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Patent Searching and Data


Title:
EXTRA FLAT CONNECTION PIN FOR STRAPS
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/1983/002766
Kind Code:
A1
Abstract:
The invention relates to the lifting of loads or trimming of objects. It is an accessory which enables the temporarily connection of two strap ends, or one strap end to another device, and provided so that no part of said accessory extends beyond the external effective faces of these straps which are connected by said accessory, thereby eliminating the risk of damaging the objects which are handled as well as those which may be contacted by the straps. The invention is comprised of a substantially U-shaped part having very elongated branches (1) receiving the strap ends in the shape of loops, and of a system which may be easily handled, adapted to the ends of the branches and intended to avoid the disengagement of the strap ends, the spacing apart of the branches under the load, and provided with a safety device (2) avoiding the disengagement of said system from the branches of the "U". The invention applies to the lifting and stowing of objects which have to be handled with care, for example the maintenance aground of yachts or pleasure boats.

Inventors:
LE BEON ROGER (FR)
Application Number:
PCT/FR1983/000027
Publication Date:
August 18, 1983
Filing Date:
February 07, 1983
Export Citation:
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Assignee:
BEON ROGER LE
International Classes:
A44B11/00; B66C1/18; (IPC1-7): B66C1/18; A44B11/00; F16G15/00
Foreign References:
US2839809A1958-06-24
GB903044A1962-08-09
FR703875A1931-05-07
DE1204375B1965-11-04
GB1494480A1977-12-07
GB763623A1956-12-12
US3583751A1971-06-08
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Claims:
R E V E N D I C A T I O N S
1. L'invention concerne donc les accessoires de jonction de sangles de levage et d'arrimage ou Î Epingle de jonction pour sangle, permet tant d'établir une jonction temporaire de deux sangles, ou d'une sangle avec un autre accessoire, comprenant une pièce en "U" dont chacune des branches est destinée à être engagée dans une boucle d'extrémité des sangles et un dispositif évitant l'écartement des branches sous tension et le dégagement inopiné des sangles caractérisé en ce que ledit dis positif est constitué d'un manchon de faible épaisseur faisant le tour complet des dites branches et glissant librement sur cellesci pour l'ouverture jusqu'à complet dégagement des dites branches, sans axe de rotation avec l'une des dites branches, et muni d'un dispositif sup¬ plémentaire de verrouillage sur les dites branches assurant la sécurité de l'assemblage.
2. Epingle de jonction pour sangles selon la revendication 1, caracté¬ risée en ce que le manchon peut avoir la forme particulière d'une cla¬ vette à deux têtes.*& 320.
3. Epingle de jonction pour sangles selon la revendication 1, caracté¬ risée en ce que le manchon comporte un ou deux leviers munis d'un épau le ent chacun, pivotables entre, une position où ces deux épaulements n'engagent pas et une position où ils engagent respectivement une ou deux encoches ménagées sur l'extrémité des branches du "U".
4. Epingle de jonction pour sangles caractérisée en ce que le manchon selon la lère revendication, comporte une vis placée axialement, tour¬ nant folle sur le dit manchon ; la partie filetée de celleci, intérieure 330 au manchon, se vissant entre les branches du "U", dans un taraudage de dimensions équivalentes ménagées sur cellesci, et assurant le blocage de l'ensemble.
Description:
" Epingle de jonction extra-plate pour sangles."

La présente invention concerne les accessoires de sangles d'arrimage et plus particulièrement de levage destinés à établir une jonction temporaire entre deux extrémités en forme de boucle, d'une ou de deux sangles, éventuellement une extrémité en forme de boucle d'une sangle avec un autre dispositif de forme adaptée.

De tels accessoires de jonction peuvent être utilisés pour relier entre elles des sangles trop courtes pour l'usage recherché, ou pour joindre entre elles un ensemble de sangles volontairement fraction¬ né pour des commodités d'utilisation. Ils doivent être aisément mani- pulables.à main nue.

