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Patent Searching and Data


Title:
HANDLE FOR A SIMPLE OR FOREARM CRUTCH, CRUTCHES, HANDLEBARS, TENNIS RACKET SHAFT COOLED BY AN INNER AIR COOLING SYSTEM
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2009/030826
Kind Code:
A2
Abstract:
A hand gripping the handle of a simple or forearm crutch or crutches or the handlebars of a running bicycle, motorbike or quad or the shaft of a tennis racket during a tough match is at a temperature exceeding 38° C. The hand transmits this heat to the object it grips, and said object has a temperature changing from an outdoor temperature mostly of 10 to 20°C to temperatures of about 38/39°C. The hand is in a vasodilatation condition, is sweating, is slippery, gets tired and has to provide a stronger grip. The muscles get tired, the hand becomes sore and there is a risk of cramps. The effort generated entails more and more effort and performance is degraded. Thanks to an air cooling system, known since the occurrence of internal combustion engines but applied here in an inverted manner so that the heat scattering vanes (4) are located discretely inside a vented tube represented by the handle of a simple or forearm crutch or crutches or the handlebars of a bicycle, motorbike or quad or the shaft of a tennis racket, the cooling is ensured in a simple manner and becomes more efficient when the action is strong and violent and thus generates more unwanted heat to be scattered.

Inventors:
CUCCIA BERNARD (FR)
CUCCIA ANDREE (FR)
Application Number:
PCT/FR2008/001035
Publication Date:
March 12, 2009
Filing Date:
July 16, 2008
Export Citation:
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Assignee:
CUCCIA BERNARD (FR)
CUCCIA ANDREE (FR)
International Classes:
A45B9/02; A61H3/02; A63B49/00; A63B49/08; B62K21/26; F28D21/00; F28F1/40
Foreign References:
FR2879438A12006-06-23
US2222121A1940-11-19
DE3413600A11985-08-14
Attorney, Agent or Firm:
CUCCIA, Bernard (Saint Martin-de-Crau, Saint Martin-de-Crau, FR)
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Claims:

[Revendications

1] Adaptation nouvelle du système interne de refroidissement à air bien connu [Planche 1/4, Fig 1], fait d'ailettes internes (4), parallèles au sens du vent relatif, augmentant la surface de déperdition de chaleur et d'un réel mouvement d'air assuré par des ouvertures conséquentes, aux poignées de cannes anglaises [Planche 2/4] ou simples ou de béquilles, aux de guidons de vélos [Planche 3/4], de motos ou de quads, et aux de manches de raquettes de tennis [Planche 4/4]. Cette adaptation est nouvelle au niveau de la poignée des cannes car l'ouverture antérieure de la poignée est complète (9), que les ailettes (4) sont longitudinales par rapport à l'axe de la poignée et que les sorties d'air sont latéralisées (2) et postérieures par rapport à la zone de préhension de la main. Cette adaptation est nouvelle au niveau des guidons de vélos, de motos ou de quads car ce système de refroidissement est dans le guidon (Fig 6). Cette adaptation est nouvelle au niveau des manches de raquettes de tennis en ce sens que la prise d'air proche du tamis (8) n'empiète pas sur la partie du manche recouverte par le grip et que le plan de cette prise d'air est perpendiculaire au sens du vent relatif lors de chaque frappe, que le manche est creux (3) et ne contient que les ailettes (4).

2] Adaptation nouvelle du système interne de refroidissement à air et à ailettes aux poignées de canne anglaise ou simple, selon la revendication N°l, caractérisée en ce que le tube creux (3) qui constitue la poignée est totalement ouvert en avant par un large orifice (9) frontal du fait de la disparition complète de la capsule antérieure et en arrière par des orifices latéraux situés à l'autre extrémité de la poignée (2) qui sont ainsi postérieures par rapport à la zone de préhension de la main.

3] Adaptation nouvelle du système interne de refroidissement à air et à ailettes aux poignées de cannes anglaises ou simples, selon la revendication N°l et N°2, caractérisée en ce que le tube creux (3) qui constitue la poignée est tapissé longitudinalement d'ailettes (4) internes qui sont ainsi de fait parallèles au sens du vent relatif qui parcourt l'intérieur de la poignée (3).

