DISPOSITIF DE VERROUILLAGE D'UNE BAGUE DE RETENUE SOLIDARISEE A UN POUSSOIR D'UN SYSTEME DE FERMETURE.

La présente invention a pour objet un dispositif de verrouillage d'une bague de retenue qui sert à retenir axialement dans un sens un poussoir de commande d'un système de fermeture. Elle s'applique notamment mais non exclusivement aux bagues de retenue utilisées dans les verrous de coffre de voiture actionnés à l'aide d'un poussoir.

On sait qu'il existe déjà des dispositifs servant de butée fin de course d'un poussoir du type susdit afin d'empêcher qu'il ne se désolidarise du mécanisme de fermeture auquel il est associé. Ainsi, on a déjà proposé un mécanisme de maintien d'un poussoir consistant en un joint souple, de préférence en caoutchouc ou en élastomère, engagé dans une gorge annulaire s'étendant sur la surface externe de la partie inférieure dudit poussoir. Cependant, ce mécanisme de maintien ne permet pas de satisfaire aux standards d'inviolabilité tels que fixés par les essais Thatcham en effet, il présente plus particulièrement l'inconvénient d'être déformable et de s'user prématurément.

Afin de résoudre cet inconvénient, on a recours à une bague de retenue rigide servant de butée fin de course à un poussoir du type susdit, cette bague de retenue pouvant être notamment solidarisée au poussoir à l'aide d'un mécanisme à baïonnette.

Néanmoins, ce mécanisme ne permet pas de garantir que la bague de retenue ne puisse se déplacer en rotation, notamment dans le sens inverse de celui du blocage du mécanisme à baïonnette, et donc ne se désolidarise.

L'invention a donc plus particulièrement pour but de supprimer cet inconvénient. A cet effet, elle propose un dispositif de verrouillage faisant

intervenir un élément de verrouillage au moins partiellement annulaire, apte à s'engager sur le corps du poussoir, cet élément de verrouillage comportant :

• une première conformation agissant par coopération de forme avec une conformation correspondante dudit corps pour verrouiller en rotation l'élément de verrouillage sur ledit corps ;

• une deuxième conformation agissant par coopération de forme avec une conformation correspondante de ladite bague pour la verrouiller en rotation par rapport audit corps.

En complément,

• le corps du poussoir peut comprendre à l'une de ses extrémités une portion sensiblement cylindrique et dont la surface cylindrique extérieure est munie : o d'au moins une cannelure axiale débouchant à l'une des extrémités du corps ; o d'une gorge annulaire coaxiale recoupant ladite cannelure à une distance prédéterminée de ladite extrémité ;

• la bague de retenue présente un diamètre intérieur au moins égal au diamètre extérieur dudit corps, cette bague de retenue comprenant au moins une protubérance qui s'étend radialement en saillie vers l'intérieur, à partir de sa surface intérieure, cette protubérance étant dimensionnée de manière à pouvoir s'engager dans ladite cannelure et dans ladite gorge ; ^•

• l'élément de verrouillage consiste en un capot comprenant une jupe cylindrique de diamètre intérieur .sensiblement égal au diamètre extérieur de ladite bague, ce capot comportant : o une collerette radiale qui s'étend vers l'intérieur, depuis l'une des extrémités de la jupe, cette collerette radiale présentant un diamètre intérieur sensiblement égal au diamètre extérieur dudit corps ;

o au moins une protubérance radiale qui s'étend depuis la surface intérieure de ladite collerette, cette protubérance radiale étant conformée de manière à pouvoir s'engager dans ladite cannelure ; et éventuellement o au moins une lèvre circulaire s'étendant radialement depuis la surface intérieure de ladite jupe, vers l'intérieur de celle-ci, cette lèvre étant destinée à assurer une fixation temporaire, i.e. démontable, par clipsage du capot sur ladite bague.