Ces accessoires de jonction supportent intégralement la tension à laquelle sont soumises les sangles qu'ils relient. Ce sont donc des dispositifs très sollicités, surtout lorsqu'ils sont utilisés pour lever de lourdes charges. C'est là que réside la difficulté de leur réalisation.

Les accessoires de jonction existant à l'heure actuelle ont, du fait, des contraintes qu'ils subissent, des formes et dimensions telles qu'ils débordent des faces externes utiles des sangles qu'ils relient, ce qui est mis en évidence sur la planche I figure A.

On connaît déjà des moyens de joindre des sangles entre elles, ou des sangles avec d'autres dispositifs, par leurs extrémités formant boucle.

Une solution consiste à passer dans chaque boucle une tige filetée à chaque extrémité et de chaque côté des sangles, un flasque percé de deux trous permettant le passage des extrémités des tiges puis de visser des écrous à ces extrémités (Ce montage rappelle celui des chaînes de bicyclettes).

Une solution voisine est partiellement décrite dans le docu¬ ment " US-A- 3583.751 (ERVING F. WHITE)", les tiges filetées étant alors remplacées par des boulons.

Une autre solution connue, consiste à enfiler les boucles des sangles sur un cavalier fileté à chaque extrémité, puis un flasque percé de deux trous, et visser deux écrous sur chaque extrémité.

Une solution voisine de celle-ci, consiste en un cavalier muni de deux trous alignés dans le même axe, par lesquels on enfile un boulon fermant l'ensemble tel que décrit dans le document " DE-B-1204.375 (AERO- QUIP A.G.) ".

Ces montages sont pejt.commodes, long à réaliser, et nécessitent des outils_;de serrage, sans compter les risques que présente un montage encombrant.

Les sangles et accessoires de jonction sont souvent utilisés pour arrimer ou lever des objets fragiles. Si la jonction se situe à l'endroit d'une portée des sangles contre l'objet, il n'est pas possible d'utiliser les accessoires de jonction déjà décrits sans risquer une dé¬ térioration de l'objet pendant la manutention ou le transport. Il est alors nécessaire de prévoir une protection supplémentaire ou d'autres moyens de manutention.

O\ÎPI

Si de tels accessoires sont utilisés pour l'arrimage d'objets à stocker, l'épaisseur des accessoires entraîne un volume perdu non né¬ gligeable et le risque de détérioration s'étend aux objets mitoyens à celui qui est arrimé.

On connaît déjà des solutions permettant de pallier à ces in¬ convénients. Elles sont décrites dans les documents " FR-A-703.875 (CAHEN & Fils) " et "GB-A-903.044 (C. BLANKENHORN)".

Il s'agit d'une pièce de jonction présentant deux tiges sur lesquelles sont enfilées les boucles des sangles, munie d'un système pivotant sur l'une des tiges et se rabattant sur l'autre, de manière à empêcher le dégagement des sangles et à excercer une résistance à l'é- cartement des tiges lorsque les sangles sont sous tension. Le maintien de la pièce pivotante en position fermée, est assuré par la flexibilité des tiges qui agissent comme des ressorts et excercent une pression sur la pièce pivotante, cette pression empêchant la pièce pivotante de se dé¬ gager et de s'ouvrir inopinément.

Un tel dispositif est utilisable avec des sangles de petites dimensions, lanières, ceintures à usage vestimentaire, domestique ou de bureau où les efforts auxquels il est soumis, sont .très faibles. Mais il présente deux inconvénients majeurs, qui ne permettraient pas son utilisation avec des sangles de levage ou d'arrimage qui sont soumises à des efforts très importants (Force de rupture allant de 2O0O DaN à 60.000 DaN environ, suivant les modèles).

D'une part, en utilisation manuelle, pour supporter les efforts cités, les dimensions des tiges les rendraient parfaitement rigides et ne permettraient pas de profiter de leur élasticité pour assurer le serrage de la pièce pivotante en position fermée. Il est alors nécessaire d'avoir recours à un système de verrouillage supplémentaire.

