Titre : Structure de jeu pour l’entraînement au tennis

L’invention concerne une structure de jeu pour l’entrainement au tennis.

On connaît des structures comprenant une toile inclinée vers laquelle une balle de tennis peut être frappée par un joueur, ladite toile étant disposée dans un cadre en présentant une surface de frappe qui permet le retour de la balle frappée.

De telles structures permettent notamment de renvoyer la balle au joueur suivant des intervalles de temps lui permettant de s’entraîner aux échanges de balles sans l’aide d’un partenaire. Ainsi, le joueur peut travailler et améliorer ses techniques de frappe, comme le coup droit ou le revers, mais également apprendre à anticiper ses déplacements pour mieux réceptionner la balle envoyée par un adversaire.

Les documents EP-3 740 291 , EP-2 514 494 et CN-204 017 318 décrivent une telle structure, dans laquelle le cadre est porté par une structure de piétement qui est agencée pour permettre le positionnement de la surface de frappe de la toile dans une position inclinée par rapport au joueur afin de permettre à la balle d’avoir une trajectoire ascendante puis descendante avant d’être renvoyée vers le joueur.

Afin d’optimiser le temps entre deux frappes, l’art antérieur prévoit de conformer spécifiquement la partie supérieure du cadre, notamment en le sur-inclinant ou en le sous-inclinant par rapport à la surface de frappe, afin de retarder le retour de la balle vers sa course descendante. Par ailleurs, la balle est renvoyée vers le joueur en prévoyant un rebond de ladite balle sur une partie inférieure du cadre. Toutefois, l’art antérieur prévoit des cadres rigides qui ne donnent pas satisfaction tant dans les possibilités de conformation de leur partie supérieure que dans la capacité de rebond de la balle sur leur partie inférieure. Par ailleurs, les réalisations selon l’art antérieur ne permettent pas d’éviter que la balle puisse sortir du cadre.

L’invention vise à perfectionner l’art antérieur en proposant une structure de jeu permettant d’améliorer la trajectoire de renvoi de la balle au joueur tout en optimisant le temps entre deux frappes, et ce au moyen d’un cadre de conception simple et qui est particulièrement pratique à utiliser. La structure de jeu selon l’invention permet en outre de maintenir la balle dans le cadre, tout en étant rapide à installer et à ranger, moins lourde et plus simple d’utilisation.

A cet effet, l’invention propose une structure de jeu pour l’entraînement au tennis, comprenant une toile vers laquelle une balle de tennis peut être frappée par un joueur, ladite toile étant disposée dans un cadre de manière à permettre le retour de la balle frappée, ledit cadre étant porté par une structure de piètement permettant le positionnement de ladite toile dans une position inclinée par rapport au joueur, ledit cadre comprenant deux montants latéraux sur lesquels respectivement un bord de la toile est associée en formant sur ladite toile une surface de frappe qui s’étend suivant un plan P de roulement de la balle sur elle, ledit cadre présentant en outre deux traverses respectivement supérieure et inférieure délimitant longitudinalement entre elles la surface de frappe, la traverse inférieure comprenant un boudin présentant une paroi élastiquement déformable qui s’étend en saillie du plan P, la toile présentant un bord inférieur associé à ladite paroi en prolongeant la surface de frappe par une surface de renvoi formée sur ladite paroi de sorte qu’une balle roulant vers le bas sur la surface de frappe finisse sa course descendante par un rebond impulsé par la déformation élastique de la paroi sous l’effet du choc de ladite balle sur elle.

D’autres particularités et avantages de l’invention apparaîtront dans la description qui suit, faite en référence aux figures annexées, dans lesquelles : [Fig.1 ] représente en perspective vue de l’avant une structure de jeu selon un mode de réalisation de l’invention ;

[Fig.2a] et

[Fig.2b] représentent en perspective vue de l’avant, suivant deux points de vue différents, le cadre et la structure de piétement de la structure de la figure 1 , la toile n’étant pas représentée ;

[Fig.3] représente un agrandissement partiel du coin supérieur gauche de la figure 1 ,

[Fig.3a] étant une représentation schématique d’une section de la figure 3 suivant le plan de coupe C-C ;

[Fig.4] est une représentation partielle en coupe sagittale de la structure de jeu des figures précédentes, centrée sur la traverse supérieure équipant le cadre ;

