Titre de l'invention : Dispositif de montage sur un bâti d’une barrette de connexion électrique pour bloc optique de véhicule automobile

La présente invention revendique la priorité de la demande française 2206130 déposée le 22.06.2022 dont le contenu (texte, dessins et revendications) est ici incorporé par référence.

[Domaine technique]

[1] La présente invention concerne d’une manière générale le domaine du pilotage électronique des blocs optiques d’éclairage et/ou de signalisation des véhicules automobiles. Elle vise en particulier un dispositif assurant le montage sur un bâti support d’une barrette de connexion électrique de la carte électronique de pilotage d’un tel bloc optique.

[Technique antérieure]

[2] Les véhicules automobiles sont équipés traditionnellement de blocs optiques d’éclairage et/ou de signalisation comportant classiquement un boîtier destiné à être fixé sur la structure de caisse du véhicule et renfermant au moins un module lumineux apte à assurer une ou plusieurs fonctions photométrique d’éclairage ou de signalisation.

[3] Chaque module lumineux comporte une ou plusieurs sources lumineuses associées à des systèmes optiques impactant leurs faisceaux et comprenant par exemple des réflecteurs, des guides de lumière, ou bien encore des lentilles.

[4] Un tel bloc optique comporte également de manière traditionnelle une carte électronique de pilotage dénommée couramment sous l’acronyme LCS (pour « Light Control System » en anglais) et gérant la mise en œuvre de fonctions photométriques dites complexes telles que par exemple les fonctions FBL (pour « Fixed Bending Light » en anglais), DBL (pour « Dynamic Bending Light » en anglais) ou DRL (pour « Day Running Light » en anglais). [5] Cette carte électronique LCS pilote le fonctionnement des sources lumineuses et de certains éléments mécaniques de type actionneurs que peuvent comporter les systèmes optiques associés à ces sources.

[6] Le document brevet FR 3 102 644 A1 décrit un bâti support destiné à venir se rapporter fixement à l’intérieur du boîtier d’un bloc optique d’éclairage et/ou de signalisation et intégrant deux rainures longitudinales parallèles formant glissières destinées à recevoir à coulissement les bords de cette carte électronique pour permettre son montage de manière amovible.

[7] Lors de sa mise en place par un mouvement de coulissement longitudinal d’arrière en avant, son extrémité de connexion vient s’emboîter dans une barrette de connexion électrique, comprenant une série de broches assurant le raccordement électrique avec des contacts ménagés en vis-à-vis sur la carte, et étant raccordée à un faisceau de câbles électriques reliés à différents connecteurs assurant la liaison avec les divers éléments à piloter (sources lumineuses, actionneurs, etc...) ainsi qu’avec une source d’alimentation électrique.

[8] Cette barrette de connexion électrique est également montée de manière amovible sur le bâti support par l’intermédiaire d’un dispositif de montage comportant un logement d’accueil pour ladite barrette ménagé sur ledit bâti et délimité en partie haute par un organe de butée.

[9] Ce dispositif comprend également un pivot de guidage ménagé sur ledit bâti en dessous dudit logement et prévu pour coopérer avec la face inférieure d’une première portion d’extrémité de ladite barrette introduite en biais par le dessous dudit logement de sorte à guider cette dernière en rotation autour dudit pivot durant son redressement jusqu’à sa configuration montée dans laquelle sa face supérieure vient reposer contre une surface dudit organe de butée.

[10] Le dispositif de montage comprend en outre une languette élastiquement déformable portant à son extrémité libre une dent présentant un redent de retenue et apte à coopérer par encliquetage avec la seconde portion d’extrémité de ladite barrette de sorte que ledit redent vienne reposer contre la face inférieure de cette seconde portion d’extrémité de ladite barrette dans sa configuration montée afin d’assurer son verrouillage vertical. [11] A l’usage, il s’avère cependant que ce type de dispositif de montage ne permet pas d’assurer un positionnement précis et stable de la barrette de connexion électrique dans les directions longitudinales et transversales.

