Login| Sign Up| Help| Contact|

Patent Searching and Data


Title:
HYDROKINETIC COUPLING APPARATUS WITH LOCKING CLUTCH FOR MOTOR VEHICLE
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/1999/001682
Kind Code:
A1
Abstract:
The invention concerns a piston (20) mounted axially movable along a guide bearing (59) pertaining to a hub (5) rim (52); a ring (21) being inserted between the hub (5) and a transverse wall, the hub (5) has a sleeve (50) penetrating inside the ring (21).

Inventors:
THEVENON LUC (FR)
Application Number:
PCT/FR1998/001280
Publication Date:
January 14, 1999
Filing Date:
June 17, 1998
Export Citation:
Click for automatic bibliography generation   Help
Assignee:
VALEO (FR)
THEVENON LUC (FR)
International Classes:
F16H45/02; (IPC1-7): F16H45/02
Domestic Patent References:
WO1993013338A11993-07-08
Foreign References:
DE4121586A11993-01-07
EP0232622A11987-08-19
DE4433256A11995-05-04
FR2726620A11996-05-10
Attorney, Agent or Firm:
Gamonal, Didier (Propriété Industrielle 2, rue André Boull, Boîte postale 150 Créteil, FR)
Download PDF:
Claims:
REVENDICATIONS
1. 1) Appareil d'accouplement hydrocinétique, comportant un élément d'entrée (10), en forme de carter, propre à tre solidarisé en rotation à un arbre menant et doté d'une paroi transversale (11) axialement fixe, un élément de sortie (5) en forme de moyeu, un centreur (21) présentant centralement un trou borgne (120) et solidaire de la paroi transversale (11) en étant intercalé axialement entre celleci et le moyeu (5), un piston (20) monté à sa périphérie interne mobile axialement par rapport à la paroi transversale (11) en étant liée en rotation à celleci, au moins une garniture de frottement (22) propre à tre serrée de manière débrayable entre la périphérie externe du piston (20) et la paroi transversale (11), et des moyens pour solidariser la garniture de friction (22) au moyeu (5), caractérisé en ce que le moyeu (5) présentant une douille (50) cannelée intérieurement pour liaison en rotation du moyeu (5) avec un arbre mené (201), ladite douille (50) pénètre à l'intérieur du trou borgne (120) du centreur (21), en ce que le moyeu (5) présente, parallèlement à sa douille (50) et radialement audessus de celleci, un rebord annulaire d'orientation axiale (52) dont la périphérie externe constitue une portée de guidage (59) pour le piston (20), et en ce qu'un joint d'étanchéité (56) intervient entre le rebord (52) et le piston (20).
2. Appareil selon la revendication 1, caractérisé en ce que le rebord (52) est plus court axialement que la douille (50) et définit avec celleci une gorge (53).
3. Appareil selon la revendication 2, caractérisé en ce que le centreur (21) pénètre dans la gorge (53) par une extrémité arrière (123) de diamètre réduit appartenant à une portion arrière (122) du centreur (21).
4. Appareil selon la revendication 3, caractérisé en ce que la portée de guidage (59) du rebord (52) du moyeu (5) est globalement axialement aligné avec la périphérie externe de plus grand diamètre du centreur (21).
5. Appareil selon la revendication 4, caractérisé en ce qu'un jeu existe entre la périphérie externe de la portion arrière (122) du centreur (21) pénétrant dans la gorge (53) et la périphérie interne du rebord (52).
6. Appareil selon la revendication 5, caractérisé en ce qu'un jeu axial existe entre l'extrémité libre du rebord (52) et l'épaulement (124) formé par le changement de diamètre que présente la portion arrière (122) pour sa pénétration à l'intérieur de la gorge (53).
7. Appareil selon la revendication 3, caractérisé en ce qu'une butée axiale (55) est montée dans le fond de la gorge (53) pour coopération avec la face arrière du centreur (21).
8. Appareil selon la revendication 3, caractérisé en ce qu'un palier (54) intervient entre la périphérie externe de la douille (50) et la périphérie interne du centreur (21).
9. Appareil selon la revendication 2, caractérisé en ce que le rebord (52) appartient à un flasque (51) d'orientation transversale solidaire de la douille (50) et formant le fond de la gorge (53).
10. Appareil selon la revendication 9, caractérisé en ce que le flasque (51) présente une rainure (57) pour logement d'une butée axiale (58) destinée à coopérer avec la face arrière d'une virole (128) que présente le piston (20) à sa périphérie interne pour son coulissement le long de la portée de guidage (59).
11. Appareil d'accouplement hydrocintique selon la revendication 1, caractérisé que ce que deux garnitures de friction (22) sont disposées de part et d'autre d'un disque d'entraînement (24) solidaire en rotation du moyeu (5) et en ce que lesdites garnitures sont propres à tre serrées entre le piston (20) et la paroi transversale (11).
12. Appareil selon la revendication 11, caractérisé en ce que les garnitures de friction (22) sont solidaires du disque d'entraînement (24) lié en rotation au moyeu (5) par l'intermédiaire d'un amortisseur de torsion (3), en ce que l'amortisseur de torsion comporte deux rondelles de guidage (60,61) de forme symétrique disposées de part et d'autre d'un voile (8) solidaire à sa périphérie interne du moyeu (5) et en ce que le disque d'entraînement (24) est lié en rotation aux rondelles de guidage (60,61) par une liaison du type tenons mortaises (4).
13. Appareil selon la revendication 1, caractérisé en ce que le piston (20) est lié en rotation à la paroi transversale (11) par des languettes élastiques (26) fixées à l'une de leurs extrémités à la paroi transversale et à leur autre extrémité au piston (20), et en ce que l'une des pièces piston (20)paroi transversale (11) présente des trous (29,229) obturés par des bouchons (129,339) pour fixation des languettes (26).
Description:
Appareil d'accouplement hydrocintique à embrayage de verrouillage, pour véhicule automobile La présente invention concerne les appareils d'accouplement hydrocinétique, notamment pour véhicules automobiles, équipés d'un embrayage de verrouillage, communément appelé « lock-up », pour solidariser mécaniquement en rotation leur roue de turbine à leur roue d'impulseur tel que décrit par exemple dans le document FR-A-2 726 620.