4] Adaptation nouvelle du système interne de refroidissement à air et à ailettes bien connu aux poignées de béquilles, selon la revendication N°l caractérisée en ce que le tube creux (3) qui constitue la zone d'appui de la main est totalement ouvert aux deux extrémités.

5/ Adaptation nouvelle du système interne de refroidissement à air et à ailettes aux poignées de béquilles, selon la revendication N 0 I et N° 4 caractérisée en ce que le tube creux (3) qui constitue la zone d'appui de la main est tapissé longitudinalement d'ailettes (4) internes qui sont ainsi de fait parallèles au sens du vent relatif qui parcourt l'intérieur de la poignée.

6/ Adaptation nouvelle du système interne de refroidissement à air et à ailettes aux guidons de vélos, de motos ou de quads, selon la revendication N°l caractérisé en ce que les tubes creux (3) qui les constituent sont totalement ouverts d'une part à leurs extrémités (6) que rien ne doit obstruer et d'autre part en avant près de l'axe (7) du guidon par des orifices frontaux (5) que rien ne doit obstruer.

7/ Adaptation nouvelle du système interne de refroidissement à air et à ailettes bien connu aux guidons de vélos, de motos ou de quads, selon la revendication N°l et N°6 caractérisé en ce que l'intérieur des tubes creux métalliques (3) qui les constituent sont tapissés longitudinalement d'ailettes (4) épousant les différents contours des guidons.

8/ Adaptation nouvelle du système interne de refroidissement à air et à ailettes au manche de raquette de tennis selon la revendication N°l, caractérisé en ce que le tube creux (3) qui constitue le manche est ouvert en avant de toute la zone de préhension non perforée et recouverte par le grip par des fentes latérales (8) dont les plans sont sensiblement parallèles au plan du tamis et sont donc perpendiculaires par rapport au sens du vent relatif produit lors de chaque frappe.

9/ Adaptation nouvelle du système interne de refroidissement à air et à ailettes au manche de raquette de tennis selon la revendication N°l et N°8, caractérisé en ce que le tube creux (3) qui constitue le manche de la raquette est toujours tapissé longitudinalement d'ailettes (4) internes.

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Description:

[Description

Poignée de canne anglaise ou simple ou de béquille, guidons, manche de raquette de tennis, refroidis par un système interne de refroidissement à air.

I) Indication du domaine technique de l'invention.

Ce Brevet s'inscrit dans le domaine de la santé puisqu'il perfectionne la poignée des cannes anglaises [planche 2/4], des cannes simples et des béquilles, mais il entre aussi dans le domaine du sport puisqu'il perfectionne les guidons de vélos, de motos [planche 3/4], de quads et les manches des raquettes de tennis [planche 4/4]. Ce travail a pour ambition de prouver qu'il est possible de refroidir, sans rien inventer de nouveau, une poignée de canne anglaise, de canne simple, ou de béquille, un guidon de vélo, de moto ou de quad, ou un manche de raquette de tennis. Il s'agit pourtant d'une invention dans le sens où jusqu'à ce jour peu ont bien pris conscience combien réchauffement de ces pièces est préjudiciable à la main de l'homme et surtout combien il est d'une grande simplicité d'y remédier en utilisant le système de refroidissement à air [planche 1/4, Fig 2] bien connu depuis que le moteur à explosion existe mais en l'inversant [planche 1/4, Fig I]. Le système existe mais personne n'a pensé à l'utiliser là où il faut et comme il faut. Là est l'astuce, là est l'invention qui va permettre aux handicapés de moins souffrir et de mieux se déplacer et aux sportifs d'améliorer très signif icativement leurs performances avec beaucoup moins de peine.

II) Indication de l'état de la technique antérieure faisant ressortir le problème technique.

Etat de la technique :

Poignées, guidons et manches sont des espaces clos emplis d'air. L'air est un excellent conservateur de chaleur et c'est un mauvais conducteur de chaleur.

Le problème étant de comment lutter contre réchauffement d'une poignée, d'un guidon ou d'un manche, la technique actuelle des espaces clos emplis d'air est à contresens de la résolution du problème et elle aggrave le problème. La même erreur se reproduit inconsciemment depuis que les béquilles, que les cannes anglaises, que les cannes simples, que les guidons de vélos, de motos ou de quads et que les manches de raquettes de tennis existent. Il en est ainsi de certaines erreurs qui se pérennisent à l'insu de tous.