[12] La barrette peut ainsi se trouver légèrement décalée transversalement vis-à- vis de la carte électronique de pilotage lors de sa mise en place à coulissement ce qui peut perturber le bon emboîtement de ses broches sur les contacts respectifs de cette barrette.

[13] Par ailleurs, durant les phases de du roulage du véhicule, les vibrations provenant de la route et du groupe motopropulseur se transmettent aux blocs optiques et entraînent des micro-déplacements de cette barrette relativement à la carte électronique de pilotage pouvant provoquer l’apparition de faux contacts électriques générateurs de pannes.

[Exposé de l’invention]

[14] La présente invention vise donc à améliorer la situation.

[15] Elle propose à cet effet un dispositif de montage sur un bâti d’une barrette de connexion électrique, ledit dispositif comportant un logement d’accueil pour ladite barrette ménagé sur ledit bâti et délimité en partie haute par un organe de butée, un pivot de guidage ménagé sur ledit bâti en dessous dudit logement et prévu pour coopérer avec la face inférieure d’une première portion d’extrémité de ladite barrette de sorte à guider cette dernière en rotation autour dudit pivot durant son redressement jusqu’à sa configuration montée dans laquelle sa face supérieure vient reposer contre au moins une surface dudit organe de butée, ainsi qu’une languette élastiquement déformable portant à son extrémité libre une dent présentant un redent de retenue et apte à coopérer par encliquetage avec la seconde portion d’extrémité de ladite barrette de sorte que ledit redent vienne reposer contre la face inférieure de cette seconde portion d’extrémité de ladite barrette dans sa configuration montée afin d’assurer son verrouillage vertical ; caractérisé en ce qu’il présente également un renfoncement ménagé sur la face inférieure de ladite première portion d’extrémité de la barrette et prévu pour recevoir une portion dudit pivot de guidage.

[16] La présence de ce renfoncement recevant une portion du pivot de guidage permet ainsi d’assurer, en configuration montée de la barrette de connexion électrique, un verrouillage transversal de cette dernière dans une position prédéfinie et sans jeu, de sorte à faciliter le bon emboîtement des broches de la carte de pilotage sur les contacts respectifs de cette barrette et à éviter tout déplacement transversal de cette barrette relativement à la carte électronique de pilotage du fait des vibrations durant les phases de roulages.

[17] Selon des caractéristiques préférées dudit dispositif de montage selon l’invention :

- ledit logement est délimité longitudinalement, à l’avant par une paroi avant dudit bâti prenant racine depuis une semelle inférieure dudit bâti, et à l’arrière par au moins un montant vertical arrière prenant également racine depuis ladite semelle inférieure ;

- ledit pivot de guidage s’étend longitudinalement en saillie d’un muret prenant racine depuis ladite semelle inférieure ;

- que ledit pivot de guidage s’évase entre ledit muret et son extrémité libre, ledit renfoncement étant en outre agencé de sorte à recevoir une portion de l’extrémité libre évasée dudit pivot ;

- ledit dispositif présente une fenêtre d’accès ménagée dans ladite semelle inférieure et permettant l’introduction de ladite barrette dans ledit logement par le dessous, ladite fenêtre d’accès s’étendant longitudinalement entre ladite paroi avant et le au moins dit montant vertical arrière, et transversalement entre deux parois latérales prenant également racine depuis ladite semelle inférieure ;

- la paroi latérale la plus éloignée dudit pivot présente une portion inférieure courbée de guidage pour ladite barrette dont la convexité est tournée en direction de ladite fenêtre d’accès ;

- ledit dispositif comporte au moins une nervure de calage verticale saillant depuis ladite paroi avant et présentant une face de contact prévue pour coopérer par glissement avec la face avant de ladite barrette lors de son redressement de sorte assurer avec ledit au moins un montant vertical arrière son verrouillage longitudinal en configuration montée ;

- la face de contact de chaque dite au moins une nervure de calage présente un profil s’inclinant vers l’arrière de bas en haut de sorte à exercer une contrainte orientée vers l’arrière sur la face avant de ladite barrette en configuration montée ; et/ou - ledit redent présente un profil s’inclinant vers le bas d’avant en arrière de sorte à exercer une contrainte orientée vers le haut sur ladite seconde portion d’extrémité de la barrette en configuration montée.

