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Title:
INTRAORAL VACUUM RETRACTOR FOLDABLE IN HALF COMPRISING TWO U-SHAPED MEMBERS
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/1996/029952
Kind Code:
A1
Abstract:
An oral vacuum retractor designed to be positioned entirely within the oral cavity and including a frame shaped to fit the mouth. The frame includes an outer portion in the form of two U-shaped members joined together at the ends of their arms and having a sufficient degree of elasticity at the point of connection to enable the retractor to be manually inserted into and withdrawn from the mouth. An inner portion in the form of an additional frame essentially parallel to at least one segment of the outer portion is also provided at a sufficient spacing to let through one dental arch. A dental dam in the form of an optionally stretched rubber sheet may be attached to the frame. As the instrument is tubular, fluids (Fig. 9) may be sucked out of the oral cavity more easily through the connector leading to the suction apparatus. The frame with the extraoral dam includes a sufficiently flexible external frame to which the rubber sheet for use as a dam during dental and intraoral treatment (Fig. 12) is adhered or otherwise attached. The frame may have a variety of shapes and the instrument is designed to be used only once (Fig. 12) (1, 2, 3, 4, 5). The double frame enables the dam to be attached without using an adhesive and may be sterilised. (Fig. 12.2).

Inventors:
MAKANGA JOSEPH (BE)
GOXHI JADVIGA (BE)
Application Number:
PCT/BE1996/000032
Publication Date:
October 03, 1996
Filing Date:
March 20, 1996
Export Citation:
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Assignee:
MAKANGA JOSEPH (BE)
GOXHI JADVIGA (BE)
International Classes:
A61C5/12; A61C5/82; A61C17/08; A61C17/10; (IPC1-7): A61C17/06
Foreign References:
US4053984A1977-10-18
US4259067A1981-03-31
US4215984A1980-08-05
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Claims:
Revendications
1. Ecartoaspirateur avec et/ou sans digue pour utilisation endobuccale à placer entièrement à l'intérieur de la cavité buccale et comprenant une armature s 'adaptant à celleci, ladite armature comprenant au moins une partie externe sous la forme approximative de deux demiellipses en forme de U , solidaires par l'extrémité de leurs branches, et présentant à leurs niveaux d'union une élasticité permettant l'introduction et le retrait manuel de l'écarteur par rapport à la bouche fig»9 #11 et 2.
2. une partie interne sous la forme d'une armature complémentaire approximativement parallèle à au moins un segment de la partie externe à une distance laissant libre un espace pour le passage des αentε , ia partie interne et la partie externe étant solidarisées par l'armature ellemême.fiς .
3. , 5 et 2 Ecartoaspirateur buccal selon la reve αication 1 caractérisé en ce qu'il est constitué de fil métallique.
4. Ecartoaspirateur buccal selon la revenαication 1 dans lequel la partie interne et la partie externe sont rendues solidaires par au moins deux ponts en U inversés.
5. Ecartoaspirateur buccal selon les revendications 1 à 3 caractérisé en ce que la partie interne ne s'étend parallèlement qu'à la partie antérieure de la partie externe, sur l'un ou l'autre des demiarcs, la partie interne étant reliée à la partie externe par au moins αeux ponts en U inversés, prévus de préférence aux extrémités αe la partie interne.
6. Ecartoaspirateur buccal selon n'importe laquelle des revendications précédentes caractérisé en ce qu'il est muni d'un ou de plusieurs segments d'armature complémentaire à la partie externe, s'ëtenαant vers l'extérieur de celleci, antérieurement ou latéralement au niveau d'un ou des deux semiarcs formant ainsi une armature complémentaire fig «9 le long de la face interne des joues et/ou formant des éléments écartants les lèvres et des accessoires pour la réalisation de l'aspiration salivaire.
7. Ecartoaspirateur buccal selon n'importe laquelle des revendications précédentes , caractérisé en ce que la partie externe est munie latéralement d'un côté ou des côtés, d'ailettes ou plaquettes y solidaires, susceptibles de protéger latéralement les faces internes des joues lorsque l'instrument est utilisé, ainsi que des petits trous d'aspiration selon le niveau de l'intervention. figo9.I.4 et . ~ I . Ecartoaspirateur buccal selon n'importe laquelle des revendications précédentes, caractérisé en ce que la partie externe est munie antérieurement, sur l'arc supérieur et/ou l'arc inférieur d'ailettes ou plaquettes y solidaires, susceptibles d'écarter les lèvres respectivement vers le haut et/ou vers le bas.fig.J.1, . 2 bis 6 8 buccal selon n'importe laquelle des revendications précédentes, caractérisé en ce qu'il est muni de segments d'armature complémentaires reliant élastiquement l'arc inférieur et l'arc supérieur par exemple en fixant au fond des mâchoires de l'instrument au moins un fil ou une tige formant ressort par compression et reliant les deux mâchoires. 9 Ecartoaspirateur buccal selon n'importe laquelle des revendications précédentes ! à 7, caractérisé en ce que l'élasticité est notamment obtenue par ia présence de deux boucles latérales formées par les branches des arcs au niveau de ia section formant charnière de 1 'instrument.fi , 10 , Ecartoaspirateur buccal selon les revendications précédentes 1 à 8 caractérisé en ce que l'armature est au moins partiellement en plastique et l'élasticité est obtenue par un amincissement de la matière au niveau de la jonction des deux U de l'ellipse externe, amincissement formant charnière, fig.9«5 I I . Ecartoaspirateur buccal selon la revendication 10 caractérisé en ce que l'armature est entièrement en plastique. is» 9. II β^ 12.
