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Patent Searching and Data


Title:
HEATING DEVICE
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/1984/002245
Kind Code:
A1
Abstract:
Heating device comprising as thermal source a resistor through which circulates the electric current of a transformation apparatus and which, in operation, is invisible in obscurity. The transformation apparatus gives to the secondary a plurality of safety voltages. An electric battery or accumulator is used as an alternative energy source.

Inventors:
RADULESCU ALEXANDRE (FR)
Application Number:
PCT/FR1983/000004
Publication Date:
June 07, 1984
Filing Date:
January 07, 1983
Export Citation:
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Assignee:
RADULESCU ALEXANDRE
International Classes:
H05B3/00; (IPC1-7): H05B3/00
Domestic Patent References:
WO1981000510A11981-03-05
Foreign References:
US3746835A1973-07-17
FR711054A1931-09-02
DE2112096A11972-09-14
FR954900A1950-01-06
FR2287143A11976-04-30
FR783413A1935-07-12
FR870361A1942-03-10
US3089033A1963-05-07
FR474138A1915-02-09
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Claims:
REVENDICATIONS
1. Le dispositif chauffant est caractéri¬ sé en ce qu'il comporte une source thermique, alimentée sur la tension du secteur, ayant inter¬ médiaire un appareil de transformation et un 5 interrupteurcommutateur, et par le fait que la source thermique diffuse une chaleur rayonnée, qui peut être dirigée dans la direction désirée, même de haut en bas, permetant ainsi de chauffer un petit volume ( objet ou surface ), qui se trouve 0 dans un grand espace, sans enclore ce volume .
2. Le dispositif chauffant est caractéri¬ sé en ce qu'il comporte une source thermique, alimentée sur la tension d'une pile ou accumula teur électrique, ayant ou non intermédiaire un 5 rhéostat, et par le fait que la source thermique diffuse une chaleur rayonnée, permetant ainsi de chauffer un petit volume ( surface, objet ), qui peut se déplacer, n'étant pas retenue par la source d'énergie électrique . 0 3 Le dispositif chauffant selon reven dication 1",2, est caractérisé par le fait que sa source thermique est une résistance, qui traversée par le courant électrique, dans le domaine de tensions de sécurité, se chauffe, mais en foncti 5 onnement elle est invisible ( ou peu visible ) en obscurité, et la dite résistance est aussi caractérisée par le fait que au point de vue thermoénergetique, la quantité de chaleur rayonnée, est déterminée par le changement de la tension ° d'alimentation et de la variation ohmique, respectant les limites imposées par la tension efficiente de chauffage, qui est la possibilité de mise en oeuvre sa fabrication . __.0.
3. _P.
4. Le dispositif chauffant selon revendi cation 1, est caractérisé par le fait que l'appareil de transformation, donne en secondaire plusieurs tensions de sécurité .
5. Le dispositif chauffant selon revendi cation 1 , est c .ractérisé par le f it que 1' interrupteurcommutateur , peut être remplacé par un rheost.it .
6. Le dispositif chauffant selon revendi cation 2, est caractérisée par le fait que la tension nominale de la pile ( ou accumulateur ), est une tension de sécurité, qui peut alimenter la source thermique par l'intermédiaire d'un rhéostat sur une tension variable, ou directement sur une tension constante, la tension de la pile .
Description:
DIS POSITIF CHAUFFANT

La présente invention, concerne un dispositif chauffant qui peut économiser une grande quantité de chaleur et qui peut avoir d'importantes applications au point de vue médical . L'invention est associée aux éléments les plus importants qui suivent : une résistance électrique, un appareil de transformation, un interrupteur-commutateur . La résistance électrique est monté dans une ampoule ( ballon ), en verre. Un verre claire, inco - lore, transparent, un verre qui est utilisé couramment en électronique et dans la fabrication de la lampe à filament incandescent pour l'écairage. La résistance est protégée ou non contre l'oxidation par une atosphère inerte. La résistance est caractérisée par le fait qu'en fonctionnement elle est invisible ( ou peu visible dans l'obscurité ) .

L'appareil de transformation ( transformateur , autotransformateur, adaptateur, etc . ), possède au secondaire plusieurs tensions de sécurité qui ne peuvent pas électrocuter .

L'interrupteur-commutateur intermédiaire entre la résistance et l'appareil de transformation peut alimenter la résistance sur une de ces tensions de sécurité, fonction de la nécessité .

L'invention présente est un perfectionnement et une extension du BEEVET FRANÇAIS No. 2 ?5 o01 , et elle est la m§me invention que la DEMANDE DE BREVET No. 8 20130, qui ont le même auteur que le présent DISPOSITIF CHAUFFANT .

La partie la plus " importante du perf ctionne - ment et de l'extension est : a.- Le dispositif chauffant emploit comme résistance non seulement un filament qui a été et qui est utilisé par un tube électronique ou par une lampe à filaanent incandescent pour l'éclairage, mais aussi une résistance fabriquée d'après un principe

nouveau de fabrication . Et ce principe, en ce qui concerne la fabrication est déterminé théoriquement et pratiquement, avec précision . b.- La résistance peut être protégée par une 5 atmosphère inerte et il y a de même la possibilité de fabriquer une résistance qui n'a pas besoin. d'u___- atmosphère inerte pour être protégée- contre l'oxidation, Dans ce dernier cas, l'atmosphère ( qui peut être aussi l'air, ),sert uniquement pour le transfert de

10 la chaleur et ceci seulement en cas de surchauffe . c- En ce qui concerne le verre de l'ampoule contenant la résistance, le dispositif chauffant précise ce quα* le 3revet 2 k-75 801 , ne donne pas : un verre transparent, claire, sans couleur. Ces

- J 5 éléments sont nécessaires, sinon les rayons de chaleur ne peuvent pas passer sans chauffer le verre^ ce qu'il faut éviter . d.- Le dispositif chauffant , utilise un appareil de transformation qui alimente plusieurs tensions

