières sous le TS agissant pour les données générales. Le TSII (25) exécute les instructions graphiques et traite les graphismes généraux et particuliers. L’ATS (26) regroupe les unités du TS, du TSI (24) et du TSII (25) desquelles s’instruisent et se traitent le signal réseau, les textes initiaux et avancés, la commutation GRB, la vidéo, le son, le dessin et la vibration de la sonnerie. Le clavier virtuel (27) activé par l’application du productable (5), de l’évaluateur (6) ou de l'authentificateur (14) commande la saisie et l’écriture du message et de l’information à base du logiciel de traitement des textes initiaux et avancés, installé dans la mémoire morte du MS, du MSI (21), du MSII (22), et de la carte-mémoire raccordée au slot (23) de la carte-mère (19). Le switch GRB (28) commute le circuit électrique du voyant tri-lumineux du label liseur (7) de manière à refléter la lumière verte, rouge ou bleue du signal de communication promotionnelle du producteur, du commerçant ou du consommateur. Le bus (29) débite les données générales et particulières en rapport avec les applications des massages. Le connecteur (30) raccorde le composant non fixe à la carte-mère (19). Le CS (31) coordonne le jeu d’instructions générales et particulières du TS, du TSI (24), du TSII (25) et de l'ATS (26) ainsi que les données transmises par le bus (29) aux composants fixés ou raccordés.