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Patent Searching and Data


Title:
REACTIVE-HYDRODYNAMIC FIN DEVICE
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2009/074730
Kind Code:
A2
Abstract:
The invention relates to an underwater self-propulsion device to be worn on the feet, that comprises a “fitting” portion (A) to which is attached a “reactor” portion (B), the latter including a “channelling structure” (1) that comprises two “walls” mounted vertically opposite each other and separated by a limited gap in the axis of which the “fitting portion” (A) is provided. The space between the “walls” having a certain “height” receives the “reactive volumetric assembly” that comprises “plastic stops” (2) connecting the “walls” together. The actuation of the device results in the twisting and in the reaction of the “plastic stops” (2) clamped in the “channelling structure” (1), which generates an acceleration of the water flow sufficient for propelling the user. The device is particularly intended for underwater sports, and for sea rescue or rescue along the coast.

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Inventors:
RUANET CHRISTOPHE (FR)
Application Number:
PCT/FR2008/001296
Publication Date:
June 18, 2009
Filing Date:
September 16, 2008
Export Citation:
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Assignee:
RUANET CHRISTOPHE (FR)
International Classes:
A63B31/11
Domestic Patent References:
WO1994025116A11994-11-10
Foreign References:
US4944703A1990-07-31
US5645460A1997-07-08
SU1269793A11986-11-15
US5125860A1992-06-30
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Claims:

REVENDICATIONS

1) Dispositif pour se mouvoir en milieu aquatique de façon autonome et caractérisé en ce que constitué en tout matériaux possibles ou en plusieurs matériaux associés et/ou distincts aux qualités mécaniques différentes et/ou complémentaires dans une ou plusieurs de ses parties , sous parties ou composantes , il comporte une partie « chaussant » (A) et une partie « réacteur » (B) se rattachant ensembles ; le « réacteur » (B) se compose d'une sous partie « structure canalisante » (1) formée de deux « parois » montées relativement en vis à vis de façon verticale qui montrent en moyenne à la fois une "hauteur" significative suffisante , de même qu'un espace restreint de séparation , intervalle des « parois » de la « structure canalisante » (1) où se place et se rattache , autre sous partie , 1' « ensemble volumique réactif» constitué de « butées plastiques » (2) , le « chaussant » (A) venant lui , selon son plan d'appui par rapport au sol , se placer de façon relativement perpendiculaire dans le prolongement du plan dans lequel s'inscrivent les « parois » et de cet espace les séparant ainsi que se positionner selon tout axe d'orientation choisis dans ce même plan relativement vertical des « parois » .

2) Dispositif selon la revendication 1 caractérisé en ce que les « parois » de la « structure canalisante » (1) du « réacteur » (B) sont divisées ou subdivisées en morceaux qui sont reliés entre eux par des « articulations » (3) . 3) Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que le « chaussant » (A) se présente « double » de manière à accueillir deux pieds groupés ensembles de façon plus ou moins rapprochée .

4) Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que le « réacteur » (B) et notamment ses « parois » de « structure canalisante » (1) comporte par rapport au « chaussant » (A) un dénivelé de prolongement suffisamment marqué pour déterminer un emplacement décalé du « chaussant » (A) . 5) Dispositif selon l'une quelconque des revendications

précédentes caractérisé en ce que le « réacteur » (B) adopte une conformation faisant que ses deux constituants majeurs se fondent dés le départ l'un avec l'autre pour ne former lors de la fabrication du dispositif notamment qu'une seule et même partie ou pièce mécanique d'un seul tenant et donc que l' « ensemble volumique réactif » ne se trouve plus constituer qu'un prolongement et une proéminence remarquable mais fusionnée d'avec la « structure canalisante » (1) et ses « parois » .

6) Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que les « parois » de la « structure canalisante » (1) se raccordent ensembles en n'importe quels endroits de leurs structures ainsi que selon tous types utiles de prolongements de matière les raccordant .

7) Dispositif selon l'une quelconque des revendications comprises de 2 à 6 caractérisé en ce que les « articulations » (3) des morceaux de « parois » de la « structure canalisante » (1) du « réacteur » (B) peuvent se présenter sous la forme d'« axes articulatoires » .

8) Dispositif selon l'une quelconque des revendications comprises de 2 à 7 caractérisé en ce que les « parois » de la

« structure canalisante » (1) du « réacteur » (B) et les « articulations » (3) de leurs morceaux sont agies et opèrent selon un principe "par pliage" de matière , matière issue des « parois » elles même , selon qu'elles soient constituées en un ou plusieurs matériaux associés et/ou par le biais d'architectures remarquables telles que se présentant sous forme de « pliures articulatoires » notamment .

9) Dispositif selon l'une quelconque des revendications comprises de 2 à 8 caractérisé en ce que les « articulations » (3) des morceaux de « parois » de la « structure canalisante » (1) associent des « systèmes à rebonds » (6) tels que par exemple des « ressorts » interagissants ainsi dynamiquement avec les morceaux .

10) Dispositif selon l'une quelconque des revendications comprises de 2 à 9 caractérisé en ce que l'articulation des morceaux de « parois » de la « structure canalisante » (1) est rendue effective par des « articulations » (3) agissants selon

plusieurs points d'appuis excentriques pour un seul foyer articulatoire , articulations du type « butées axiales » articulatoires par exemple .

