La présente invention concerne d'une façon générale les équipements informatiques, et plus particulièrement un nouvel agencement de périphériques pour ordinateur ou station de travail personnel.

Classiquement, un ordinateur comprend un boîtier principal (unité centrale) et un clavier et un écran physiquement séparés de l'unité centrale.

Dans les ordinateurs portables, un boîtier unique, articulé, comprend dans une partie de base l'unité centrale et le clavier, et dans l'autre partie l'écran, du type à cristaux liquides.

Un tel agencement de l'unité centrale et des périphériques n'est pas optimal car, dans tous les cas, l'ordinateur ou ses périphériques neutralisent une place importante sur le plan de travail de l'utilisateur. En outre, la présence de câbles de liaison entre divers éléments est à la fois inesthétique, peu pratique, et source de problèmes en cas de déconnexion ou de détérioration.

On connaît en outre par EP-A-0 398 055 un "bloc-notes" électronique à écran plat sensitif. Un tel dispositif présente une dimension réduite, de l'ordre de celle d'une feuille de papier, et une épaisseur importante. Il présente un certain encombrement sur un plan de travail. En outre, de par la non-planéité de sa surface supérieure, il ne saurait en aucun cas inciter l'utilisateur à l'utiliser comme écritoire ou analogue.

Le document DE-A-35 11 353 décrit quant à lui un bloc- notes électronique qui peut prendre la forme d'un dispositif plat à clavier et écran. Cela étant, un tel bloc notes électronique se rapproche simplement d'un ordinateur portable de type à écran articulé, en position entièrement

déployée. Rien ne suggère d'utiliser un tel dispositif comme écritoire ou analogue, et il s'agit simplement d'un objet de plus encombrant le plan de travail de 1 ' utilisateur . Enfin on connaît par EP-A-0 251 492 un micro¬ ordinateur dont tous les composants sont montés dans un boîtier relativement peu épais et qui présente une surface supérieure généralement plane.

Toutefois, de par le fait que le boîtier abrite l'ensemble des composants d'un micro-ordinateur, ce boîtier est nécessairement relativement épais, ce qui pose ici encore le problème de l'encombrement et ce qui n'incite nullement l'utilisateur à l'utiliser comme écritoire ou analogue. La présente invention vise à proposer un nouvel agencement de périphériques pour ordinateur personnel, station de travail ou analogue, qui soit particulièrement pratique et esthétique, et ne pose pas de problèmes d'encombrement du plan de travail de l'utilisateur. Ainsi l'invention concerne un dispositif périphérique pour ordinateur ou analogue, caractérisé en ce qu'il comprend : un boîtier plat de faible épaisseur, apte à reposer sur un plan de travail et présentant une surface supérieure généralement plane et lisse, un clavier et un écran plat disposés dans une zone centrale du dispositif, et deux zones vierges situées respectivement de part et d'autre de ladite zone centrale, et en ce que le boîtier présente des dimensions choisies de manière à ce qu'il constitue un sous-main occupant en permanence une partie d'un plan de travail.

Des aspects préférés, mais non limitatifs, du dispositif de l'invention sont les suivants :

- l'écran est disposé entre le clavier et un bord du dispositif côté utilisateur.

- le dispositif comprend : une ossature métallique comportant un cadre périphérique et recevant le clavier et l'écran plat, une plaque transparente recouvrant ledit écran, une plaque mince présentant une ouverture au niveau du clavier et définissant avec ladite plaque transparente une surface généralement lisse, et une membrane souple recouvrant ladite plaque transparente et ladite plaque mince.

- la plaque transparente constitue un dispositif de détection de coordonnées x/y superposé à l'écran plat (211). - le clavier est constitué par une pluralité de touches à enfoncement séparées les unes des autres par des cloisons, lesdites touches et lesdites cloisons définissant une surface supérieure généralement plane et continue contre laquelle est appliquée ladite membrane. - lesdites touches et lesdites cloisons présentent des bords arrondis.

- ladite membrane est imprimée sur sa face intérieure, tout en restant transparente au niveau de l'écran.

- le dispositif présente une profondeur de l'ordre de 40 à 60 cm et une largeur de l'ordre de 60 à 80 cm, et une épaisseur de l'ordre de 15 mm.

- le boîtier comprend un logement ouvert vers le haut, dans lequel le clavier est reçu de façon amovible et des moyens de contact électrique de surface entre un boîtier du clavier et une paroi du logement.

