Login| Sign Up| Help| Contact|

Patent Searching and Data


Title:
DEVICE FOR MARKING PARALLEL LINES
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2005/088025
Kind Code:
A1
Abstract:
The invention relates to a device for marking parallel lines. According to the invention, the device comprises a chalk line end support (5) which enables the free end (4a) of a chalk line (4) to be held. The chalk line end support (5) can slide transversely (9) along a guide (7) which is in turn fixed, using clamps (10, 11), to an end structure (2a) of a frame on which lines are to be drawn with the aid of the chalk line (4). The movement of the chalk line end support (5) can be controlled by pulling a flexible tie (21) which raises a stop element (14), thereby enabling the chalk line end support (5) to slide to the next stop element (19). In this way, a single user can mark several parallel lines using a chalk line without having to move in order to fix the first and second ends of the chalk line (4) successively.

Inventors:
GENY DUMONT RENE (FR)
Application Number:
PCT/FR2005/000560
Publication Date:
September 22, 2005
Filing Date:
March 09, 2005
Export Citation:
Click for automatic bibliography generation   Help
Assignee:
GENY DUMONT RENE (FR)
International Classes:
B44D3/38; E04D12/00; E04D15/02; E04G21/18; (IPC1-7): E04D15/00; E04D12/00
Foreign References:
FR2679945A11993-02-05
US1891786A1932-12-20
Attorney, Agent or Firm:
Poncet, Jean-françois (7 chemin de Tillie, B.P. 317 Annecy Cedex, FR)
Download PDF:
Description:
DISPOSITIF POUR TRACER DES LIGNES PARALLELES

DOMAINE TECHNIQUE DE L'INVENTION La présente invention concerne les outils permettant de faciliter la construction des charpentes, et en particulier la couverture des charpentes. Dans la technique moderne du bâtiment, une charpente comprend généralement une série de chevrons parallèles qui suivent la ligne de pente de la toiture, et que l'on recouvre avec une couverture à base de tuiles, d'ardoises ou autres éléments de protection extérieure contre les intempéries. Entre les chevrons et la couverture, on interpose généralement une toile de sous-couverture, destinée à assurer une étanchéité à l'air et à parfaire l'étanchéité à l'eau de la toiture. Avec ou sans couverture, on interpose également des liteaux horizontaux et parallèles, fixés aux chevrons, et espacés les uns des autres d'une distance prédéterminée adaptée à la pose de l'élément de couverture. Cette distance, que l'on désigne par le mot pureau, diffère selon que l'élément de couverture est une ardoise, ou une tuile. La distance diffère également selon la pente du toit. Une difficulté réside dans la disposition des liteaux, car il faut respecter leur parallélisme et surtout l'application d'une distance constante entre les liteaux successifs. A défaut de respecter cette distance, les éléments de couverture ne peuvent alors pas être disposés convenablement, et il peut se produire des fuites et autres défauts d'étanchéité. Jusqu'à présent, avant de poser les liteaux, on effectue un tracé de la position que doit prendre le liteau. Pour cela, entre les deux chevrons extrêmes qui forment les rives du toit, on tend un cordeau traceur, c'est-à-dire un cordeau chargé de craie colorée, et on fait battre le cordeau traceur contre la sous- couverture ou contre la série de chevrons parallèles intermédiaires pour marquer une ligne horizontale qui matérialise la position que l'on doit donner au liteau. On comprend qu'il faut pour cela que deux opérateurs se placent à chaque extrémité du cordeau traceur pour le tendre, ce qui mobilise deux personnes. En alternative, un opérateur seul peut fixer une extrémité du cordeau traceur sur l'un des chevrons d'extrémité, par exemple à l'aide d'un clou, puis il se déplace à l'autre extrémité du toit pour tendre le cordeau traceur et effectuer le tracé de la position du liteau. Il en résulte une nécessité de nombreux allers-retours, car le nombre des liteaux à poser sur un toit est relativement élevé. On comprend que l'opération est périlleuse et longue. On a imaginé, dans le document FR 2 679 945 A, la possibilité de déplacer à distance une extrémité d'un cordeau traceur pour qu'un opérateur seul puisse effectuer le tracé de toutes les positions des liteaux d'un toit sans avoir