11) Dispositif selon l'une quelconque des revendications comprises de 2 à 10 caractérisé en ce que les morceaux divisants ou subdivisants les « parois » de la « structure canalisante » (1) sont munis d'un ou plusieurs « systèmes à rebonds » (6) de type « armatures élastiques » venant s'associer aux « parois » en en reliant deux ou plusieurs morceaux entre eux , ce genre de « système à rebonds » servant le cas échéant en tant que système d'articulation unique ou associé des morceaux de « parois » de la « structure canalisante » (1) .

12) Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que la « structure canalisante » (1) comporte et est munie de ce qu'on nomme des « longerons pénétrateurs » (7) qui viennent se placer à l'embouchure des entrées/sorties d'eau et intervalles de séparation des « parois » de la « structure canalisante » (1) et se fixer notamment à cette dernière grâce à des prolongements de matière en soutien , mais encore qui peuvent se rattacher au « chaussant » (A) lui-même .

13) Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce qu'il comporte des « micro structures palmantes » (8) » sous forme de "longerons" ou d'"ailettes" disposées en particulier du coté externe des « parois » de la « structure canalisante » (1) du « réacteur » (B) .

14) Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que l'ensemble des parties constituant le dispositif et particulièrement le corps des « parois » de la « structure canalisante » (1) comporte des « ouvertures » ou « ajourements » , de formes et tailles variables , dévolues en particulier mais non-exclusivement à laisser entrer/sortir les flux d'eau .

15) Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que la partie « chaussant » (A) varie dans son ampleur chaussante et se présente ainsi plus ou moins « basse » ou « haute » et ceci du niveau des pieds jusque haut dans

les jambes et particulièrement au niveau des mollets .

16) Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que le « chaussant » (A) est "ouvrable - refermable" par tous systèmes appropriés . 17) Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que le « chaussant » (A) est "réglable - ajustable" par tous systèmes appropriés , notamment et par exemple en ce que le « chaussant » (A) étant relativement laissé béant et ouvert sur sa partie arrière , il comporte une languette "réglable" enrobante et "ceinturante" au niveau et autour des régions du tendon d'Achille et du talon .

18) Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que la partie « chaussant » (A) respecte en partie ou en totalité la spécificité physiologique et ainsi formelle de chacun des pieds en particulier .

19) Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que les parties « chaussant » (A) et « réacteur » (B) sont amovibles entre elles et à pouvoir fixer ou soustraire réciproquement chacune l'une par rapport à l'autre grâce à un ou plusieurs points de rattachement matérialisés par un ou plusieurs « systèmes de fixations » (14) adaptés , tels que permis par une ou plusieurs « vis » par exemple .

20) Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que la jonction des parties « chaussant » (A) et « réacteur » (B) est "réglable" selon un ou plusieurs points ou "centres" de "réglage - blocage" pour permettre de changer l'angle d'orientation d'une de ces parties par rapport à l'autre et conséquemment d'en pouvoir bloquer ainsi les positions respectives . 21) Dispositif selon l' une quelconque des revendications comprises de 1 à 18 caractérisé en ce que la jonction entre « chaussant » (A) et « réacteur » (B) est "mobile et dynamique" selon un ou plusieurs points ou "centres" de mobilité auxquels on associe un ou plusieurs "systèmes à rebonds" tels que par exemple des « ressorts » .

22) Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce qu'une partie dite « armature » (C)

prend place en se fixant ou s 'enfilant sur les jambes du nageur et en particulier sur sa partie mollet et joint les parties « chaussant » (A) et/ou « réacteur » (B) par le biais d'un ou plusieurs prolongements se solidarisant avec le dispositif et selon un ou plusieurs points de jonction d'articulation permettant un effet de mobilité mesuré et suffisant entre cette partie « armature » (C) et le reste du dispositif et tels que se présentant raccordés et donc de façon réciproque potentiellement "amovibles" de celui-ci . 23) Dispositif selon l'une quelconque des revendications comprises de 2 à 22 caractérisé en ce que toutes articulations adjointes à celui-ci et utilisant des systèmes axiaux tels que les « articulations » (3) du type « axes articulatoires » ou du type « liaisons axiales » (13) , ou s'y apparentant , telles que les « butées axiales » , peuvent associer à leurs axes respectifs , un ou plusieurs mécanismes de type « roulements » , et notamment par exemple des roulements dits "à billes" afin d'en faciliter la mobilité mécanique .

24) Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que des « parois » de « structure canalisante » (1) supplémentaires à celles de la structure générique viennent s' adjoindre à elles et/ou au « chaussant » (A) et peuvent par exemple s'intercaler entre elles , en autorisant potentiellement dés lors automatiquement la multiplication d'espaces interstitiels pour y installer des « butées plastiques » (2) d'« ensemble volumique réactif » et/ou leur division ou subdivision en morceaux qui sont reliés entre eux par des « articulations » (3) .

25) Dispositif selon l'une quelconque des revendications comprises de 2 à 24 caractérisé en ce que les « articulations » (3) sont "traversières" et relient ainsi de part en part chacune des « parois » de la « structure canalisante » (1) et leurs morceaux jusqu'à l'autre .

26) Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes , caractérisé en ce que la zone interne de la « structure canalisante » (1) en particulier et sa périphérie , sont équipées de « butoirs » (9) et/ou de « déflecteurs » (10) pour un meilleur contrôle des flux d'eau , ainsi voués à assurer un meilleur

contrôle envers les flux d'eau .

27) Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que les « parois » de la « structure canalisante » (1) du « réacteur » (B) sont formées à partir de structures de type charpentes et/ou armatures auxquelles on adjoint pour les compléter des structures de type planes relativement , l'ensemble additionnel formant « parois » .

28) Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que les « butées plastiques » (2) de P« ensemble volumique réactif » ( une ou plusieurs ) se présentent dans leurs structures même selon des conformations telles que munies de formes et de « découpes » internes et externes diverses .

29) Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que les « butées plastiques » (2) de P« ensemble volumique réactif » ( une ou plusieurs ) se présentent dans leurs structures même , leur épaisseur , selon des conformations de type "volumiques" se présentant selon des architectures subdivisées se déployant sur différents niveaux et/ou directions . 30) Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que les « butées plastiques » (2) de F« ensemble volumique réactif » ( une ou plusieurs ) peuvent ne prendre appui que sur l'une des "faces" internes d'une des « parois » de la « structure canalisante » (1) . 31) Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que les « butées plastiques » ( une ou plusieurs ) de la « structure canalisante » (1) du « réacteur » (B) sont amovibles et à pouvoir fixer ou soustraire grâce à un ou plusieurs points de rattachement matérialisés par un ou plusieurs « systèmes de fixations » (14) adaptés , tels que permis par une ou plusieurs « vis » par exemple .

32) Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que les « butées plastiques » ( une ou plusieurs ) de V « ensemble volumique réactif » du réacteur (B) sont "réglables" en terme d'orientation de leur position par rapport au reste du dispositif , ceci par exemple par le biais de l'adjonction d'une ou plusieurs « vis » .

33) Dispositif selon l'une quelconque des revendications comprises de 1 à 29 caractérisé en ce que les « butées plastiques » (2) de F« ensemble volumique réactif » peuvent se présenter "d'un seul tenant" en un seul bloc unifié dans lequel sont préformées et/ou "découpées" des formes aux qualités résultantes comparables à celles des « butées plastiques » (2) génériques .

34) Dispositif selon l'une quelconque des revendications

1 ou 2 et comprises de 3 à 32 caractérisé en ce que le « réacteur » (B) ne comporte un « ensemble volumique réactif » réduit qu'à une seule et unique « butée plastique » (2) .

35) Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que des « butées plastiques » (2)

( une ou plusieurs ) peuvent se rattacher à la partie « chaussant » (A) et notamment à sa partie avant . 36) Dispositif selon la revendication 11 caractérisé en ce que les « systèmes à rebonds » (6) de type « armatures élastiques » venant s'associer aux « parois » en en reliant deux ou plusieurs morceaux entre eux sont "réglables" en sorte d'en pouvoir retirer une tension élastique choisie selon le besoin et utilisant des systèmes de réglage et blocage tels qu'utilisant le biais de vis ou encore d'encoches par exemple .

Description:

« Dispositif de palmage réacto-hydrodynamique »

La présente invention concerne un dispositif mis en action par. la force physique - motrice d'un individu et à utiliser en milieu aquatique ; Ce dispositif est un médium dévolu à favoriser la propulsion de l'homme dans ce milieu aquatique et destiné à être porté aux pieds d'un utilisateur .

L'exercice d'un déplacement amplifié dans le milieu aquatique s'agissant des moyens pédestres portatifs agis musculairement est traditionnellement dévolu à l'outil - prothèse appelé « palme » . La palme est donc le réfèrent le plus proche du dispositif selon l'invention et sert ici de contre point , du fait qu'elle constitue ce prime outil de comparaison utile à une meilleure compréhension de celui-ci .

Le dispositif selon l'invention est un système qui permet une action représentant une amélioration globale pour évoluer dans le milieu aquatique et ainsi , principalement par rapport au médium opératif classique sus nommé « palme » ; Ce dernier , bien qu'offrant à l'homme des gains probants évidents en terme de propulsion autonome , détermine également des défauts d'usage que le présent dispositif permet de résoudre en faisant qu'il se place en recours en tant qu'amélioration et alternative radicale , et ce notamment , en terme d'hydrodynamisme , du fait que de part sa conformation , il interdise toute déperdition et gaspillage inutile du fluide aquatique traité pour la propulsion , et optimise ainsi de façon décisive le rendement de ce point de vue propulsif ; Mais encore , qu'il permette d'endiguer tout "erratisme" et perte de contrôle lié à la confrontation d'avec la résistance mécanique de ce fluide ; Tous ce en quoi l'action et le mouvement d'une palme , et plus largement les mouvements de deux pieds chaussés de palmes ne permettent que très imparfaitement . Le dispositif selon l'invention , à l'inverse de ce classique et habituel moyen que constitue des palmes ne se présente plus , ( s'agissant en particulier de sa partie la plus caractérisante que l'on appelle "voilure") d'une façon pour ainsi dire « plane - horizontale » et dans le plan du corps , mais à l'inverse d'une façon que l'on pourrait , en comparaison analogiquement opposée ,

