Généralement, on trouve deux paniers dans la cuve d'un lave- vaisselle : un panier inférieur et un panier supérieur. Le panier inférieur se déplace par l'intermédiaire de roulettes, sur des rails aménagés dans le fond de ladite cuve, lesquels rails se prolongent sur la paroi frontale, permettant l'extraction dudit panier. Ce panier inférieur est muni d'équipements qui lui permettent d'accueillir les charges les plus lourdes.

Ces charges sont le plus souvent constituées des assiettes, soucoupes, plats, casseroles, accessoires et égaiement les couverts.

Le panier supérieur est aménagé pour accueillir les verres, tasses, soucoupes et accessoires, c'est-à-dire des pièces plus légères.

Ce panier supérieur est monté sur des glissières télescopiques qui permettent de l'extraire de la cuve du lave-vaisselle.

Les paniers sont réalisés en fils métalliques soudés formant un ensemble capable de supporter les charges La forme et l'aménagement des paniers dépendent des constructeurs et du niveau d'équipements du lave-vaisselle.

II existe donc un grand nombre de modèles de paniers façonnés avec des fils qui, ensemble, contribuent à donner la résistance et la rigidité nécessaires pour accueillir les différentes charges.

Les paniers classiques, de t'état de la technique, ont une rigidité obtenue directement par le treillis en fils soudés. L'évolution de ces paniers a essentiellement été axée sur le gain de matière c'est-à-dire la quantité de fils à utiliser.

Ces paniers sont du type châssis-coque, c'est-à-dire que chaque modèle nécessite des investissements importants tant pour son étude que pour celle de l'outillage de fabrication.

La présente invention propose un nouveau concept de panier qui permet, à partir d'une structure de base particulière et commune aux différents modèles, de façonner une grande variété de paniers adaptés

aux besoins, permettant l'élaboration de gammes variées, avec des perspectives de véritables personnalisations pour les différents constructeurs de lave-vaisselle.

Ce nouveau concept permet de faire évoluer facilement les produits, dans un délai très court, offrant des paniers modulables.

Les coûts d'investissement et les coûts de fabrication sont réduits de façon importante. Les opérations de production sont plus simples. Ce concept permet surtout de proposer des produits personnalisés avec un minimum d'investissement et de coût.

Le panier selon l'invention comprend un cadre porteur constitué d'un fil de gros diamètre, de l'ordre de 6 mm, qui forme une structure porteuse susceptible de recevoir des éléments de rangement adaptés notamment aux besoins de l'utilisateur.

Toujours selon l'invention, I'avant et l'arrière du cadre comportent un ou plusieurs fils soudés sur les traverses dudit cadre, ces fils forment d'une part, des poignées et, d'autre part, selon les besoins, un support pour la fixation d'une ceinture horizontale ou d'autres équipements. Le tout forme un ensemble qui est plus facile à traiter sur un plan esthétique pour permettre par exemple une différenciation des modèles et des marques.

Selon une autre disposition de l'invention, dans le cas d'un panier destiné à occuper le rang inférieur pour accueillir de lourdes charges, le cadre porteur comporte des poutres en forme d'échelles, disposées par couples, constituées chacune d'une paire de fils rectilignes, dont le diamètre est adapté à la charge, lesquels fils sont reliés entre eux par des fils de diamètre plus petit pouvant constituer en mme temps des picots qui, ensemble, forment une sorte de râtelier et de clayette pour le rangement et la séparation de pièces de vaisselle telles que des assiettes.

La combinaison de ces fils fait que la poutre est auto-porteuse ; de ce fait, elle ne nécessite pas de fils supplémentaires utilisés en renfort.

Toujours selon l'invention, I'un des fils des poutres-échettes, s'étend au-delà du cadre, à t'extérieur, pour servir d'axe à chaque

extrémité et recevoir une roulette dont le diamètre sera adapté à la hauteur du panier dans la cuve.

Selon une autre disposition de l'invention, les poutres-échelles peuvent également tre associées au cadre de façon à tre pivotantes pour tre positionnées à plat ou à t'équerre de façon à former un râtelier ou clayette ; elles sont indexables dans cette position au moyen d'un ou plusieurs cavaliers en forme de plaquette fendue.

Selon une autre disposition de l'invention, le panier inférieur comporte un fond constitué par exemple de fils longitudinaux qui s'étendent sous les échelles et de fils transversaux disposés de part et d'autre des clayettes pour ne pas perturber la circulation de t'eau au niveau de ces dernières.