20 du domaine de_> tensions de sécurité. La rési - stance est alimentée sur une de ces tensions de sécurité. tension est changée suivant la nécessité à l'aide d'un interrupteur- commutateur facilement en bougeant ou en pressant un bouton, 5 c'est à dire, qu'il y la possibilité d'utiliser la gamme entière des tension, sans la moindre difficulté. Cette facilité n'est pas possible en utilisant les éléments donnés par le Brevet 2 75801 , qui n'utilise pas l'appareil de transformation, ni -<_ i Q commutateur . e.- Le dispositif chauffant donne des précisions envisageant les applications du chauffage et spéci - alement les applications dans le domaine médical, précisions qui sont généralement exprimées dans les

, c applications du Brevet 2 k- 5801 , qui ( pag. 3, ligne 2. ), indiquent : " Des applications sont aussi dans le domaine médical, zootechnie, serres, laboratoires,.. " .

Le combustible est aujourd'hui la plus

importante source d'énergie thermique. L'énergie thermique est un point de départ pour l'énergie mécanique, électrique, acoustique, etc. C'est l'irapul - sion et le coeur de la vie industrielle, qui engendre le progrès, le confort, la richesse,..

La population du globe terrestre double tous les trentes ans. La population et le progrès industri¬ el ont besoin d'une quantité de combustible qui augmente de jour en jour . Sous nos yeux les réserves de combustible s ' épuisent au fur et à mesure .

L'actuel niveau de la science et de la technique, peut donner l'espérance que, dans Uïl siècle l'énergie thermique du combustible, sera remplacée par d'autres énergies. Mais le combustible est aussi la matière première capitale pour l'industrie chimique, dans un domaine de plus en plus grand dans notre vie. Si demain l'énergie thermique du combustible peut é * tre remplacée par d'autres énergies, le combustible matière première est irremplaçable . ( Et comment est- il possible de concevoir une vie normale sans l'in - dustrie chimique : les matériaux plastiques, la multitude de fibres textiles, colorants, laques, peintu res, linoléum, vitres incassables, isolants électriques, matériau. téléphonique, détergents, l'industrie des médicaments, etc., etc., ?.. ) .

Par conséquent comme il n'est pas possible de créer le combustible, la nécessité de l'économiser s'impose impérieusement . Le chauffage d'un petit volume qui se trouve dans un grand espace ( sans enclore ce volume ), est un moyen de faire une grande économie d'énergie, ce qui est le desiderata de l'homme, et il est souvent appliqué dans la vie pratique : pour désinfecter une aiguille, on la chauffe dans la flamme d'une allumette. La flamme, bien qu'elle ait une durée de dix secondes, chauffe l'aiguille jusqu'au rouge, c'est à dire à une température qui dépasse 800 °C .

Mais cette chaleur bien qu'elle ait une température de 800 °U, ne chauffe pas la pièce ou elle se trouve et ne peut pas être enregistrée par un thermomètre quoique elle se dissipe dans la pièce, à cause de la petite quantité de chaleur et de la durée de 10 secondes .

A première vue la possibilité de chauffer un. objet qui a le volume d'une personne ( 6,1 m ), se trouvant dans une chambre de séjour qui a environ 65 m , représente 1/650 de la quantité de chaleur nécessaire pour le chauffage de la pièce entière .

Si au lieu des objets, des personnes sont chauffées, la quantité de chaleur nécessaire est encore plus petite, parce que chaαue personne dégage une quantité de chaleur, et que pour la chauffer, il suffit de chauffer à 2**+ °C, une petite pellicule d'air autour d'elle., < " c'est à dire la surface ) .

Théoriquement la quantité de chaleur qui chauffe 6 personnes ( ou même des objets et des volumes équivalents ) , chaleur qui se dissipe dans la pièce, n'influence pas la température de la pièce. représentant seulement 1/100 de la quantité nécessaire pour chauffer la pièce entière. Cette petite quantité de chaleur est une démonstration qui montre jusq'ou on peut pousser l'économie d'énergie en chauffant seulement des petits volumes .

Pour chauffer un oh et à la température désirée, sans nécessiter le chauffage de la pièce ou il se trouve, il faut premièrement chercher la modalité pour diriger la chaleur d'une source thermique vers l'objet, bien qu'il soit possible de le faire traverser par la chaleur d'un bout à l'autre .

La deuxième prémisse, est de chercher la source thermique qui peut chauffer l'objet sans 1 ' endommager .

La troisième prémisse est de maitriser la source thermique, afin de chauffer l'objet exactement autant qu'il faut .

La quatrième prémisse est : la source

thermique doit-être en mesure de faire une économie d'investissement et d'énergie, c'est à dire un moyen plus avantageux que d'autres moyens employés. La cinquième prémisse : la source ne doit 3 pas incommoder par sa présence .

La sixième prémisse : la source thermique ne doit jamais mettre en péril τ_ a personne qui utilise ce moyen de chauffage .

Parmi d'autres sources thermiques, la lampe 10 pour l'éclairage aurait pu présenter un certain intérêt. La lampe électrique pour éclairer, a un filament qui, traversé par le courant électrique, se. chauffe. La température élevée, chauffe le filament jusqu'au jaune-blanc, température qui dépasse 3000 °C, et la couleur éclatante du filament est une source de lumière. Toutefois le filament est aussi une source de chaleur qui chauffe e n premier l'atmos - phère protectrice et le verre de la lampe, qui font le transfert de la chaleur dans le milieu 20 environnant .

La chaleur dégagée par le verre de la lampe, est importante : une lampe de 100 watts, diffuse la quantité de chaleur, qui est presque équi¬ valente avec la chaleur dégagée p*r le corps d'une 25 personne .