qualifier de « verticale » et ainsi placé selon un plan de 90° différent de celui d'une palme ; Plus précisément , alors qu'une palme se déploie et s'inscrit dans ce plan du corps, le dispositif selon l'invention, lui , se déploie et s'inscrit dans sa partie la plus caractérisante appelée « réacteur » , dans l'axe du plan de la pliure articulaire de la jambe et de son genou et donc , dans l'axe du coup de pied et du mouvement naturel global de mobilité ergonomique et de pénétration hydrodynamique de l'ensemble de cette jambe . Il se fait donc que , de part cette présentation exactement profilée par rapport au mouvement de la jambe du nageur en action que le dispositif selon l'invention s'avère "fendre" littéralement les flots , ou plus exactement , les masses d'eau . En plus que de permettre d'obtenir grâce à un hydrodynamisme clairement amélioré sans déperditions majeures des flux aquatiques et , partant , un rendement accru en terme de vitesse retirée par un utilisateur , ce profilé peut s'avérer une amélioration pratique à même de laisser un utilisateur mieux pénétrer dans certains contextes tels que ceux d'épaves , d'anfractuosités de roches , de grottes , ou tout autres obstacles apparentés pouvant se présenter ; mais encore par exemple pour évoluer dans des endroits particulièrement pourvus en algues . Le fait d'être de cette manière profilé dans le vrai plan du mouvement de la jambe et de son coup de pied , mais encore d'être porté à chacun des 2 pieds dans son usage générique , permet une fois le dispositif mis en action par chaque jambe et dans un mouvement classique de battements de celles - ci , ( et donc d'aller - retour et comme " au palmage " ) , de ne pas induire un surcroît d'entre remous dans l'espacement des 2 pieds et leurs alentours immédiats , remous qui produisent dans le cas de 2 palmes en action , un entre et superflu mouvement d'incidence erratique , aux conséquences parfaitement chaotiques et ainsi tout bonnement néfastes à l'évolution la plus rationnelle d'un utilisateur ; II se trouve ainsi latéralement plus d'espace entre chaque dispositif équipant une paire de pieds , ce qui une fois ceux-là mis en action de concert ( et pour ainsi dire "de conserve" ) , permet de réduire d'autant la possibilité de remous et leurs effets parasites et conséquemment un trop grand manque de contrôle envers le milieu aquatique .

De façon globale , le dispositif selon l'invention est constitué , d'un « chaussant » , première grande partie de celui-ci , continué par une seconde que l'on à appelé « réacteur » . Le « réacteur » est formé de deux "sous parties" ; l'une que l'on a appelé d'une formule usuelle générique « structure canalisante » et l'autre selon le même mode usuel générique « ensemble volumique réactif » .

La « structure canalisante » est elle même génériquement composée de 2 parties ; Ces 2 parties se présentent sous la forme de 2 « parois » , qui se font relativement face et sont donc montées en relatif vis-à-vis de façon verticale l'une par rapport à l'autre . Le rapport des dimensions caractérisant cette « structure canalisante » et au delà l 'ensemble du « réacteur » , est fondamental à l'identité du dispositif selon l'invention ; Ceci en particulier s 'agissant des dimensions caractérisant les « parois » et notamment leur "hauteur" qui doit être suffisante , en particulier par rapport à la distance qui les sépare et qui doit constituer au vue de cette "hauteur" , un espace de séparation relativement limité , pour ainsi former la « structure canalisante » , où prend place intermédiairement « l'ensemble volumique réactif » constitué de « butées plastiques » , derniers éléments du « réacteur » ; « Butées plastiques » qui doivent également déterminer d'après leur longueur , une "hauteur" relativement suffisante des « parois » de la « structure canalisante » du « réacteur » ; De même , l'espace de séparation des « parois » de la « structure canalisante » doit offrir une distance à même de permettre une latitude suffisante à la mise en place , le déploiement et la mise en action interne de cet « ensemble volumique réactif » dont la description suit ci-après . Cette distance de séparation entre les « parois » peut varier entre différents points et zones de celles-ci .

De même , ces « parois » ne sont pas à entendre comme étant forcément plates mais peuvent adopter des galbes et des cambrures divers et variés et ceci quelque soit le sens dans lesquelles on les prennent et on les envisages , de même elles peuvent également comporter des dénivelés , renfoncements et/ou excroissances de matière en tout genre dans leurs structures même ( striures , rainures , sillons , encoches ,"bosses" , etc .. ) . De la même façon

les bords d'attaque de ces « parois » peuvent ne pas suivre des axes que continus , mais adopter des brisures ou césures et autres courbures diverses . Ces « parois » de la « structure canalisante » peuvent déterminer une forme différente l'une par rapport à l'autre , et ceci notamment , tant en terme de profils qu'en terme de coupe . S 'agissant de leur longueur , ces « parois » peuvent être de dimensions très variables .

« L'ensemble volumique réactif» comme il en a été précédemment fait mention , vient donc se situer dans l'espace interne séparant les 2 « parois » de la « structure canalisante » de façon à s'y rattacher en tout emplacement jugé utile pouvant en permettre au moins pour partie et ainsi relativement la solidarisation ; Ce rattachement pouvant par exemple et notamment se faire transversalement aux « parois » , en particulier dans la partie relativement médiane de la "hauteur" de celles-ci . Les bords d'attaque des « parois » sont à entendre comme pouvant également constituer , au moins en partie , une base éventuelle pour leur rattachement . Cet « ensemble volumique réactif » est donc constitué d'éléments distincts , séparés les uns des autres mais unitairement cohérents entre eux , appelés de façon générique « butées plastiques » qui réagissent de concert aux flux mécaniques aquatiques qui viennent s'y appliquer et ceci , de part l'effort physique - mécanique engendré par l'utilisateur du dispositif ; Ces « butées plastiques » se présentent donc , et sont conformées de façon à traiter ces flux d'eau , flux d'eau qu'on leur imprime et auxquels elles se confrontent pour les réorienter relativement vers l'arrière du sens où l'on se dirige ; Leur appellation générique les qualifiant de « plastiques » est à comprendre au sens large et laisse entendre en terme de matérialité toutes qualités possibles pour agir envers le milieu et donc de la qualité matérielle la plus souple jusqu'à la plus rigide , étant entendu que leur action "plastique" et mécanique opère avant tout envers ce milieu aquatique lui même et ceci quelqu'en soit leur réalité ou aspect matériel ; Ainsi donc ces "butées plastiques" pourront-elles , et notamment selon qu'elles se rattachent en plus ou moins grande partie aux « parois » de la « structure canalisante » et/ou selon leur qualité en terme de matérialité et/ou