Toujours selon l'invention, le panier supérieur comporte des supports de roulettes qui sont fixés sur le cadre, par soudure ou autre, pouvant coopérer notamment avec la ou les ceintures qui sont fixées sur les poignées avant et arrière.

Toujours selon l'invention, les paniers peuvent comporter une ou plusieurs ceintures horizontales, solidaires des poignées et, associées à ces ceintures, des grilles latérales.

L'invention sera encore détaillée à I'aide de la description suivante et des dessins annexés, donnés à titre indicatif et dans lesquels : -la figure 1 est une vue schématique partielle en perspective d'un panier inférieur ; -la figure 2 est une vue partielle schématique en perspective d'un détail du chariot inférieur ; -la figure 3 est une vue schématique en élévation d'une portion du cadre au niveau de l'une de ses roulettes, montrant une poutre-échelle formant râtelier ; -la figure 4 est une vue de face d'un panier inférieur ; -la figure 5 est une vue de dessus du panier représenté figure ; -la figure 6 est une vue de côté du panier représenté figure 5 ; -la figure 7 représente une variante de réalisation du panier inférieur ;

-la figure 8 représente, vu de dessus, le panier représenté figure 7 ; -la figure 9 représente une vue de côté du panier représenté figures 7 et 8 ; -la figure 10 représente une pièce mobile qui permet de mettre en oeuvre les clayettes pivotantes ; -la figure 11 représente une demi-vue de face d'un autre mode de réalisation du panier inférieur ; -la figure 12 représente une vue partielle de côté du panier représenté figure 11 ; -la figure 13 représente une vue partielle de dessus du panier représenté figures 11 et 12 ; -la figure 14 représente une demi-vue de face d'un autre mode de réalisation du panier inférieur ; -la figure 15 représente une vue partielle de côté du panier représenté figure 14 ; -la figure 16 représente une vue partielle de dessus du panier représenté figures 14 et 15 ; -la figure 17 représente, vu de face, un panier supérieur ; -la figure 18 représente, vue de côté, le panier représenté figure 17 ; -la figure 19 représente une vue de dessus du panier représenté figures 17 et 18 ; -les figures 20,21,22 et 23 représentent respectivement, des modes de réalisation du panier supérieur en vue de face et en vue de côté ; -la figure 24 représente l'implantation d'un cavalier sur le cadre porteur, pour I'accueil d'une clayette ; -la figure 25 représente l'intégration de l'extrémité de la clayette dans le cavalier représenté figure 24 ; -les figures 26 à 29 représentent, vues de face, des variantes de réalisation du panier supérieur ; -la figure 30 représente une portion d'extrémité d'une clayette escamotable.

Le panier selon l'invention, représenté figure 1, comprend un cadre 1 qui forme une ceinture porteuse. Ce cadre 1 constitue l'ossature principale du panier. II est réalisé avec un fil de gros diamètre, de l'ordre de 6 mm par exemple, plié selon les formes et dimensions de la cuve du lave-vaisselle, constitué d'un seul morceau dont les extrémités sont assemblées par soudage.

Ce cadre 1 comporte, s'il s'agit du panier inférieur, des roulettes 2 disposées latéralement sur toute la longueur.

Pour permettre notamment sa manoeuvre et sa manutention, le panier comporte des poignées ergonomiques 5 et 6, disposées respectivement à I'avant et à l'arrière du panier, soudées pour la poignée avant 5 sur la traverse avant 7 du cadre 1 et pour la poignée arrière 6, sur la traverse arrière 9.

Ces poignées 5 et 6, comme représenté figure 1, sont par exemple en forme d'arceau et elles servent en plus d'organe d'ancrage et de fixation pour une ceinture supérieure 10 représentée partiellement en traits mixtes fins, qui s'étend au-dessus du cadre 1, avec un périmètre équivalent ou non.

Cette ceinture supérieure est constituée d'un fil de diamètre plus adapté que celui du cadre 1, d'un seul tenant, soudé sur les branches latérales du fil constituant les poignées 5 et 6.

Cette ceinture supérieure 10 forme une bordure ; elle peut servir de maintien pour des objets posés sur la clayette 11 qui équipe le fond du panier et ce fond de panier peut, lui-mme, tre constitué d'un treillis comprenant des fils longitudinaux 12 et transversaux 13. Généralement, le fond d'un panier inférieur est aménagé pour recevoir les charges les plus lourdes, c'est-à-dire des pièces de vaisselle comme les assiettes, plats et couverts.