De cette façon, lors de l'engagement de la bague sur le corps du poussoir, la protubérance radiale de la bague de retenue est engagée dans la cannelure dudit corps jusqu'à atteindre ladite gorge. La bague de retenue est ensuite entraînée en rotation de manière à ce que sa protubérance s'engage dans la gorge annulaire et ne soit plus dans l'axe de la cannelure, on obtient ainsi un blocage axial de la bague. Afin d'éviter que la bague ne puisse tourner et revenir dans l'axe de la cannelure (position dans laquelle elle pourrait se désolidariser du corps), le capot est assemblé sur le corps, sa protubérance radiale étant engagée dans ladite cannelure. Le capot est ensuite positionné de telle façon que l'intégralité de sa jupe recouvre la bague de retenue. Le clipsage de la lèvre du capot, qui constitue ladite deuxième conformation, sur la partie inférieure de la bague lors du positionnement du capot sur la bague, permet de solidariser le capot à la bague. De plus, la protubérance radiale du capot, qui constitue ladite première conformation, est bloquée en rotation par les parois latérales de ladite cannelure, ce qui permet à l'ensemble constitué par ce capot et par la bague de retenue d'être verrouillé en rotation.

Selon une variante d'exécution de l'invention, la protubérance du capot est d'abord engagée dans la cannelure du corps en faisant en sorte que ladite jupe soit orientée vers ladite extrémité du corps. La protubérance de la bague de retenue est ensuite engagée dans la cannelure jusqu'à atteindre ladite gorge ; un mouvement de rotation du type susdit est imprimé à la bague avant que le

capot ne soit positionné de telle façon que l'intégralité de sa jupe recouvre la bague. De cette manière, grâce notamment à la protubérance radiale du capot, l'ensemble qu'il constitue avec la bague de retenue est verrouillé en rotation.

Ladite deuxième conformation de l'élément de verrouillage peut, par exemple, consister en au moins un ergot pouvant coopérer avec au moins une encoche comprise sur la bague de retenue.

Des modes d'exécution de l'invention seront décrits ci-après, à titre d'exemples non limitatifs, avec référence aux dessins annexés, dans lesquels :

La figure 1 est une représentation en coupe d'un poussoir comprenant le dispositif de verrouillage selon l'invention, ce poussoir étant engagé dans un logement d'un système de fermeture.

La figure 2 est une représentation schématique du corps et de la bague de retenue du dispositif de verrouillage selon l'invention, la bague de retenue étant disposée de manière à ce que sa protubérance puisse être engagée dans la cannelure dudit corps.

La figure 3 est une représentation schématique dudit corps, de ladite bague de retenue qui est engagée dans sa gorge, ainsi que d'un capot du dispositif de verrouillage selon l'invention, qui est disposé de manière à ce que sa protubérance puisse être engagée dans la cannelure dudit corps.

Les figures 4 et 4' sont une représentation schématique en perspective de ladite bague de retenue respectivement de profil et légèrement en biais.

Les figures 5 et 5' sont des représentations schématiques en perspective dudit capot légèrement en biais.

La figure 6 est une vue schématique de face de l'ensemble constitué par la bague de retenue et par le capot.

La figure 7 est une vue d'ensemble du dispositif de verrouillage selon l'invention tel que représenté sur la figure 3.

Les figures 8 et 8' sont des représentations schématiques en perspective selon une variante d'exécution de l'invention, d'une bague de retenue légèrement en biais.

Les figures 9 et 9' sont des représentations schématiques en perspective selon une variante d'exécution de l'invention, d'un capot légèrement en biais.

La figure 10 est une vue d'ensemble du dispositif de verrouillage selon ladite variante d'exécution de l'invention.

La figure 11 est une représentation en coupe du dispositif de verrouillage selon une autre variante d'exécution de l'invention ; le dispositif de verrouillage comprenant une patte élastique qui permet de verrouiller en translation la bague de retenue. • • ^• , •

Tel que représenté sur la figure 1, le poussoir 1 du système de fermeture comprend à l'une de ses extrémités une tête 2, sur le sommet de laquelle l'utilisateur peut exercer une pression, ainsi qu'un corps 3 sensiblement cylindrique constituant son autre extrémité.