II serait tout de même faut de dire que le problème de la chaleur d'un guidon de vélo ou d'un manche de raquette de tennis n'a pas été abordé. Mais cette chaleur a été attribuée uniquement au soleil. La solution s'est donc limitée à utiliser le blanc comme couleur de guidon, de selle de vélo, ou de manche de raquette tennis.

Encore qu'à suivre le Tour de France de vélo ou les tournois de tennis, il semble que tous les sportifs n'aient pas très bien compris combien ils ont tort de ne pas utiliser le blanc. On devrait leur demander de poser une main sur le toit d'une voiture noire et l'autre sur le toit d'une voiture blanche garées cote à cote sur un parking de plage en plein été...

Le problème technique :

Le problème c'est que la main de l'homme, plus que le soleil, chauffe ce qu'elle tient et que ce qui a été tenu, garde cette chaleur, d'autant plus qu'il(elle) est creux(se) et empli(e) d'air. La main de l'homme est à 37 0 C, mais elle passe à 38° voire 39° au cours d'un effort physique intense et par frottements elle peut transmettre à l'objet qu'elle tient fortement une température de 4O 0 C voire encore plus. Pour ce qui est de ces dits objets, on ne parlera dans ce travail que des poignées des cannes anglaises (ainsi nommées en France et appelées cannes avec appui d'avant-bras plus généralement), ou des cannes simples, ou des béquilles (très utilisées notamment aux USA), des guidons de vélos, de motos ou de quads et des manches de raquettes de tennis.

Ces objets passent donc rapidement de la température ambiante du lieu à plus de 37°. Ces objets, bien que tous différents, sont en fait des tubes de dimensions appropriées à la préhension de la main de l'homme, et ils ont tous pour caractéristique commune d'être fermés à leur(s) extrémité(s). Ils sont creux et contiennent de l'air. Ainsi, si on prend la peine de se rappeler comment on procède pour isoler une maison, on se rend compte que l'analogie est curieusement parfaite : un mur de briques, un espace d'air captif et une cloison en plâtre. L'air est un très mauvais conducteur de chaleur et un bon conservateur de chaleur. L'espace d'air peut se diviser en deux, la moitié reste chaud du côté de la cloison de plâtre et l'autre moitié reste froid du côté de la brique. Ainsi les déperditions de chaleur sont considérablement réduites. Une fois chauffé, cet air immobile garde sa chaleur et la maison reste chaude longtemps même si le chauffage est alors coupé.

bans l'analogie qui nous occupe, on peut voir que lorsque la main a chauffé entre 38° et 40 0 C un tube clos à ses extrémités et plein d'air, ce tube reste longtemps à ce niveau de température et il ne reprend la température ambiante extérieure qui est le plus souvent, dans les climats les plus communs de l'ordre de 10° à 20° que bien longtemps après que la main a cessé de l'enserrer.

Ainsi les poignées des cannes anglaises, des cannes simples ou des béquilles, les guidons des vélos, des motos ou des quads et les manches des raquettes de tennis sont toutes après quelques minutes d'utilisation à près de 39° à 4O 0 C et elles gardent bien fidèlement cette température intempestive. Les fabricants de ces objets ont tous agi comme si leur but était de conserver cette température.

Ils ont tous agi, jusqu'à ce jour, comme les constructeurs de maisons sans se rendre compte de l'ineptie de cette technique transposée par inadvertance aux objets qui nous occupent. La transposition est presque parfaite : tubes fermés aux extrémités et air captif. Pendant tout le temps où la main enserre ce tube, elle est en contact avec près de 4O 0 C, même après l'avoir lâché puis repris etc.

Il s'en suit l'enchaînement de phénomènes physiologiques et mécaniques suivants : vasodilatation de la paume de la main, hypersudation, la main glisse sur la sueur et serre encore plus pour ne pas perdre sa prise, aggravation de la vasodilatation, augmentation de la sudation, efforts musculaires accrus, fatigabilité de la main, épuisement musculaire, douleurs musculaires, crampes musculaires, et ceci se retrouve aussi bien chez l'handicapé d'un membre inférieur qui s'aide de sa ou ses cannes, du cycliste en plein effort dans une cδte, du motard sur le Paris Dakar que du joueur de tennis qui en est à sa deuxième ou troisième heures de jeu.