8. 12Ecartoaspirateur buccal seiçn n'importe laquelle αes revendications précédentes, caractérisé en ce qu'il est muni d'une digue sous la forme d'une feuille plastique tendue sur au moins une partie de l'armature fig. 2 bis , II et 12.
9. 12Ecartoaspirateur buccal selon ]a revendication 12, caractérisé en ce qu'il est muni d'une digue sous la forme d'une feuille élastique en caoutchouc ou en plastique tenαue et fixée sur au moins une partie de l'armature . fig« II «t 12.
10. 14 Ecartoaspirateur buccal selon la revendication 13, caractérisé en ce que la feuille de plastique est amovible et fixée sur l'armature a l'aide d'un moyen de pincement formant ressort fig, 12*2 15 Ecartoaspirateur ouccal selon ia revendication l , caractérisé en ce que le moyen de pincement formant ressort est constitué par un ou plusieurs segments tubulaire creux fenαus iongitudinalement et aptes à s'adapter ëlastiquement mais fermement autour d'un segment de l'armature en coinçant la périphérie de la feuille formant digue qui y est interposée fig.10 ,11.2 et 12 16 Ecartoaspirateur buccal selon les revendications Î2 à 15, caractérisé en ce que la partie interne et la partie externe sont maintenues solidaires par l'intermédiaire de la digue, celleci étant fixée par collage, ligature, agrafage, coincement ou tout moyen éαuivalent, aux dites parties externes et internes, tig & # II .2 $ ~ .2 et ∑.
11. 17 Ecartoaspirateur buccal selon les revendications 12 à 16,caractérisé en ce que la digue s'étend sur l'ensemble de l'armature, la partie externe et interne formant ainsi deux ellipses, l'une étant comprise à l'intérieur de l'aucre.flβj.Z et I 2 J8. Ecartoaspirateur buccal selon n'importe laquelle des revendications précédentes, caractérisé en ce que l'armature est en plastique présentant une certaine flexibilité, l'écarteur au repos étant plane, ellipsoïde soit formant un cercle. L'armature peut être doublée dans toutes les formes plastiques pour permettre la fixation de la digue et renforcer l'effet ressort de 1'instriment. fig. II et II 19 Ecartoaspirateur buccal avec digue pour utilisation endobuccale caractérisée par une feuille de plastique élastique et un bord périphérique en plastique plus rigide, de forme ellipsoïdale, d'élasticité permettant son introduction dans la bouche, la digue étant pourvue d'un second support en forme d'armature en plastique, parallèle et intérieur par rapport au dit bord, à une distance variant de 0,5 à 2 cm, de préférence de 1 à J,5 cm.
12. 20 Ecartoaspirateur buccal selon n'importe laquelle des revendications précédentes, caractérisé en ce qu'il est à usage unique ( en plastique ) et stérilisable (double cadre de fixation,forme rigide) fig. 12(2 5»^»5) 21 Ecartoaspirateur buccal selon n'importe laquelle des revendications précédentes, caractérisé en ce que l'instrument est en forme tubuiairefio.il (creuse) permettant ainsi l'aspiration et l'ecartement des arcades . fi .~ 22 Ecartoaspirateur buccal dont ia flexibilité sera assurée soit par le matériel luimême, soit par un fil de renfort incorporé dans ia paroi ou bien à l'intérieur du tube, fig.n et ~ 23 Ecartoaspirateur buccal selon la revendication précédente qui peut être munie ou non avec l'ellipse intérieur.
13. 24 Ecartoaspirateur buccal selon n'importe laquelle des revendications précédentes, caractérisé en ce que la partie interne de 1 'ecartoaspirateur buccal est un abaisse langue, fig.92 _Io 25 Ecartoaspirateur buccal dont l'aspiration sera assurée par une canule amovible pour l'orienter suivant le besoin de l'intervention, pouvant servir également comme un écartlangue, fig.9»I eC 9^5 26 Ecar oaspirateur buccal (forme en pinr.tiηm.) dont 1 »; . rnu«; . ronr réalisés par l'opérateur luimême selon le niveau de l'intervention t, avec ciseaux ou bistouri ) ; les trous doivent être réalisés près de l'arcade dentaire pour éviter l'aspiration de la muqueuse. fig.9.1.
14. 27 Ecartoaspirateur buccal selon n'importe quelle forme métallique dont la flexibilité sera assurée par une charnière ou par une plaquette flexible au niveau de la jonction des deux arcades. figi » 7» 6.
Description:
Demi-arcs aspirateur endobuccal pliable en deux

L'invention concerne un instrument médical pour utilisation enαo-ouccaie dont le rôle est le maintien d'une ouverture constante tout en permettant une aspiration continue et une protection éventuelle αe la cavité en cas d'utilisation de la αigue, lors αe diverses manipulations enαo-buccale≤ .

La présente invention assure

- l'ouverture αe la cavité bi

- l'asDiraticn de la salive et αεs liαu ces utilisés

- la protection αes voies respiratoires et c gestives grâce à la ciguë et à l'aspiration continue

- le remplacement αe l'assistant αont le rôle αevient presque mutile.