Dans ce document, l'appareil d'accouplement hydrocinétique comporte à l'intérieur d'un carter étanche, rempli d'huile, un convertisseur de couple comportant une roue de turbine et une roue d'impulseur, et un embrayage de verrouillage.

Le carter comporte une première demi-coquille dotée d'une paroi transversale fixe axialement par l'intermédiaire de laquelle il est relié à un arbre menant. La roue de turbine est liée à un moyeu cannelé intérieurement pour sa liaison en rotation à un arbre mené.

La première demi-coquille, et donc le carter, forme l'élément d'entrée de l'appareil d'accouplement hydrocintique rotatif en fonctionnement, tandis que le moyeu forme l'élément de sortie dudit appareil.

S'agissant d'une application pour véhicule automobile, l'arbre menant est constitué par le vilebrequin du moteur du véhicule, tandis que l'arbre mené est constitué par l'arbre d'entrée de la boite de transmission.

L'embrayage de verrouillage comporte au moins une garniture de frottement qui, solidaire en rotation de la roue de turbine et du moyeu, soit directement, soit indirectement par l'intermédiaire d'un amortisseur de torsion, est disposée axialement entre, d'une part, ladite paroi transversale fixe par rapport à la roue d'impulseur et, d'autre part, un piston qui est monté mobile axialement par rapport à la paroi transversale formant contre- piston. Ce piston est lié en rotation à la paroi transversale, le

plus souvent par des languettes élastiques sensiblement allongées tangentiellement à une circonférence de l'ensemble.

Ces languettes sont montées à l'intérieur d'une chambre de commande à volume variable délimitée, d'une part, radialement extérieurement par la garniture de friction et radialement intérieurement par un centreur de forme cylindrique adjacent à la paroi transversale et, d'autre part, axialement par le piston et la paroi transversale.

Le centreur est constitué par une bague qui présente centralement un trou borgne et des passages pour relier la chambre de commande au trou borgne en communication avec l'arbre mené doté d'un canal d'alimentation.

La bague est intercalée axialement entre le moyeu et la paroi transversale.

Cette bague forme une portée de guidage pour le piston et est fixée par soudage ou emmanchement à force, ou sertissage, sur la paroi transversale.

Il en résulte que la disposition est encombrante axialement.

La présente invention a pour objet de pallier cet inconvénient, de manière simple et économique.

Suivant l'invention, un embrayage de verrouillage du type susindiqu est caractérisé en ce que le moyeu présentant une douille cannelée intérieurement, pour liaison en rotation du moyeu avec l'arbre mené, ladite douille pénètre à l'intérieur du trou borgne du centreur, en ce que le moyeu présente, parallèlement à sa douille et radialement au-delà de celle-ci, un rebord annulaire d'orientation axiale dont la périphérie externe constitue une portée de guidage par le piston, et en ce qu'un joint d'étanchéité intervient entre ledit rebord et le piston.

Grâce à l'invention on réduit l'encombrement axial et on économise un joint d'étanchéité.

En effet, on aurait pu créer la portée de guidage sur le centreur dit ci-après bague, mais dans ce cas il aurait fallu prévoir un joint au niveau de la portée de guidage et un autre

joint au niveau du moyeu pour éviter, lorsque l'embrayage de verrouillage est engagé, que de l'huile passe entre le moyeu et la bague.

Ici, avec un seul joint on a une étanchéité parfaite, aussi bien lorsque l'embrayage de verrouillage est engagé ou désengagé.

Suivant une autre caractéristique, une gorge annulaire étant formée entre le rebord et la douille, la bague pénètre à l'intérieur de la gorge.