leur forme se présenter et être dés lors qualifiées par exemple et notamment en tant que "palmettes" ou encore , autre exemple relativement "opposé" , et toujours selon qu'elles se rattachent en plus ou moins grande partie aux « parois » de la « structure canalisante » et/ou selon leur qualité en terme de matérialité et/ou de forme toujours , être qualifiés et se présenter en tant que "foils" ; Plusieurs butées de type différent peuvent être associées au sein d'un même dispositif bien entendu . Ces « butées plastiques » ont un profil de surface et de "prise à l'eau" suffisamment "confrontant" pour que l'ensemble impliqué dans Pactionnement du dispositif les rendent à même d'une réaction recherchée et efficiente envers le milieu aquatique ; De même , elles seront suffisamment longues et/ou larges de manière à pouvoir là encore "capter" et interagir avec les flux d'eau se présentant en général pour en obtenir l'effet utile recherché . Ces « butées plastiques » ( une ou plusieurs ) peuvent adopter toutes orientations jugées utiles et ceci individuellement ou collectivement ; Et donc des orientations des plus variées par rapport à l'orientation générale du reste du dispositif et en particulier du « chaussant » . Elles peuvent ainsi chacune , toutes ensemble ou plusieurs ensembles s'orienter dans une direction particulière , de même et conséquemment , adopter un angle de rattachement et de positionnement non perpendiculaire au plan moyen des « parois » de la « structure canalisante » . Elles ( une ou plusieurs ) peuvent encore adopter tous emplacements jugés utiles et partant , peuvent dans l'espace intermédiaire de la « structure canalisante » et depuis celle-ci , se placer à tout endroit possible de sa surface interne et notamment dans le sens de sa "hauteur" ( sens de la "hauteur" qui correspond donc relativement au plan dans lequel le genou d'un utilisateur s'articule et donc se plie et se déplie , et conséquemment au plan d'orientation du "coup de pied" du « chaussant » ) . La « structure canalisante » du « réacteur » peut ainsi en conséquence accueillir dans cette "hauteur" sur plusieurs niveaux ou "étages" un nombre variable de « butées plastiques » se superposants complètement ou en partie . Le « chaussant » , selon son plan d'appui par rapport au sol se place relativement perpendiculairement au plan dans

lesquelles s'inscrivent les « parois » auxquelles il se rattache et de leur intervalle ou espace les séparant . De même ce « chaussant » se place selon tout axe d'orientation choisis dans ce même plan relativement vertical des « parois » ; ainsi , cet axe d'orientation du « chaussant » peut varier de façon notable dans le plan vertical afin de se trouver placé selon un angle différent , et ceci plus ou moins d'avec celui de l'angle d'orientation moyen des éléments du « réacteur » et de celui donné en particulier aux « parois » ; concrètement , l'angle d'orientation général moyen du « réacteur » et avant tout celui des « parois » de la « structure canalisante » peut notamment déterminer et faire , par souci d'une meilleure ergonomie , qu'il poursuive relativement en terme de prolongement , l'angle moyen de la pente du "coup de pied" du « chaussant » équipant un utilisateur , ce qui implique nécessairement pour cette dernière partie « chaussant » du dispositif un angle d'orientation choisis sous ce rapport dans le plan vertical .

L'ensemble des parties , sous parties et composantes caractérisant le dispositif peuvent être en tout matériaux possibles ; De même , l'ensemble des parties , sous parties et composantes caractérisant ce dispositif peuvent chacunes être « composites » et ainsi se présenter formées en plusieurs matériaux associés et/ou distincts aux qualités mécaniques différentes et/ou complémentaires . Pour exemple , les « butées plastiques » de l'« ensemble volumique réactif » peuvent ainsi être « composites » et se présenter formées en plusieurs matériaux aux qualités mécaniques différentes tels que par exemple des structures plastiques souple et déformables sous l'influence des flux d'eau appliqués , en association avec des corps plus rigides moins déformables . En quelque sorte , et d'un point de vue global , le « réacteur » , ses éléments , traitent les flux d'eau qui s'y engouffrent à la façon d'un raz ; Ainsi , l'eau captive , forcée et enserrée latéralement et relativement sur la longueur par la « structure canalisante » est ainsi piégée et contrainte par F« ensemble volumique réactif » et ses « butées plastiques » qui la traite concrètement , et finalement en permettent l' "accélération" .

Selon des modes particuliers de réalisation :

- les « parois » de la « structure canalisante » sont divisées ou subdivisées en morceaux qui sont reliés entre eux par des

« articulations » ; Ainsi , ces « articulations » de morceaux de « parois » de « structure canalisante » , permettent d'obtenir un effet de "torsion" ou plutôt de "ploiement" longitudinal dans le plan des « parois » , la mise en action du dispositif par l'utilisateur produisant la torsion dynamique de l' « ensemble volumique réactif » constitué de « butées plastiques » , ce qui induit simultanément le ploiement longitudinal de l'ensemble de la « structure canalisante » et de ses « parois » constituées de leurs morceaux joints entre eux par les articulations ; ceci permet de coller ergonomiquement , mécaniquement et de façon souple au mouvement ondulant de vas et viens imprimé par le nageur et par ses jambes en action . Ces « articulations » reliants ces subdivisions des « parois » de la « structure canalisante » en morceaux sont particulièrement indiquées pour équiper les modèles de « réacteurs » dépassants une certaine dimension .