à se déplacer lui-même en allées et venues d'une extrémité à l'autre du toit à chaque déplacement transversal du cordeau traceur. Dans ce document, on prévoit de monter un chariot en déplacement transversal sur une voie le long d'un côté incliné du pan de toit, le chariot tenant une extrémité du cordeau traceur dont l'autre extrémité est tenue par l'utilisateur. Pour déplacer le chariot sur la voie, l'utilisateur doit installer sur le faîte du toit des poulies de renvoi, puis passer un câble de traction autour des poulies jusqu'au chariot. Le mouvement de descente du chariot est empêché par un système à cliquets. Le mouvement du chariot s'effectue de bas en haut, par traction du câble. Ce dispositif décrit nécessite encore des manœuvres d'installation périlleuses et relativement complexes, avec plusieurs déplacements de l'utilisateur pour placer des poulies de renvoi puis pour placer le câble de traction. Ainsi, la mise en place du dispositif est dangereuse et source de perte de temps. EXPOSE DE L'INVENTION Le problème proposé par la présente invention est de concevoir un outil permettant de simplifier considérablement le tracé des lignes horizontales de positionnement des liteaux sur un toit pour constituer la couverture d'une charpente. On cherche en particulier à permettre à un opérateur seul d'effectuer le tracé sans avoir à se déplacer en allées et venues nombreuses d'une extrémité à l'autre du toit, tout d'abord pour mettre en place l'outil, et ensuite pour déplacer transversalement le cordeau traceur entre les tracés successifs. En pratique, l'outil doit être facile à poser, et l'outil doit permettre de tenir une première extrémité d'un cordeau traceur le long d'un bord de cadre à quadriller tel qu'un toit, puis de déplacer à volonté ladite première extrémité de cordeau traceur transversalement le long dudit premier bord de toit selon un pas défini correspondant à la distance voulue entre deux liteaux successifs, de sorte qu'un utilisateur seul peut tenir la seconde extrémité du cordeau traceur et assurer le tracé à chaque déplacement du cordeau traceur. L'invention vise également à réaliser un appareil léger, qui permette une manipulation sur les toits. En particulier, on cherche à réaliser un appareil dont le poids est inférieur à 10 kilogrammes, de préférence inférieur à 4 kilogrammes. L'invention vise également à réaliser un tel appareil qui soit particulièrement fiable pour assurer un déplacement contrôlé du cordeau traceur. L'appareil doit également être robuste, car les conditions d'utilisation sur les chantiers excluent l'usage d'outils fragiles. Enfin, l'invention vise à réaliser un appareil peu onéreux. Pour atteindre ces buts ainsi que d'autres, l'invention propose un dispositif pour tracer des lignes parallèles sur un cadre à l'aide d'un cordeau traceur, comprenant : - un support d'extrémité de cordeau traceur adapté pour retenir l'extrémité libre du cordeau traceur contre une traction longitudinale, - des moyens pour tenir le support d'extrémité de cordeau traceur le long d'un bord du cadre, et pour le déplacer transversalement, à réception d'un signal de commande, et selon un pas prédéfini, le long dudit bord du cadre, - des moyens actionnables par un utilisateur distant tenant l'autre extrémité du cordeau traceur, pour générer le signal de commande et pour le transmettre au support d'extrémité de cordeau traceur, - le support d'extrémité de cordeau traceur comprenant un chariot sollicité en déplacement transversal le long de la glissière, - la glissière comprenant des taquets de limitation de déplacement transversal du chariot selon le pas prédéfini ; selon l'invention, les moyens pour générer le signal de commande et pour le transmettre au support d'extrémité de cordeau traceur comprennent un lien souple de commande, actionnable par l'utilisateur distant, et tendu directement selon la direction longitudinale entre l'utilisateur et le support d'extrémité de cordeau traceur. En ce qui concerne les moyens pour tenir et pour déplacer transversalement le support d'extrémité de cordeau traceur à réception d'un signal de commande, et selon un pas prédéfini, un mode de réalisation particulièrement robuste et simple comprend une butée escamotable, montée sur le chariot, et agencée pour prendre une