Cette chaleur dégagée par la lampe, ne pourrait pas rester inobservée. Aisément obtenue à l'aide de la lampe d'éclairage, la chaleur a été maintes fois employée . 30 Pourtant le verre de la lampe d'éclai - rage se chauffe beaucoup : fréquemrament il dépasse l8θ °C, une température qui a créé en même temps des difficultés d'utilisation, parce que le verre carbonise quand il touche . le matériau plastique, le a5 papier, la peau, la laine, le coton, etc., c'est à dire les composants du carbon avec 1 hydrogène . La lampe -l'éclairage pourrait chauffer une personne dans un lit, parce qu elle est une source de chaleur suffisante, mais cette chaleur a O P

l'inconvénient d'être concentrée sn un point. Cet -inconvénient a limité l'utilisation de la lampe <L "éclairage comme source thermique .

L'invention présente, par un artifice très simple 3 donne la possiαilité de fabriquer un dispositif qui est caractériS-. ' par le fait qu'il respecte les exigences antérieurement exposées en six prémisses. Ce dispositif, diffuse seulement :1a chaleur sans lumière . Cette chaleur sans lumière peut élever la température

- Q d'un objet entre zéro •** < jusqu'à 150 °C. Mais pour chauffer un objet à une température qui dépasse 100 °C, il y a beaucoup de moyens. La partie inté¬ ressante du chauffage est la possibilité d'élever la température d'un objet chauffé entre 1 °C jusqu'à

1 50 °C, c'est à dire dans le domaine de__ basses * température 1 - de chauffage, ce qui n'est pas possible avec une lampe pour l'éclairage qui a un filament incandescent et le verre très chaud .

En employant une lampe d'éclairage, alimentée

20 p r une tension choisie dans le domaine des tension** * ; de sécurité, présente un autre inconvénient : la lampe donne une très petite quantité de chaleur. Même la lampe à filament de 1 000 watts/ 220 volts, qui d'habitude est la plus grande, alimentée en

25 deux volts, diffuse seulement 0,722 kcal / h. En plus cette lampe a une dimension de 30 cm. Une très petite quantité de chaleur pour une lampe si encombrante ! il est donc nécessaire de construire une ampoule

30 spéciale plus petite - doté© d'une résistance plus puissante . La résistance alimentée par une gamme de tensions dans le domaine des tensions de sécurité peut donner exactement avec une telle tension ,- la quantité de chaleur désirée, parce que la chaleur

^5 rayonnée par la résistance est fonction de la tension d'alimentation .

Le faisceau rayonnant de chaleur, projeté par la résistance,chauffe directement l'objet à chauffer sans chauffer le verre transparent . e

l'ampoule contenant la résistance et l'air entre l'objet chauffé et l'ampoule . { l'objet, est aussi une surface ).

L'objet chauffé absorbe la chaleur rayonné e, à cause de sa surface opaque, qui ne permet pas aux rayons' de continuer leur chemin. L'objet chauffé par rayonnement obtient ainsi une température plus élevée que le milieu environnant et cette différence de température du volume chauffé, devient toute de suite à son tour un émetteur de chaleur, cette fois-ci par convection, parce que la chaleur coule toujours vers la température plus basse .

Le volume chauffé absorbe la chaleur jusqu'à une température " X " , et bientôt il a une tempéra - ture constante : c'est le régime de stabilité, quand l'objet absorbe une quantité de chaleur par rayonne - ment et diffuse la même quantitié de chaleur par convection. Cette température " X " , lorsque l'objet chauffé entre dans le régime de stabilité, est une température d'équilibre avec le milieu environnant . Lorsque la source et le récepteur se trouvent dans une pièce ou en plein air et que les conditions sont les mêmes, la température du récepteur est la même ( le régime de stabilité ). Si la température du milieu environnant monte ou baisse, la différence de température se maintient ; ι a source chauffe par la différence de température .

Lorsque la source thermique réalisée par un dispositif chauffant et le récepteur sont dans une boîte fermée par des parois isolées thermiquement , la température à l'intérieur de la boîte et aussi la température de la source mentent continuellement jusqu'au point ou l'isolant ou la source se casse .

Une troixième hypothèse : l'objet chauffant se trouve dans le corps d'une mamifère. Il chauffe les couches touché» s par une. différence de température, mais bien que l'espace autour de la source soit fermé, la température ne monte pas continuellement comme dans une boîte, parce que la circulation du sang devient plus active, et elle transporte une

OMFI

quantité de chaleur. Malgré tout, une différence de température locale persiste et cette température en régime de stabilité, est fonction de la quantité ' de chaleur et de la circulation sanguine . 5 La résistance qui est la source thermique du dispositif chaaif f ant , est aussi l'élément le plus difficile au point de vue de la fabrication .

La fabrication de la résistance, répond obligatoirement à la prémisse qu'en fonctionnement elle

1u soit invisible ou très peu visible en obscurité .

Les résistances fabriquées pour §tre utilisées dans le domaine des tensions entre 0 - 4 volts, sont les plus efficaces et les plus accessibles au point de vue de la fabrication. Les résistances fabriquées pour

,5 être utilisées dans le domaine de tenssions entre

0 - 12 volts, en comparaison avec celles fabriquées pou* être utilisées entre 0 - 2 volts, ont un prix de revient par watt ( respectivement par kcal ) , qui est qatre fois plus avantageux . e_-j Le prix de revient monte beacoup avec l'intervalle d'utilisation. Suivant ce principe, on peut fabriquer des résistances pour des tensions entre 0 - <_<_- volts, mais le prix de revient par watt, est beaucoup plus élève .

__^ Une lampe d'éclairage a un filament qui est une résistance métallique incandescente en fonctionne - ment . i_es limites entre lesquelles le filament est incandescent dépassent fréquemment de 30 % la tension nominale de la lampe . 0 La limite inférieure d'incandescence donne la plus petite quantité de lumière par watt ; la limite supérieure donne la plus grande quantité de lumière par watt, mais dans ce cas, la vie du filament est incomparablement plus courte . >5 Au point de vue du rendement de la lumière, on cherche pour la lampe, la plus grande quantité de lumière par watt, mais le fabricant désire aussi comme son client, une longue vie pour la lampe, qui, ainsi que la lumière, est la réclame du produit .