- le « chaussant » peut se présenter "double" de manière à accueillir deux pieds groupés ensembles de façon plus ou moins rapprochée entre eux .

- le « réacteur » et notamment ses « parois » de « structure canalisante » peut comporter par rapport au « chaussant » un dénivelé de prolongement suffisamment marqué pour déterminer un emplacement décalé du « chaussant » ; Ainsi , le « réacteur » peut notamment comporter dans sa zone de jonction d'avec le « chaussant » un dénivelé en "hauteur" , prenant l'aspect d'un prolongement notable de ses « parois » de « structures canalisantes » par rapport à la place du « chaussant » pour qu'entre autre lors de l'utilisation du dispositif à la surface de l'eau , le gros du « réacteur » pénètre celle - ci plus en profondeur , risquant ainsi de causer moins d'effets parasites , tels que remous , bruit .. etc , avec la surface . Ces dénivelés prolongeant la structure du réacteur et notamment ses « parois » pourront prendre tous aspects utiles et autres notamment que ceux les apparentant forcément aux

« parois » en question ( il pourra s'agir de prolongements d'aspect "tubulaire" par exemple ) .

- le « réacteur » peut adopter une conformation faisant que ses deux constituants majeurs se fondent l'un avec l'autre pour ne former qu'une seule et même partie ; en sorte que l'« ensemble volumique réactif » ne se trouve plus constituer qu'un prolongement et une proéminence remarquable mais fusionnée d'avec la « structure canalisante » et ses « parois » .

- les deux « parois » de la « structure canalisante » peuvent se raccorder ensembles en n'importe quels endroits de leurs structures ainsi que selon et grâce à tous types utiles de prolongements de matière les raccordant ; Ces raccordements peuvent se faire notamment en certains continuums et/ou parties de leurs bords d'attaques mais aussi entre ces « parois » depuis n'importe quels points de celles-ci et donc à l'intérieur de l'espace crée entre elles ; ils peuvent consister en des jonctions de matière plus ou moins simples , légères ou importantes pouvant s'apparenter notamment à des prolongements de matière conséquents venant en soutien , reliants celles-ci , et adopter des conformations très variées ; Ceci implique conséquemment que les « parois » peuvent se raccorder de façon réunie à la partie « chaussant » (A) . Les bords d'attaque des « parois » en particulier peuvent se relier entre eux sur des longueurs pouvant varier et ceci , sans que d'éventuels prolongements continuent obligatoirement de façon suivie et rectiligne les surfaces des « parois » .

- les « articulations » liants les morceaux de « parois » de la « structure canalisante » entre eux peuvent se présenter sous la forme d' « axes » , encore appelés « axes articulatoires » .

- les « parois » de la « structure canalisante » du « réacteur » et les « articulations » de leurs morceaux entre eux peuvent être constituées par un mode articulatoire opérant " par pliage " de matière , matière issue des « parois » elles même selon qu'elles soient constituées en un ou plusieurs matériaux associés et/ou par le biais d'architectures remarquables telles que se présentant sous forme de « pliures articulatoires » notamment ; « Pliures » issues ou adjointes à la structure des « parois » et leurs morceaux et qui puissent en permettre la torsion ou le "ploiement" dans le plan longitudinal . Ces « pliures articulatoires » , autrement que d'être issues de la matière même de ces morceaux de « parois » , pourront

encore , être d'une nature matérielle différente de celle du reste de ceux - ci ; elles pourront ainsi adopter par exemple des qualités matérielles à même de favoriser plus de souplesse et ainsi des rendements de torsion et de réactivité plus importants ; L'utilisation de matériaux de type textile et/ou encore de revêtements de type souples et/ou élastiques peuvent notamment et par exemple être envisagés .

Mais encore , ce mode articulatoire opérant " par pliage " de matière de quelque façon qu'il se présente pourra consister en une zone utilisant en partie ou en entier une épaisseur moindre que celle de la moyenne du reste des morceaux de « parois » d'origine .

- les « articulations » des morceaux de « parois » de la « structure canalisante » peuvent associer des « systèmes à rebonds » tels que des « ressorts » , ressorts interagissants ainsi dynamiquement entre les morceaux . Ce principe est particulièrement dévolu à être adjoint aux modes articulatoires utilisant des « axes » ou principes axiaux .

- les « articulations » liants les morceaux de « parois » de la

« structure canalisante » peuvent être constituées et être rendues effectives par des « articulations » agissants selon plusieurs points d'appuis excentriques pour un seul foyer articulatoire , articulations du type « butées axiales » articulatoires en particulier et par exemple , se présentant de cette manière excentrée et en plusieurs points d'appuis distincts . - les morceaux divisants ou subdivisants les « parois » de la

« structure canalisante » sont munis d'un ou plusieurs « systèmes à rebonds » de type « armatures élastiques » venant s'associer aux « parois » en en reliant deux ou plusieurs morceaux entre eux ; Ce système dit d'« armatures élastiques » pouvant se placer relativement le long des morceaux de « parois » , et viser à induire un effet dynamique au processus d'articulation de ceux - ci une fois l'ensemble du dispositif mis en action . Ce système peut se présenter en une seule pièce continue , ou encore selon plusieurs pièces entre plusieurs morceaux ; II peut se constituer le cas échéant en plus d'être un « système à rebonds » seulement , en tant que système d'articulation unique des morceaux de « parois » de la « structure canalisante » , mais qui peut aussi s'adjoindre

et/ou s'additionner à d'autres systèmes d'articulation .