Ces pièces de vaisselle nécessitent bien souvent un lavage énergique, à haut rendement. Cette possibilité est offerte grâce à l'utilisation du cadre porteur 1 qui libère totalement l'espace au-dessus du bras tourniquet de lavage. L'aménagement du fond, qui ne participe pas

directement à la rigidité du panier, peut tre très aéré. Ainsi, comme représenté figure 1, les pièces de vaisselle comme les assiettes, peuvent tre disposées dans la clayette 11 constituées de poutres 14 et 15 qui s'étendent transversalement entre les côtés longitudinaux 3 et 4 du panier. Ces poutres 14 et 15 comportent des picots 16 qui s'étendent vers le haut avec une inclinaison qui dépend du type de pièce à accueillir, formant un râtelier.

On remarque que les pièces de vaisselle et en particulier les assiettes disposées par exemple dans la clayette 11, sont directement exposées au jet d'eau du bras rotatif, pratiquement sans entrave, surtout si le fond ne comporte que quelques fils longitudinaux 12.

L'aménagement du fond peut également permettre le positionnement d'un bac 17 dans lequel sont logés les couverts.

Le panier inférieur peut tre équipé d'une clayette 11 à l'arrière. II peut également comporter une clayette à l'arrière et une clayette 18 à I'avant qui accueille le bac 17.

Toujours figure 1, on remarque la présence de grilles latérales 19 en forme de fils horizontaux ou de treillis par exemple. Ces grilles latérales 19 constituent des parois qui s'étendent entre le cadre porteur 1 et la ceinture supérieure 10.

A défaut de ceinture supérieure 10 et de parois latérales, le panier peut aussi comporter à I'avant et/ou à l'arrière, une simple barrière 20, en forme de cadre, réalisée en fil, et qui est soudée directement sur chacune des poignées 5 et 6.

Ainsi, on remarque que le cadre porteur 1 peut recevoir toutes sortes d'aménagements ce qui permet de concevoir et de proposer une grande variété de modèles de paniers selon les nécessités et souhaits des utilisateurs.

Ce concept de panier comprenant une structure de base constituée d'un cadre porteur 1 réalisé avec un fil de gros diamètre, permet la confection des paniers inférieurs comme représenté figure 1, mais aussi, comme détaillé plus loin, de paniers supérieurs.

Les figures 2 et 3 montrent, d'une façon plus détaillée, une portion de clayette constituée de poutres 14 et 15 qui sont fixées sur le côté longitudinal 4 du cadre 1.

Ces poutres 14 et 15 s'étendent transversalement sur toute la largeur du panier. Elles sont réalisées au moyen de deux fils 21 et 22 dont le diamètre est inférieur à celui du fil utilisé pour la confection du cadre 1.

Ces fils 21 et 22 ont un diamètre adapté à la destination du panier.

Les deux fils ou tiges 21 et 22 sont espacés d'un entraxe E de l'ordre de 2 à 3 fois leur diamètre.

Ces deux fils 21 et 22 sont soudés de part et d'autre ou du mme côté des fils constituant les picots 16. L'ensemble forme une sorte de râtelier ou d'échelle qui procure aux poutres 14 et 15, une grande inertie, largement suffisante pour supporter des charges importantes comme des assiettes.

Le fil supérieur 21 est soudé directement sous le cadre 1, par exemple. Ce fil 21 déborde à l'extérieur du cadre 1 et sert en mme temps d'axe pour les roulettes 2 ce qui permet de transmettre directement les charges importantes sur lesdites roulettes, sans intermédiaire.

Les figures 4,5 et 6 représentent un panier inférieur selon une version que l'on peut qualifier de base. Ce panier comprend un cadre 1 muni à I'avant d'une poignée 5 et à l'arrière d'une poignée 6 identique, en forme d'arc de cercle par exemple. Le diamètre de cet arc de cercle est de l'ordre des 2/3 de la largeur du panier.

Les roulettes latérales 2 sont montées sur les extrémités des poutres 14 et 15 constituant les clayettes 11,18, et en particulier sur les fils 21.

Cette structure est commune à tous les paniers représentés sur les figures suivantes 7 à 16.