Le domaine αe l'utilisation est large : αentistcr e opératoire, cnirurgie endo-Duccaie (tumeur , calculo≤e, segment édenté, intervention sur la langue, etc...) paroαontoiog e (détartrage, etc...), prothèse, intervention sous narcose, ORL ( .tonsiiεctoraie. etc...) , împiantologie, ortnoαontie, etc...

Selon un moce αe réalisation αe l'invention, l ' ins rume t se Dre≤entc sous __. zorme α 'une armature flexioie à placer à l'intérieur αe la. Doucne. Cette armature est composée de deux parties : une extérieure et une intérieure. Celles-ci se présentent par ailleurs sous α fférenteε formes .

La partie externe est ovale ou formée par αeux semi-ellipses opposées. en forme de U, qui créent à leur niveau d'union un élément formant ressor: et charnière, et donnant à l'instrument, m s à plat, une forme elliptique. Le but αe cette partie est de s'installer au fond des vestibules, le long et à l'extérieur des arcades αenta res , d'écarter les maxillaires et αe servir αe support pour la fixation éventuelle α 'une αigue protectrice.

,BAD ORIGINAL

*

Une partie interne est prévue à l'intérieur de la υart e externe susmentionnée, approximativement parallèle à celle-ci et à une αistance α'environ 1,5 cm. Cette partie interne, solidaire de la partie externe, est αestinée à être placée le long et à l'intérieur d'au moins un segment αes arcaαes αentaire, laissant libre un espace intermédiaire entre les αeux parties pour la passage αes dents, et/ou segments éαentés. La partie interne est donc comprise à l'intérieur αe la partie externe et peut en avoir la même forme, c'est à aire elliptique, ou en forme de semi- ellipse ou de fer-à-chevai.

Le rôle de cette partie interne est donc αe se fixer à l'intérieur des arcaαes dentaires et, en collaboration avec ia partie externe, αe maintenir tenαue la feuille de caoutchouc, fixée éventuellement par collage, qui sera de manière connue pré-perforée et qui couvrira par ailleurs les αents , tout segment édenté, la langue et la muqueuse gingivale. Cette feuille sert à la protection de la cavité buccale lors des diverses manipulations.

Selon un moαe de réalisation, les αeux parties sont rendues solidaires également par deux, trois ou éventuellement plus, petits arcs ou ponts en U placés de préférence auprès du segment faisant office de ressort, les branches étant dirigées vers l'intérieur de la boucne. Ils servent à solidifier l'instrument et à le fixer au fond des sillons vestibulo- jugale et labial, ainsi qu'à l'intérieur αes arcaαes αentaires et des segments édentes (près αe la ligne vlonyoïαienne - manαibulaire et environ 1 cm en dessous au collet palatine) . La matière au pont en h es t généralement la même que celle de l'armature. Il protège les tissus mous du sillon vestibulaire contre les traumatismes grâce à leurs appuis sur les arcades αentaires .

L'armature susmentionnée peut être en plastique et se présenter, lorsqu' elle n'est pas insérée αans la bouche, sous la forme d'une pièce plate flexible. Celle-ci est pourvue , d'origine ou non, d'une digue qui est fixée de manière connue au pourtour extérieur de la pièce plate. Dans ce cas, la pièce agira essentiellement en tant que support d'une digue protectrice.

Sa fonction de maintien de l'écartement des mâchoires dépendra de la flexibilité du plastique utilisé, qui peut par ailleurs être en plastique composite comprenant un fil métallique incorporé.

Selon un mode de réalisation, l'instrument se présente en matériel de forme tubulaire creuse soit plastique ou métallique qui permettra l'aspiration lors de diverses manipulations et la fixation de la digue lorsqu'elle sera nécessaire, fig .9

Selon un autre mode de réalisation, l'armature est rigide ou semi-rigide mais peut également servir de support à une digue. La pièce est alors un ecarteur efficace en soi, qui peut comporter ou ne pas comporter une digue y fixée. On s'y référera comme étant un ecarteur autostatique dont ia forme, même hors utilisation, n'est pas plane. et Λ (

Toutes les formes mentionnées peuvent être également réalisées en matériel tubulaire renforcé par un fil métallique ou un autre moyen pour lui assurer la flexibilité nécessaire qui permettra l'utilisation de l'instrument sans gène pour le patient. rio.9 et i

L'invention sera mieux comprise à l'examen des dessins annexés fournis à titre d'exemple uniquement.

La fig. l représente un support-écarteur de digue, flexible sous sa forme relaxée et aplatie, munie d'une feuiile de caoutchouc (8, digue) fixée au poutour de l'ellipse externe, ou éventuellement de manière moins adéquate, au pourtour des deux pseudo-ellipses concentriques internes et externes 1,2 définissant un espace 3 pour les dents. En outre le support présente des ailettes latérales 5 qui jouent le rôle d'écarteurs jugaux, des abaisse-lèvres supérieur et inférieur 4, .1 respectivement en forme de croissant et de jupe s 'élargissant vers l'extérieur. On notera aussi la présence des ponts en U 6 et la zone 7 , plus ou moins flexible, destinée à former charnière. Le trait pointillé en 5 . 1 illustre une variante dans laquelle les ailettes s'étendent au delà de la zone formant charnière et permettent ainsi de couvrir plus complètement les joues.