- le boîtier du clavier présente une surface de fond généralement lisse, ledit clavier pouvant également être retourné de 180° et placé dans le logement de manière à ce que ladite surface de fond vienne sensiblement en

affleurement avec le reste de la surface supérieure du dispositif.

- le dispositif comprend au voisinage d'un bord côté utilisateur des parties de calag en saillie vers le bas, destinées à coopérer avec le bord d'un plan de travail.

- le dispositif comprend un câble unique pour sa connexion à 1'unité centrale d'un ordinateur.

- ce câble débouche de l'une des parties de calage.

- le dispositif comprend des moyens de liaison sans fil avec un dispositif périphérique auxiliaire, en particulier avec une souris.

D'autres aspects, buts et avantages de la présente invention apparaîtront mieux à la lecture de la description détaillée suivante de formes de réalisation préférées de celle-ci, donnée à titre d'exemple non limitatif et faite en référence aux dessins annexés, sur lesquels:

- la figure 1 est une vue schématique en perspective éclatée d'une partie d'un dispositif selon une première forme de réalisation de l'invention, - là figure 2 est une vue en coupe selon la ligne II- II de la figure 1,

- la figure 3 est une vue schématique en plan du dispositif des figures 1 et 2, calé sur un plan de travail,

- la figure 3 est une vue en perspective du dispositif une fois monté,

- la figure 4 est une vue schématique en perspective d'une deuxième forme de réalisation d'un dispositif selon l'invention, et

- la figure 5 illustre un exemple de réalisation d'une embase de recharge et de communication pour bloc-notes électronique.

On va maintenant décrire en référence aux figures 1 à 3 un dispositif selon une forme de réalisation préférée de l'invention.

Le dispositif comprend une ossature 100, réalisée de préférence en alliage d'aluminium moulé, qui comprend un cadre périphérique 101 et des membrures intérieures 103.

L'ossature 100 présente en l'espèce une forme asymétrique, et une épaisseur de l'ordre de 15 mm. Elle présente, dans deux régions de coin destinées à se placer au niveau d'un bord, côté utilisateur, d'un plan de travail

PT (voir figure 3), deux parties en surépaisseur 102, 104 qui font saillie vers le bas. L'une de ces parties 102, par exemple à la droite de l'utilisateur, constitue un départ pour un câble C de liaison du dispositif à l'unité centrale d'un ordinateur de type ordinateur personnel. L'une des parties 102 et 104 reçoit un interrupteur marche-arrêt (non représenté) pour les différents organes du dispositif.

Chacune des parties 102, 104 présente une cavité de forme généralement triangulaire recevant un haut-parleur, respectivement 213, 214, de manière à donner au dispositif une aptitude à la restitution sonore. il est prévu en outre un microphone miniature 215, par exemple du type à électret, reçu dans l'ossature au niveau de la région centrale du bord du dispositif s 'étendant entre les parties 102 et 104.

Il est en outre prévu dans un bord latéral du cadre 101 de l'ossature 100 une série d'ouvertures pour des potentiomètres miniatures 210 de réglage de contraste et de luminosité d'écran, de niveau sonore, etc....

L'ossature 100 est destinée à abriter dans les différents espaces intérieurs définis par les membrures 103 un certain nombre d'éléments : un clavier CL comportant une pluralité de touches à enfoncement 212, de préférence de type électromécanique; un écran plat à cristaux liquides 211, notamment un écran en couleurs selon la technologie dite "TFT";

un dispositif émetteur/récepteur infrarouge 218 pour la communication sans fil avec un dispositif périphérique auxiliaire tel qu'une souris (non représentée) ou autre; diverses cartes à circuits imprimés 217 notamment pour piloter l'écran 211 et décoder le clavier CL.

On observe par ailleurs qu'une plaque ou dalle transparente 221, constituant un dispositif de détection de position x/y d'un stylet, ou du type tactile, vient se placer au-dessus de l'écran 211 en étant calée en place par les membrures 103. Ce détecteur de coordonnées x/y est de préférence de type résistif, connu en soi. Sa connexion électrique est réalisée au niveau d'un appendice latéral 221a.

Les différents éléments logés dans le boîtier du dispositif peuvent être reliés les uns aux autres de différentes manières. Dans une forme de réalisation de base, on prévoit des câbles multiconducteurs appropriés trouvant leur passage dans l'ossature. Dans une variante, on peut prévoir un circuit imprimé unique couvrant toute l'étendue des éléments du dispositif et comportant des pistes conductrices reliant les divers éléments les uns aux autres.