position escamotée libérant le coulissement transversal du chariot, et une position d'arrêt pour venir en appui contre un taquet de la glissière et pour limiter ainsi le déplacement transversal du chariot. Des moyens sont prévus pour escamoter la butée à réception d'un signal de commande et pour la ramener ensuite en position d'arrêt. Ces moyens peuvent avantageusement comprendre le lien souple de commande lui-même qui actionne la butée escamotable, pour l'amener en position escamotée lors d'une traction sur le lien souple de commande, et pour la ramener ensuite en position d'arrêt lors du relâchement du lien souple de commande. De la sorte, l'utilisateur distant peut tenir à la fois le cordeau traceur et le lien souple de commande, le lien souple de commande lui permettant de déplacer transversalement l'extrémité opposée du cordeau traceur à volonté, puis le cordeau traceur lui permettant de tracer le positionnement du liteau suivant. On peut avantageusement prévoir, entre le lien souple de commande et la butée, un levier actionné par le lien souple de commande et sollicité par un ressort de rappel. Une structure particulièrement simple et robuste peut prévoir une glissière comportant un tube central à section rectangulaire, le chariot comprenant une structure enveloppante qui entoure la glissière avec des galets de roulement en appui sur la surface supérieure de la glissière. DESCRIPTION SOMMAIRE DES DESSINS D'autres objets, caractéristiques et avantages de la présente invention ressortiront de la description suivante de modes de réalisation particuliers, faite en relation avec les figures jointes, parmi lesquelles : - la figure 1 est une vue schématique d'un pan de toit, illustrant le positionnement des liteaux ; - la figure 2 est une vue en perspective de dessus d'un dispositif selon un mode de réalisation de l'invention, adapté sur un chevron d'extrémité de toit ; et - la figure 3 est une vue de côté droit en coupe du dispositif de la figure 2. DESCRIPTION DES MODES DE REALISATION PREFERES On considère tout d'abord la figure 1 , qui illustre schématiquement un pan de toit en cours de couverture. Le pan de toit 1 est constitué d'une série de chevrons 2a, 2b, 2c, 2d, 2e et 2f, qui suivent la ligne de pente du toit et se trouvent ainsi dans un plan vertical, les deux chevrons d'extrémité 2a et 2f formant chacun un bord respectif du toit, les autres chevrons 2b, 2c, 2d et 2e étant espacés régulièrement les uns des autres et parallèles les uns aux autres. Les chevrons sont reliés par un cadre périphérique dont deux bords de cadre inclinés sont formés par les chevrons d'extrémité 2a et 2f et deux bords horizontaux sont formés par des pannes 30 et 31. On doit ensuite disposer des liteaux selon des lignes longitudinales parallèles équidistantes et horizontales, perpendiculaires aux chevrons 2a-2f. La distance E transversale entre deux liteaux successifs doit être constante et déterminée avec précision, car elle correspond à la distance nécessaire de recouvrement entre les éléments de couverture successifs qui seront ensuite fixés aux liteaux pour assurer la couverture définitive du toit. On doit donc ainsi disposer des liteaux 3a, 3b, 3c, 3d, 3e, 3f, 3g et 3h, parallèles les uns aux autres, et écartés d'une distance E transversale constante. Pour que les liteaux soient disposés parallèles les uns aux autres et à égale distance, il est nécessaire de réaliser au préalable un tracé de lignes de positionnement horizontales des liteaux, à l'aide d'un cordeau traceur. On suppose ainsi qu'un opérateur seul utilise l'appareil de l'invention pour le positionner sur le premier chevron d'extrémité 2a, et pour le manœuvrer à distance depuis le bord opposé du toit c'est-à-dire le long du second chevron d'extrémité 2f, l'appareil tenant une première extrémité d'un cordeau traceur, l'opérateur tenant l'autre extrémité du cordeau traceur pour effectuer le marquage. On considère maintenant le dispositif illustré sur la figure 2. Ce dispositif est fixé au premier chevron d'extrémité 2a figuré en pointillés, pour tenir la première extrémité 4a d'un cordeau traceur 4 dont la seconde extrémité sera tenue par l'opérateur au voisinage du second chevron d'extrémité 2f (figure 1). Pour cela, le dispositif selon l'invention comprend un support