D'autre part, le principe de ce dispositif nécessite un axe de rotation de la pièce pivotante, sur l'une des tiges. Cet axe supporte l'effort d'écartement des tiges soumises à la tension des sangles.

OMPI

Il doit donc être fortement di ensionné. En plus, cet axe traverse deux pièces : la tige et la pièce pivotante. Les trous ainsi pratiqués, re- 1 0 5 présentent un affaiblissement important des deux pièces citées. Pour avoir une résistance suffisante, ces pièces devraient être surdimen- sionnées à cet endroit. Pour obtenir une résistance équivalente, il faudrait doubler les dimensions de ces pièces.

HO Ce dispositif, muni d'un axe, de par les dimensions de ses pièces constitutives, ne pourrait être utilisé pour la jonction de san¬ gles de levage et d'arrimage car il présente le même inconvénient d'en¬ combrement, donc du risque de détérioration que les Solutions précé¬ demment citées.

115

La présente invention a pour but de remédier à ces inconvé¬ nients. Elle vise à supprimer les risques de détérioration d'objets manu¬ tentionnés par des sangles reliées par un accessoire de jonction, ainsi que des objets susceptibles d'entrer en contact avec cet accessoire, et

120 ceci quelle que soit la face de l'accessoire qui est présenté, comme le montre-la figure B planche I, tout en assurant un verrouillage facile et s r.

L'invention concerne donc un accessoire de jonction de sangle 125 de levage ou d'arrimage du type rappelé ci-dessus, comprenant une pièce en " U " dont chacune des branches est destinée à être engagée dans une boucle d'extrémité des sangles et un dispositif évitant l'écartement des branches sous tension et le dégagement inopiné des sangles, caractérisé en ce que le dit dispositif est constitué d'un manchon de faible épais- 130 seur faisant le tour complet des dites branches et glissant librement sur celles-ci jusqu'à complet dégagement des dites branches, sans axe de rotation avec l'une des dites branches, et muni d'un dispositif sup¬ plémentaire de verrouillage sur les dites branches, assurant la sécurité de l'assemblage. Ce dispositif de jonction de sangles ou "Epingle de 135 jonction extra-plate pour sangles", est extra-plat, formé de deux par¬ ties aisément démontables et n'ayant aucune saillie par rapport aux faces utiles des sangles à relier.

O PI

Il est représenté planche II et comprend :

140 D'une part, un corps ayant la forme générale d'un " U " dont les deux branches sont très allongées, rapprochées et parallèles. Chaque extrémité libre de ces branches est enfilée dans une boucle d'extrémité de sangle. La longueur des branches est supérieure à la largeur des san¬ gles, si bien que les boucles de sangles étant en place, les extrémités

145 des branches du corps de l'épingle sont de nouveau visibles et libres. Les extrémités des branches sont telles qu'elles s'adaptent à la deuxiè¬ me partie de l'épingle.

Cette deuxième partie de l'épingle est un dispositif de maintien 150 et de verrouillage du corps. Son rôle est d'éviter d'une part que les sangles ne se dégagent accidentellement de l'épingle au cours de la ma¬ nutention, d'autre part, que le corps ne se déforme par écartement des branches sous l'effet de la tension des sangles, afin d'assurer une ma¬ nipulation manuelle aisée. 155

Le dispositif selon l'invention est de , pré érence un manchon faisant le tour complet des branches de l'épingle. Mais ce manchon peut avoir la forme très aplatie d'une clavette à deux têtes qui est engagée dans une fente axiale ménagée dans chacune des extrémités libres des 160 branches du corps en " U ", chaque tête épousant la surface extérieure de l'extrémité des branches.