On conçoit ainsi maintenant que chaque degré en moins sur une poignée de canne, de guidon de vélo, de moto ou de quad ou de manche de raquette de tennis serait une bénédiction. Il faut donc trouver le moyen de refroidir ces objets afin de casser ce cercle vicieux de l'effort qui exige encore plus d'effort et qui exige encore plus d'effort etc....

III) Exposé de l'invention.

Préambule : En même temps que le moteur à explosion a été inventé, il a fallu résoudre le problème du refroidissement de ces moteurs.

Deux grandes techniques ont vu le jour avec le refroidissement à eau et le fameux radiateur qui fuit ou qui chauffe et le refroidissement à air avec ces curieuses ailettes (4) qui recouvrent les cylindres des vélomoteurs, des motos ou des tondeuses à gazon. Nous choisirons le refroidissement à air [planche 1/4]. Le principe est simple : la chaleur est à l'intérieur des cylindres où les explosions se produisent (Fig 2) et les ailettes (4) en recouvrant le cube contenant le cylindre multiplient par un facteur « n» la surface de déperdition de chaleur. L'air se réchauffe au contact des ailettes et plus il y a d'unité de volume d'air qui entre en contact avec les ailettes plus il y a de chaleur enlevée au cylindre.

Pour que le système soit efficace, il faut que l'air circule, alors attention à ceux qui font cracher les nombres de tours à l'arrêt de leur mobylette, ils vont couler leur moteur qui ne sera pas refroidi suffisamment faute de mouvement d'air.

Dans ce système il faut deux conditions : des ailettes (4) et un air circulant.

Notons bien que ce sont les seules exigences de ce système de refroidissement à air qui est d'une efficacité incontestable jusqu'à certaines températures à vaincre. Ce système fonctionne tout aussi bien si la chaleur est au centre du mécanisme et les ailettes à la périphérie (Fig 2) que l'inverse (Fig 1), c'est-à-dire si la chaleur est à la périphérie et que les ailettes sont dans un tube interne ventilé au mieux. Cette dernière phrase révèle la solution au problème. Tout est dit à ce stade, il ne faut plus que passer à son application.

Moyens techniques à mettre en oeuyre pour parvenir au résultat recherché par l'invention.

Puisque outre le soleil, la main surtout est la source de chaleur gui chauffe la surface externe du tube, il faut bien sur utiliser l'avantage du blanc, mais il faut aussi impérativement :

1° Ouvrir les tubes aux extrémités pour permettre à l'air de circuler. 2° Equiper l'intérieur des tubes d'ailettes afin d'augmenter par un facteur « n» la surface interne de déperdition de chaleur du tube.

Description proprement dite :

1/ Pour les poignées des cannes anglaises ou des cannes simples, [planche 2/4]

Actuellement : elles sont en plastique, elles sont fermées en avant (9), elles sont creuses (3), c'est-à-dire pleines d'air captif. Elles ne peuvent pas être blanches, on le comprend.

LQ poignée qui fait l'objet de cette invention est ouverte en avant (9). La capsule frontale antérieure que l'on voit sur toutes les cannes disparaît, la poignée est alors ouverte en avant par un large orifice, ce qui fait un moule et une manipulation en moins. Elle est percée de un à plusieurs orifices, ou fentes latérales, à son extrémité opposée (2) pour permettre à l'air de circuler, bans le modèle que je présente, il y aura deux orifices (2) en arrière en bout de poignée. Ces orifices sont étudiés pour ne pas être gênants pour la préhension compte tenu de l'anatomie d'une main et ceci sans spécificité main droite ou gauche. L'intérieur (3) de la poignée est tapissé d'ailettes (4) longitudinales. Le bloc poignée est moulée en latéro- latérale et les empreintes des ailettes sont réalisées par une tige métallique où celles-ci sont en négatif. Le retrait de cette tige centrale au démoulage donne une poignée entièrement en plastique. Pour information, notons que un petit orifice (1) est percé de chaque côté latéralement juste en arrière de la butée antérieure de même qu'en arrière de l'orifice postérieur de ventilation. Ils permettent de fixer une sangle latérale gauche ou droite pour les patients atteints d'un syndrome de Volkmann.