C'est la Conséquence fondamentale pour laquelle on cherche une tension de compromis entre la luminosité et la vie du filament .

Cette tension de compromis, entre la quantité de lumière par watt et la vie du filament peut être appelée " la Tension Utile d'Incandescence ( TUI ). C'est à dire la TUI, est la tension qui diffuse une lumière éclatante donnée par l'incandescence, et en même temps, c'est la tension de fonctionnement quand le filament a une longue vie .

On peut trouver le filament qui a la TUI désirée par des calculs et par des recherches ; c'est une étude très importante pour la fabrication de la lampe pour l'éclairage, qui cherche le filament pratiquement appliquable en donnant la plus grande quantité de lumière par watt. Cette étude est aussi nécessaire pour le dispositif chauff nt. En ce sens on cherche la résistance qui peut donner la plus petite quantité de lumière par watt . Pour chaque matériau utilisé, la TUI peut aider^" trouver pour le dispositif chauffant la tension limite de fonctionnement, quand en obscurité la résistance est invisible . Cette tension limite qui traversant la résistance, elle reste cependant invisibla. en obscurité, peut être appelée la ension Efficiente de Chauffage ( TEC ) .

On peut trouver la TEC pour une résistance métallique d'un dispositif chauffant, quand le rapport entre la TUI et la TEC est égal ou plus grand que 26. C'est à dire, on obtient la TEC, quand la TUI est divisé par * £ 26 .

Lorsque le rapport entre TUI et EC est entra 18 - 26, la résistance est très peu visible en obscurité . Lorsque le rapport est sous 18, la résistance devient visible en obscurité .

Les rapports donnés ont été essayés sur un matériau métallique et ils sont liés à la nature du matériau de la résistance. Donc les limites ne sont

pas générales, elles sont seulement informatives .

Par conséquent, il existe une large gamme de tensions entre zéro et une tension limite, qui traver¬ sant la résistance, la résistance rayonne l'a chaleur et toutefois cette résistance reste invisible en obscurité . Dans cette gamme de tensions entre zéro et la tensi¬ on, limite TEC, le dispositif chauffant est caractérisé par le fait que, l'énergie électrique consommée traver¬ sant la résistance est transformée 100 % en énergie thermique. L'énergie thermique sans lumière rayonnée par le dispositif chauffant, est caractérisée par le fait qu'elle peut ' être dirigée dans la direction désirée, même de haut en bas .

Le tableau f.o. 1, indique les caractéristiques d'une résistance qui a la puissance thermique variable entre zéro et 10 kcal/h ( 11,57 w a tts ), et la TEC, 14 volts.

Tableau No. 1

Tensi¬ TUI Inten¬ Résis¬ Puis¬ Puis¬ TEC on en volts sité tance sance sance volts volts A ohms watts kcal/h

2 --364 0,2880 6,9444 0,376 0,498 14

IT 0,4892 8,1764 1,9568 1 ,7000 14

6 II 0,59-27 10,1232 3,5562 3,o720 14

8 II 0,6614 12,1000 5,2912 4,5720 14

10 II 0,?5?0 13,3150 7,510 6, r _8° 14

12 H Θ,7856 15,274 9,4272 8,145 14

14 II 0,8267 16,939 11,574 10 14

Le tableau IMo. 2, indique les caractéristiques d'une résistance qui a la même puissance thermique variable re zéro et 10 kcal ( 11,57 watts ), et qui a la TEC , 24 volts .

Les notions données auparavant ; inclusivement les deux tableaux, précisent dans la construction de la résistance, le rôle importante joué par la TUI .et la TEC, qui démontrent que la résistance ohmique et la tension d'alimentation, ont besoin de la TUI et

la TEC pour préciser le fonctionnement du dispositif chauffant .

La résistance du dispositif chauffant qui a les caractéristiques données dans le tableau No. 1 , nécessite une ampoule en verre d'un diamètre de

Z,5 cm., car cette résistance traversée par la tension de 14 volts, a 16,939 ohms, et elle rayonne seulement 10 kcal / h, et cette chaleur rayonnéa ne chauffe pas le verre de l'ampoule . La même résistance branchée sur la tension de

220 volts monte à 70,2727 ohms et elle donne 689 watts . Sa couleur devient éclatante et elle consomme brusquement' une puissance de 550 kcal / h . Cette chaleur diffusée par convection, chauffe le verre de l'ampoule. Pour le transfert de cette chaleur il est nécessaire d'avoir une ampoule d'un diamètre de 16 à 18 cm. . La petite ampoule de 2,5 cm. ne peut pas faire le transfert de la chaleur, la résistance se surchauffe et se fonde. Une brusque détente de l'atmosphère protectrice casse tout par explosion .

En conclusion l'ampoule du dispositif chauffant est caractérisée par un petit volume, et ce volume , est encore un moyen parmi d'autres, de mettre en évidence la dissemblance entre une lampe électrique d'écairage et l'ampoule du dispositif chauffant .

La résistance du dispositif chauffent peut être fabriquée pour des tensions comprisent entre zéro et 220 volts. Si elle a par exemple une puissance de 30 kcal , h ( 34 watts ), pour les raisons données antérieurement, elle ne nécessitera pas une ampoule d'un diamètre plus grand que 3 cm.

Moyennant des études et des recherches, on peut trouver la résistaace du dispositif chauffant la plus indiquée du point de vue du prix de revient, de la α ualité et de la possibilité de mise en oeuvre . La résistance du dispositif chauffant n'est pas solicité pour l'incandescence, et sa température dépasse rarement 150 °C. Pour cela il n'est pas né - cessaire d'employer uniquement le métal comme matériau

FEU3LLE D___ -_MPLACΕMEnΥ ( OMH

et non seulement le tungstène ou le tantale, comme pour le filament d'une lampe pour éclairage .