Ainsi le moyeu et la bague sont imbriqués, en sorte que l'on réduit l'encombrement axial.

La portée de guidage du moyeu est globalement axialement alignée avec la périphérie externe de la bague. Un palier d'orientation axial est logé dans la gorge et intervient entre la périphérie interne de la bague et la périphérie externe de la douille pour centrage du moyeu. Dans une forme de réalisation, le palier est solidaire de la bague. Un jeu radial existe entre la bague et la périphérie interne du rebord du moyeu.

Une butée axiale est montée dans la gorge, entre le fond de la gorge et l'extrémité arrière de la bague.

Cette disposition facilite un mouvement de rotation du moyeu par rapport à la bague.

Le piston présente, à sa périphérie interne, une virole dirigée axialement en direction du moyeu.

Un jeu axial existe entre l'extrémité libre du rebord du moyeu et la bague.

Ainsi les frottements entre la bague et le moyeu son minimisés, ce qui permet l'obtention d'un bon fonctionnement, le moyeu étant en contact avec la bague au niveau de la butée axiale et du palier.

Le moyeu présente une rainure servant à loger une autre butée axiale pour minimiser les frottements entre l'extrémité libre de la virole du piston et le moyeu.

La bague forme ainsi un centreur pour le moyeu et, en mme temps, permet une alimentation de la chambre de commande délimitée

par le piston et la paroi transversale, ladite bague comportant, de manière connue, des passages pour communication de la chambre avec l'intérieur de la bague (le trou borgne de celle-ci) alimentée en fluide par l'intermédiaire de l'arbre mené.

La douille du moyeu peut venir au plus près des passages adjacents à la paroi transversale.

Ainsi la douille peut avoir une grande longueur axiale, ce qui permet un bon coulissement du moyeu le long de l'arbre mené.

Le moyeu comporte un flasque à son extrémité arrière la plus éloignée de la paroi transversale.

Le rebord du moyeu est issu de ce flasque qui ferme la gorge à l'intérieur de laquelle pénètre la bague.

Le rebord est plus court axialement que la douille pour permettre à la bague d'alimenter, via ses passages, ladite chambre de commande.

Le flasque peut comporter, à sa périphérie externe, un lamage pour fixation de la roue de turbine et de l'élément de sortie de l'amortisseur de torsion associé à l'embrayage de verrouillage.

Le moyeu a ainsi une forme de peigne annulaire avec trois dents annulaires de longueur axiale différente, une dent délimitant le lamage, l'autre formant le rebord et la dernière douille.

Tout ceci permet de réduire au maximum l'encombrement axial au centre de l'appareil hydrocinétique tout en ayant une bonne étanchéité et une bonne alimentation de la chambre de commande.

On appréciera que la bague est simplement usinée pour pouvoir pénétrer dans la gorge.

La description qui va suivre illustre l'invention en regard des dessins annexés dans lesquels : -la figure 1 est une demi-vue partielle en coupe axiale de 1'appareil d'accouplement hydrocinétique montrant l'embrayage de verrouillage selon l'invention ;

-la figure 2 est une vue à plus grande échelle de la partie basse de la figure 1 avec représentation des composants du convertisseur de couple ; -la figure 3 est une vue partielle de face de la rondelle de guidage à pattes de l'amortisseur de torsion appartenant à l'embrayage de verrouillage ; -la figure 4 est une vue partielle en coupe axiale montrant, à grande échelle, un des bouchons d'obturation de la paroi transversale ; -les figures 5 et 6 sont des vues analogues aux figures 1 et 3 pour un second exemple de réalisation ; -la figure 7 est une vue analogue à la figure 1 pour un troisième exemple de réalisation ; -la figure 8 est une vue partielle analogue à la figure 1 pour un quatrième exemple de réalisation.

L'appareil d'accouplement hydrocinétique représenté dans les figures est rotatif autour d'un axe de symétrie axial X-X et comporte, à l'intérieur d'un carter étanche 10 rempli d'huile, un convertisseur de couple 1 et un embrayage de verrouillage 2 doté d'un amortisseur de torsion 3.

Cet appareil est destiné à équiper un véhicule automobile à moteur à combustion interne.

Ainsi qu'on le sait, le convertisseur de couple 1 comporte une roue d'impulseur 100 à aubes, une roue de turbine 101 à aubes, une roue de réaction 102 et une roue libre 103 associée à la roue de réaction 102. Tous ces éléments sont visibles partiellement à la figure 2.

Le carter 10 comporte une première demi-coquille 12 et une deuxième demi-coquille 16 et forme l'élément d'entrée de l'appareil d'accouplement hydrocintique par l'intermédiaire de sa première demi-coquille 12.

La première demi-coquille 12 présente une paroi 11 globalement d'orientation transversale prolongée à sa périphérie externe par un rebord 13 cylindrique et d'orientation axiale.

La paroi transversale 11 porte des vis 112 (figure 1) pour sa liaison à un flasque 113 (figure 2) solidaire d'un arbre menant 200, ici le vilebrequin du moteur du véhicule.

