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Title:
METHOD OF DETERMINING AN INTERMEDIATE OPEN POSITION FOR A ROLLER BLIND
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2003/081357
Kind Code:
A2
Abstract:
The invention relates to a method of determining an intermediate open position in a control system of an actuator which is used to move a roller blind with stackable slats. The inventive method is characterised in that it comprises the following steps, consisting in: analysing the torque exerted on the actuator in order to locate the final slat position in which the lower slat is at the limit of contact with the low end stop of the blind; assigning a defining datum to said final slat position; calculating an intermediate open position datum, which defines the intermediate open position, from the final slat position datum; and recording the intermediate open position datum in an intermediate open position memory element. Said method can be used to record the optimal intermediate open position without the need for any recording stage to be performed at the manufacturer's premises.

Inventors:
MAISTRE VALERIE (FR)
DESBIOLLES CLAUDE (FR)
HUBAULT ALAIN (FR)
MERCIER PATRICK (FR)
Application Number:
PCT/IB2003/001083
Publication Date:
October 02, 2003
Filing Date:
March 25, 2003
Export Citation:
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Assignee:
SOMFY (FR)
MAISTRE VALERIE (FR)
DESBIOLLES CLAUDE (FR)
HUBAULT ALAIN (FR)
MERCIER PATRICK (FR)
International Classes:
E06B9/68; B60J3/00; E05F15/10; E06B9/165; E06B9/17; E06B9/90; G05B15/00; G05B19/042; G05B19/045; G05B19/42; (IPC1-7): G05B19/42
Foreign References:
EP0426577A11991-05-08
EP0574637A11993-12-22
EP0784146A11997-07-16
Other References:
See also references of EP 1497702A2
Attorney, Agent or Firm:
Meylan, Robert M. (Case Postale 375, Genève 12, CH)
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Claims:
Revendications:
1. Precede de determination d'une position intermédiaire ajourée (PIA) dans un système de commande d'un actionneur (11) permettant le déplacement d'un dispositif (1) de protection solaire, d'occultation <BR> <BR> <BR> <BR> ou de fermeture, comprenant des lames empilables (2, 3). reliées<BR> entre elles par des parties ajourées (4), caractérisé en ce qu'il comprend les étapes suivantes: repérer, par analyse du couple exerce sur l'actionneur (11), la position de lame finale (PLF) dans laquelle la lame inférieure (3) est en limite de contact avec la butée basse du dispositif (1), attribuer a cette position de lame finale (PLF) une donnée (dPLF) la définissant, calculer une donnée de position intermédiaire ajourée (dPIA) définissant la position intermédiaire ajourée (PIA) à partir de la donnée (dPLF) de position de lame finale (PLF), enregistrer la donnée de position intermédiaire ajourée (dPIA) dans une mémoire (13) de position intermédiaire ajourée.
2. Procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce que l'étape « repérer, par analyse du couple exercé sur l'actionneur (11), la position de lame finale (PLF) dans laquelle la lame inférieure (3) est en limite de contact avec la butée basse du dispositif (1) » comprend les sousétapes suivantes: entraîner le dispositif (1) grâce à l'actionneur (11) au moins au voisinage de la position de lame finale (PLF), en passant par cette position (PLF), enregistrer pendant la sousetape précédente les valeurs du couple exerce sur I'actionneur (11) par le poids du dispositif (1) en fonction de la position du dispositif (1), déterminer la position de lame finale (PLF) comme correspondant au premier maximum local dg qouple rencontre depuis la position complètement déroulée du dispositif (1).
3. Precede de commande d'un actionneur (11) permettant le déplacement d'un dispositif de protection solaire, d'occultation ou de fermeture (1) dans une position intermédiaire ajourée (PIA), comprenant les étapes du precede selon la revendication 1 ou 2, caractérisé en ce qu'il comprend l'étape suivante: activer l'actionneur (11) lors de l'émission d'un ordre de commande de position intermédiaire ajouree, jusqu'a ce que le dispositif (1) occupe la position définie par la donnée de position intermédiaire ajourée (dPIA) enregistrée dans la mémoire (13) de position intermédiaire ajourée.
4. Precede selon l'une des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que la donnée définissant la position intermédiaire ajourée (PIA) est déduite d'une donnée définissant la position de lame finale (PLF) par multiplication d'un coefficient.
5. Precede selon l'une des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que la donnée définissant la position intermédiaire ajourée (PIA) est déduite d'une donnée définissant la position de lame finale (PLF) par ajout d'une valeur.
6. Dispositif de commande (19) d'un actionneur (11) permettant le déplacement d'un dispositif (1) de protection solaire, d'occultation ou de fermeture, comprenant des lames empilables (2, 3), reliées entre elles par des parties ajourées (4) et comprenant un capteur de couple (22), caractérisé en ce qu'il comprend des moyens de calcul (10) d'une donnée (dPIA) définissant une position (PIA) dans laquelle toutes les parties ajourées (4) sont visibles.
7. Dispositif selon la revendication 6, caractérisé en ce qu'il comprend un émetteur d'ordres (30) présentant une touche (31) de position intermédiaire ajourée activant un contact commandant à l'actionneur (11) d'amener le dispositif (1) de protection solaire, d'occultation ou de fermeture en position intermédiaire ajourée (PIA) si I'actionneur (11) n'est pas active et commandant l'arrêt de I'actionneur (11) s'il est active.
Description:
Precede de determination d'une position intermédiaire aiouree d'un volet roulant L'invention se rapporte à un precede selon le préambule de la revendication indépendante 1. II concerne encore un dispositif de commande définit par le préambule de la revendication 6.