Une foie les résistances déterminées, le dispositif chauffant peut être fabriqué aisément, dans un ordre de puissance standaεdisé au point de vue électrique ou calorique, respectant les prémisses établiées .

Tableau No. 2

Tensi¬ TUI Inten- Résis¬ Puis¬ Puis¬ TEC on en volts sité, tance sance sance volts volts A ohms watts kcal/h

2 =624 0,1409 14,1878 0,2819 0,2436 24

4 II 0,2253 17,7541 0,9052 0,7786 24

6 11 0,29 20,6896 1,74 1 ,5034 24

8 11 0,3237 24,7142 2,5896 2,2374 24

10 II 0,3é?é 27,2037 3,676 3,1761 24

12 tl 0,3845 31,21 4,614 3,9865 24

14 II 0,4047 34,5935 5,6658 4,8953 24 î6 II 0,4215 37,9596 6,744 5,8268 24

18 ff 0,4384 41,0539 7,8912 6,818 24

20 It 0,4553 43,9270 9,106 7,8676 24

22 II 0,4721 46,60 10,3862 8,9737 24

24 11 0,4822 49,7667 11,574 10 24

La conclusion finale envisageant la particula - rite thermoélectrique de la résistance d'un dispositif chauffa_nt concernant le matériau et la quantité d'éner - gie rayonnée, est déterminée par le changement de la tension et variation ohmique de la résistance, respec - tant m lgré tout les limites imposées par la TEC et par la TUI . L'ampoule- de verre du dispositif chauffant peut avoir tous les formats imaginables, mais l . forma ,* d'un phare d'une automobile, ou d'un réflecteur est 1$, plus éf S'oient» pour la transmission de la chaleur par rayonnement sur un objet ou sur une surface déterminée. Les parois latéraux de l'ampoule de verre, éliptiques, hyperboliques ou coniques, recouverts d'une couche métallisée réfléchissante, âccroit le

rendement de la transmission et la possibilité de concentrer la chaleur. La forme de l'ampoule n'influence pas le rendement thermique qui est toujours de 100 % . La forme d'un phare n'est qu'une recommandation donc ne fait pas l'objet du Brevet . Des formes semblables sont employés par de. nombreuses autres inventions et sont aussi employés pour les lampes d' éclairage . La forme a été inspiré par les iroires d'Archimède avant ϋ.C. r un culot et une douille on peut bran - cher l'ampoule et sa résistance, mais de même que la forme, cela ne fait pas l'objet du Brevet, ce moyen étant employé par nombreuses autres inventions .

Pour les applications sur la partie extérieure du corps humai-i la forme d' ampoule aplatie comme un disque est la plus indiquée. Cette forme aplatie, utilisée à l'intérieur, du corps, ne nécessite pas un culot et une douille, pour être branchée .

L'énergie qui alimente le dispositif chauffant, est l'énergie du secteur, par l'intermédiaire d'un appareil de transformation^v* ** à son tour au secondaire, peut alimenter plusieurs tensions de sécu. - rite, qui ne peuvent pas électrocuter. Sur une de ces tensions de sécurité, à l'aide d'un interrupteur- commutateur on peut alimenter le dispositif chauffant, avec une puissance plus grande ou plus petite en changeant la tension, en fonction de la nécessité .

Une source d'énergie est aussi l'énergie é lectr i que éoliènne ou hydro, une installation très simple rudimentaire, dotée ou non d'un régulateur de tension, |ar exemple dans une ferme isolée, peut ali - menter des récepteurs sans prétentions, comme une serre, un dépôt de fruits, un atelier, un garage, une installation pour le séchage de fruits, un éle - vage, etc, récepteurs qui peuvent accepter une large variation de la température de chauffâge.

Une autre source est un accumulateur ou une pile électrique, sources d'énergie qui n'ont pas besoin, bien entendu d'appareil de transformation .

La chaleur rayonnée au basse température par le dispositif chauffant entreïne une grande économie d ' énergie et en plus , par suite de ses applications , est utilisable là ou d ' autres moyens ne sont pas

5 appliquables .

L'appareil de transformation du dispositif chauffant est doté d'un interrupteur-commutateur, qui est soit proche de cet appareil , soit à distance, à porté de la main de la personne qui l ' emploit ; ainsi la

10 chaleur peut être commandée avec commodité .

Lorsque cette gamme de puissance ne suffit pas , on peut simplement remplacer l ' ampoule qui contient la résis tance , par une autre ayant la même TEC, mais d ' une puissance plus grande ou plus petite, offrant

15 ainsi encore une gamme plus large de puissance par variation de l a résistance .

Si dix personnes se trouvent dans la même piè ce, peuvent choisir en faisant usage du dispositif chauff .nt , chacune d' entre elle la température désirée

20 de chauffage . C ' est une possibilité qui ne peut être obtenue par aucun autre moyen et on peut l ' obtenir facilement par le dispositif chauffant sans le moindre dérangement , avec une simplicité et une aisance incomparable .

Le chauffage du volume d ' un lit , représente

--5

1/6θ du volume de la chambre à coucher , ce quirevient à moins de 2% de la quantité de chaleur nécessaire pour chauffer la chambre entière , et ce chauffage est utilisé seulement quand le lit est occupé .

Un group turbo-alt ernateur , équipement d' une

30 usine électrique , se trouvant daais un hall ( qui a un volume habituellement de αeuux cents à mille fois plus grand ) , nécessite pendant le montage au moins 1.6 °C .

35 Pour chauffer " le hall , un grand hall , il est nécessaire de construire une vraie usine annexe : un moyen très ches* et souvent impraticable, à cause de la hauteur .

Chauffer seulement le groupa, est une solution

intéressante qui n'a pas d'équivalent .

En hiver une maison à la campagne qui est habitée seulement pendant le week-end est inhospitali¬ ère si elle n'a pas été chauffée en semaine . Lorsque la maison commence à être chauffée pa_τ un chauffage classique, les murs froids, absorbent pendant 30 à 35 heures la chaleur de l'air qui s'écnauffe en premier .