Les aubes de la roue d'impulseur 100 sont issues de la face interne de la deuxième demi-coquille 16 rapportée ici par soudage sur l'extrémité libre du rebord 13.

Pour plus de précisions on se reportera au document FR-A-2 695 975, la fixation des demi-coquilles n'étant pas représentée ici par simplicité.

Les aubes de la roue de turbine 101 sont en vis-à-vis des aubes de la roue d'impulseur 100.

La roue de turbine 101 est solidaire à sa périphérie interne, par l'intermédiaire de pattes 104, d'un moyeu 5 formant l'élément de sortie de l'appareil d'accouplement hydrocintique.

Ce moyeu 5 présente centralement une douille 50 cannelée intérieurement pour sa liaison en rotation à un arbre mené 201, ici l'arbre d'entrée de la boîte de transmission du véhicule.

Ainsi qu'on le sait, au démarrage de véhicule la roue d'impulseur 100 entraîne la route de turbine 101 grâce à la circulation d'huile entre les aubes des roues de turbine 101 et d'impulseur 100.

Durant cette phase, l'embrayage de verrouillage 2 est désengagé ou dépointé, en sorte que la couple est transmis du vilebrequin à la première demi-coquille 12 puis au moyeu 5 et à l'arbre mené via le convertisseur de couple 1.

Ensuite, pour éviter tout glissement entre les roues de turbine 101 et d'impulseur 100, on engage (on ponte) l'embrayage de verrouillage 2, en sorte que le couple est transmis du vilebrequin à la première demi-coquille 12 puis au moyeu 5 et à l'arbre mené via l'embrayage de verrouillage 2, dont l'amortisseur de torsion 3 est lié au moyeu 5 et amortit les vibrations engendrées par le moteur du véhicule.

Pour ce faire, l'embrayage de verrouillage 2 comporte ici un piston 20, globalement d'orientation transversale, monté mobile axialement de manière étanche le long d'une portée de guidage 59 d'orientation axiale, de manière décrite ci-après.

L'embrayage 2 comporte également deux garnitures de friction 22 disposées de part et d'autre d'un disque d'entraînement 24.

Les garnitures 22 et le disque 24 sont implantés axialement entre le piston 20 et la paroi transversale 11 formant contre- piston. Cette paroi 11 est fixe axialement.

Une chambre de commande 23 à volume variable est délimitée, d'une part, latéralement (axialement) par le piston 20 et la paroi 11 et, d'autre part, radialement intérieurement par un centreur 21, ici de forme cylindrique, et radialement extérieurement par les garnitures 22 et le disque 24.

Le centreur 21 est solidaire de la partie centrale de la paroi 11, de manière décrite ci-après, et est doté centralement d'un trou borgne 120 propre à tre alimenté en fluide à pâtir de l'arbre mené, faisant saillie axialement par rapport à la deuxième demi-coquille 16.

Pour ce faire, l'arbre mené (représenté en pointillés en 201 à la figure 2) présente centralement un canal d'alimentation, tandis que le centreur 21 présente des passages 221 pour communication de son trou borgne 120 avec la chambre de commande 23.

Une chambre principale existe du côté du piston 20 tourné à l'opposé de la paroi transversale 11 et de la chambre 23.

Le centreur 21 est implanté axialement entre le moyeu 5 et la paroi 11, c'est-à-dire entre les éléments de sortie et d'entrée de l'appareil d'accouplement hydrocinétique.

Par simplicité, ce centreur sera dénommé ci-après bague, car il est globalement en forme de bague étagée et usinée à l'arrière, de manière décrite ci-après.

En faisant varier la pression de part et d'autre du piston 20, par exemple en faisant varier la pression dans la chambre 23,

on autorise le piston 20 à se déplacer axialement par rapport à la paroi 11 fixe axialement, soit pour serrer les garnitures de friction 22 et le disque 24 entre le piston 20 et la paroi 11, soit pour desserrer les garnitures 22 et le disque 24.

Dans le premier cas, l'embrayage de verrouillage est engagé ou ponté à la fin du déplacement axial du piston 20 en direction de la paroi 11.

Dans le second cas, le piston 20 se déplace en direction opposée à la paroi 11 pour désengager ou déponter l'embrayage.

Ici les garnitures de friction 22 sont solidaires du disque 24 en étant par exemple collées ou brasées sur les faces du disque 24 de part et d'autre de celui-ci.

En variante, les garnitures sont solidaires du piston 20 et de la paroi transversale 11.

Ainsi le piston offre, à sa périphérie externe, une face de friction pour la garniture adjacente 22 ou forme une face de fixation pour ladite garniture.

Bien entendu une pièce intermédiaire peut tre fixée sur la paroi 11 pour constituer une face de friction pour la garniture 22 concernée.