[Fig.5] est un agrandissement en vue de face de la partie supérieure de la structure de jeu des figures précédentes, montrant notamment la trajectoire d’une balle ;

[Fig.6] est une représentation partielle en perspective vue de l’arrière de la partie supérieure de la structure de jeu des figures précédentes ;

[Fig.7] représente en vue de côté la structure de jeu des figures précédentes, dans laquelle le cadre de support de la toile est incliné par rapport au sol suivant deux angles différents ;

[Fig.8] est une représentation partielle en vue de face de la partie inférieure de la structure de jeu des figures précédentes ;

[Fig.9] représente en perspective vue de l’avant une structure de jeu selon un autre mode de réalisation de l’invention, la figure 9a représentant schématiquement des sections du montant latéral gauche de la figure 9 respectivement au niveau de la surface de frappe (en haut) et au niveau de la surface de renvoi de la balle (en bas) ;

[Fig.10] représente partiellement en coupe sagittale une structure de jeu selon l’invention, ladite coupe étant centrée sur la traverse inférieure de ladite structure de jeu ;

[Fig .11] représente en perspective vue de l’avant une structure de jeu selon une variante de réalisation de l’invention ; [Fig.12] représente en perspective vue de l’avant une structure de jeu selon un autre mode de réalisation de l’invention.

En relation avec ces figures, on décrit ci-dessous une structure de jeu pour l’entraînement au tennis.

La structure comprend une toile 1 vers laquelle une balle de tennis 2 peut être frappée par un joueur, ladite toile étant disposée dans un cadre 3 de manière à permettre le retour de la balle 2 frappée. Le cadre 3 est porté par une structure de piétement 4 pour permettre le positionnement de la toile 1 dans une position inclinée par rapport au joueur.

De façon avantageuse, la structure de jeu comprend au moins une chambre gonflable 5, 5a, 5b, 5c, 5d formant le cadre 3 et/ou la structure de piétement 4, ce qui permet d’alléger le poids de ladite structure de jeu, mais également d’en diminuer l’encombrement en la dégonflant lorsqu’elle n’est pas utilisée, afin d’en faciliter le rangement et le transport.

Dans les modes de réalisation représentés, la structure de jeu comprend à la fois un cadre 3 et une structure de piétement 4 gonflables. En particulier :

- dans un premier mode de réalisation, la structure de jeu comprend une seule chambre gonflable 5 formant à la fois le cadre 3 et la structure de piétement 4 (figures 1-8, 11) ;

- dans un deuxième mode de réalisation, la structure de jeu comprend deux chambres gonflables distinctes 5a, 5b formant respectivement le cadre 3 et la structure de piétement 4, qui sont associées de façon réversible pour former la structure (figure 9) ;

- dans un troisième mode de réalisation, la structure de piétement 4 est réalisée avec deux chambres gonflables distinctes 5c, 5d qui sont associées de façon réversible (figure 12).

La structure de jeu est ainsi gonflable à partir d’un nombre limité de points d’entrée d’air, ce qui permet d’en faciliter le gonflage et le dégonflage. A cet effet, chaque chambre 5, 5a, 5b, 5c, 5d peut présenter une valve de gonflage / dégonflage qui peut être adaptée pour être connectée à une pompe de gonflage conventionnelle.

Chaque chambre gonflable 5, 5a, 5b, 5c, 5d présente une enveloppe étanche, notamment formée à base de polyuréthanne thermoplastique (TPU), disposée dans un manchon 6, 6a, 6b, 6c, 6d notamment pour des raisons esthétiques et/ou pour protéger le cadre 3 ou la structure de piétement 4 contre d’éventuels risques d’usure et/ou de crevaison. Les manchons 6, 6a, 6b, 6c, 6d peuvent notamment être réalisés en matériau textile synthétique, par exemple à base de polyester.

En particulier, chaque manchon 6, 6a, 6b, 6c, 6d comprend une partie tubulaire destinée à épouser la géométrie extérieure du cadre 3 ou de la structure de piétement 4, et à laquelle la toile 1 est associée en sa périphérie, par exemple par couture 8, par collage et/ou par soudure, ou de façon amovible par un zip, des crochets ou des moyens auto-agrippants.