Les couches d'air sursaturées dû à la différence de température, couvrent les ' murs d'une pellicule d'eau .

Bien qu'on chauffe l'espace autour de la table dans la salle à manger, les fauteuils, l'espace autour du téléviseur, les lits, etc., en utilisant le dispositif chauffant, l'air n'est pas chauffé dans les pièces : cette différence de température n'existe pas, et les murs ne " transpirent. " pas .

L'espace de passage entre la chambre à coucher et la salle de bains ( ou autres pièces ), peut être chauffé seulement au moment du passage .

La salle de bains peut être chauffée en quelques - j βcondes à la température désirée, nécessitant le chauffage uniquement pendant son utilisation ( un chauffage rayonné qui n'est pas empêché par les vapeurs d'eau ) .

L'humidité pénétrante, désagréable, en été comme en hiver, propice aux rhumatismes, aux maladies pulmonaires, etc., n ' ' existe plus avec ce dispositif chauffant, ce qui donne la possibilité d'habi - ter une maison humide, inhabitable, une maison avec des plafonds très, hauts, ou même une cave .

Le chauffage à l'aide du dispositif chauffant se ressent en quelques minutes, il devient acqueillant. Il est efficace, ayant une consommation d'énergie qui représente moins de 1/20, même 1/4θ de l'énergie nécessaire pour chauffer une maison entière. En plus il est propre, hygiénique et l'investissement est très peu coûtent .

Cela va de • soi , qu'on peut aussi chauffer

OMP

une pièce ou un appartement entier, un magasin, un hall , etc. Mais dans ce cas l'efficacité du chauffage est due au fait qu'elle chauffe première - ment l'objet à chauffer et puis la chaleur se dissipe dans le milieu environnant. Malgré tout la quantité d'énergie consommée en ce cas, est beaucoup plus grande que le chauffage de l'objet .

Exemple de modalité de chauffage à l'aide du dispositif chauffant : une personne assise devant la table dans la salle à manger .

La personne occupe 0,1 m , c'est à dire, environ 2/1000 du volume de la salle à manger. Un volume beaucoup plus petit que le volume de la pièce. Ce volume chauffé, sans chauffer la pièce, représente certainement une réel r e e'conomie d'énergie . L'ampoule d'un dispositif chauffant, monté en dessous de la partie horizontale de la chaise, rayonne la chaleur sur le tapis. Un autre, monté en dessous de la table, face à la personne, rayonne la chaleur entre le tapis près des chaussures de la personne, jusqu'à sa taille .

Le tapis au dessous de la chaise chauffé par rayonnement, à son tour diffuse par convection la même quantité de chaleur. Cette chaleur diffusée par convection, monte comme la fumée d'une cigarette. En rencontrant la chaise ( spécialement le siège de la chaise ) , la chaleur entoure ι a chaise et la personne d ' une couche d'air chaud .

La chaleur rayonnez vers le tapis sous la table et vers les habits de la personne, les chauffe et ainsi à cause de la différence de tempé_ rature, le tapis et les habits diffusent la • même quantité de chaleur par . convection. Cette chaleur en s'écoulant, chauffe 1 'avant e la personne, et elle embrasse d'une petite couche d'air_/Ta table, ainsi que l a chaise .

Une autre modalité de chauffage est e so_urce rayonnememt directement vers la personne : unè _v_ ?ru dessous de la table, et deux autres placées à

à 120 ° , derrière la personne .

Le chauffage de haut en bas vers le tapis a l'avantage que la chaleur rayonnée qui est concentrée, devienne après la rencontre du tapis, une chaleur 5 diffusée par convection, qui elle n'est p a s concentrée, et elle monte en vagues de plus en plus larges, en entourant la personne .

La température de l'air chaud qui contourne la personne, peut être réglée par la personne, car l a 10 table ainsi que la chaise^ peut être munies d'interrup - teurç, commutateurs- La personne peut régler la tempéra * ture à son aise, parce que les sources de chaleur, peuvent élever la température autour d'elle, entre zéro et plus de 24 °C, au dessus de la température 15 ambiante .

Ainsi on peut chauffer plusieurs personnes, se trouvant à différents endroits dans la maison .

On peut chauffer les lits, en faisant rayonner la chaleur du haut en bas, ou latéralement, par ≥- quatre* sources ( ou plus ), lits conditionnés bien entendu d'un bon matelas .

La source de chaleur du dispositif, d'habitude ne dépasse pas 15 watts, et elle rayonne une chaleur agréable pour les êtres vivants. Une température qui < _5 ressemble à celle du soleil en automne. Une tempe - rature qui ne brûle pas, qui n'endommage pas ni les feuilles d'une plante ni les pétales d'une fleur •*•*- une distancé de **. à 5 cm.

Cette chaleur attrayante, réjouissante, est bien 30 acceptée par les jeunes, les adultes, les vieillards, et spécialement par les enfants et les malades .

Le chauffage du plafond vers le plancher, par les rayons verticales, n'est récommandable, que 5 lorsqu'une personne se trouve dans la position hori - zontale. Physiologiquement , une personne n'aime pas les rayons de chaleur qui tombent verticalement sur le dessus de sa tête. Donc un tel chauffage ne sera utilisé que pour une courte période, par exemple sur les endroits du passage .

fvec l ; 'automne arrivent ι e froid, la pluie, Les rhumatismes et les maladies pulmonaires arrivent aussi .

D'habitude on pense que l'humidité engendre les maladies. Pourtant, en cè-'c ncerne les rhumatismes, c'est une chose constatée : bien qu'à l'équateur l'humidité est très grande, le rhumatisme n'existe pas. La conclusion est très simple : le froid aidé par l'humidité ( peut être }, est le coupable . Le corps d'une personne a besoin pour vivre, pour se déplacer, pour travailler, d'une énergie d'environ 100 kcal/K. Cette énergie est nécessaire pour les combustions qui se produisent dans le corps humain . Une multitude de fonctions, régie le moyen de maintenir une température constante nécessaire à la vie et à la santé. La respiration et spécialement la peau, dirigent le transfert de la chaleur vers 1'extérieur .