II est connu dans les dispositifs de commande de volets roulants de determiner une position intermédiaire du volet roulant, dite ajourée, qui peut être enregistrée par l'installateur ou l'utilisateur.

Dans le cas d'un volet roulant à lames ajourées, la position ajourée est telle que le tablier du volet est globalement déployé, les lames restant écartées les unes des autres. Dans cette position ecartee des lames, deviennent alors apparents des trous oblongs, menages dans le sommet de chaque lame et normalement caches des que les lames reposent les unes sur les autres, comme représenté en figure 1. Une telle situation permet d'assurer l'intimité dans la piece, vis-a-vis de l'extérieur et de fournir une lumière atténuée, tout en permettant la ventilation si les fenêtres restent entrouvertes.

Cette position correspond typiquement à 80-90% du déplacement du tambour d'enroulement du volet nécessaire à la fermeture du volet.

Cependant, cette position depend très fortement de la nature des lames de volet roulant utilisées dans la constitution du tablier.

Le brevet EP 0 426 577 décrit précisément des moyens permettant d'enregistrer une position intermédiaire et d'executer un ordre destine à amener un dispositif dans une telle position. Dans ce brevet, un capteur permet de repérer la position du tube d'enroulement entraîne par I'actionneur. Dans tous les cas, c'est à l'installateur ou'a l'utilisateur de

procéder au premier enregistrement d'une position intermédiaire. Cet enregistrement est realise à I'aide du moyen de commutation comportant des touches de commande.

Le brevet EP 0 574 637 décrit des modes d'enregistrement et d'execution de commande permettant d'atteindre une position intermédiaire relatifs a un actionneur sans capteur de position. C'est alors la durée de <BR> <BR> <BR> <BR> manoeuvre qui est prise en consideration. Une position intermediaire<BR> s'exprime donc en pourcentage de la course totale entre les deux positions extremes.

Les dispositifs décrits présentent un inconvenient. En effet, la position intermédiaire de confort doit obligatoirement être réglée soit par l'installateur, soit par l'utilisateur. Et, si ce réglage n'est pas fait l'utilisateur risque d'ignorer l'existence de cette fonction d'ouverture en position intermédiaire.

Dans la demande FR 02 03668, il a été imagine de réaliser des dispositifs comportant une position intermédiaire prédéfinie par le constructeur. Dans le cas d'un fabricant de volets roulants connaissant le type de lame de chaque dispositif, il est possible de determiner une telle information de position intermédiaire, par exemple par le biais d'une valeur de pourcentage de la course totale. L'intérêt principal de cet enregistrement préalable d'une valeur prédéfinie est ae permettre à l'installateur de presenter la fonction à son client, en laissant a ce dernier le soin d'un ajustement precis à sa convenance. II n'est alors pas nécessaire que la position intermédiaire corresponde à la position ajourée optimale.

Cette solution présente un inconvenient. Elle complique la fabrication. En effet, on doit determiner le type de lame du volet roulant puis enregistrer cette donnée de position intermédiaire.