Le disque 24 s'étend radialement au-dessus du piston 20 pour tre relié par une liaison du type tenons-mortaises 4 à l'amortisseur de torsion 3 plus épais à sa périphérie externe au voisinage du rebord 13.

L'amortisseur de torsion 3 comporte deux parties coaxiales 7,8 montées mobiles angulairement l'une par rapport à l'autre à l'encontre des moyens élastiques à action circonférentielle 6, ici sous forme de ressorts à boudin.

L'une des parties, dite partie d'entrée 7, comporte deux rondelles de guidage 60,61 disposées de part et d'autre de l'autre partie 8 sous forme d'un voile solidaire à sa périphérie interne du moyeu 5.

La partie d'entrée 7 est liée en rotation au disque d'entraînement 24 par la liaison du type tenons-mortaises 4 autorisant un mouvement axial du disque 24.

Ainsi la partie d'entrée 7 est liée de manière dbrayable à la paroi transversale 11 appartenant à l'élément d'entrée de l'appareil d'accouplement hydrocintique, tandis que la partie de sortie 8 est liée l'élément de sortie 5 dudit appareil.

L'amortisseur 3 est implanté axialement entre la roue de turbine 101 et le piston 20.

Le moyeu 5 présente, d'un seul tenant avec la douille 50, à son extrémité arrière, la plus éloignée de la paroi transversale 11, un flasque 51 d'orientation transversale moins épais à sa périphérie externe pour formation d'un lamage délimitant un épaulement d'orientation axiale, non référencé, permettant de centrer le voile 8 et les pattes 104 de la roue de turbine 101.

Des rivets 105 permettent de lier les pattes 104 et le voile 8 au flasque 51 et donc au moyeu. Le voile 8 et les pattes 104 sont disposés accolés d'un mme côté du flasque 51, les pattes 104 étant en contact avec le flasque 51.

En variante, les pattes 104 et le voile 8 sont disposés de part et d'autre du flasque 51.

La fixation des pattes 104 et du voile 8 peut tre alors réalisée par soudage.

La bague 21 est étagée en diamètre et est fixée, de manière connue, par soudage à un manchon 16, dirigé vers l'extérieur en direction opposée au piston 20, que présente centralement la paroi transversale 11.

Ainsi la bague 21 présente, d'une part, une portion avant 121 de plus petit diamètre formant centreur et fixée par soudage au manchon 16 et, d'autre part, une portion arrière 122 de plus grand diamètre dans laquelle sont réalisés les passages 221 de communication entre la chambre 23 et le trou central borgne 120 de la bague 21. La bague 21 par sa portion avant 121 étagée est

emmanchée dans le manchon 16 en étant soudée à l'extrémité libre de celui-ci par un cordon de soudure.

La bague 21 est donc centrée par la paroi transversale 11, l'épaulement formé par le changement de diamètre entre les portions 121,122 étant en appui contre la face interne de la paroi 11 tournée vers le piston 20.

Suivant une caractéristique, le moyeu 5, dirigé axialement vers la paroi 11, pénètre par sa douille 50 dans le trou borgne 120 de la bague 21 pour réduction de l'encombrement axial au centre de l'appareil d'accouplement hydrocintique entre la roue de réaction 102 et la paroi transversale 11. La douille 50 s'étend axialement jusqu'aux passages 221 pour une pas obturer ceux-ci et pour augmenter au maximum sa longueur, ce qui favorise son coulissement le long de l'arbre mené 201.

Le moyeu 5 présente un rebord annulaire d'orientation axiale 52 issu d'un seul tenant du flasque 51 et dirigé axialement vers la paroi 11. Ce rebord 52 s'étend donc parallèlement au moyeu 5 à la douille 50. Il s'étend radialement au-delà de la douille 50.

Le rebord 52 est plus court axialement que la douille 50 et définit avec celle-ci une gorge 53 annulaire avec un fond formé par le flasque 51.

La bague 21 pénètre dans la gorge 53 par son extrémité arrière 123 appartenant à la portion arrière 122. Les pièces 21 et 5 sont donc imbriquées.

Un palier 54 est interposé radialement entre la périphérie interne de la portion arrière 122 pénétrant dans la gorge 53 et la périphérie externe du moyeu 5 pour centrage du moyeu 5 par rapport à la bague 21. Ici le palier est solidaire de la bague 21 et constitue un palier pilote.

Une butée axiale 55, ici un roulement à aiguille, intervient entre le fond d'orientation transversale de la gorge 53 et la face arrière de la bague 21. Pour ce faire, le flasque 51 est creusé localement pour recevoir la butée 55.

Un jeu radial existe entre la périphérie externe de la portion arrière 122 de la bague 21 et la périphérie interne du rebord 52, la bague étant de diamètre réduit à cet endroit pour pouvoir pénétrer dans la gorge 53.

Un jeu axial existe également entre l'extrémité libre du rebord 52 et l'épaulement 124 formé par le changement de diamètre que présente la portion arrière 122 pour que celle-ci puisse pénétrer à l'intérieur de la gorge annulaire 53.