Le corps du poussoir 3 est monté coulissant dans un logement approprié 4 (ici de forme cylindrique) du système de fermeture et s'étend à l'opposé de la tête 2 dans un espace où il coopère avec un mécanisme de fermeture (non représenté), notamment lorsque le poussoir 1 est enfoncé.

Comme illustré sur la figure 2, le corps 3 est sensiblement cylindrique et sa surface cylindrique extérieure comporte : o au moins une cannelure axiale 5 débouchant à son extrémité inférieure (celle susceptible de coopérer avec le mécanisme de fermeture lorsque le poussoir 1 est enfoncé) ; et o une gorge annulaire 6 coaxiale recoupant ladite cannelure 5 à une distance prédéterminée de ladite extrémité.

Afin d'éviter que le poussoir 1 ne sorte de son logement 4, lorsque notamment la pression exercée sur sa tête 2 est relâchée, une bague de retenue rigide 7 servant de butée fin de course est disposée dans sa gorge 6.

Cette bague de retenue 7, qui coopère avec une surface de butée 8 du logement 4, présente un diamètre intérieur au moins égal au diamètre extérieur dudit corps 3. Elle comprend au moins une protubérance radiale 9 qui s'étend en saillie vers l'intérieur, à partir de sa surface intérieure. Cette protubérance radiale 9 est dimensionnée de manière à pouvoir s'engager dans ladite cannelure 5 et dans ladite gorge 6 ainsi, la protubérance radiale 9 comprend une largeur sensiblement égale à la largeur de la cannelure 5 et une épaisseur sensiblement égale à la largeur de la gorge 6. - .

A titre d'exemple, tel que cela est illustré sur les figures 4 et 4', la bague de retenue 7 peut comprendre trois protubérances 9', 9" disposées sur sa surface intérieure à savoir, deux petites protubérances 9" ayant sensiblement les mêmes dimensions et une grande protubérance 9' présentant une. largeur, plus importante. Ces trois protubérances 9'-, 9" sont disposées de telle façon qu'une

orientation appropriée de la bague de retenue 7 leur permet d'être chacune dans l'axe d'une cannelure 5 correspondante du corps du poussoir 3 (celui-ci comprenant alors trois cannelures 5), chaque cannelure 5 présentant la même largeur que celle de la protubérance 9', 9" qui lui est associée.

Ainsi, tel que cela est représenté sur les figures 2 et 3, la bague de retenue 7 est orientée de telle façon que sa protubérance 9 soit dans l'axe de la cannelure 5 dudit corps 3. La bague de retenue 7 est ensuite engagée sur le corps du poussoir 3 jusqu'à atteindre ladite gorge 6. La bague de retenue 7 est ensuite entraînée en rotation de manière à ce que sa protubérance 9 s'engage dans la gorge annulaire 6 et ne soit plus dans l'axe de la cannelure 5, ce qui permet de bloquer axialement la bague 7.

Afin de maintenir en position la bague de retenue 7, un capot 10, apte à s'engager sur le corps du poussoir 3, et comprenant des conformations spécifiques est disposé de manière à recouvrir et bloquer en rotation la bague de retenue 7.

Ce capot 10 comprend une jupe cylindrique 11 de diamètre intérieur sensiblement égal au diamètre extérieur de ladite bague 7. Le capot 10 comporte également : o une collerette radiale 12 qui s'étend depuis l'une des extrémités de la jupe 11 vers l'intérieur, cette collerette radiale 12 présentant un diamètre intérieur sensiblement égal au diamètre extérieur dudit corps 3 ; o au moins une protubérance radiale 13 qui s'étend depuis la surface intérieure de ladite collerette 12, cette protubérance radiale 13 étant conformée de manière à pouvoir s'engager dans ladite cannelure 5 ; et o au moins une lèvre circulaire 14 s'étendant radialement depuis la surface intérieure de ladite jupe 11, vers l'intérieur

de celle-ci, cette lèvre 14 étant destinée à assurer une fixation temporaire, i.e. démontable, par clipsage du capot 10 sur ladite bague 7.