Une personne est à son aise, dans l'inter -_> ' valle entre 19 à 26 °G, C'est à dire à ce niveau notre organisme se trouve la température a laquelle ^^5st adapte aux conditions optimales, conditions qui aident le meilleur transfert de la chaleur, sans aucun effort fonctionnel. Néanmoins le corps humain a une étonnante puissance d'adaptation. En plus, pour s'accommoder au milieu environnant l'homme se sert aussi de vêtements : quand il fait froid, c'est à dire au dessous de 19 °C, à cause de la diffe - rence de température, le corps perd une quantité plus grande de chaleur que celle à laquelle l'or ¬ ganisme est adapté et ainsi il ressent le froid . Pour empêcher la perte de chaleur, une personne s'habille plus ou moins chaudement, fonction de la différence de température entre le corps et le milieu environnant.

Malgré tout, les parties proéminentes, les genoux, les coudes, les épaules % sont moins protégés, ainsi que la parce que ιles vêtements, ( V couverture quand la personne est couché e ) , touchent ces parties , pendant

que les autres parties sont protégées en plus par une couche d'air, qui est toujours entre la peau et les vêtements. On peut aussi s'interroger si le rhumatisme n'est pas facilité par cette différence de protection. Ce qui est intéressant à remarquer, est le fait que, la chaleur rayonnée par le dispositif chauffant, touche premièrement les parties proéminentes du corps qui sont aussi les plus facilement pénétrées par la chaleur, n'étant pas doublée p a r une couche d'air ( les parties qui sont moins protégées par les habits ). Donc, le chauffage à l'aide du dispositif chauffant, une source de chaleur qui est un moyen de faire une grande économie d'énergie, a en plus l'avantage qu'il chauffe mieux les parties du corps qui sont desavantagées par la protection du vêtement .

Mais, si le syllogisme que le rhumatisme parmi d'autres est engendré par la humidité associée avec le froid est vrai , alors le chauffage par le rayonnement du dispositif chauffant qui est une source thermique, peut éviter dans une grande mesure le rhumatisme. De surcroit la couche d'air autour d'une personne une fois chauffée, devient toutefois aussi moins humide ( on change l'indice de saturation ), c'est à dire on change le médium de _ respiration cutanée et pulmonaire .

Si le rhumatisme déjà contacté est incurable, il est connu, qu'il y a la possibilité d'améliorer les douleurs, et le chauffage de la partie malade est une de ces possibilités . En ce qui concerne les maladies pulmonaires, la prémisse concernant l'indice de saturation du médium environnant est aussi valable .

Lorsque la température du corps humain entier dépasse 42 °C, cette température est nuisible , car stationnaire, la cellule souffre dé * modifications irréversibles. Mais il y a aussi des cas ou, la la température dépasse 42 °C, et elle n'est pas nuisible . le th é chaud ( ou le café ), avalé

parfois à 60 °C sans faire du mal. Si on plonge la main dans l ' eau qui a 50 °C, la main supporte aisément cette température. Il est possible de tirer la conclusion que, une partie de notre corps n' est pas endommagée par les températures dépassant 42 °C , me"me si ces t empératures sont appliquées à longue durée. Le phénomène a une explication : dans la partie chauffée la circulation sanguine devient plus active. Le sang transport e la chaleur , qui est éparpillée dans la masse du corps . Cette chaleur n ' influence pas la température du corps , et finalement est éliminée par la respiration et la transpiration si la chaleur est importante .

Malgré tout , la partie chauffée conserve une t empérature qui entret enue , dépasse la température normale du corps , même la température de 43 - 44 °C .

Scientifiquement il est constaté , qu' il y a des tumeurs et maladies qui , chauffées au dessus de 42 °C, non seulement ne progressent pas, mais elles sont extirpées par l ' organisme, sans nécessiter une opération chirurgicale .

Appliquant l ' ampoule qui est la source thermique du dispositif chauffant sur une tumeur , utilisant la température qui est supportable par le patient , on peut élever la température localement . L ' ampoule applatie peut avoir toutes l es formes imaginables ( ronde comme une pièce de monnaie , carée , torique , etc . ) . L ' ampoule est prévue avec une face transparent e et l ' autre ' face réfléchissante. La face transparente est dirigée ou appuyé e directement contre la partie malade , ou contre un pansement ou une compresse stérile. En élevant la ' tension, la quantité de cha - leur rayonné e est plus grande et ainsi , la température monte. On peut trouver aisément la tension de sécurité supportable par le patient pour une puissance quel - conque de la résistanc e , plus exactement pour une quantité de chaleur par cm 2 . Cett e quantité de chaleur par cm 2 de surface chauffé . e , qui peut ê -tre î JR

est la m-.rae pour chaque personne, une fois déterminée, l'appli¬ cation du chauffage est simplifiée. Ainsi on peut employer une pile ou un accumulateur qui donne la tension nécessaire sans utiliser un appareil de transformation et sans un interrupteur - commutateur, ou on peut trouver pour une tension quelconαue d'une pile, la résistance et la surface du ballon qui donne la quantité de chaleur par cm 2 , exactement celle qui est néces * _• saire pour la lutte contre la maladie, et qui est aussi tolérée sans aucune difficulté par le patient . Dans le cas ou il existe une différence des possibilités de supporter le chauffage, ( différence d'une personne à l'autre ) , on peut diminuer la température de chauffage en mettant un pansement , deux ... en plus, entre la source chauffante et le patient ( application à l'extérieur d'un organisme ) .

La résistance qui peut employer une infinité de combinaisons , ( métaux avec le carbon et d'autres métalloïdes ), peut aussi utiliser le hydrargyre , dans une ampoule du dispositif chauffant, pour une étape de recherches. Le problème de la résistance étant déjà établi, l'expérience et les récherches vont suivre leurs chemin concernant les maladies .