Ces supports selon leur αegré αe rigidité, peuvent avoir une fonction secondaire d'écartement des mâcnoires plus ou moins prononcée.

La fig. 2 représente cifférents moαes αe réalisation α 'autres formes flexibles avec ou sans ailette. La f g. 2.1 corresponα à la fig. I sans abaisse-lèvre ni ailette. La fig.2.2 présente un arc intérieur semi- elliose, ia f g. 2.3 e s z une variante présentant un segment liDre latéral. On y retrouve les ponts en U de la fig. ' servant _ solidariser la structure interne à l'ellipse externe fig.2.4.16

La fig. 2.5 représente un ecarteur flexibie avec ailettes jugaies 15 bilatérales, _a fig. 2.6 a'-.c ailette unilatérale et aoaisse lèvre 12. I Ces structures peuvent être munies o_ non c ' une ciguë IS. _.a tiς. .? représente un ecarteur avec anette lateraie et segment .ιore sans feuille αe caoutcnouc IS.

Pour tous les cas illustres, les ellipses externes peuvent être réalisées en αeux ellipses complémentaires, αe contour aplati, QUI se superposent et coopèrent pour fixer entre elles le feuille αe caoutchouc par pression (boutonnage). La feuille est alors interchangeable. Toutes les formes mentionnées peuvent être réalisées en matériel tubulaire. fi£. 9 Les semis arcs internes en fer à cnevai peuvent être remplacés par une memorane ou plaαuette piastiαue ou metallicue cui servira comme un aoaisse- langue fιg.y.

La liaison entre les αeux extrémités αe termes tuoulaires en piastic peuvent être réalisées soit avec ces raccorαeurs en forme c'olives en T- soit avec αes tuoes en T,soιt αirecte ent par faDrication. f_ R # _>.I. et

La liaison entre les αeux arcs ne αo t pas nécessairement être entièrement en tube creux si ce n'est au niveau αe l'aspiration facilitant ainsi la réalisation αe l'instrument par invagination évitant ainsi la perte de la force αe l'aspiration f g. 9»5

La fig.3 représente αes ECARTEURS ANTERIEURS AUTOSTATIOUES faisant également partie αe l'invention. Ces ecarteurs sont semi-rigides et ne permettent l'accès αu'aux dents antérieures. Contrairement aux écarteurs- supports flexibles, ls ne peuvent aαonter une forme piate. La f g. 3.1

La fig. 3.2 représente une armature munie d'une feuille de caoutchouc 32 sans barre postérieure.

D'autres variantes sont représentées en plan 3.3, 3.4,, 3,S étant entendu que la forme en perspective est similaire à celle des fig. 3.3 et 3.5 les ellipses forment une armature vestibulaire et supportent des éléments qui passent au dessus des dents et se rabattent du côté lingual ou palatin.

La fig. 4-1 représente en perspective un ecarteur autostatique buccal 40 pouvant être par exemple en plastique semi-rigide ou en fil métallique. L'arcade dentaire inférieure ou supérieur peut occuper l'espace 43 délimité par l'armature, l'appareil pouvant être utilisé en position inversée. On illustre également un abaisse-lèvre sous la forme d'une pièce amovible 43 qui peut se fixer sur la partie de l'armature antérieure 44 par effet de clipsage sur la branche correspondante 44, éventuellement en coinçant également une feuille de caoutchouc 45 disposée autour de la dite branche. On illustre également une coupe selon fig.4.3.

La fig. 4.2. représente le même ecarteur muni d'ailettes 41 (écarte-joue) et d'un abaisse lèvre 42. Un deuxième abaisse-lèvre <-.2- 1 supérieur peut également être prévu. Ces ailettes ou abaisse-lèvres peuvent présenter une surface continue en matière identique à celle de l'armature. L'abaisse-lèvre 42 peut se présenter en deux parties complémentaires ( 42 , 42.2 ) présentant des éléments ce fixation mâles et femelles (nervures 48, orifices 49) qui, de manière réversible, s'adaptent et se bloquent par pression en coinçant la feuille de caoutchouc éventuellement utilisée.

Sur toutes les formes flexibles avec digue, fixées sans ailette, on peut ajouter un cadre flexible qui sera installé à l'extérieur de la cavité buccale et qui aura comme fonction de maintenir fixe, de manière connue, la feuille de caoutchouc.

Ce cadre peut être fixé soit à l'avant des arcades de l'instrument pour s'étendre latéralement, soit sur les abaisse-lèvres éventuellement présents à l'avant de l'ins rument.

Il sera également couvert par la feuille αe caoutchouc qui sera fixée Fig.n .2 sur les bords du cadre de manière connue. Egalement pour la forme tubulaire.

La forme de l'invention incorporant le caoutchouc fixé (digue 6, 18) est pratique pour les interventions à courte durée, sous l'anesthésie loco- régionale. Fig. II et 12

Les formes flexibles des figs, i à 2 peuvent être plus particulièrement réalisées en matière plastique à usage unique, soit stérélisable pour la forme tubulaire.

Selon un moαe particulier de l'invention, on propose αonc un ecarteur avec un arc intérieur en U ou en forme de fer à cnevai imitant la goutière mandibulaire.