On remarque, figures 4 et 6, que les picots 16 peuvent avoir deux hauteurs différentes et tre de plus, inclinés dans un sens ou dans l'autre en fonction des nécessités.

Ce panier de base comporte également un fond. Ce fond est constitué de fils longitudinaux 12 qui sont soudés sous les fils 22 des poutres 14 et 15. De part et d'autre des clayettes 11,18, c'est-à-dire au centre du fond et à I'avant et à l'arrière, on trouve les fils transversaux 13 qui forment une sorte de plancher. Ces fils 13 sont soudés aux fils 12 et le nombre de ces fils est adapté aux besoins.

On remarque que ce panier est particulièrement aéré. Les clayettes 11,18 ne sont traversées que par les quelques fils longitudinaux 12.

On remarque aussi que le fil transversal 13, situé à l'arrière devant la poignée 6 entre cette dernière et la poutre 15, comporte, à chacune de ses extrémités, des ergots 23 qui constituent une butée d'arrt pour éviter l'extraction totale du panier hors de la caisse du lave-vaisselle, lors de sa sortie.

Les fils longitudinaux 12 ne contribuent pas à la rigidité de 1'ensemble. Ils forment simplement le plancher et servent éventuellement de support à des pièces de vaisselle de grande dimension.

Dans cette version représentée figures 7 à 9, la clayette arrière 11 constituée des poutres 14 et 15 à picots 16 est du type pivotante, c'est-à- dire que les poutres-picots peuvent se rabattre à I'horizontale, posées sur le fond qui est constitué des fils longitudinaux 12.

Une pièce mobile en forme de plaquette 24, comme représenté figure 10, permet de verrouiller les poutres de la clayette. Cette plaquette 24 constitue une sorte de cavalier ; elle est munie de fentes ouvertes 25, parallèles entre elles, disposées aux extrémités. Ces fentes 25 ont un entraxe qui correspond à l'entraxe des fils 21 des poutres 14 et 15 et une hauteur qui leur permet de s'engager sur la paire de fils 21-22 desdites poutres et de verrouiller ainsi lesdites poutres et leurs picots en position verticale ou inclinée selon la position des fils 21-22 par rapport auxdits picots. Les fils 21 sont guidés en rotation par tous moyens appropriés comme par exemple des pièces plastiques, non représentées, clipsées sur le cadre 1.

Les figures 7 à 9 représentent une variante de réalisation des figures 4 à 6. Toujours dans cette version, le panier est équipé de parois latérales formées par des grilles 19 disposées sur les côtés longitudinaux avec un léger retour sur une partie des parois transversales. Ces parois transversales peuvent comporter une barrière 20 en forme de cadre soudé sur les poignées avant 5 et arrière 6.

Les grilles laterales 19 s'étendent entre la ceinture supérieur 10 et le cadre 1, sur lesquels elles sont soudées. Ces grilles 19 sont constituées de fils 26, au nombre de trois par exemple et de fils verticaux 27 qui maintiennent les fils 26 et qui sont soudés d'une part sur la ceinture 10 et d'autre part sur les côtés longitudinaux 3 et 4 du cadre 1.

Les figures 11,12 et 13 d'une part et 14,15 et 16 d'autre part présentent deux autres variantes de réalisation du panier inférieur.

Les figures 11 à 13 montrent la présence d'une grille 19 formant un véritable treillis, installée sur les côtés longitudinaux du panier avec un petit retour sur les faces avant et arrière, jusqu'au niveau du cadre 20 qui est soudé sur les poignées 5 à I'avant et 6 à t'arriére.

Figures 11 et 12, la grille latérale 19 est constituée des fils horizontaux 26 et de fils verticaux 29 régulièrement espacés. Ces fils 29 ont une hauteur inférieure à l'espace entre le cadre 1 et la ceinture supérieure 10. L'assemblage de la grille 19 sur le cadre 1 et la ceinture supérieure 10 s'effectue au moyen des fils 27 qui constituent des poteaux et sont soudés sur ledit cadre et ladite ceinture.

Le panier représenté figure 11 correspond au panier représenté figure 4 sur lequel on a ajouté d'une part les grilles 19 et d'autre part le cadre 20.

La figure 12, qui est une vue partielle de côté du panier inférieur, montre la grille latérale 19 formant un treillis. On remarque ta aussi, que le panier représenté figure 12 correspond au panier représenté figure 6 sur lequel on a adjoint la grille latérale 19.