Un dispositif chauffant qui est alimenté par l'énergie d'une pile, et qui a la source de chaleur attachée dans un pansement ( ou par d'autres moyens ), peut être utilisé pour chauffer une partie du corps 24 heures sur 24, sans déranger le patient, qui peut marcher, travailler, dormir, etc., à son aise .

En ce qui concerne le traitement d'une tumeur ou maladie utilisant la source thermique à l' intérieur du corps, il y a la possibilité d'envisager deux hypothèses qui sont contradictoires .

Lorsoue l'organisme ne peut pas éliminer un élément étranger, par exemple une balle, introduit dans le corps d'une mamifère, il le couvre d'une couche protectrice pour l'isoler. Le même phénomène est aussi possible avec un dispositif chauffant .

Mais, on peut aussi penser que la circulation plus active du sang, pour dissiper la chaleur produite

par la source thermique du dispositif chauffant ( et qui n'est pas normale dans le corps ), peut conduire d'une autre façon le phénomène, parce αue, en essayant de l'isoler, la température monte comme " dans une bo te fermée, isolée thermiquement ( voire la page 7 ) •

Il existe donc l'espérance, que l'organisme en essayant de s'adapter à la situation, est obligé d'éparpiller la chaleur parce qu'il ne peut pas couvrir la source thermique d'une couche isolante, couche qui ne résiste pas en ce cas à la tempéra - ture qui s'élève continuellement. Au contraire il existe la certitude que la pile, ( dans la situa - tion que cette source d'énergie se trouve aussi à l'intérieure du corps . , sera couverte d'une couche protectrice, s'il n'existe pas la possibilité de trouver le matériau accepté par l'organisme, matériau qui peut couvrir la pile .

Ces hypothèses sont la conclusion de la logique. Il est nécessssaire de connaître de quelle façon l'organisme réagit. Une fois la prémisse acceptée, une fenêtre est ouverte dans le monde de la chirurgie. Les laborieux savants et chercheurs ont un chemin qui, on peut espérer, mèneront la lutte plus loin . On a montré quelques applications du dispositif chauffant .

Le domaine d'applications est étendu : dans la vie ménagère, en agriculture, en élevage, en industrie, dans les bureaux, dans les salles d'étude, les salles et les terrains de sport, les salles de spectacles, les églises, etc.

On peut aussi indiquer la possibilité de chauffer avec une dépence modioue les petits espaces fleuris, pour les protéger contre le gel quand la température baisse sous une limite déterminée dans un appartement inhabité. Il est de même pour les tuyaux d'eau, et aussi pour la fluidité des liquides transportées par tuyaux. On peut protéger le béton pendant la prise, contre le gel, même en air libre .

F i__l_- ______ _ r -____i_- AϋE-----.-'if OMPI

On peut sécher le papier et le drap en imprimerie et les peintures en général .

Pour changer la tension d'alimentation de l'ampoule, le dispositif chauffant peut employer aussi un rhéostat, mais l'entrée et la sortie du courant électrique sont situées dans l'intervalle de tensions de sécurité ( par exemple 4 - 20 volts, ) .

La meilleure modalité d'employer un rhe ' ostat, est d'utiliser sur la tension du secteur*, un appareil de transformation qui en secondaire donne la TEC utilisée par le rhéostat, ou directement intermédiaire, lorsque la source d'énergie est une pile ( ou accu - mulateur . .

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Le rhéostat 'l'avantage qu'il a, .concernant le changement de la tension, une grande finesse ; mais le rendement du dispositif chauffant est plus petit, et souvent le rhéostat a une consommation qui dépasse celle du dispositif chauffant .

Par conséquent le rhéostat est utilisé dans les cas particuliers et malgré tout la tension de sécurité reste une obligation, pour éviter l' électrocution .

En ce qui concerne l'avenir, on prévoit de nouvelles construction qui auront des circuits reactualisés pour alimenter en tension de sécurité le dispositif chauffant , et de même de prévoir une automatisation de mettre en fonction et d'arrêt un chauffage .

En ce qui caractérise l'application médicale à l'intérieur comme à l'extérieur du corps, l'alimentation d'une pile sera utilisée couramment .

L'alimentation du dispositif chauffant à l'inté¬ rieur du corps par un drain (. un racord d'énergie extérieur ), sera toujours un problème difficile de hygiène pour le patient, et l'alimentation par une source extetrieure liée au secteur, restreint sa possibilité de mouvement , et d'activité ; quand même sera la première étape .

LA CONCLUSION FINALE :

LES ^UALÏÏE SUIVANTE CARACTERISENT L'ORIGINALITE DU DISPOSITIF CHAUFFANT :

- une très grande économie d'énergie, qui se traduit par une importante économie d'argent, un investissement dérisoire, un moyen de chauffage commode, simple, peu encombrant,

- système robuste qui est conçu pour un grand nombre d'heures de fonctionnement ( plus de 30 ans ), chaque dispositif a une large gamme de puissance, entre zéro et la puissance nominale de fabrication de la résistance de l'ampoule qui est la source thermique du dispositif, - la possibilité de changer facilement la puissance de chauffage, c'est à dire la température de la chaleur dégagée,

- le changement de la température se ressent en • quelques secondes, - la chaleur dégagée qui a une basse température de chauffage, n'endommage pas les meubles, la lingerie, les fleurs, etc.,

- un moyen de prévenir et d'améliorer certaines maladies et même de guérir quelquesunes des tumeurs et maladies,

- il n'y a pas de danger d'incendie.- causé par le dispositif chauffant, fabriqué respectant les exigences technologiques déterminées concernant la mise en oeuvre et l' exploatation, - il n'y a AUCUN DANGER ù- __LECTR0CUïI0N ' pour i_' usager du DISPOSITIF CHAUFFANT, parce que il UTILISE seulement une TENSION DE SECURITE .