Le but de l'invention est de fournir un precede de determination d'une position intermédiaire ajourée améliorant les procedes Iconnus de l'art antérieur et palliant les inconvénients précités. En particulier, I'invention propose un precede de determination automatique de la position intermédiaire ajourée optimale, évitant toute étape d'enregistrement chez le fabricant.

Le precede selon l'invention est caractérisé par la partie caractérisante de la revendication 1.

Des variantes d'execution du precede sont définies par les revendications dépendantes 2 à 5.

Dans ce procédé, I'ajout d'une valeur doit être compris comme I'ajout d'une valeur relative pouvant éventuellement correspondre à la soustraction d'une valeur positive.

Le dispositif de commande est caractérisé par la partie caractérisante de la revendication 6.

Une variante de ce dispositif de commande est défini par la revendication 7.

Le dessin annexe représente, à titre d'exempte, un mode d'execution du precede selon l'invention.

La figure 1 est un schema d'une sequence de levage d'un volet roulant depuis sa position fermée.

La figure 2 est une vue schématique en coupe du tambour d'enroulement d'un volet roulant et des différentes actions mécaniques qui s'y appliquent.

Les figures 3 et 4 sont des diagrammes représentant le couple resistant a l'entraînement du volet en fonction de la position angulaire du tambour d'enroulement ou du temps.

La figure 5 est un schema d'un dispositif de commando permettant la mise en oeuvre du precede selon l'invention.

La figure 6 est un ordinogramme illustrant le procédé selon l'invention.

La figure 7 est un ordinogramme de détermination de la position intermediaire ajourée.

La figure 8 est un ordinogramme illustrant le fonctionnement d'une touche permettant de commander la mise en position intermédiaire ajourée.

Le volet roulant 1 représenté à la figure 1 est compose de plusieurs lames 2,3 reliées les unes aux autres. Une sequence de levage de ce volet roulant 1 est représentée de gauche à droite depuis sa position fermée. Dans cette première position, les lames 2,3 reposent les unes sur les autres. Le couple qu'exerce le volet sur ! son tambour d'enroulement, non représenté, est donc nul.

Sur les trois cliches suivants, les lames inférieures sont entraînées par les lames supérieures. Ceci permet de découvrir des trous oblongs pratiques dans les parties 4 des lames destinées à les relier entre elles.

Enfin, sur le cliché de droite, la lame inférieure 3 a quitte sa position basse, si bien que les trous oblongs sont découverts entre toutes les lames 2,3.

Dans cette position, le poids du volet roulant suspendu au tambour d'enroulement est maximal. Cependant, le couple exerce, sur le tambour n'est pas forcement maximal. En effet, le couple exerce sur le tambour d'enroulement depend aussi du rayon d'enroulement.

Comme représenté de manière simplifiée à la figure 2, la masse suspendue augmente, ce qui provoque un effort croissant appliqué sur le petit rayon: F1 puis F2. Pour une vitesse angulaire constante du tambour d'enroulement, le couple augmente de manière sensiblement linéaire et rapide. En effet, il suffit de parcourir la hauteur d'un ajour pour entraîner la lame suivante et donc augmenter la masse suspendue.

Quand la masse suspendue correspond à un poids F3, on, suppose qu'un tour entier d'enroulement a été realise : on passe alors sur le deuxième diamètre d'enroulement. Du fait de ce nouveau diamètre d'enroulement, la variation de couple due au décollage d'une lame est plus importante.

Des que la lame inférieure décolle, la masse suspendue passe par un maximum. On a représenté par F4 la nouvelle valeur du poids du tablier suspendu. Ce poids diminue ensuite au fur et à mesure de l'enroulement : F5, puis F6 et F7 sur un diamètre superieur.

On remarque que, jusqu'a ce que la dernière lame ait décollé, la vitesse moyenne de diminution de la masse suspendue (due à l'enroulement des

lames autour du tambour) est en générai inférieure à la vitesse moyenne de croissance de la masse suspendue (due à l'entraînement de nouvelles lames inférieures). En effet, il faut enrouler une lame complete pour provoquer la diminution d'une unite de la masse ! s'uspendue, alors qu'il suffit d'enrouler une distance correspondant a un ajour (soit ici environ 3 fois moins) pour provoquer I'augmentation d'une unite.