A titre d'exemple, tel que cela est illustré sur les figures 5 et 5', le capot 10 comporte trois protubérances radiales 13', 13" à savoir, deux petites protubérances 13" ayant sensiblement les mêmes dimensions et une grande protubérance 13' présentant une largeur plus importante. Ces trois protubérances 13', 13" sont disposées de telle façon qu'une orientation appropriée du capot 10 leur permet d'être chacune dans l'axe d'une cannelure correspondante 5 du corps du poussoir 3 (celui-ci comprenant alors trois cannelures 5), chaque cannelure 5 présentant la même largeur que celle de la protubérance 13', 13" qui lui est associée. De plus, le capot 10 comporte également deux lèvres circulaires 14 s'étendant à la base de sa jupe 11, cette base constituant l'autre extrémité de la jupe 11.

Ainsi, tel que cela est représenté sur les figure 3 et 7, la (les) protubérance(s) radiale(s) 13, 13', 13" dudit capot 10 est (sont) engagée(s) dans la (les) cannelure(s) 5 dudit corps 3, le capot 10 étant positionné de façon à ce que ce l'intégralité de sa jupe 11 recouvre la bague de retenue 7. Le positionnement du capot 10 sur la bague de retenue 7 provoque le clipsage de ladite (desdites) lèvre(s) 14 sur l'extrémité inférieure de la bague 7, ce qui permet de solidariser le capot 10 à la bague 7. . ^• •

Avantageusement, tel que cela est représenté sur les figures 4 et 4', l'extrémité inférieure de la bague de retenue 7 peut être constituée par un décrochement annulaire 25 où la (les) du capot 10 peut (peuvent) se clipser.

La (les) protubérance(s) radiale(s) 13, 13', 13" du capot 10 est (sont) bloquée(s) en rotation par les parois latérales de ladite (lesdites) cannelure(s)

5, ce qui permet de verrouiller en rotation l'ensemble constitué par le capot 10 et par la bague de retenue 7.

De manière avantageuse, la bague de retenue 7 peut comprendre sur sa surface supérieure au moins une proéminence radiale 15, et le capot 10 peut également comprendre au moins un ergot 16 qui s'étend depuis la surface intérieure de ladite jupe 11 et qui est de préférence en contact avec la surface inférieure de

Ia collerette 12. L'ergot 16 est conformé et disposé de manière à buter contre ladite proéminence 15 lorsque le capot 10 est engagé sur le corps du poussoir 3, disposé sur la bague de retenue 7 et qu'un mouvement de rotation relatif du capot 10 par rapport à la bague de retenue 7 est exercé, ceci permettant d'optimiser le blocage en rotation de cet ensemble.

A titre d'exemple, tel que cela est représenté sur les figures 4 et 4', la bague de retenue 7 peut comprendre trois proéminences 15 qui définissent trois encoches radiales 17, dans chacune desquelles peuvent s'engager l'un des trois ergots 16 du capot 10 (tel que représenté sur les figures 5 et 5') lorsque ce dernier recouvre la bague de retenue 7.

Avantageusement, la surface latérale externe 18 de ladite (desdites) proéminence(s) 15 peut être chanfreinée de manière à optimiser la solidarisation du capot 10 et de la bague de retenue 7.

De manière avantageuse, le capot 10 peut présenter une hauteur sensiblement supérieure à celle de la bague de retenue 7 ce qui permet :

• d'optimiser l'étanchéité, notamment au niveau de ladite surface de butée du logement 8;

• d'amortir le choc de la bague 7 contre ladite surface de butée 8, ce qui entraîne notamment une réduction de la bruyance dudit choc.

Avantageusement, le capot 10 permet également d'empêcher que des corps étrangers pénètrent dans des cavités (non. représentées) pouvant être présentes sur le corps du poussoir 3. ,,

Selon une variante d'exécution de l'invention, le capot 10 est engagé sur le corps du poussoir 3 avant la-bague de retenue 7.