La figure 13 est une demi-vue de dessus d'un panier muni des grilles latérales 19 et d'une clayette arrière 11 constituée de picots rabattables.

Les figures 14 et 15 montrent un panier inférieur dont les côtés présentent une grande hauteur. Ce panier comporte en effet des poignées 5 et 6 d'une hauteur supérieure à celle des poignées représentées figure 11 par exemple. Ces poignées 5 et 6 permettent d'installer plusieurs ceintures. On retrouve la ceinture 10. Cette ceinture 10 est surmontée d'une ceinture supérieure 30 identique ou différente, avec entre les deux, un fil 31 qui s'étend sur toute la longueur du panier et qui se prolonge par des retours sur une partie des faces avant et arrière.

Cette ceinture 30 peut tre horizontale ou inclinée.

Le fil 31 est fixé sur la partie supérieure du fil 27 qui se prolonge jusqu'à la ceinture 30.

La figure 15 montre une demi-vue de côté du panier représenté figure 14. On retrouve la ceinture supérieure 30 soudée sur la poignée arrière 6. Entre cette ceinture 30 et la ceinture 10, on retrouve le fil 31 situé sensiblement à mi-distance entre les deux ceintures et ce fil 31 est soudé sur les fils verticaux 27 qui s'étendent depuis le cadre 1 jusqu'à ladite ceinture supérieure 30.

La figure 16 est une demi-vue de dessus du panier correspondant aux figures 14 et 15, muni d'une clayette arrière 11 escamotable et d'une clayette avant 18 fixe.

Ce panier comporte lui aussi un fond constitué des fils longitudinaux 12 et transversaux 13 disposés d'une part entre les deux clayettes, et, d'autre part, aux extrémités avant et arrière du panier.

La clayette avant 18 est, comme sur les figures 5,8 et 13, constituée de poutres 14 et 15 fixes munies de picots 16 qui permettent par exemple l'implantation d'un bac à couverts 17, comme représenté figure 1.

Les figures 17 et suivantes montrent un panier supérieur avec plusieurs variantes d'équipements.

Les figures 17 à 19 montrent un panier supérieur qui constitue une version de base. On retrouve dans ce panier supérieur les éléments caractéristiques du panier inférieur à savoir, le cadre 1 qui forme une ceinture porteuse, la poignée avant 5 et la poignée arrière 6, lesquelles poignées servent d'attache à la ceinture supérieure 10.

Les roulettes 2 sont fixées au cadre 1 au moyen de fils 33 soudés latéralement. La forme et la position de ces fils sont adaptées à la forme et aux dimensions de la cuve du lave-vaisselle.

Le panier supérieur est généralement destiné à recevoir les pièces de vaisselle du genre verres, soucoupes, etc... Dans cette version de base représentée figures 17 à 19, le panier supérieur comporte une ou plusieurs nappes distinctes : les nappes 35 et 36 représentent un exemple possible. Le pas de ces nappes est adapté aux besoins, de mme que la définition des formes. Ces nappes sont par exemple disposées longitudinalement et occupent toute la surface du panier.

La nappe 35 est constituée de fils longitudinaux 37 et de fils transversaux 38 qui sont pliés pour former des parois et planchers inclinés selon les besoins.

La nappe 36 est constituée de la mme façon de fils longitudinaux 39 et de fils transversaux 40 qui sont pliés selon les besoins pour former par exemple un plancher incliné et une sorte de bac 41.

Ces nappes sont façonnées de façon classique, pour accueillir les verres, comme représenté figure 17, des tasses et ustensiles divers.

Ces nappes sont fixées sur le cadre 1, par soudage, au niveau par exemple des fils longitudinaux 37 pour la nappe 35 et les deux fils 39 disposés vers le centre du panier, pour la nappe 36.

Toujours dans cette version, les côtés latéraux sont munis de grilles latérales 19 formées, comme précédemment, de fils horizontaux 26 qui comportent des retours sur une petite partie des faces avant et arrière.

Ces fils horizontaux 26 sont réunis entre eux et fixés au cadre 1 et à la ceinture 10 au moyen de fils 27 régulièrement espacés.

Les figures 20 et 21 correspondent à une version plus élaborée du panier représenté figures 17 à 19. L'amélioration consiste en l'installation d'une clayette 42 pour accueillir des soucoupes ou mme des assiettes.