Comme le montre plus précisément la figure 2, le boîtier du dispositif comporte, au-dessous de l'ossature 100, une plaque de fond 200, par exemple en tôle d'aluminium, venant se caler dans des évidements appropriés du cadre 101 de l'ossature 100, de manière à offrir une surface de base généralement lisse.

On observe sur la figure 2, dans l'épaisseur de l'ossature 100 et entre ses membrures 103, l'écran à cristaux liquides 211 surmonté par la dalle transparente 221, et le clavier CL. On observe que chaque touche de ce clavier est constituée par un interrupteur électromécanique fugitif 212b monté sur un circuit imprimé 212c et dont une

tige de commande reçoit un cabochon 212a généralement bombé.

Entre les touches adjacentes sont prévues des cloisons 219 constituées par une pièce en matière plastique moulée comportant autant d'alvéoles qu'il y a de touches 212, et présentant la même hauteur que les touches. De cette manière, au niveau de la surface supérieure des cabochons 212a, les bords supérieurs de la pièce 219 viennent assurer une certaine continuité de surface entre les sommets des cabochons adjacents, à des fins expliquées plus loin.

En outre, également à des fins expliquées plus loin, les bords des cabochons 212a et des cloisons 219 sont adoucis.

Il est prévu, au-dessus de l'ossature 100, une plaque plane 220 en tôle d'aluminium. Cette plaque présente une première ouverture à la dimension de la plaque transparente 221, et une seconde ouverture au niveau des touches du clavier CL. La plaque transparente 221 est enchâssée dans la première ouverture, de manière à ce que sa surface supérieure affleure avec la surface supérieure de la plaque 230. Par ailleurs, les éléments du clavier CL sont positionnés en hauteur de telle sorte que la surface supérieure des cabochons 212a et des cloisons 219 soit généralement coplanaire avec la surface supérieure de la plaque 220.

La plaque 220 repose par son bord périphérique sur une membrure de soutien 105 du cadre 101, et est calée en place par des décrochements verticaux 106. La fixation et l'étanchéité sont assurées par exemple par collage. Au-dessus de la plaque 220, de la plaque 221 et du clavier CL est prévue une membrane flexible 230, par exemple en polyester et quelques dizièmes de millimètres d'épaisseur, qui s'étend continûment sur toute la surface de ces éléments.

Cette membrane 230, transparente, est sérigraphiée sur sa surface inférieure, de manière à présenter une teinte sombre. Elle présente au niveau de l'écran 211 une zone 231 qui est laissée transparente. Elle présente en outre au niveau de chacune des touches du clavier des motifs 232 permettant d'identifier ces touches.

La membrane 230 est fixée sur le dispositif par un adhésif approprié.

On observera ici que la flexibilité de la membrane permet à l'utilisateur d'enfoncer les touches du clavier, dont la course est de préférence de 1 à 4 mm, la membrane se déformant temporairement au niveau de la touche considérée lors de son enfoncement. On observera également que les bords arrondis des cabochons 212a et des cloisons 219 permet d'éviter à leur niveau une usure de la membrane lors de ses déformations répétées.

De préférence, la hauteur du décrochement prévu dans la partie de cadre 101 de l'ossature 100 est légèrement supérieure à la somme des épaisseurs de la tôle d'aluminium 240 et de la membrane en polyester 230, de manière à empêcher l'arrachement intempestif de ladite membrane. on observera ici que l'adaptation du dispositif de l'invention à des claviers correspondant à des pays différents (par exemple claviers "azerty", "qwerty", etc..) s'effectue extrêmement aisément en modifiant la sérigraphie de la membrane souple 230.

Comme le montre la figure 1, le câble unique C se termine par un faiceau comportant une pluralité de connecteurs standard CN pour relier le dispositif à l'unité centrale d'un ordinateur personnel, et en particulier : à la sortie vidéo, à l'entrée pour clavier, - à un ou deux ports série, notamment pour le périphérique auxiliaire (souris) , - à une sortie stéréophonique pour haut-parleurs,

- à une entrée audio pour le microphone,

- à une source d'alimentation continue pour l'écran à cristaux liquides et les divers circuits électroniques de pilotage. Du fait de l'unicité et de la position du câble C, l'encombrement est réduit au minimum. En particulier, il peut être aisément fixé au-dessous du plan de travail de l'utilisateur jusqu'à l'unité centrale.