La partie externe αe l'instrument est elliptique tandis que l'intérieur a la forme d'un fer à cheval et se place à l'intérieur de la moitié externe de l'instrument par au moins deux petits arcs ou ponts αe fixation 6 en forme αe U de fixation ( fig. 2.1 )

Selon une variante particulièrement avantageuse, sur la moitié externe de l'ellipse on prévoit ou place une ou deux jupes ou ailettes d'un côté ou de l'autre, ou αes αeux côtés αe l'instrument αe préférence αans la zone où se situe l'arc interne en U. Elles αoivent former un angle suffisamment ouvert avec l'arc extérieur pour permettre l'utilisation des instruments endo-Duccaux et dentaire, afin de ne pas créer αes difficultés inutiles penαant l'introduction de l'ecarteur.

Les ailettes ou abaisser-lèvres peuvent se présenter sous la forme d'un segment d'armature complémentaire, à laquelle peut être attachée la feuille de caoutchouc, ou sous la forme d'une pièce pleine de matière plastique, matière similaire ou non à celle de l'armature.

On notera que les formes mentionnées peuvent être utilisées comme des écarteurs et protecteurs universels, pour aes maxillaires supérieur et inférieur en les inversant.

Selon une autre variante de l'invention, particulièrement importante, on prévoit une forme "ecarteur antérieur" illustrée aux figs. 3.1 et 3__ eC AA . λ .

Pour les dents antérieures on peut la réaliser sous lε forme de, essentiellement, deux barres internes légèrement courbées soit une barre vestibulaire 30 et une barre linguale 30,1 ou palatine. Ces barres sont reliées entre elles par deux arcs en U qui passent au dessus des dents et qui fixent les barres au fond du sillon vestibulaire et à l'intérieur des arcades dentaires. Selon une variante la barre interne peut être supprimée (fig. 3.2avec digue).

A l'intérieur les arcs en U inférieurs et supérieurs sont reliés entre eux pour former une pièce uniαue utilisée pour les deux arcaαes. Avec cette forme, on peut également utiliser le feuiile en caoutchouc, collée sur l'instrument en plastique. On peut aussi fixer ia feuille avec au fi de soie ou avec des "wedjets", par exemple en gomme. Selon ce mode de réalisation, on n'utilise pas de clamps.

Les formes susmentionnées peuvent être réalisées soit en plastique soit en métal,

La forme en métal peut servir comme ecarteur autostatique buccal avec ou sans utilisation ce la feuille en caoutchouc. En cas d'utilisation αe la feuille en caoutchouc, l'instrument peut servir d'armature ou de squelette à celle-ci.

Chaque feuille est alors fixée

- soit par les bords de l'instrument au- comprend des dents d'attache ( en prenant parti de l'élasticité de ia feuille et en ia laissant déborαer de manière classique ) ,

- soit par une gaine courbe servant également comme acaisse-lèvre vu son épaisseur

- soit par l'intermédiaire d'un cadre à l'extérieur de la cavité orale mais intégré ou incorporé à l'instrument

- soit par un collage, fixation préfabriquée ou non à travers une gaine.

Il s'agit là d'un aspect supplémentaire αe l'invention particulièrement avantageux.

La forme en plastique, avec son élacticité, est préférée αans de nomDreux cas. Elle assure une flexiDilite plus prononcée à l'instrument au moment αe sa mise en place et αe son extraction. Dans cette forme la feuille en caoutcnouc peut être collée sur l'armature αe l'instrument. Si le plastique est plus rigide (semi-rigide) , cette forme peut également être utilisée comme "ecarteur autostatique" comme avec la forme en métal.

Les αeux formes peuvent être utilisées sans la leuille de caoutchouc

(fig. O, ce αui constitue un avantage particulier c'un oαe αe realisatior seion l'invention. Cela est renαu possible grâce aux éléments formant ressort αui servent à écarter les maxillaires et à les maintenir suffisammer: ouverts pendant les αiverses interventions enαo-Duccales , jouant ainsi le rôle d'un ecarteur autostatiαue, même sous anesthésie générale.

La forme tubulaire avec parois renforcée est avantageuse.

Pour augmenter les possibilités α 'utilisation αe l'instrument, on peut éliminer, par exemple, une partie de l'arc externe ou interne (linguales et palatines) (avec ou sans ailettes) créant ainsi un segment l_bre au côté vestibulaire qui facilitera l'intervention αans les zones concernées ( voir variantes αe ia fig. 2 pour la rorme f_exιble )

On peut ci inuer la longueur αe l'arc interne pour le raire localiser umαuement sur un segment d'arcaαe interne αe αents antérieures (voir fιg.3.-, pour ia tonne ecarteur autostatique), soit on peut la remplacer par un ou deux petits tubes fixés sur l'instrument, cingesvers l'intérieur, αont le canal communiαue avec l'armature afin α'aspirer. une tête er plastique termine les petits tubes anπ d'éviter l'aspiration αe la muαueuse, tout en racilitant l'aspiration αe la salive

Pour son utilisation et placement dans la boucne, αans le cas αe la présence d'une αigue ,

- on recouvre c'abord l'instrument tout autour avec la reuille αe caoutcnouc à l'extérieur, si elle n'est pas fixée d'origine, ou dans ia αouble armature pour la feuille mtercnangeable

- on presse sur les arcs supérieur et inférieur afin qu'ils puissent entrer dans la bouche avec une légère rotation vers la gauche ou vers la droite. Les arcs externes se posent ainsi au fond des vestibules; l'arc interne du côté lingual ou palatine de l'arcade dentaire est en contact avec le mur alvéolo-dentaire. Les arcs coincent la feuille en caoutchouc, laissant libre uniquement l'entrée de la bouche. On a donc ies dents et ou les segments édentés entre les arcs de l'instrument, couverts par la feuille de caoutchouc, et également, l'immobilisation et écarte ent de la langue et des deux maxillaires. On perfore la digue avec un perforateur classique avant la mise en bouche.