La structure de jeu à l’état gonflé présente notamment les dimensions suivantes :

- une hauteur comprise entre 190 cm et 250 cm, notamment de l’ordre de 230 cm ;

- une section tubulaire moyenne de diamètre compris entre 9 cm et 12 cm, notamment de l’ordre de 10 cm.

La toile 1 peut être réalisée en un matériau textile élastiquement déformable, notamment en un matériau ajouré tissé ou tricoté de type « mesh » 2D, qui peut être réalisé en fibres polymères, notamment à base de polyester (PES). En variante, la structure gonflable permet d’utiliser une toile 1 non élastique ou légèrement élastique, par exemple sous la forme d’un tissu ou d’un tricot, dans la mesure où la balle induit une déformation de la structure en plus de celle de la toile 1 . Le cadre 3 comprend deux montants latéraux 7 sur lesquels respectivement un bord de la toile 1 est associé en formant sur ladite toile une surface de frappe 1a qui s’étend suivant un plan P de roulement de la balle 2 sur elle, ainsi que deux traverses respectivement supérieure 9a et inférieure 9b délimitant longitudinalement entre elles la surface de frappe 1a. En particulier, le plan P s’étend en retrait des montants latéraux 7, par exemple en associant la toile 1 sous lesdits montants, de sorte à maintenir latéralement la balle 2 sur la surface de frappe 1a.

Dans les modes de réalisation représentés, le cadre 3 présente deux boudins latéraux gonflables 10 formant les montants 7, ainsi qu’un boudin transversal 10b formant la traverse inférieure 9b.

De même, la structure de piétement 4 présente deux boudins horizontaux 11a qui peuvent par exemple être destinés à prendre appui sur le sol, chacun desdits boudins horizontaux étant prolongé par un boudin vertical arrière 11b sur l’extrémité supérieure duquel le cadre 3 est en appui.

De façon avantageuse, comme représenté sur la figure 6, les extrémités supérieures des boudins verticaux arrière 11b sont associées de façon réversible au cadre 3, notamment au moyen d’éléments de fixation 12a, 12b de type boutons pressions, moyens auto-agrippants, boucles et agrafes, ce qui permet notamment de faciliter le pliage de la structure de jeu à l’état dégonflé.

En particulier, le cadre 3 peut présenter différentes zones d’association des extrémités supérieures des boudins verticaux arrière 11b, qui sont agencées pour pouvoir modifier l’angle a d’inclinaison par rapport au sol du cadre 3 en faisant varier l’angle P que forme un plan frontal F contenant lesdits boudins avec ledit sol, comme représenté sur la figure 7.

Pour ce faire, le cadre 3 peut comprendre quatre parties 12b mâle ou femelle de boutons pressions, qui sont associées chacune à l’arrière de respectivement un montant latéral 7 en étant alignées horizontalement par paires, chaque paire étant décalée verticalement d’une distance de l’ordre de 20 cm par rapport à l’autre paire le long desdits montants.

Par ailleurs, chaque extrémité supérieure d’un boudin vertical arrière 11b peut être équipée d’une partie de bouton pression 12a complémentaire des parties 12b fixées à l’arrière du cadre 3, afin de permettre au joueur de régler l’angle a d’inclinaison dudit cadre en associant lesdites extrémités sur les parties 12b de boutons pressions correspondantes à l’arrière dudit cadre.

Dans les deux modes de réalisation représentés, les boudins verticaux arrière 11b sont reliées en leurs extrémités supérieures par un boudin transversal 10a formant la traverse supérieure 9a, et en leurs extrémités inférieures par un boudin transversal 11d par exemple destiné à venir en appui sur le sol, afin d’améliorer la stabilité de la structure de jeu à l’état gonflé.

En particulier, les boudins transversaux 10a, 11 d sont formés dans la continuité des boudins verticaux arrière 11b, afin d’être gonflés avec lesdits boudins arrière à partir d’un même point d’entrée d’air.

Sur les figures 1 , 4, 6, 8, la structure de jeu comprend en outre une toile arrière rebondissante 13 qui est associée aux boudins verticaux arrière 11b et aux boudins transversaux 10a, 11d de la structure de piétement 4. La toile arrière 13 peut être réalisée de façon analogue à la toile 1 , en permettant de faire d'autres exercices, différents de ceux de la toile 1 avant : travail de la volée, frappes plus rythmées (car retour plus rapide), service, etc. En variante, la toile arrière 13 peut être de structure différente de celle de la toile 1, par exemple en mesh 2D.