d'extrémité de cordeau traceur 5, adapté pour retenir l'extrémité libre 4a du cordeau traceur 4 contre une traction longitudinale illustrée par la flèche -6. Le dispositif comprend en outre des moyens pour tenir et déplacer transversalement le support d'extrémité de cordeau traceur 5 selon des ordres reçus de l'opérateur distant qui lui-même dispose de moyens pour générer le signal de commande et pour le transmettre au support d'extrémité de cordeau traceur 5. En pratique, on prévoit une glissière 7, orientée transversalement par rapport à la direction longitudinale 6 du cordeau traceur 4, et tenue généralement parallèle au premier chevron d'extrémité 2a. Le support d'extrémité de cordeau traceur 5 comprend un chariot 8 monté à coulissement transversal le long de la glissière 7, comme illustré par la flèche 9. La glissière 7 est tenue sur le premier chevron d'extrémité 2a par des pinces d'extrémité 10 et 11. Dans la réalisation illustrée sur la figure 2, chaque pince d'extrémité est une structure coudée en L, ayant une première branche 10a orientée transversalement pour s'engager et se fixer à une première extrémité de la glissière 7, et ayant une seconde branche 10b longitudinale qui se termine par un premier mors fixe 10c et un second mors mobile 10d pour pincer le premier chevron d'extrémité 2a sur deux faces verticales opposées. Une vis 10e manceuvrée par un levier 10f permet de serrer le mors mobile 10d contre le chevron 2a. La structure de la seconde pince 11 est similaire, comme on le voit sur la figure. La glissière 7 comprend un tube central à section rectangulaire, avec une fente supérieure 7a dans le sens de sa longueur. Le chariot 8 comprend une structure enveloppante qui entoure la glissière 7. La structure enveloppante est constituée de deux flasques latéraux opposés 8a et 8b qui viennent en appui glissant contre les faces latérales opposées correspondantes de la glissière 7, et qui sont reliés par une paroi inférieure 8c (figure 3) qui peut venir en appui glissant contre la face inférieure de la glissière 7, et qui sont aussi reliés dans leur zone supérieure par une traverse 8d qui est à l'écart de la face supérieure de la glissière 7. Le chariot 8 comporte en outre des galets de roulement tels que les galets 12 et 13, qui tourillonnent autour d'axes qui sont solidaires des flasques latéraux 8a et 8b et qui roulent sur la face supérieure de la glissière 7 pour faciliter les coulissements du chariot 8 selon la direction transversale 9. On prévoit en outre des moyens pour assurer le déplacement transversal du chariot 8 selon une course définie correspondant à la distance E entre deux liteaux successifs (figure 1 ). Pour cela, dans le mode de réalisation illustré sur les figures, le chariot 8 comporte une butée escamotable 14, mieux visible sur la figure 3, qui peut osciller verticalement (flèche 16a) autour d'un axe postérieur 15 horizontal disposé au- dessus et à une distance appropriée D de la glissière 7, et dont l'extrémité antérieure 16 peut venir glisser sur la face supérieure de la glissière 7 ou en être écartée par rotation de la butée 14 autour de l'axe 15. En position de glissement sur la face supérieure de la glissière 7, l'extrémité antérieure de la butée escamotable 14 peut venir en appui contre des taquets 17, 18, 19 et 20 illustrés sur les figures 2 et 3. Les taquets 17-20 sont constitués par des vis dont la tige telle que la tige 17a traverse la fente 7a longitudinale de la glissière 7, dont la tête telle que la tête 17b dépasse au-dessus de la face supérieure de la glissière 7, et dont la tige 17a se visse dans un écrou inférieur 17c qui vient porter sous la face inférieure de la paroi supérieure de glissière 7, comme on le voit sur la figure 3. Les taquets 17-20 sont déplaçables le long de la fente 7a longitudinale de la glissière 7, et sont biocables en toute position par vissage. L'utilisateur les positionne selon les écartements E désirés. La butée escamotable 14 peut être manœuvrée à distance par l'utilisateur au moyen d'un lien souple 21 de commande tendu directement selon la direction longitudinale 6 entre l'utilisateur et le chariot 8 du support d'extrémité de cordeau traceur 5. Une traction longitudinale 21 a sur le lien souple 21 de commande par l'utilisateur fait pivoter