Il en résulte que la périphérie externe du rebord 52 a globalement le mme diamètre que la périphérie externe de plus grand diamètre de la portion arrière 122, en étant axialement aligné avec celle-ci.

Les passages 221 affectent la partie de plus grand diamètre de la portion 122 et sont adjacents en partie à la paroi 11.

Les passages 221 sont formés par des perçages débouchant dans le trou 120 et prolongée vers l'extérieur par des rainures radiales affectant la face de la portion arrière 122 en contact avec la paroi 11.

Le piston 20 est ici monté coulissant le long d'une portée de guidage 59 constituée par la périphérie externe du rebord 52, doté d'une gorge (non référencée) au voisinage de son extrémité libre pour montage d'un joint d'étanchéité 56. Ce joint est un joint du type dynamique car un mouvement relatif de rotation peut se produire entre le piston 20, solidaire en rotation de la paroi 11, et le moyeu 5 solidaire de la roue de turbine 101.

Pour son coulissement le long de la portée de guidage 59, le piston 20 présente, à sa périphérie interne, une virole 128 d'orientation axiale dirigée vers le flasque 51, qui présente une rainure 57 pour logement d'une butée axiale 58 destinée à coopérer avec la face arrière de la virole 128 pour réduire les frottements. Le lamage et la rainure délimitent un autre rebord (non référencé) parallèle aux rebords 51 et à la douille 50 et étant plus court axialement que ceux-ci. Le moyeu 5 a ainsi une

forme de peigne à dents annulaires de longueur différente et croissante.

En variante, la virole 128 peut porter le joint 56 à la faveur d'une gorge.

Lorsque l'embrayage de verrouillage 2 est ponté le liquide (1'huile) ne peut pénétrer dans la chambre 23 car les garnitures 22 sont serrées et le joint 56 empche toute pénétration. La roue de turbine 101 est alors mécaniquement solidarisée à la roue d'impulseur 100.

Lorsque 1'embrayage est dépont le liquide ne peut s'écouler vers le flasque 51 à cause du joint 56.

Bien entendu, la portion arrière 122 présente un épaulement 125 à sa périphérie interne, formé à la faveur d'un changement de diamètre, pour coopérer avec la face avant du palier 54 monté dans la gorge 53.

La périphérie externe de la douille 50 est en contact intime de centrage avec la périphérie interne du palier 54 solidaire ici de la bague 21 différente de celle d'une bague de l'art antérieur par l'usinage de sa portion arrière.

Le piston 20 est lié en rotation à la paroi transversale par des languettes tangentielles 26 autorisant un mouvement axiale du piston le long du rebord 52 et de sa portée 59.

Les languettes tangentielles 26, montées dans la chambre 23, interviennent entre la paroi 11 et le piston 20. Les languettes 26 sont solidaires d'une pièce d'entraînement 27 fixée sur la paroi 11. Cette pièce 27 peut tre prolongée radialement pour offrir une force de friction à la garniture 22 concernée.

Un tel mode d'assemblage est décrit dans le document FR-A-2 726 620.

Ainsi les languettes 26, montées ici de manière superposée dont le nombre dépend des applications, sont fixées par rivetage à l'une de leurs extrémités à la pièce d'entraînement 27 elle-mme fixée par rivetage sur la paroi 11, à l'aide de rivets 228, issues par extrusion de la paroi 11.

Pour ce faire, la pièce d'entraînement présente localement des parties décalées axialement en direction du piston 20 pour la fixation des languettes. Ces parties sont en forme d'oreilles 227.

En variante, la fixation de la pièce d'entraînement 27 à la paroi 11 est réalisée par soudage ou collage.

En variante, la fixation des languettes 26 est réalisée directement sur des bossages issus de la paroi 11 et dotés d'extrusions pour rivetage des languettes 26.

Bien entendu, les languettes 26 peuvent tre d'un seul tenant avec la pièce d'entraînement.

Pour plus de précisions, on se reportera à la demande FR-A-2 726 620.

Les languettes 26 sont fixées à l'autre extrémité à l'aide de rivets 28 au piston 20.

Ceci est réalisé grâce à des trous 29, ici épaulés, que présente la paroi 11 en coincidence axiale avec les rivets 28.

Ceci permet d'éviter la mise en oeuvre de moyens de fixation en deux parties, comme décrit dans le document FR-A-2 726 620.

Ainsi, comme dans ce document, on fixe d'abord les languettes 26, soit directement à la paroi 11, soit l'ensemble pièce d'entraînement 27-languette 26 à la paroi 11.

Ensuite, après avoir mis en place le disque 24, équipé des deux garnitures de friction 22, entre la paroi 11 et le piston 20, on fixe par rivetage, à l'aide des rivets 28, les languettes au piston 20 en introduisant un outil dans chaque trou 29 pour déformer la tte du rivet 28, un contre-outil agissant de l'autre côté du piston 20 pour former un appui au pied du rivet 28. De préférence on utilise un centreur amovible engagé dans le manchon 16 pour centrer la virole 128 du piston 20 lors de l'opération de fixation des languettes 26 au piston 20, puis on retire ce centreur et on fixe la bague 21 à la paroi 11.