[18] L’invention vise également sous un second aspect, un bloc optique d’éclairage et/ou de signalisation pour véhicule automobile comportant un bâti et une barrette de connexion électrique fixée audit bâti par un tel dispositif de montage.

[Brève description des dessins]

[19] L’exposé de l’invention sera maintenant poursuivi par la description détaillée d’un exemple de réalisation, donnée ci-après à titre illustratif mais non limitatif, en référence aux dessins annexés, sur lesquels :

[20] [Fig 1] représente une vue en perspective de la partie arrière d’un bâti support pour bloc optique d’éclairage et/ou de signalisation de véhicule automobile portant la carte électronique de pilotage et la barrette de connexion électrique de ce bloc optique ;

[21] [Fig 2] est une vue en perspective de la zone d’assemblage de la barrette de connexion électrique sur le bâti support de la figure 1 par l’intermédiaire du dispositif de montage selon l’invention ;

[22] [Fig 3] représente une vue de coupe en perspective de la zone d’assemblage de la figure 2 lors du montage de la barrette de connexion électrique, prise selon un plan de coupe transversal vertical situé au niveau du pivot de guidage ;

[23] [Fig 4] est une vue en perspective de la zone d’assemblage de la figure 3 après montage de la barrette de connexion électrique ;

[24] [Fig 5] est un agrandissement sous un autre angle du détail V de la figure 4 ;

[25] [Fig 6] représente une vue de coupe en perspective de la zone d’assemblage de la figure 4 après montage de la barrette de connexion électrique, prise selon un plan de coupe longitudinal transversal situé au niveau de la languette élastiquement déformable ; et

[26] [Fig 7] représente une vue de coupe en perspective de la zone d’assemblage de la figure 4 après montage de la barrette de connexion électrique, prise selon un plan de coupe longitudinal transversal situé au niveau d’une nervure de calage.

[Description détaillée]

[27] La figure 1 montre la partie arrière d’un bâti support 100 pour bloc optique d’éclairage et/ou de signalisation de véhicule automobile, portant la carte électronique de pilotage 200 et la barrette de connexion électrique 300 de ce bloc optique.

[28] Dans la description qui va suivre et par convention, on définit par rapport au bâti 100 un repère orthogonal XYZ comprenant trois axes perpendiculaires deux à deux, à savoir :

- un axe X, définissant une direction longitudinale, horizontale,

- un axe Y, définissant une direction transversale, horizontale, qui avec l'axe X définit un plan XY horizontal, et

- un axe Z, définissant une direction verticale, perpendiculaire au plan XY horizontal.

[29] Dans la suite de la description et en référence au repère défini ci-dessus, les termes « longitudinal » ou « longitudinalement » feront référence à une direction parallèle à l’axe X, les termes « transversal » ou « transversalement » feront référence à une direction parallèle à l’axe Y, et les termes « vertical » ou

« verticalement » feront référence à une direction parallèle à l’axe Z.

[30] Tel qu’illustré sur la figure 1 , ce bâti support 100 comporte des moyens de montage de la carte électronique 200 comprenant deux excroissances latérales 111 , 112 s’étendant suivant des axes longitudinaux parallèles et présentant chacune sur leur face interne une rainure d’axe longitudinal 113, 114 destinée à recevoir un bord latéral respectif de cette carte électronique 200.