Selon une caractéristique importante de l'invention, la surface supérieure du dispositif étant constituée par une feuille 230 continue et reliée de façon étanche au cadre, ladite surface peut constituer, lorsque le clavier et l'écran ne sont pas utilisés, un plan de travail ordinaire. Le dispositif est à l'abri des poussières, des liquides, etc— , ce qui garantit sa fiabilité.

La figure 3 montre bien la répartition des différents éléments sur la surface du dispositif.

On observera tout d'abord que le clavier CL est disposé au-dessus de l'écran, ce qui s'avère tout à fait pratique pour un travail à plat, l'écran se situant dans l'espace situé entre les bras de l'utilisateur en cours de saisie sur le clavier.

Le dispositif comporte deux zones latérales essentiellement vierges Zl, Z2, sur lesquelles les bras de l'utilisateur peuvent reposer pendant le travail, et une zone centrale Z3, de largeur voisine de celle de chaque zone Zl, Z2, dans laquelle sont prévues une zone d'écran ZE et une pluralité de zones de clavier, à savoir deux zones ZC constituant un clavier alphanumérique classique. Une autre zone ZC constituant un pavé numérique, et une zone ZC" constituant un groupe de quatre touches de curseur, débordent dans la zone vierge de droite Zl.

La figure 4 illustre une variante de réalisation de l'invention, selon laquelle on fait appel à un clavier, globalement indiqué en 400, qui est logé dans un boîtier de

forme généralement parallélépipédique comportant le long d'un de ses bords des contacts 402. Il est destiné à être reçu dans un logement 120 pratiqué dans l'épaisseur du dispositif. Dans ce logement 120 sont également prévus des contacts destinés à coopérer avec les contacts 402.

Dans cette variante, le clavier 400, lorsqu'il n'est pas utilisé, peut être extrait du logement 120, retourné sur 180° et replacé dans le logement 120 dans cette position, de manière à exposer vers le dessus sa surface de fond, lisse. On obtient de cette manière un sous-main de surface supérieure généralement lisse, qui peut être utilisé comme un sous-main ordinaire lorsqu'il n'est pas utilisé comme ensemble périphérique d'ordinateur.

La figure 4 montre également que le dispositif comporte optionnellement deux unités 213, 214 de lecture de cartes intelligentes (cartes à mémoire), notamment au standard PCMCIA, et de préférence deux unités de rétroéclairement disposées au voisinage des unités 413, 414 et destinées à localiser les fentes d'introduction associées 110, 112 prévues dans le cadre 101.

De façon avantageuse, l'ordinateur constitué par une unité centrale et le dispositif périphérique tel que décrit ci-dessus, ou encore tout type d'ordinateur conventionnel, peut être amené à communiquer avec un ordinateur portable de type bloc-notes électronique, de façon connue en soi. Dans ce cas, le dispositif selon l'invention peut être avantageusement équipé, de façon non illustrée, d'un logement pour un tel bloc-notes électroniques, avec des contacts mutuels assurant à la fois la recharge des batteries du bloc-notes et la communication bi¬ directionnelle entre l'ordinateur, via le câble C.

Et un ordinateur tout comme un bloc-notes électroniques peuvent être amenés à mémoriser des événements, que l'on doit organiser et conserver selon un ordre chronologique.

On va maintenant décrire un protocole permettant, lorsque le bloc-notes est relié à l'ordinateur par exemple de la façon décrite ci-dessus, de mettre à jour, de façon automatique et transparente pour l'utilisateur, des fichiers de tels événements mémorisés à la fois dans l'ordinateur et dans le bloc-notes.

On a illustré ci-dessous en colonne A le contenu d'une mémoire tampon d'événements du bloc-notes, respectivement Ea, Eb et Ec, avec les date et heure associées déterminées à partir de l'horloge interne du bloc-notes. Dans la colonne B figure, de la même manière, le contenu d'une mémoire tampon de l'ordinateur, avec cinq événements E01 à E05 et les date et heure associées, déterminées par l'horloge interne de l'ordinateur.

(B) ORDI NATEUR (A) BLOC-NOTES

Nive3u de A Niveau de B

07-01 - 1994 08:45:53 07-01 - 1994 08:45:53 |

Data . heure Eveπ. Data . heure Even.