- ( selon le mode particulier de réalisation qui précède ) les

« systèmes à rebonds » de type « armatures élastiques » venant s'associer aux « parois » en en reliant deux ou plusieurs morceaux entre eux peuvent être "réglables" en sorte d'en pouvoir retirer une tension élastique choisie selon le besoin et utilisant des systèmes de réglage et blocage tels que pouvant utiliser le biais de vis ou encore d'encoches par exemple .

- la « structure canalisante » peut comporter et être munie de ce qu'on nomme des « longerons pénétrateurs » ou encore « super bords d'attaque hydrodynamiques » et qui viennent se placer à l'embouchure des entrées/sorties d'eau de la « structure canalisante » , et dans l'intervalle de séparation des « parois » de celle-ci . Ces « longerons pénétrateurs » ou encore « super bords d'attaque hydrodynamiques » se présentant par exemple sous un aspect s 'apparentant à des "tiges" ou des longerons auront , en plus d'un rôle les destinant à spécialement servir d'éléments de pénétration hydrodynamique et/ou parallèlement d'éléments voués à servir de bords d'attaque supplémentaires un rôle de protection pour parer les chocs extérieurs .

Ceux - ci viendront se fixer notamment à la « structure canalisante » , grâce à des prolongements de matière en soutien , mais encore potentiellement au « chaussant » lui-même . Ils pourront , dans le cas où les « parois » de la « structure canalisante » sont subdivisés en morceaux et ainsi munis d' « articulations » , soit être d'une nature matériellement plastique pour constituer en eux - même un système longitudinal à même de se tordre pour ainsi suivre et obéir au mouvement général de torsion imprimé par la mise en action du dispositif . Autrement encore , un rendu articulatoire peut également être obtenu par l'entremise de « ruptures articulatoires » consistant en des césures ou zones de moindre épaisseur , telles que permises par des « encoches » ou encore des trouées par exemple , inscrites dans la structure même de ces « longerons pénétrateurs » ou « super bords d'attaque hydrodynamiques » et qui , se plaçant le long de ces structures et notamment dans le continuum des « articulations » assemblant les morceaux de « parois » de la « structure

canalisante » entre eux , permettent et/ou facilitent la torsion de ces « longerons pénétrateurs » ou« super bord d'attaque hydrodynamiques » .

- la « structure canalisante » peut comporter des « micro - structures palmantes » sous forme de "longerons" ou d' "ailettes" de toute nature matérielle possible qui , disposées particulièrement du coté externe des « parois » , auront pour vocation d'en pouvoir accroître et/ou mieux contrôler l'action mécanique induite et/ou recherché envers le milieu aquatique . Les "ailettes" en particulier , en tant que « micro structures palmantes » , selon qu'elles pourront être rattachées en plus ou moins grande partie aux « parois » notamment ou plus ou moins épaisses par exemple , pourront conséquemment s'apparenter en large part aux « butées plastiques » de l'« ensemble volumique réactif » . - l'ensemble des parties constituant le dispositif et particulièrement le corps des « parois » de la « structure canalisante » peut comporter des « ouvertures » ou « ajourements » , de formes et tailles variables dévolues en particulier mais non-exclusivement à laisser entrer/sortir les flux d'eau ; le « chaussant » pouvant par exemple comporter au niveau du talon un ou plusieurs ajourements sans que celui-ci ou ceux-là soient avant tout destinés à ce que l'eau y circule .

- le « chaussant » peut varier dans son ampleur chaussante et ainsi se présenter plus ou moins "bas" ou "haut" , ceci , du niveau des pieds jusque vers le haut dans les jambes , et en particulier jusqu'au niveau des mollets .

- le « chaussant » peut-être "ouvrable - refermable" et par ce biais plus ou moins potentiellement "réglable" , par tous système approprié ; le « chaussant » pouvant ainsi comporter divers systèmes adjoints d'ouvertures - fermetures qualifiant une attenance particulière au pied et à la jambe , placés de façon pouvant varier , mais pouvant en particulier être positionnés sur les cotés et/ou devant ; Des systèmes d'ouverture - fermeture tels que par : clips , lacets ( par exemple en "caoutchouc" ou en toutes matières "plastiques" apparentées ), sangles , pressions , velcros , fermetures "éclairs" ou "zip" , boutons , etc..