Ainsi, comme illustré sur la figure 10, les protubérances radiales 13', 13" du capot 10 sont d'abord engagées dans les cannelures 5 du corps 3 en faisant en sorte que ladite jupe 11 soit orientée vers ladite extrémité inférieure du corps 3. Les protubérances 9', 9" de la bague de retenue 7 sont engagées dans. les cannelures 5 jusqu'à atteindre ladite gorge 6 puis, la bague de retenue 7 est entraînée en rotation de manière à ce que ses protubérances 9', 9" s'engagent dans la gorge annulaire 6 et ne soient plus dans l'axe des cannelures 5, ce qui permet de bloquer axialement la bague 7. Enfin, le capot 10 est positionné de façon à ce que sa jupe 11 recouvre la bague de retenue 7.

A titre d'exemple, tel que représenté sur. les figures 9 et 9', le capot 10 du type susdit peut comprendre trois protubérances radiales 13', 13" à savoir, deux petites protubérances 13" ayant sensiblement les mêmes dimensions et une grande protubérance 13' présentant une largeur plus importante. Ces trois protubérances 13', 13" sont disposées de telle façon qu'une orientation appropriée du capot 10 leur permet d'être chacune dans l'axe d'une cannelure correspondante 5 du corps du poussoir 3 (celui-ci comprenant alors trois cannelures 5), chaque cannelure 5 présentant la même largeur que celle de la protubérance 13', 13" qui lui est associée. Le capot 10 peut également comporter deux ergots 16 du type susdit.

La bague de retenue 7, tel que cela est illustré sur les figures 8 et 8', comporte alors : . ^•

• deux encoches radiales 19 disposées sur sa surface latérale et dans chacune desquelles peuvent s'engager l'un des deux ergots 16 du capot 10 lorsque ce dernier est engagé sur le corps du poussoir 3 et recouvre la bague de retenue 7, ce qui permet d'optimiser le blocage en rotation de cet ensemble ; et

• trois protubérances radiales 9', 9" à savoir, deux petites protubérances 9" ayant sensiblement les mêmes dimensions et une grande protubérance 9' présentant une largeur plus importante; ces trois protubérances 9', 9" sont disposées de telle façon qu'une orientation appropriée de la bague de retenue 7 leur permet d'être chacune dans l'axe d'une cannelure correspondante 5 du corps du poussoir 3 (celui-ci comprenant alors trois cannelures 5), chaque cannelure 5 présentant la même largeur que celle de la protubérance 9', 9" qui lui est associée.

Selon une autre variante d'exécution de l'invention, tel que cela est représenté sur la figure 11, la bague de retenue 7 peut comprendre au moins une patte élastique 20 comportant :

• une âme 21 ayant une hauteur au moins égale à ladite distance séparant la gorge 6 de l'extrémité inférieure du corps du poussoir 3 ; cette âme 21 s'étend depuis la surface supérieure de la bague de retenue 7 vers cette extrémité du corps du poussoir 3, dans un axe sensiblement perpendiculaire à celui de la bague de retenue 7 et de telle manière que la distance la séparant de la surface cylindrique extérieure dudit corps 3 soit négligeable ; • au moins une languette 22 dont l'axe est sensiblement parallèle à celui de la bague de retenue 7 et qui est fixée à l'autre extrémité de ladite âme 21 ; elle s'étend parallèlement à la face inférieure du corps du poussoir 3 de telle manière que la distance la séparant de cette face inférieure soit négligeable.

De cette façon, la bague de retenue 7 est verrouillée en translation verticale et horizontale par rapport au corps du poussoir 1 , la patte élastique 20 constituant un moyen de retenue.

La patte élastique 20 peut être réalisée par surmoulage et être constituée de matière plastique.

La bague de retenue 7 est rigide et peut être constituée d'un alliage métallique tel que le zamak (nom déposé). Le capot 10 est de préférence constitué d'une matière souple telle que du caoutchouc ou une matière plastique.