La courbe de la figure 3 est un exemple typique d'un relevé de couple en fonction du positionnement angulaire du tambour d'enroulement, dans le cas ou la lame inférieure n'est pas lestée. Une telle courbe peut être obtenue à l'aide d'un capteur de couple et d'un capteur de position angulaire. Un relevé experimental est nettement plus bruite, mais l'usage d'un algorithme de filtrage numérique permet de s'affranchir des fluctuations de couple.

Dans le cas représenté à la figure 3, le volet s'enrou, isur 8 tours. La lame inférieure décolle ici à la fin du deuxième tour P211 Dans la partie globalement décroissante du couple, chaque nouveau tou, est clairement repérable par un saut de couple (P3 à P7) s'opposant à lia décroissance générale. Dans la partie croissante, correspondant à la mise en ajours progressive des lames, le saut de couple correspondant au début du deuxième tour P1 est plus difficile à identifier. On remarque cependant qu'il est facile, à partir de la périodicité mesurée entre les positions P3 à P7, de repérer par extrapolation les positions P1 et P2 dans le cas ou ceux-ci seraient peu marques.

La situation se complique quelque peu lorsque, comme c'est souvent le cas, la lame inférieure est lestée. Le maximum de couple ne correspond pas forcement au décollage de la lame inférieure, mais peut se produire un peu apres, au moment d'un passage à un diametre d'enroulement supérieur. C'est ce qui est illustré à la figure 4, qui correspond cette fois à

une simulation du couple exerce par le volet sur le tambour en fonction de la longueur de tablier enroulée. Le maximum intermédiaire se distingue alors très facilement, repéré par une flèche. II s'agit de la variation de couple due au décollage de la lame inférieure, celle-ci étant lestée. II n'y a donc aucune ambigu'fate sur le repérage de la lame inférieure, pourvu qu'elle soit lestée.

La position intermédiaire ajourée PIA est déduite de la position de lame finale PLF dans laquelle la lame inférieure est en limite de contact avec une butée basse. Cette position intermédiaire ajouree correspond en effet à un enroulement légèrement inférieur à celui de la position PLF.

Ainsi, une donnée dPIA definissant la position PIA Ipe ; ut etre deduite d'une donnée dPLF définissant la position PLF par la relation dPIA = dPLF-20, si les données sont des angles d'enroulement du tambour en degrés et si la position PIA se trouve 20° avant la position PLF.

On peut également lier les données définissant les deux positions par un coefficient de proportionnalite, par exemple : dPIA = 0. 95 x dPLF.

Si la detection de couple est très sensible, ou si aucune marge n'est prise, on peut, pour simplifier, prendre: dPIA =dPLF.

Le dispositif de commande 19 représenté à la figure 5 et permettant de mettre en oeuvre le precede selon l'invention comprend une unite de commande 18 comprenant un microprocesseur 10 permettant l'exécution de programmes contenus dans une mémoire 12. L'unite de commande 18 pilote un actionneur 11 entraînant le volet roulant 1. Connu de l'homme de métier, le détail des connexions électriques et des relais de <BR> <BR> <BR> <BR> puissance n'est pas représenté. On signale par la flèche 15 la faculté de<BR> l'unité de commande 18 d'agir sur I'actionneur 11 et par', a fleche 16 des informations de retour telles que celles d'un capteur de souple 22 dans I'actionneur et, éventuellement, d'un capteur de position angulaire du tube d'enroulement. Le capteur de couple permettant la mesure du couple est de preference situe dans I'actionneur 11, mais peut aussi être situe à un autre endroit dans la chaîne de transmission entre I'actionneur et le volet. Une zone mémoire 13 est affectée au stockage de la donnée de position intermédiaire ajourée dPIA et une zone mémoire 14 est affectée au stockage d'un algorithme d'initialisation comprenant un programme d'acquisition de mesures de couple et de positions et un programme de calcul de la donnée de position intermédiaire ajourée dPIA.

Le dispositif de commande 19 est alimenté à partir d'une source électrique 20 à l'aide d'un convertisseur 21. Par ailleurs, un émetteur d'ordres 30 comprend des moyens de commande représentés ici par trois touches 31,32 et 33. La touche 31 active un contact donnant l'ordre de se rendre en position intermédiaire ajouree. La touche 32 active un contact donnant un ordre de montée et la touche 33 active un contact donnant un ordre de descente.