Cette clayette 42 est disposée dans le bac 41 aménagé sur la nappe 36 et elle est constituée de picots 43 soudés sur des fils longitudinaux 44 et 1'ensemble est posé dans le bac 41 de la nappe 36.

On remarque, figure 21, que les picots 43 peuvent tre inclinés et répartis sur la longueur du panier en deux zones : une zone avant avec un écart relativement faible entre les picots et une zone arrière avec un écart plus important entre ce dernier.

La clayette 42 peut aussi offrir plusieurs possibilités ; elle peut tre fixe, amovible ou escamotable par basculement des rangées de picots comme représenté figure 28.

Dans la version fixe, les fils 44 sont soudés directement sur le cadre 1.

Dans la version amovible, les fils 44 coopèrent avec des cavaliers 45 soudés sur le cadre 1, comme représenté figure 24. L'extrémité 46 du fil 44 est repliée vers le haut à t'équerre, et elle est emprisonnée dans le cavalier 45, ce qui permet de maintenir et de verrouiller la clayette, figure 25.

Dans le cas de clayettes basculantes, le maintien en position verticale des picots peut tre obtenu au moyen du cavalier 24 représenté figure 10, avec l'utilisation de clayettes du mme type que la clayette 11 du panier inférieur.

Les figures 22 et 23 représentent une variante de réalisation dans laquelle on utilise des supports complémentaires 47 pour obtenir un meilleur maintien des verres hauts ou des verres à pied. Ces supports 47 peuvent s'effacer pour ne pas gner la mise en place de bols ou de tasses par exemple. Ces supports 47 forment une sorte de barrière. Ils sont constitués d'un fil qui forme le rebord supérieur et les côtés latéraux avec, à ses extrémités, des crochets 49 qui coopèrent par exemple avec les fils 37 de la nappe 35.

Les figures 26 à 29 montrent un panier supérieur de plus grande hauteur. La ceinture 10 constitue une ceinture intermédiaire. Elle est surmontée d'une ceinture complémentaire 30 fixée elle aussi sur les poignées avant et arrière 5 et 6. Les côtés du panier comportent un fil horizontal 31 avec des retours sur les faces avant et arrière, comme représenté figure 14 dans le cas du panier inférieur et ces fils 31 sont fixés sur des fils 27 qui permettent I'assemblage d'une part, des ceintures 10 et 30 sur le cadre 1 et d'autre part du ou des fils horizontaux 31 et des fils 26 qui sont situés entre ledit cadre et ladite ceinture 10.

On remarque également la présence de la barrière en forme de cadre 20, disposée à !'avant et à l'arrière, fixée sur les poignées 5 et 6.

La figure 26 correspond au mode de réalisation de la figure 20 c'est-à-dire qu'il s'agit d'un panier supérieur muni d'une clayette 42.

La figure 27 correspond à la variante de réalisation représentée figure 22 c'est-à-dire que le panier comporte en plus, des supports 47 pour permettre l'installation de plusieurs lignes de verres.

La figure 28 correspond à une variante de la figure 27 dans laquelle la clayette 42 est du type escamotable, par pivotement de chaque partie.

Les picots 43 peuvent basculer pour s'escamoter dans le fond du bac 41 aménagé dans la nappe 36.

La figure 29 correspond à la figure 28 complétée par des équipements supplémentaires constitués de clayettes 50 disposées à la partie supérieure des côtés latéraux du panier. Ces clayettes 50 sont par exemple articulées ou fixes, sur la ceinture supérieure 30 de façon à tre positionnées en position active comme représenté à gauche sur la figure 29 pour accueillir par exemple des bols ou tasses, ou tre positionnées en position inactive c'est-à-dire escamotées vers le haut.

Les clayettes 50 sont constituées de fils longitudinaux 51 réunis entre eux par des fils transversaux 52. Certains fils transversaux 53 constituent en mme temps les charnières permettant I'articulation de la clayette sur la ceinture 30.

Le détail figure 30 montre J'extrémité avant de la clayette 50 et en particulier l'aménagement qui permet de la verrouiller en position inactive verticale.

Les deux derniers fils transversaux 54 situés à l'extrémité, comportent un retour 55, à t'équerre, dans le plan de la clayette. Ces retours enserrent la ceinture supérieure 30 et sont engagés ou dégagés par rapport à cette ceinture, grâce à un mouvement longitudinal selon la flèche 56.