- à l'aide de "wedjets" ou d'un fil de soie, on franchit les points de contact dentaire et on fixe la feuille de caoutchouc au niveau du collet à l'aide de coins de bois et de plastique soit avec des ligatures "wedjets" .

- les clamps peuvent être utiles dans ce cas.

Pour les formes avec caoutchouc collé (flexibles, fig. 1 et 2) soit on passe le clamp de manière classique sur la perforation de la digue et après sur la dent; soit on glisse la digue perforée sur les clamps fixés auparavant; soit on fixe avec des fils de "wedjets" après avoir passé le point de contact inter-dentaire.

L'instrument peut être avantageusement utilisé directement dans ia cavité buccale sans digue à l'occasion de diverses manipulations par exemple stomatologiques ou chirurgicales, La forme tubulaire est plus avantageuse grâce à l'aspiration continue selon la nécessité.

L'instrument peut ainsi être utilisé dans des domaines plus vastes que pour le cas des digues classiques.

En effet l'ouverture constante de la bouche permet à l'opérateur de s'assurer le maximum d'aisance pendant l'exécution du travail. La digue protectrice est un moyen efficace d'asepsie, de siccité et d'isolement du champ opératoire (D,0. prothèse fixe). Il assure la protection contre l'avalement et l'inhalation de matières ou instruments pendant les diverses interventions endo-dentaire et buccales tels αue :

- préparation des cavités, des canaux, reconstitution dentaire, traitement composite (dans le cas de l'utilisation de la digue) chirurgie bucco-rdentaire sur segments dentés et édentés , calculose des canaux salivaires, tumeurs, alvéolectomie, gingivecto ie dans le cas de l'utilisation sans digue sur la langue : on pratique une ouverture dans la feuille de caoutchouc et la langue est passée à travers cette ouverture tout en installant l'instrument dans la bouche en anesthésie et réanimation ; pour l'anesthésie locale on utilise de préférence la forme avec le caoutchouc collé à usage unique

- pour l'anesthésie générale et intubation : la forme autostatique en métal ou en plastique dur est avantageuse pour les patients sous narcose, La bouche reste ouverte, le praticien ou l'opérateur peut travailler librement, L'aspiration salivo-liquidien sera plus aisé.

L'introduction de l'instrument avant l'intubation facilité la tâche de 1'anesthésisterréanimateur.

On notera que l'instrument peut être réalisé en différentes dimensions par exemple pour enfants, adultes, ou encore petite, moyenne et grande dimensions.

L'armature de l'instrument selon l'invention peut être réalisée : soit en tubes ou barres de plastique, par exemple de section ronde ou aplatie, par exemple de 0,5 cm de hauteur et 0,2 cm d'épaisseur avec des bords bien arrondis .figs.2 , Ç, II et 12 soit en film métallique relativement rigide mais de préférence sensiblement déformable de ] à 2 mm de diamètre, éventuellement plastifié soit en tube plastique creux (diamètre 0,3 - 0,5 cm) renforcé ou non avec du fil métallique (selon le mode de fabrication) permettant l'aspiration ( forme avantageuse )fig. ç , et .J- soit en tube métallique inoxidable.

Selon un autre aspect de l'invention, illustré à la fig, 5, sur l'armature périphérique 50 ou sur l'abaisse lèvre 52, on peut avantageusement installe

(par clipsage) ou prévoir d'origine (.moulage, souαage) une structure

51 rigide formant caαre αestmé à s'étenαre à l'extérieur de la bouche, pour la fixation de la feuille de caoutchouc réalisant ainsi l'incorporation ëcarteur-cadre externe et remplaçant ainsi le cadre et 1 'abaisse-lèvre classique. Le cadre extérieur selon l'invention est donc interrompu aux niveaux αe son incorporation à l'ecarteur proprement dit. Il mesure de 8 à 10 cm αe hauteur et plus ou moins ia même largeurfig. Σ2 «Il peut adopter un contour adapté à la face, en particulier aαapté au contour inférieur du nez. Sur le cadre extérieur on prévoit des encoches ou des pointes tournées vers l'extérieur de l'instrument pour la fixation de la feuille αe caoutcnouc. Les figs. 5.1 et 5.2 illustrent des réalisations sans aDaisse-lèvre et les figs. 5.3 et 5.4 illustrent αes réalisations ou le caαre est fixé aux extrémités antérieures des aoaisse-ièvres

La fig.ό illustre un oαe αe réalisation αans lequel le caαre externe comprend deux barres latérale: rigides ec parallèles 63 et 64, le long desαuelies peut coulisser un ecarteur de commissure labiale 61 αont la position peut être réglée par vissage (vis αe blocage 62). Un deuxième ecarteur peut également être prévu ou être adapté de l'autre côté, L'écarteur est de forme prévue pour pouvoir accrocher et écarter la commissure αes lèvres. Selon une variante αe réalisation les barres latérales peuvent être télescopiαues pour pouvoir régler, avec un oven αe oiocage par exemple à vis, leur longueur et αonc également _e αegré 65 d'ouverture αe l'appareil. Avantageusement, les éléments o-» reliant ces barres à l'armature elliptique 66 (ou aux aoaisse-lèvres) peuvent être légèrement courbés et/ou flexibles pour épouser la forme du visage.