La toile 1 s’étend au-dessus du boudin transversal supérieur 10a en prolongeant la surface de frappe 1a par une surface de retour 1c de sorte qu’une balle 2 roulant vers le haut sur la surface de frappe 1a finisse sa course ascendante sur ladite surface de retour, ladite surface de retour étant surmontée par une casquette 15 en formant entre elles un espace 16 dans lequel la balle 2 est destinée à s’introduire.

En relation avec les figures 4 et 5, le boudin transversal supérieur 10a comprend une paroi élastiquement déformable 14 qui s’étend en saillie du plan P suivant une hauteur 51 en direction du joueur, la toile 1 s’étendant sur ladite paroi de sorte qu’une balle 2 roulant vers le haut sur la surface de frappe 1a finisse sa course ascendante par un rebond impulsé par la déformation élastique de la paroi 14 sur l’effet du choc de ladite balle sur elle.

En relation avec la figure 11 , le boudin transversal supérieur 10a est coudé à l’opposé du joueur de sorte à ne sensiblement pas venir interférer avec la trajectoire de la balle 2 qui roule sur la surface de frappe 1a au-dessus dudit boudin.

Suivant cette réalisation qui peut également être mise en œuvre avec la réalisation des figures 4 et 5, la toile 1 peut présenter une paroi qui s’étend en saillie du plan P, de sorte qu’une balle 2 roulant vers le haut sur la surface de frappe 1a finisse sa course ascendante par un rebond impulsé par la paroi sous l’effet du choc de ladite balle sur elle. En particulier, la paroi peut être formée d’une bande cousue en surépaisseur sur la toile 2, notamment en étant disposée au-dessus du boudin transversal supérieur 10a.

Le cadre 3 présente un boudin transversal supérieur 10c qui forme une traverse sommitale 9c à laquelle est associé un bord supérieur de la toile 1 , en formant la surface de retour 1c entre ladite traverse sommitale et la traverse supérieure 9a.

Le boudin sommital 10c est formé dans la continuité des montants latéraux 7, afin de pouvoir être gonflé avec eux à partir d’un même point d’entrée d’air. En particulier, chaque montant latéral 7 présente une extrémité supérieure qui est reliée à l’extrémité adjacente de la traverse sommitale 9c par une portion tubulaire oblique 10d. La casquette 15 peut être réalisée en un matériau textile synthétique de type polyester, et présente deux bords latéraux associés à respectivement un montant 7, ainsi qu’un bord supérieur associé à la traverse sommitale 9c en formant l’espace 16 avec la surface de retour 1c. Les bords de la casquette 15 peuvent notamment être associés au cadre 3 par couture 8, collage et/ou soudure, ou de façon amovible par un zip, des crochets ou des moyens auto- agrippants.

Comme représenté sur les figures 3 et 3a, les bords latéraux de la surface de retour 1c sont associés à respectivement un montant 7 sous les bords latéraux de la casquette 15.

En particulier, en relation avec la figure 3a, la casquette 15 surmonte la paroi déformable 14 d’une distance A1 comprise entre 110% et 180% du diamètre d’une balle de tennis 2, afin que ladite paroi puisse faire rebondir la balle 2 sur la casquette. Pour ce faire, chaque bord latéral de la casquette 15 est associé à un montant 7 suivant une ligne de fixation 8a qui est espacée d’une hauteur A2 d’au moins 8 cm par rapport à la ligne de fixation 8b du bord latéral adjacent de la toile 1 .

Comme représenté sur la figure 10, le boudin 10b formant la traverse inférieure 9b présente une paroi élastiquement déformable 17 qui s’étend également en saillie du plan P, suivant une hauteur 52 en direction du joueur, la toile 1 présentant un bord inférieur 18 qui prolonge la surface de frappe 1a par une surface de renvoi 1b formée sur ladite paroi de sorte qu’une balle 2 roulant vers le bas sur la surface de frappe 1a finisse sa course descendante par un rebond impulsé par la déformation élastique de la paroi 17 sous l’effet du choc de ladite balle sur elle.