Comme il est connu de l'état de la technique, un appui sur une combinaison de ces touches ou un appui prolongé sur l'une d'entre elles, permet de faire entrer l'émetteur d'ordres dans un mode d'apprentissage.

L'émetteur d'ordres est relié à l'unité de commande par une liaison filaire 40 ou sans fil (infra-rouge, radio, etc...) comme il est connu de l'état de la technique. Cette liaison peut être bidirectionnelle, l'émetteur d'ordres comportant des voyants ou un écran permettant d'accuser reception des ordres emis. L'émetteur d'ordres peut être séparé de 11'actionneur ou intégré dans un même ensemble mecanique.

Un appui sur la touche 31 provoque l'activation de I'actionneur 11 jusqu'a ce que le volet atteigne la position intermédiaire ajouree qui est calculée par un algorithme d'initialisation stocké en mémoire 14.

Un intérêt de l'invention est de permettre une demonstration instantanée de la fonction de mise en position intermédiaire ajouree, meme si le réglage n'est pas exactement celui desire par l'utilisateur. En effet, l'utilisateur ayant compris 1'effet d'un appui sur la touche de position intermédiaire ajourée, il sera enclin à utiliser cette fonction après l'avoir éventuellement réglée à sa convenance.

Comme représenté à la figure 6, suite à une action A1 de l'installateur, ordonnant l'entrée en mode apprentissage, le volet engage, dans une première phase 101, un premier mouvement, par exemple de descente, jusqu'a rencontrer une butée basse. Celle-ci est détectée par le dispositif de mesure de couple, qui provoque l'arrêt de I'actionneur et 1'enregistrement d'une première position de fin de course FC1 ou la remise à zero d'un compteur de temps si le dispositif n'est pas muni de capteur angulaire de position. <BR> <BR> <BR> <BR> <BR> <BR> <BR> <P>Aussitôt après, dans une phase 102, I'actionneur 11 ehtrame) e voiet<BR> <BR> <BR> <BR> <BR> <BR> dans la direction opposée. Le capteur de couple recueille les valeurs du couple CM exerce sur le tambour, donc sur I'actionneur 11, en fonction de la position d'enroulement ou du temps. Cette phase d, enregistrement

dure, par exemple, jusqu'a une phase 103 dans laquelle un arrêt sur butée est detecte. Le signal issu du capteur de couple est filtré à I'aide d'un filtre passe-bas dont la fréquence de coupure est, de preference, au moins égale à la fréquence de rotation du tambour d'enroulement de manière à éviter d'obtenir une courbe de couple présentant de nombreux extremum locaux. Dans cette phase, on enregistre également une deuxième position de fin de course FC2.

Dans une phase suivante 104, on calcule les donnees dPLF et dPIA servant à définir les positions PLF et PIA, comme expliqué par la suite.

Dans une phase 105, la position intermédiaire ajouree'est enregistrée dans la mémoire 13. A l'issue de cette phase, le dispositif de commande sort du mode d'apprentissage.

Suite à une action A2 de l'utilisateur sur la touche 31 de l'émetteur d'ordres 30, I'unite de commande 18 reçoit l'ordre d'amener le volet dans la position intermédiaire ajourée. Dans une phase 106, I'unite de commande 18 détermine le sens du mouvement et active I'actionneur 11 jusqu'a atteindre la position PIA.

Dans le cas ou le temps d'activation de I'actionneur sert a determiner la position du volet, le positionnement du volet dans la position PIA peut nécessiter un passage préalable par une butée FC1 ou FC2 afin de remettre à zero le compteur de temps.

On peut également utiliser ce precede dans le cas ou le volet roulant ou tout autre dispositif de fermeture, d'occultation ou de protection solaire n'est pas muni de butée haute. Les positions de fin de course FC1 et/ou FC2 peuvent être déterminées par l'installateur à I'aide de l'émetteur et de moyens de programmation connus de l'état de la technique. Pour

simplifier le traitement des données, il est preferable que le mouvement entre les positions FC1 et FC2 soit ininterrompu, mais comme décrit par la suite, il n'est pas indispensable pour l'invention que le mouvement ait lieu d'une butée de fin de course à I'autre, pourvu qu'on enregistre les variations du couple au voisinage de la position dans laquelle la lame inférieure est en limite de contact avec la butée basse au moins de part et d'autre de cette position.