Au niveau αe la fig. " .1.71 il forme une cnarmère. Les arcs εe plient l'un sur l'autre, fιε. 2. 0 ^

D'autres variantes avec caαre externe appliαuées à l'écarteur autostatiαue sont illustrées en perspective aux fig. 7, 2 et 7.3 Cette αernière figure montre les pointes d'accrocnage situées l long au caare extérieur et permettant la fixation _e la feuille αe caoutcnouc. (99)

La fig.7.2 illustre une variante dans laquelle le cadre extérieur est incomplet et consiste simplement en deux bras de support 83 attachés dans cet exemple à un abaisse-lèvre 82, comportant les pointes d'accrochage 84

La fig. 8 illustre diverses configurations de moyens de fixation de deux moitiés complémentaires de segment d'armature 100.1 et 100.-2. A la fig, .00 « 1 les trous 101 s'adaptent aux tenons 102. Alternativement (fig.100.2) une nervure longitudinale 103 prévue le long d'une moitié d'armature 6 'adapte et se bloque dans une gorge complémentaire 104 de l'autre moitié d'armature en coinçant la feuille de caoutchouc 105 éventuellement placée entre ces deux éléments formant une armature finaie tubulaire.

Remarques concernant les formes de l'invention:

1- On notera que dans les formes de réalisation non munies d 'abaisse- lèvres intégré, on peut adapter un abaisse-lèvres amovible par exemple au niveau de la barre antérieure de l'écarteur autostatique (fig. 4.3 ) et la partie antérieure des ëcarteurs mentionnés des figs. 2. On peut ajouter une plaquette ou ailette de 2,5 à 3 cm en forme semi-lunaire qui servira à abaisser ou élever la lèvre éliminant ainsi le cadre extérieur éventuel servant de porte-digue. Les abaisse-lèvres peuvent se présenter comme des gouttières fixées sur la partie externe de l'instrument. L'adaptation peut être effectuée en prévoyant des moyens d'adaptation mâle ou femelles ou par clipsage, en veillant toutefois à ce que la connection soit suffisamment raide pour permettre le rabattement forcé de ou des lèvres, fig. 4.42.2.

2- Les ailettes peuvent être fixées soit sur deux points antérieur et postérieur, soit en la collant tout le long de la partie concernée de 1 'instrument,

3- Remarques concernant l'adaptation de l'écarteur dans la bouche :

pour adapter l'instrument aux divers écartements, on peut prévoir des éléments modulables sous la forme d'arcs périphériques de formes appropriées d'une part et le prolongement interne formant ressort ( forme autostatique ecarteur antérieur ) d'autre part, avec les branches des arcs qui coulissent sur les branches de l'élément interne, par exemple de manière télescopique, et qui se fixent au moyen d'un arrêt, une vis ou un capuchon, offrant ainsi à l'instrument la possibilité de s'écarter et s'adapter à des cavités buccales différentes. L'adaptation peut être réalisée dans la bouche ou à l 'extérieur.-figs.6,7

4- On peut également augmenter l'effet ressort d'un ecarteur autostatique en incorporant par une boucle dans l'armature semi-rigide, au niveau des sections devant présenter,un effet de charnière.

5- Remarques générales concernant la fixation de la feuille en caoutchouc:

pour mieux renforcer la fixation de la feuille en caoutchouc à l'instrument, comme déjà amplement exposé, on peut toujours prévoir une ellipse interne ou une barre interne.

La forme avec la feuille fixée peut être réalisée en solidarisant la feuille entre deux moitiés d'armature complémentaires, la fixation étant obtenue soit par pressage de la feuille entre les deux moitiés, dont les surfaces de contact sont encollées fig.12 soit en prévoyant sur les moitiés, une nervure et une gouttière complémentaires rendues solidaires par pression et qui coincent la feuille de caoutchouc fl§.2fais , .i , 5 , 8 , 11.2. et 12 soit en réalisant une sorte de boutonnage tout le long de la partie externe de l'instrument entre laquelle la feuille sera fixée par pression des deux moitiés d'armature.fia. ô et 12.2

Dans ces deux derniers cas, la partie externe se présente avantageusement sous la forme de deux parties plates complémentaires. L'épaisseut variera de préférence de 2 à 5 mm et la largeur de 4 à 7 mm .

soit en adaptant la partie plate ou semi-courbe avec une partie tubulaire entre lesquelles sera fixée la feuille de caoutchouc-, soit selon fig. 12 .

La partie de la feuille de caoutchouc qui déborde peut être, soit découpée, soit fixée sur un cadre à l'extérieur. Pour la fixation à l'extérieur de la bouche des bords de la feuille de caoutchouc, on peut utiliser le cadre incorporé à l'instrument. On peut également utiliser une gaine en plastique ou en métal adaptable à l'armature qui servira également comme abaisse-lèvres ou encore l'écarteur classique (latéral) des lèvres de la bouche.