Le manchon peut-être engagé ou dégagé librement sur les deux têtes des branches et comporte des moyens pour le bloquer sur celles-ci. 165

On peut prévoir un taraudage sur les faces internes, en vis-à- vis, des extrémités des branches, le manchon portant une vis axiale tour- . na t folle sur celui-ci et filetée aux mêmes dimensions que le taraudage . de manière que l'ensemble soit solidarisé par vissage» 170

On peut aussi munir les extrémités libres de chaque branche d'encoches, le manchon portant deux leviers pivotant sur un axe solidaire du manchon, munis chacun d'un épaulement engageant ou non les encoches des branches.

175 On voit donc clairement que l'invention garantit contre tout décrochage involontaire des sangles et que les manipulations sont tou¬ jours réalisables sans précautions spéciales.

La description ci-après, donne toutes indications concernant 180 trois exemples de réalisation de l'invention en se référant aux dessins annexés.

1er Exemple : Planche III, figure A, représentant une vue par¬ tielle de l'ensemble déjà présenté planche III.

185 Cette épingle de jonction de sangles comprend tin corps (l) muni de branches et d'un système de maintien et de verrouillage de l'ensemble. Ce système comprend un manchon (2) dont les faces intérieures latérales (F.2) épousent les faces extérieures latérales (F.l) des extrémités de branches. Sous charge, ces faces entrent en contact et transmettent l'ef-

190 fort d'ecartement des branches à cette pièce dimensionnée en conséquence. Le manchon ne peut en principe se dégager sous charge. Toutefois, cet accessoire doit répondre du fait de son utilisation, à des règles sévères de sécurité. Cette épingle comporte donc un verrouillage du manchon sur le corps qui est réalisé par un dispositif à double sécurité constitué

195 par deux leviers (3) et (-4) articulés autour d'un axe (5) traversant le manchon et maintenus écartés sous l'effet d'un ressort, (6), en fil tor¬ sadé autour de l'axe (5). A l'intérieur du manchon, ces leviers compor¬ tent chacun -un épaulement sur leur face extérieure et se prolongent à l'extérieur du manchon grâce à * " * deux lumières permettant aux leviers de

200 pivoter autour de leur axe, pratiquées dans un couvercle soudé au manchon et assurant également la protection du dispositif de verrouillage.

Lors de la mise en place du manchon, le dispositif de verrouil¬ lage prend place entre les deux extrémités des branches de l'épingle. Les

205 leviers jusque-là écartés sous l'effet du ressort s'escamotent devant les branches et leurs épaulements viennent se loger dans deux encoches ména¬ gées à l'extrémité des branches en reprenant leur écartement initial. Sous l'effet du ressort les épaulements des leviers restent bloqués dans les encoches des branches et empêchent le manchon de se dégager du corps

210 de l'épingle.

OMPI

Pour ouvrir l'épingle, il est nécessaire de rapprocher les deux leviers à la main entre le pouce et l'index en sOpposant à l'effet du ressort. Les leviers en se rapprochant dégagent leurs épaulements des encoches pratiquées dans les branches. Il suffit ensuite de glisser 215 le manchon le long des branches pour le dégager entièrement du corps de l'épingle.

Ilème exemple Î II ne diffère du précédent que par son dispo¬ sitif de verrouillage solidaire du manchon (1) et constitué par une vis 220 (7) tournant folle dans l'axe de celui-ci et retenu par une bague (8) logée dans une gorge pratiquée dans la vis. La tête de manoeuvre de la vis se trouve à l'extérieur du manchon, la partie filetée à l'intérieur.

Lors de la mise en place du manchon la partie filetée de la vis 225 se présente entre les deux extrémités des branches de l'épingle, lesquel¬ les sont taraudées sur leurs faces internes opposées (F.3, F. ). La rota¬ tion manuelle de la vis par rapport au manchon entraîne l'engagement de celle-ci entre les branches de l'épingle et le glissement du manchon sur ses branches. En fin de course, la tête de la vis vient serrer le cou- 230 vercle soudé sur le manchon et assure le blocage de l'ensemble.