De façon avantageuse, le fait de prévoir un cadre 3 et une structure de piétement 4 entièrement gonflables permet de déformer élastiquement l’ensemble de la structure de jeu au contact d’une balle 2, afin d’améliorer le déplacement de ladite balle le long des surfaces de frappe 1a et de retour 1c, mais également d’améliorer son rebond sur la surface de renvoi 1b. En outre, la trajectoire de renvoi de la balle 2 au joueur est améliorée tout en optimisant le temps entre deux frappes, et ce par simple configuration d’une structure gonflable qui est particulièrement pratique à utiliser. Par ailleurs, la structure gonflable permet de bénéficier d’une toile arrière 13 dont les propriétés de rebond sont améliorées.

En relation avec la figure 10, le bord inférieur 18 de la toile 1 est disposé au boudin 10b suivant une ligne transversale D qui est en saillie du plan P, de sorte que la surface de renvoi 1b comprenne une portion 18a dudit bord qui recouvre la paroi élastiquement déformable 17.

En particulier, le bord inférieur 18 est associé au boudin 10b et la portion 18a du bord inférieur 18 présente deux bords latéraux 19 qui sont dissociés des montants 7 du cadre 3. Sur la figure 9a, le bord inférieur 18 est associé à la traverse inférieure 9b et aux montants latéraux 7 de manière à former un espace y de l’ordre de 3 cm entre chaque bord latéral libre 19 et le montant latéral 7 adjacent au niveau de la ligne D.

Dans les deux modes de réalisation représentés, chacun des boudins horizontaux 11a de la structure de piétement 4 est prolongé par un boudin vertical avant 11c qui est relié à un boudin latéral 10 formant un montant 7.

Dans le premier mode de réalisation (figures 1 , 2a, 2b, 7, 8), chaque boudin vertical avant 11c est formé dans la continuité du boudin latéral 10 correspondant, afin de pouvoir être gonflés avec lesdits boudins latéraux à partir d’un même point d’entrée d’air. De même, le boudin transversal 10b formant la traverse inférieure 9b est formé dans la continuité des boudins verticaux 11 c et latéraux 10.

Les boudins verticaux avant 11c sont reliés par un boudin de base 11e qui est conformé de sorte à présenter : - deux portions latérales 20a destinées à prendre appui sur le sol, notamment pour améliorer la stabilité de la structure de jeu ; et

- une portion centrale 20b associée sous le boudin 10b formant la traverse inférieure 9b, afin d’apporter un renfort élastique pour améliorer le rebond de la balle 2 sur ladite traverse, et donc le renvoi de ladite balle vers le joueur.

En particulier, le boudin de base 11e présente deux portions verticales intermédiaires 20c qui relient chacun une portion latérale 20a à la portion centrale 20b.

La portion centrale 20b peut notamment être associée de façon réversible sous le boudin 10b formant la traverse inférieure 9b, notamment au moyen d’éléments de fixation 21a, 21b de type boutons pressions ou moyens auto- agrippants

Ainsi, lorsqu’il souhaite ranger la structure de jeu, le joueur peut notamment dissocier la portion centrale 20b de la traverse inférieure 9b et les boudins verticaux arrière 11b des montants verticaux 7, afin d'en faciliter le dégonflage et le pliage.

Dans le deuxième mode de réalisation représenté (figure 9), le cadre 3 comprend un boudin transversal 10e par exemple destiné à venir en appui sur le sol, ledit boudin reliant les extrémités inférieures des montants latéraux 7 en étant formé dans la continuité des boudins 10 formant lesdits montants.

Par ailleurs, le boudin transversal 10b formant la traverse inférieure 9b est formé dans la continuité des boudins verticaux avant 11c de la structure de piétement 4, chacun desdits boudins verticaux présentant une extrémité supérieure qui est associée de manière réversible à un montant vertical 7 adjacent, par exemple au moyen d’éléments de fixation de type boutons pressions ou moyens auto-agrippants. Ainsi, pour démonter cette structure de jeu, le joueur peut dissocier le cadre 3 de la structure de piétement 4 en décrochant les boudins verticaux avant 11c et arrière 11b des montants latéraux 7 avant de dégonfler séparément ledit cadre et ladite structure de piétement.

En relation avec la figure 12, la structure de piétement 4 comprend une chambre gonflable basse 5c présentant un boudin arrière destiné à être associé de façon réversible à un boudin inférieur d’une chambre gonflable arrière 5d pour former le boudin transversal 11 d de ladite structure.