[31] Ces deux rainures 113, 114 permettent ainsi d’assurer le guidage à coulissement longitudinal d’arrière en avant de la carte 200 de sorte que son extrémité de connexion vienne s’emboîter dans une barrette de connexion électrique 300 également montée de manière amovible sur le bâti support 100 et comprenant une série de broches assurant le raccordement électrique avec des contacts ménagés en vis-à-vis sur la carte 200. [32] Les moyens de montage de la carte électronique 200 comprennent en outre deux taraudages d’axes longitudinaux 115, 116 ménagés aux extrémités des excroissances latérales 111 , 112 dans le prolongement latéral des rainures 113, 114 et destinés à recevoir des vis de fixation non représentées dont les têtes viennent coopérer en butée, après leur vissage, avec les extrémités latérales du bord arrière de cette carte 200 de sorte à la verrouiller à coulissement.

[33] Comme illustré sur la figure 4, la barrette de connexion électrique 300 est raccordée à un faisceau F de câbles électriques reliés à différents connecteurs assurant la liaison avec les divers éléments à piloter (sources lumineuses, actionneurs, etc.) ainsi qu’avec une source d’alimentation électrique.

[34] En référence à la figure 2, cette barrette de connexion 300 est montée de manière amovible dans un logement 120 prévu sur le bâti 100 et par l’intermédiaire d’un dispositif de montage selon l’invention que l’on va décrire en détails ci-après.

[35] Le logement 120 est délimité longitudinalement à l’avant par une paroi avant

122 prenant racine depuis une semelle inférieure horizontale 123 et s’étendant selon un plan sensiblement transversal vertical.

[36] Le logement 120 est délimité longitudinalement à l’arrière par les extrémités libres de deux montants verticaux arrières 124, 125, à savoir :

- un premier montant 124 réalisé par découpe dans un muret 126 prenant racine depuis la semelle inférieure horizontale 123 et s’étendant selon un plan sensiblement transversal vertical, et

- un second montant 125 prenant racine depuis la semelle inférieure horizontale

123 et étant écarté transversalement du premier montant 124.

[37] Ce logement 120 est en outre délimité transversalement par deux parois latérales gauche 127 et droite 128 prenant également racine depuis la semelle inférieure horizontale 123 et s’étendant au niveau dudit logement selon des plans sensiblement longitudinaux verticaux.

[38] Le logement 120 est par ailleurs délimité en partie haute par un nez creux 129 saillant longitudinalement vers l’arrière depuis la paroi avant 122 et comprenant deux surfaces horizontales de butée 129A, 129B prévues pour venir reposer en appui dans la configuration montée de la barrette 300 contre la face supérieure de cette dernière (voir figures 4 et 6).

[39] Ce nez 129 est avantageusement centré transversalement vis-à-vis des deux parois latérales 127, 128 de sorte à se trouver sensiblement à équidistance de ces deux parois.

[40] Tel qu’illustré par la figure 3, l’introduction de la barrette 300 dans le logement 120 s’effectue par le dessous au travers d’une fenêtre d’accès 130 de forme rectangulaire ménagée dans la semelle inférieure horizontale 123, cette fenêtre d’accès 130 s’étendant longitudinalement entre la paroi avant 122 et les montants arrière 124, 125, et transversalement entre les deux parois latérales 127, 128.

[41] En référence aux figures 2 à 5, ce dispositif de montage comporte un pivot de guidage 131 , ménagé sur le bâti 100 en dessous du logement 120, et constitué par une tuile hémicylindrique s’étendant suivant un axe longitudinal en saillie du muret 126 et vers la paroi avant 122, en s’évasant entre ledit muret 126 et son extrémité libre.

[42] Tel qu’illustré sur la figure 3, ce pivot de guidage 131 , agencé à proximité de la paroi latérale gauche 127, est prévu pour coopérer avec la face inférieure de la portion d’extrémité gauche 310 de la barrette 300 insérée préalablement à coulissement selon une direction orientée en biais de bas en haut et de droite à gauche au travers de la fenêtre d’accès 130, de sorte à guider cette barrette 300 en rotation autour du pivot 131 durant son redressement jusqu’à sa configuration montée de la figure 4 où elle s’étend à l’horizontale avec sa face supérieure qui repose contre les deux surfaces horizontales de butée 129A, 129B du nez 129.