2/ Pour les poignées des béquilles.

Le tube d'appui de la main est ouvert à ses deux extrémités. Le tube quelque soit sa texture est tapissé d'ailettes (4) longitudinales internes.

3/ Pour les guidons des vélos, des motos ou des quads. [planche 3/4]. Le ou les tubes sont ouverts à leurs extrémités (6) et rien ne doit les obstruer.

Le ou les tubes sont percés d'orifices (5) là où la préhension ne sera pas gênée. Dans le modèle que je présente ils seront au nombre de deux. Un de chaque cδté près de l'axe du guidon (7), donc dans un plan frontal par rapport au mouvement du vélo. L'air s'y engouffre lorsque le vélo roule pour ressortir aux extrémités libres du guidon (6). Le ou les tubes sont tapissés à l'intérieur d'ailettes (4) de préférence métalliques de même nature que le guidon. Elles pourraient être en plastique. Elles épousent les courbures du guidon longitudinalement.

4/ Pour les manches des raquettes de tennis, [planche 4/4].

Quelque soit la texture du manche et ses dimensions, il sera creux (3) et ouvert (8 et 10). Ouvert à son extrémité arrière (10) par un large orifice dans le plan frontal et ouvert à l'autre extrémité du manche en avant (8) par des fentes frontales et/ou latérales. Il s'agira essentiellement d'un orifice latérale (8) (Planche 4/4, Fig 8) dans le plan du tamis et de l'autre cδté du manche, à la même hauteur, d'un autre orifice sensiblement identique mais obstrué par le logo de la marque.

II sera creux (3) mais tapissé à l'intérieur d'ailettes (4) longitudinales de quelque nature que ce soit, mais de préférence de même nature que l'ensemble du cadre de la raquette qui se raccorde par deux axes pour former le manche (Rg 8).

|IV) Compréhension de la solution technique qui est apportée au problème technique posé :| Le système à ailettes de refroidissement par circulation d'air [planche 1/4] est bien connu sur le mode à ailettes externes (Fig 2). Le système inversé (Fig 1) à certainement déjà été inventé. Il est utilisé dans sa plénitude selon le même principe d'augmentation des surfaces de déperdition de chaleur en relation avec un air circulant. Ce système à ailettes (4) internes s'adapte parfaitement et discrètement aux poignées des cannes anglaises, des cannes simples ou des béquilles, aux guidons des vélos, des motos ou des quads et aux manches des raquettes de tennis. Plus les mouvements seront intenses, plus l'air circulera et plus le système sera efficace, bans le cas du guidon de vélo[planche 3/4], de moto ou de quad, le tube est certes de petite dimension mais la vitesse est grande au cours d'un sprint ou d'une forte accélération et dans ce cas la main qui se place près de l'extrémité du guidon (6), près de son orifice ouvert, rend le système très performant en créant avec l'avant-bras une zone de dépression justement au niveau de cette extrémité ouverte du guidon (6), ce qui aspire d'autant mieux l'air qui s'engouffre de par la vitesse au niveau des orifices (5) percés près de l'axe du guidon (7) et ceci augmente d'autant le mouvement de l'air à l'intérieur du guidon (3), ce qui aura pour effet de le refroidir d'autant plus qu'il chauffe au cours de cet effort intense.

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Sommaire des dessins descriptifs

Planche 1/4 : Les deux systèmes de refroidissement à air.

Fig 1 : Refroidissement interne. Fig 2 : Refroidissement externe.

Planche 2/4 : Poignée de canne anglaise ou de canne simple. Fig 3 : Poignée de canne anglaise en coupe transversale.

Fig 4 : Poignée de canne anglaise en coupe longitudinale.

Planche 3/4 : Guidon de vélo.

Fig 5 : Guidon de vélo de course. Fig 6 : Coupe transversale d'un guidon de vélo de course.

Planche 4/4 : Manche de raquette de tennis. Fig 7 : Coupe transversale d'un manche de raquette de tennis. Fig 8 : Coupe longitudinale d'un manche de raquette de tennis.

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