07-01 - 1994 08:45:53 E01 03-01 - 1994 10:39:25 Ea 07-01 - 1994 10:48:24 E02 08-01 - 1994 10:42:55 Eb 07-01 - 1994 17: 12:06 E03 10-01 - 1994 13:45:12 Ec 08-01 - 1994 21 :31 :40 E04 10-01 - 1994 1 1 :20:47 E05

USAGE AUTONOME

Lorsque le bloc-notes est posé sur son support ₍ ou connecté à un câble approprié) pour ainsi être relié à l'ordinateur, un protocole de mise-à-jour se déclenche automatiquement et de façon transparente pour l'utilisateur (de préférence en tâche de fond) de manière à fusionner, dans une mémoire tampon contenue par exemple dans l'ordinateur, les événements Ea-Ec et E01-E05, en les reclassant par ordre chronologique, comme illustré ci- dessous.

MISE EN CONTACT

Déclenchement d'une interruption Niveau de A et B

10-01-1994 11:20:47

Fusion et buflerisation des événements Date . heure Even. connus en A et B Recalage horloges.

07-01-199408:45:53 E01

07-01-199410:48:24 E02 Procédure de mise à

07-01-199417:12:06 E03 jour en tache de lor.d

08-01-199410:39:25 Ea des deux appareils

08-01-199410:42:55 Eb

08-01-199421:31:40 E04 Effacement des

10-01-199413:45:12 Ec événement

10-01-199411:20:47 E05 après mise â jour

Ce protocole est également chargé de recaler les horloges internes de l'ordinateur et du bloc-notes. Ensuite, le contenu de la mémoire tampon contenant les événements fusionnés est utilisé pour mettre à jour des fichiers d'événements contenus dans les mémoires de masse de l'ordinateur et du bloc-notes, et enfin les mémoires tampon de l'ordinateur et du bloc-notes sont vidées pour pouvoir recueillir par la suite d'autres événements au cours de leur utilisation autonome, comme indiqué ci- dessous.

RESULTAT CONTACT

Niveau de A Niveau de B

10-01-1994 11:20:47 ® 10-01-1994 11:20:47 ®

Date . heure Even. Date . heure Even.

On notera ici que, lorsque le bloc-notes électronique est équipé d'un lecteur de cartes par exemple de type PCMCIA, le protocole précité peut être mis en oeuvre lorsqu'une carte à mémoire provenant du bloc-notes est insérée dans l'un des lecteurs 413, 414 équipant le dispositif selon l'invention.

Grâce à cet aspect de la présente invention, des événements recueillis par l'utilisateur à l'aide de l'ordinateur ou du bloc-notes sont regroupés de façon cohérente au niveau des deux appareils, et ceci sans que l'utilisateur n'ait à effectuer de manipulations.

Maintenant en référence à la figure 5, on a illustré un bloc-notes électronique généralement indiqué en 450, qui comprend de façon conventionnelle une unité centrale associée à des mémoires et des circuits d'entrée/sortie, un écran 452 du type à cristaux liquides et un clavier simplifié 454. Le bloc-notes comprend également une série de contacts 456 affleurant sur l'un de ses bords latéraux.

Selon l'invention on prévoit en association ou non avec le dispositif périphérique selon l'invention, un support, globalement désigné par la référence 500, pour le bloc-notes 450.

Ce support comprend un logement en creux 510 pour le bloc-notes, sur une paroi duquel sont prévus des contacts électriques 506 destinés, lorsque le bloc-notes y est mis en place, à coopérer avec les contacts 456 du bloc-notes.

Selon un aspect essentiel, le support 500 comprend à la fois :

^• un bloc d'alimentation 502, permettant à partir de la tension électrique du secteur d'engendrer une tension continue pour recharger les batteries du bloc-notes via certains des contacts 456, 506;

^• un modem 504, alimenté en électricité par le bloc 502 et connecté (de préférence par une liaison série) au bloc-notes 450 par d'autres contacts 456, 506. Le modem

peut être relié au réseau téléphonique par un cordon approprié.

De cette manière, le bloc-notes 450 peut être dépourvu d'un modem, cette fonction pouvant être assurée par le support 500 dès que le bloc-notes repose sur celui-ci.

Ainsi, en posant le bloc-notes dans son support, on assure simultanément, d'une manière extrêmement pratique pour l'utilisateur, la recharge des batteries et sa capacité à communiquer avec des sites distants via le réseau téléphonique. Bien entendu, le modem peut être prévu pour l'envoi et la réception de télécopies.

Bien entendu, la présente invention n'est nullement limitée aux formes de réalisation décrites et représentées, mais l'homme du métier saura y apporter toute variante ou modification conforme à son esprit.