un levier 22 autour d'un axe 23, le levier 22 tirant vers le haut la butée escamotable 14. Un relâchement du lien souple 21 de commande libère la butée escamotable 14. Ainsi, la butée escamotable 14 peut prendre une position escamotée dans laquelle son extrémité antérieure 16 est soulevée au-dessus du taquet 17, autorisant le chariot 8 à se déplacer, vers la gauche sur la figure 3, au-delà du taquet 17. La distance D est choisie suffisante pour que la partie postérieure de la butée escamotable 14 reste en permanence plus haut que les taquets 17-20. Par contre, en position d'arrêt, illustrée sur la figure 3, l'extrémité antérieure 16 de la butée escamotable 14 est en appui contre le taquet 17 et interdit le déplacement du chariot 8 dans la direction vers la gauche sur la figure 3. Dans un premier mode de fonctionnement, on peut déplacer transversalement le chariot 8 par gravité. Pour cela, on place le dispositif selon l'invention comme illustré sur la figure 2, le long du premier chevron d'extrémité 2a qui constitue le premier bord du cadre, avec la première pince 10 fixée en partie supérieure du chevron 2a, et avec la seconde pince 1 1 fixée en partie inférieure du chevron 2a. De la sorte, le bord du cadre 2a est incliné, la glissière 7 est inclinée parallèlement au bord de cadre ou premier chevron d'extrémité 2a, et le chariot 8 tend à se déplacer par gravité vers le bas sur la glissière 7, c'est-à-dire à l'écart de la première pince 10 ou vers la seconde pince 11 . On positionne initialement les taquets 17-20 à des espacements appropriés correspondant à la distance E entre deux liteaux. Le chariot 8 est initialement à proximité de la première pince 10. Chaque fois que l'opérateur tire sur le lien souple 21 de commande selon la traction indiquée par la flèche 21 a qui constitue un signal de commande, depuis sa position opposée à proximité du second chevron d'extrémité 2f, la butée escamotable 14 se soulève et échappe à l'un des taquets pour retomber ensuite et SΘ bloquer sur le taquet suivant. Le chariot 8 s'est ainsi déplacé transversalement d'une distance E entre deux taquets successifs. Simultanément, le chariot 8 a ainsi déplacé transversalement la première extrémité 4a du cordeau traceur 4. L'opérateur peut ainsi déplacer transversalement lui-même la seconde extrémité du cordeau traceur 4, selon la distance E. De préférence, le cordeau traceur 4 passe dans un anneau 24, formant un renvoi coulissant, et son extrémité libre 4c se fixe à une extrémité de la glissière 7, par exemple à la seconde pince 11. De la sorte, chaque fois que le chariot 8 se déplace le long de la glissière 7 en direction de la seconde pince 1 1 , on produit un dévidement du cordeau traceur 4 : la portion transversale de cordeau traceur 4 tendue entre la seconde pince 1 1 et l'anneau 24 se raccourcit, tandis que la portion longitudinale de cordeau traceur 4 tendue entre l'anneau 24 et l'utilisateur s'allonge de la même distance E, et l'opérateur peut le tirer de cette même distance E, de sorte que l'on modifie ainsi le point de contact du cordeau traceur 4 sur les chevrons 2a-2f, évitant que la craie disparaisse progressivement du cordeau traceur 4 dans les zones à contacts trop fréquents. On peut prévoir avantageusement que le levier 22 soit rappelé par un ressort vers la position dans laquelle il ne sollicite pas la butée escamotable 14. Dans un autre mode de réalisation, on peut prévoir que le déplacement transversal du chariot 8 est assuré par une traction sur le cordeau traceur 4 dans le sens de la flèche 6, qui tend à raccourcir la portion transversale de cordeau traceur 4 tendue entre la seconde pince 11 et l'anneau 24. Cela permet, par exemple, de déplacer transversalement le chariot 8 le long d'une glissière 7 orientée horizontalement. En alternative ou en complément, on peut également prévoir que le chariot 8 soit sollicité transversalement par des contrepoids. Par exemple, on peut imaginer de relier le chariot 8 à un contrepoids par un lien souple de sollicitation transversale passant sur un arceau d'extrémité 25. La présente invention n'est pas limitée aux modes de réalisation qui ont été explicitement décrits, mais elle en inclut les diverses variantes et généralisations contenues dans le domaine des revendications ci-après.