[43] De manière avantageuse et afin de faciliter l’introduction de cette barrette 300, la paroi latérale droite 128 la plus éloignée du pivot 131 comprend une portion inférieure courbée de guidage 128A pour la barrette 300 dont la convexité est tournée en direction de la fenêtre d’accès 130.

[44] Tel qu’illustré sur la figure 5 et afin de faciliter son pivotement autour de ce pivot 131 tout en assurant son verrouillage transversal en configuration montée dans une position prédéfinie et sans jeu, la face inférieure de la portion d’extrémité gauche 310 de cette barrette 300 présente un renfoncement 311 de forme rectangulaire recevant une portion de l’extrémité libre évasée de ce pivot de guidage 131 .

[45] Le dispositif de montage de la barrette 300 comporte également une languette élastiquement déformable 132, réalisée par découpe dans la paroi avant 122, et portant à son extrémité libre une dent d’encliquetage 133 formée par une rampe inclinée 133A s’étendant jusqu’à un redent de retenue 133B (voir figure 6).

[46] Agencée à proximité de la paroi latérale droite 128, cette languette 132 est prévue pour coopérer par encliquetage avec la portion d’extrémité droite 320 de la barrette 300 lors de son redressement à l’horizontale, de sorte que le redent de retenue 133B vienne reposer contre la face inférieure de cette portion d’extrémité droite 320 de la barrette 300 dans sa configuration montée afin d’assurer son verrouillage vertical (la barrette 300 étant prise en sandwich entre d’une part le nez 129 et d’autre part le pivot 131 et le redent 133B comme illustré par les figures 4 et 6).

[47] Tel qu’illustré par la figure 6 et pour assurer un verrouillage vertical sans jeu de la barrette 300 en configuration montée, le redent 133B de la languette 132 présente avantageusement un profil s’inclinant vers le bas d’avant en arrière de sorte à exercer une contrainte orientée vers le haut sur la portion d’extrémité droite 320 de la barrette 300.

[48] Le dispositif de montage de la barrette 300 comporte enfin deux nervures de calage verticales 134 saillant depuis la face arrière de la paroi avant 122 et présentant chacune une face de contact 134A (voir figure 7) prévue pour coopérer par glissement avec la face avant de la barrette 300 lors de son redressement à l’horizontale de sorte assurer avec les montants 124, 125 son verrouillage longitudinal en configuration montée (la barrette 300 étant prise en sandwich entre d’une part les extrémités libres des montants 124, 125 et d’autre part ces nervures 134 comme illustré par la figure 7).

[49] Tel qu’illustré par cette figure 7 et pour assurer un verrouillage longitudinal sans jeu de la barrette 300 en configuration montée, les faces de contact 134A des nervures 134 présentent avantageusement un profil s’inclinant vers l’arrière de bas en haut de sorte à exercer une contrainte orientée vers l’arrière sur la face avant de la barrette 300.

[50] Les opérations de démontage/remontage de la carte 200 peuvent être effectuées aisément sans se préoccuper des positions relatives de cette carte 200 et de la barrette 300 et sans risquer d’endommager le ou les faisceaux de câbles internes du bloc optique.

[51] L’accès au bâti 100, et donc à la carte électronique 200 et à la barrette 300, peut être obtenu en découpant la paroi du boîtier dans la zone située en regard du bâti 100. En fin d’opération de maintenance, il sera alors possible de fixer un capot et un joint d’étanchéité sur le boîtier afin d’obturer la zone préalablement découpée.

[52] Une autre solution consiste à prévoir une ouverture dans le boîtier dès sa fabrication et à l’obturer par un volet étanche et amovible.

[53] De nombreuses autres variantes sont également possibles et on rappellera à cet égard que l’invention ne se limite pas aux formes de réalisation décrites et représentées, mais englobe également toutes les variantes d’exécution à la portée de l'homme du métier.