L'ordinogramme de la figure 7 illustre le precede de determination des positions PLF et PIA, mis en oeuvre dans la phase 104 du precede précédemment décrit.

Dans une première sous-phase 201, on recherche en mémoire l'ensemble des maxima locaux CM (i) du couple CM exerce sur le tambour lors de la phase 102 et les positions 6 (i) du volet correspondantes.

On determine par comparaison des maxima, le plus élevé d'entre eux CM (k) et sa position 0 (k).

II est clair qu'il n'est pas indispensable de connaître la position de tous les maxima, mais on remarque que ces informations ! permettent de déduire la fréquence d'enroulement, sensiblement constante ou variant avec la charge de manière connue et d'utiliser cette donnée pour éventuellement discriminer un maximum du à la variation du diamètre d'enroulement, d'un maximum du à la levée de la lame inférieure lestée, dans le cas ou ceux-ci seraient très proches.

Dans le cas de maxima bien délimités, une discrimination simple suffit.

Celle-ci peut être réalisée par un test 202 dans lequel on determine s'il existe un maximum local dont la position est plus proche de la position

fermée du volet que ne l'est la position du maximum global. L'indice (k-1) est attribué à la position d'un maximum local situé entre la position fermée du volet et la position du couple maximum global.

Si le résultat de ce test est négatif alors on définit, dans une sous-phase 203, la position PLF dans laquelle la lame inférieure est en limite de contact avec la butée basse comme étant la position 6 (k) du couple maximum global.

Si le résultat de ce test est positif alors on définit, dans une sous-phase 204, la position PLF dans laquelle la lame inférieure est en limite de contact avec la butée basse comme étant la position 0 (k-1) du maximum local existant entre la position fermée du volet et la position 6 (k) du couple maximum global. <BR> <BR> <BR> <BR> <BR> <BR> <P>Enfin, dans une sous-phase 205, on définit ! a position intermediaire<BR> <BR> <BR> <BR> <BR> <BR> <BR> ajourée PIA à partir de la position PLF dans laquelle la ! lame inférieure est en limite de contact avec la butée basse. Cette'definition peut consister en la soustraction d'un nombre ou encore en l'application d'un coefficient multiplicateur à la donnée dPLF définissant la position PLF.

Les données définissant les positions PIA et PLF peuvent etre des angles d'enroulement du tambour, des durées d'activatioh de I'actionneur 11 depuis une position de reference ou encore des images de ces grandeurs.

Enfin, l'utilisateur ou l'installateur conserve, comme connu de I'art antérieur, la possibilité d'enregistrer une donnée de position définissant une position personnalisée convenant mieux à l'utilisateur. Cet enregistrement agit, de manière préférée, directement par écrasement de la valeur calculee PIA dans la mémoire 13.

L'invention est plus facilement mise en ceuvre par l'utilisation d'un émetteur d'ordres comportant un nombre réduit de touches et facilitant la comprehension des fonctions. A cet effet, l'invention propose que le dispositif precedent soit mis en oeuvre avec un émetteur d'ordre présentant un clavier a trois touches. La touche 31 ayant une fonction de commande d'aller en position intermédiaire ajourée, lorsque l'actionneur 11 n'est pas active et de commande d'arrêt, lorsque l'actionneur 11 est active.

Comme représenté à la figure 8, une première étape 301 teste l'état de la touche 31. Si celle-ci est actionnée, une seconde étape 302 teste si l'actionneur est active : - si tel est le cas, on passe à une étape 304 dans laquelle I'actionneur 11 est désactivé, - si tel n'est pas le cas, on passe à une étape 303 dans laquelle l'émetteur d'ordres envoie un ordre commandant au volet de rejoindre la position intermédiaire ajouree PIA.

Ainsi donc, l'invention facilite doublement l'usage de la fonction d'accès à une position intermédiaire ajouree, d'une part, par un precede qui rend cette fonction utilisable, de manière presque optimale, sans recours à un réglage sur site et, d'autre part, par des moyens d'emission d'ordres adaptes à une bonne comprehension des fonctions par l'utilisation d'un nombre de touches limite.