Bien entendu, la fixation des languettes 26 sur le piston est réalisée sur des emboutis 290 saillant axialement en direction de la paroi 11, que présente le piston 20 radialement entre ses

périphéries interne et externe ; la périphérie interne du piston 20 étant décalée axialement en direction opposée à la paroi 11 par rapport à sa périphérie externe formant face de friction pour la garniture 22 concernée.

Pour ce faire, le piston 20 présente une portion inclinée entre ses périphéries externe et interne. C'est dans cette portion inclinée que sont formés les emboutis 290.

Le nombre des languettes 26 et donc des bossages 290 dépend des applications.

Bien entendu, après on ferme les trous à l'aide de bouchons étanches 129. Ici les bouchons 129 sont épaulés et fixés par soudage, en variante par vissage ou collage, à la paroi 11.

On notera que le flasque 113 (figure 2), fixé par les vis 112 à la paroi 11, présente des trous (non référencés) en coïncidence axiale avec les trous 29 pour passage de l'outil et du bouchon 129.

Bien entendu on peut inverser les structures, comme visible à la figure 7.

Ainsi on fixe d'abord les languettes au piston à l'aide des rivets 28, puis après on fixe les languettes 26 ou la pièce d'entraînement 27 sur laquelle sont préalablement fixées les languettes 26, à la paroi 11, le piston 20 présentant des trous 229 en coincidence axiale avec, par exemple, des rivets de fixation 228 issues par extrusion de la paroi 11. Ces trous permettent le passage d'un outil pour écraser les rivets. Ensuite on bouche les trous à l'aide d'un bouchon 339.

L'amortisseur de torsion 3 présente, suivant une caractéristique, deux rondelles de guidage 60,61 de forme symétrique pour réduction des coûts.

Les deux rondelles de guidage 60,61 sont symétriques (globalement identiques), abstraction faite des pattes d'entraînement 161 que présente la rondelle de guidage 61, dite première rondelle de guidage, la plus proche du piston 20.

L'autre rondelle de guidage 60, dite deuxième rondelle de guidage, est adjacente à la roue de turbine 101.

Les rondelles de guidage 60,61 sont obtenues avec le mme outillage. Une opération supplémentaire est effectuée sur la première rondelle de guidage 61 pour l'obtention des pattes 161 obtenues par découpe et pliage.

Les pattes 161 sont d'orientation axiale et s'engagent dans des encoches non référencées, ouvertes radialement vers l'extérieur, et formées à la périphérie externe 240 du disque 24.

Cette périphérie externe 240 est décalée axialement par rapport à sa partie principale plane du disque 24 sur laquelle sont fixées les garnitures de friction 22.

Le décalage axial de la périphérie externe est réalisée en direction de la première rondelle de guidage 61 pour réduire la longueur axiale des pattes 161 décalées radialement vers l'intérieur par rapport à la périphérie externe des rondelles de guidage 60,61.

Ces rondelles de guidage 60,61 sont implantées à la périphérie externe de la roue de turbine 101 et de la paroi 11. La périphérie externe des rondelles 60,61 s'étend au voisinage du rebord 13 de la première demi-coquille 12.

Ainsi les ressorts 6 peuvent s'étendre en majeure partie radialement au dessus du piston 20 et venir au plus près du rebord 13. L'amortisseur de torsion 3 peut autoriser de grands débattements angulaires relatifs entre sa partie d'entrée 7 et sa partie de sortie 8, fixé à sa périphérie interne au flasque 51 du moyeu 5, ici par rivetage, de manière précitée.

La partie de sortie 8, formant voile, a une forme galbée pour épouser la forme de la roue de turbine 101, en sorte que la périphérie interne du voile 8 est décalée axialement en direction du flasque 51 par rapport à sa périphérie externe s'étendant parallèlement à ladite périphérie interne.

La périphérie externe du voile 8 est formée de pattes 18 formant des pattes d'appui pour les extrémités des ressorts à

boudin 6. Les ressorts 6 s'étendent entre deux pattes consécutives et ont une grande longueur circonférentielle.

En regard des pattes 18, les rondelles de guidage 60,61 présentent, en vis-à-vis, des emboutis 118 pour appui des extrémités circonférentielles des ressorts 6.

Les rondelles de guidage 60,61 sont reliées ensemble à leur périphérie interne à l'aide de pattes 62 issues des rondelles et engagées entre deux pattes 18. Les pattes 62 s'étendent à la périphérie externe du voile 8.

Entre les emboutis 118, les rondelles 60,61 ont une forme galbée et sont affrontées au niveau de leurs bords externes libres. Ces rondelles sont fixées entre elles à l'aide de points de soudure effectués au niveau des emboutis 118 et des pattes 62, ici accolées.