Pour ouvrir l'épingle on réalise l'opération inverse, le dévis¬ sage de la vis dégage le manchon des branches de l'épingle.

235 Ce dispositif de verrouillage ne peut, bien sûr, être utilisé que lorsque la largeur du passage des sangles entre les extrémités des branches est inférieure à la largeur interne du manchon, donc pour des épingles conçues pour des sangles de faible épaisseur.

240 Illème exemple : Planche III, figure C et C , représentant une épingle qui diffère des précédentes par l'ensemble de son dispositif de maintien et de verrouillage.

Celui-ci est constitué d'un manchon dans lequel les parois la- 245 térales auraient été rapprochées pour ne constituer qu'une seule et même âme centrale, les parties extrêmes du manchon formant deux têtes, le man¬ chon prend ainsi la forme particulière d'une clavette à deux têtes (9).

Les extrémités des branches du corps (1) de l'épingle présen¬ tent alors deux fentes (une sur chaque branche), dans le prolongement 250 l'une de l'autre, dont la largeur correspond à l'épaisseur de l'âme de la clavette, laquelle glisse dans les deux fentes, lors de l'assemblage, les têtes de la clavette se trouvant de part et d'autre à l'extérieur des branches du corps de l'épingle.

255 Les sous-faces (F. ) des têtes de la clavette épousent les faces externes (F.l.) des extrémités des branches, et sous charge, trans¬ mettent l'effort d'ecartement des branches aux têtes et donc à l'âme de la clavette qui assure la cohésion de l'ensemble.

260 Le dispositif de verrouillage est constitué d'une vis (lO) d'un diamètre plus fort que la largeur de la fente des branches.

Après la mise en place de la clavette au fond des fentes des branches, ce système est vissé entre les faces des fentes présentant à 265 ;cet endroit un évidement taraudé (F.Il) s'adaptant à la forme filetée

(F.IO) de la vis. En place, ce système fait obstacle au dégagement de la clavette des branches de l'épingle.

Ce dispositif peut-être utilisé lorsque l'écartement des branches 270 est important, en cas-de jonction de sangles de forte épaisseur, ne per¬ mettant plus d'assurer un verrouillage satisfaisant avec le dispositif à leviers articulés.

On voit que dans tous les cas, l'invention permet sous un 275 volume minimal ne dépassant pas les faces utiles des sangles, une mani¬ pulation simple et sure des charges à déplacer.

L'invention est applicable dans tous les doma nes d'utilisation des sangles de levage et d'arrimage et plus particulièrement dans le cas 280 de levage ou d'arrimage d'objets fragiles risquant une détérioration avec un accessoire de type connu. L'intérêt est d'autant plus grand si les sangles sont volontairement fractionnées pour des commodités d'utilisation.

O PI

C'est le cas pour le levage et la manutention des bateaux (de plaisance notamment) à terre. 285

Les systèmes connus comprennent deux sangles formant un berceau sous la coque du bateau à déplacer, et dont les extrémités sont reliées à un crochet de grue, ou un portique, donc à une hauteur plus élevée que la coque elle-même. 290

La mise en place des sangles sous la coque nécessite la dépose d'une extrémité des sangles, leur passage sous la coque puis leur repose sur le crochet soit une opération longue et acrobatique.

295 L'invention permet d'utiliser des sangles en deux parties re¬ liées à une extrémité au crochet de levage et qui ne seront pas déposées lors de la manoeuvre. Les autres extrémités pendent de part et d'autre de la coque. Il reste à relier ces extrémités avec l'épingle extra-plate qui, lors du levage est séparée de la coque par l'.épaisseur de la sangle

300 et ne risque donc pas de détériorer la coque du bateau. Le démontage est aussi, aisé en reprenant l'opération inverse ; la personne assurant la manoeuvre opérant toujours au sol et sans lever les bras.




 
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