6- Dans le cas d'une feuille de caoutchouc encollée, sur l'armature extérieure, la feuille de caoutchouc n'est pas collée sur les petits U (ponts) mais uniquement sur les parties externes ou internes de l'instrument fi 6 .2 , π.2 et 12

Les U auront de préférence une hauteur de 2 à 3 cm pour mieux adapter l'instrument au fond du vestibule surtout pour la forme flexible (plastique). Ils servent également comme moyen d'aspiration dans les formes avec ou sans ellipses internes,

7- L'abaisse lèvre est situé dans le prolongement de la partie périphérique de l'instrument créant ainsi éventuellement un troisième arc sur celui-ci. Dans le cas d'une structure plus rigide (ecarteur autostatique) il peut être détachable et sous forme de gaine fixée à l'armature et qui servira également comme fixateur de la feuille en caoutchouc, Il peut être légèrement courbé vers le bas, pour la maxillaire supérieur, afin de ne pas gêner la respiration par le nez.

8- dans le cas du mode de réalisation du support ecarteur flexible avec digue et bords plats en plastique, au niveau de la courbure entre les deux arcs, les bords plats de l'instrument peuvent avantageusement changer d'orientation sur une distance de 1 ou 2 cm, présentant, en position dans la bouche au niveau du segment charnière, la face large (par exemple 5 πm) latéralement au lieu d'essentiellement horizontalement.

Cela donne à l'instrument une zone de ressort plus forte et facilite la mise au fond du vestibule des arcs de l'instrument (épaisseur 2 mm). Cette double torsion bilatérale de 90° peut être réalisée à chaud lors de la fabrication, soit en fixant les deux parties tubulaires avec une plaquette dont l'élasticité permettra également la flexibilité de l'instrument (forme tubulaire métallique).

9- Selon une variante de l'invention, on peut avantageusement prévoir que l'armature présente des parties aplaties destinées à entrer en contact avec la cavité buccale, diminuant ainsi la gêne et le risque de blessure causée par des armatures en fil métallique ou en plastique rigide.

On peut également prévoir des pièces de support amovibles ou non à insérer à certains endroits ou tout le long αe l'armature. L'instrument entièrement tubulaire (formes en plastiques) renforcé à la périphérie ou à l'intérieur par fil métallique soit avec double tube qui faciliterait l'aspiration sur une surface plus étendue fig • « I -2 «t 9.5.-4

10- Selon une autre variante de l'invention, on propose une configuration d'armature en plastique flexible dans laquelle celle-ci est maintenue sous tension et est incurvée par une armature complémentaire latérale du type ailette. Les branches latérales des arcs principaux sont reliées par une liaison complémentaire maintenant la forme en pseudo-ellipse incurvée, similaire à la forme autostatique rigide de la figure 4. Si une digue recouvre ou est fixée sur l'ensemble de l'armature, on obtient une poche flexible protégeant donc également les joues et pouvant être facilement introduite et extraite de la cavité buccale fia. I

11- Contrairement aux méthodes antérieures, la feuille de caoutchouc ou digue ne doit pas être tendue sur le cadre mais peut être suffisamment lâche pour permettre la mise en place de clamps, fils de soie ou autres moyens de fixation sur la dent à opérer. ti g.s .2 , ~ .2 .ir»2 ,12 . . .

On n'est plus obligé de tirer sur la feuille de plastique pour ia fixer sur le cadre extérieur,fia.12

Ceci permet également la réalisation de clichés aux rayons X à l'intérieur de la bouche sans être obligé de déplacer une partie de la digue ou sans devoir forcer sur celle-ci pour placer et maintenir le film sensible, fig.12

12- Complémentairement, on peut prévoir deux charnières alignées, de préférence verticalement, au niveau du cadre extérieur, qui permettent l'ouverture de la moitié du cadre et la prise de clichés aux rayons X pendantle traitement endo-buccal. fig.12.2

13- L'épaisseur des éléments filiformes formant le squelette ou l'armature de l'instrument peut varier. Pour le confort, surtout dans le cas d'une structure en métal, on peut prévoir des épaississe- ments locaux, de préférence en matière plastique. On peut également prévoir une gaine en forme de gouttière ou de tube fendu élastique et susceptible de s'adapter sur lesdits éléments filiformes, avanta¬ geusement en servant également de moyen de coinçage pour la digue éventuellement utilisée. Cette gaine peut servir d'amortisseur pour les tissus vestibulo-labio-jugaux. (cfr. page 15 - item 9) Fig.4.3.43

Figure 9«I : à titre de modèle de base pour les formes tubulaires. item J . le tube item 2. canule d'aspiration intra-buccale munie d'un capuchon item 3. lieu de connexion avec l'appareil d'aspiration item 4, trous à être réalisés par l'opérateur suivant l'endroit d 'intervention item 5 , canule

Figure 10 : coupe transversale pour la forme de la digue item 1. le tube item 2. la digue item 3. gaine semi-ouverte

On notera enfin que dans ia présente description, pour les formes de réalisation en plastique souple (fig. 1 et 2 ) , le terme "ecarteur" a été utilisé alors que ia fonction d 'ecartement forcé obtenu par l'instrument peut être minime par rapport à la fonction de protection procurée par la digue qui est préfixée ou non à l'instrument.

L'invention n'est pas limitée aux modes de réalisation susmentionnés qui peuvent varier dans leurs structures et leurs détails.