Les emboutis 118 sont également accolés (figure 1) et c'est dans cette zone qu'est réalisée la fixation par soudage.

On notera que les pattes 161, formant pattes de liaison en rotation, sont issues de fentres 163 réalisées dans les parties galbées des rondelles de guidage 60,61 épousant la forme des ressorts à boudin 6 schématisés en pointillés à la figure 3. Les ressorts 6 sont donc retenus axialement et radialement par les rondelles de guidage 60,61. Ces rondelles 60,61, une fois assemblées, enveloppent extérieurement les ressorts 6 et ont un contour circulaire 63 s'étendant sur plus de 180° et prolongé à chacune de ses extrémités par une partie inclinée 64. Les parties inclinées sont convergentes et c'est dans celles-ci que sont réalisées les pattes 62.

Bien entendu les rondelles 60,61 sont en tôle emboutie.

Il en est de mme de la paroi 11 et du piston 20. Les parties inclinées 64 permettent de réduire progressivement l'encombrement axial. Ce profil permet à la rondelle de guidage 60 de venir au plus près de la roue turbine 101.

Bien entendu, figures 5 et 6, on peut profiter des parties inclinées 64 pour ménager, en vis-à-vis dans celles-ci, des

fentres 263 et loger, radialement en dessous des ressorts 6, une deuxième série de ressorts 160, logés radialement au-dessus de la périphérie externe du voile 8 et circonférentiellement entre deux pattes 18. Les ressorts 160 sont des ressorts de fin de course, les pattes 18 venant comprimer lesdits ressorts à boudin à la fin du débattement angulaire relatif entre les parties 7 et 8.

Ces parties inclinées peuvent tre embouties localement en 165 pour formation de zones d'appui pour des entretoises, par exemple des colonnettes 262 reliant entre elles les rondelles de guidage 60,61 et remplaçant les pattes 62 de la figure 2.

A la figure 7 on retrouve la mme configuration, la différence portant sur les trous 229, non épaulés, et des bouchons 339 affectant de manière précitée le piston 20 pour les fixations des languettes. Ainsi on peut combiner entre elles les différentes figures.

A la figure 8 on a remplacé la fixation des pattes 62 de la figures 3 par la fixation des colonnettes 262 de la figure 5, une seule rangée de ressorts étant prévue.

Dans ce cas, les rondelles de guidage 60,61 sont identiques, donc symétriques, et les pattes 161 appartiennent à une rondelle 362 fixée aux rondelles de guidage 60,61 par les colonnettes 262, la rondelle 362 étant de forme tronconique et emboutie localement pour l'appui des colonnettes 262.

On notera que, dans cette figure 8, le contour circulaire 63 a une plus grande étendue circonférentielle et s'étend presque sur 360° et se raccorde à des parties transversales 164 sur lesquelles sont fixées les colonnettes.

Dans toutes les figures les rondelles de guidage 60,61 sont accolées à leur sommet (à leur périphérie externe) et sont fixées localement par soudage à cet endroit, et ce entre les ressorts 6 dans les emboutis 118. Ces emboutis 118 sont déformés localement centralement pour formation de deux zones transversales 170 affrontées et s'étendant radialement au-dessus des pattes 18 du voile 8.

Le soudage est réalisé dans ces zones 170 visibles pour l'une d'entre elles à la figure 6.

A leur périphérie interne les rondelles de guidage sont reliées entre elles par les pattes 62 ou les entretoises 262.

Bien entendu, le manchon 16 peut tre prolongé et tre fermé à son extrémité pour former un centreur. Dans ce cas, la bague 21 peut tre emmanchée à force dans le manchon 16, comme décrit dans le document FR-96 07 146. Dans ce cas la bague 21 peut tre en matière synthétique, en sorte que la présence du palier 54 n'est pas obligatoire.

Bien entendu, on peut fixer par sertissage la bague 21 en déformant le manchon 16.

La présence de l'amortisseur de torsion n'est pas obligatoire. Le disque 24 peut tre lié en rotation à des pattes par la liaison tenons-mortaises 4, lesdites pattes étant solidaires d'un anneau fixé sur la roue de turbine. Le disque 24 peut tre noyé dans une garniture de friction 22 destinée à tre serrée entre le piston 20 et la paroi 11.

La présence du palier 54 n'est pas obligatoire. En effet, un palier pilote peut tre monté dans le trou borgne 120 pour centrer 1'extrémité de 1'arbre mené.

Dans tous les cas il est prévu un palier pilote, tel que le palier 54, pour assurer une bonne concentricité entre le moyeu 5 et le centreur 21.

Grâce aux trous 229,29 on peut fixer les languettes 26 localement, par exemple par soudage ou collage, respectivement au piston 20 et à la paroi 11 On appréciera que la solution de la figure 7 est favorable car la pression hydraulique régnant dans la chambre principale plaque le bouchon épaulé 339 contre le piston 20.