- le « chaussant » peut également se présenter "réglable" et

ajustable et potentiellement "ouvrable - refermable" , sa partie arrière étant notamment et par exemple relativement laissé béante et ouverte , et comporter une languette réglable enrobante et "ceinturante" au niveau et autour des régions du tendon d'Achille et du talon ; Ce système de languette , amovible ou pas , pourra donc finalement être réglé , et ceci notamment grâce par exemple à des systèmes de sanglages et/ou encore de clampages ( par exemple type "boucles de réglage" ) adaptés , et afin de maintenir l'ensemble du pied dans le « chaussant » . - la partie « chaussant » pourra permettre de respecter la spécificité physiologique et ainsi formelle de chaque pied en particulier et donc , pourra être conformée pour pouvoir accueillir soit un pied droit spécifiquement , mais encore soit pour pouvoir accueillir un pied gauche spécifiquement , ceci pour assurer notamment plus de prise et d'appui lors de l'utilisation particulière du dispositif selon l'invention . La partie « chaussant » pourra ainsi comprendre de façon spécifique toutes caractéristiques à même de respecter l'identité formelle des pieds dans leurs particularismes physiologique et donc conséquemment déterminer dans sa structure des formes correspondantes en partie ou en totalité à , notamment , l'empreinte d'un pied gauche mais encore d'un pied droit . Cette partie « chaussant » pourra ainsi répondre et être conformée à l'image des formes spécifiques de chacune de ces parties asymétriques du corps humain en en respectant par exemple les formes en creux des voûtes plantaires respectives ponctuellement .

- l'ensemble des parties et "sous parties" du dispositif ( « chaussant » , ainsi que « parois » de la « structure canalisante » et « butées plastiques » du « réacteur » ) sont amovibles entre elles et à pouvoir fixer ou soustraire réciproquement chacune les unes des autres grâce à un ou plusieurs points de rattachement matérialisés par un ou plusieurs « systèmes de fixations » adaptés , tels que permis par une ou plusieurs « vis » par exemple ou encore des systèmes "velcro" , des "clip" etc.. , et notamment pour les « butées plastiques » par exemple afin qu'elles puissent être aisément interchangeables ; Des structures de type "platines" pourront venir baser et/ou supporter ces « systèmes de fixations »

et notamment en ce qui concerne les « vis » éventuelles .

- la jonction des parties « chaussant » et « réacteur » peut-être

"réglable" selon un ou plusieurs points ou "centres" de réglage - blocage pour permettre de changer l'angle d'orientation d'une de ces parties par rapport à l'autre et conséquemment d'en pouvoir bloquer ainsi les positions respectives . Cette jonction peut donc être "réglable" et non pas fixe et inamovible au départ et être constituée par un module d'articulation de type "bipolaire" ou "en fourche" par exemple , qu'on nomme présentement « liaison axiale » "bipolaire" ; Le terme de "bipolaire" signifiant qu'il s'agit d'un ensemble articulatoire constitué selon deux points d'articulation distincts l'un de l'autre mais au service d'un seul et unique alignement axial , et qui donne ainsi un seul et même ensemble cohérent ; Cet ensemble articulatoire de type « liaison axiale » diffère principalement des « articulations » des morceaux de « parois » de la « structure canalisante » du « réacteur » , et est donc différemment nommé par le fait qu'il prend en charge intermédiairement et enserre un objet "extérieur" qui en l'occurrence , s'agissant du dispositif est ici la partie

« chaussant » . Ce module d'articulation ou de « liaison axiale » "bipolaire" , est ainsi rendu "réglable" via des « systèmes de fixation » tels que par exemple des « vis » et que peuvent adjoindre des « pas de vis » concomitants ; De même , ces « liaisons axiales » "bipolaires" et "réglables" peuvent être terminées par des « rondelles de fixation » dévolues à associer notamment les « systèmes de fixation » , et donc en l'occurrence des « vis » par exemple . Cette jonction entre « chaussant » et « réacteur » peut également être rendue "réglable" , pour ne pas là encore être fixée au départ de façon définitive , selon le principe de plusieurs "centres" de jonction et de "réglage" associés notamment afin d'avoir les bénéfices d' "une" fixation mieux assurée tout en permettant là encore de varier l'angle d'incidence du « chaussant » par rapport à l'angle général du « réacteur » dans le plan vertical . Ces "centres" ou "niveaux de fixation" peuvent se décomposer en une première jonction telle que par exemple par une « liaison axiale » "bipolaire" et "réglable" ; "bipolaire" car constituée selon

deux points axiaux distincts l'un de l'autre et au service d'un même axe , et rendue "réglable" via un « système de fixation » adapté tel que par exemple par « vis » , et qui constitue donc une première jonction ou un premier "niveau de fixation" qu'on peut associer à une seconde jonction , telle que par « liaisons par encoches et taquets » par exemple qui elle , permettrait d'assurer le plus gros du "réglage" tout en permettant une fixation confortée de l'ensemble ; « Système gradant à encoches et taquets » , associant en lui même la présence et l'action complémentaire d'« encoches » qui seront vouées à accueillir des « taquets » pour les bloquer en leurs seins , l'un ou l'autre de ces deux éléments pouvant se rattacher alternativement à partir du « chaussant » ou du « réacteur » . D'une autre façon , la jonction entre « chaussant » et « réacteur » peut encore être constituée en une « liaison axiale » "continue" et "réglable" sans césures ni subdivisions ( causée en l'occurrence intermédiairement par un "obstacle" ou un "objet" , comme ici , un « chaussant » ) ; Ce type de jonction peut - être assumée par un axe de type "traversier", rattachant au passage un prolongement de matière issu de la partie « chaussant » qui en permette indirectement le raccordement à la partie « réacteur » . Cette « liaison axiale » ainsi "continue" par le biais d'un axe "traversier" est rendue "réglable" via un « système de fixations » , par exemple par le biais d' un système à « vis » , qui permette de régler l'angle d'incidence de la partie « chaussant » par rapport à l'angle d'orientation général du « réacteur » dans le plan vertical . - la jonction entre « chaussant » et « réacteur » peut-être "mobile et dynamique" selon un ou plusieurs points ou "centres" de mobilité auxquels on associe un ou plusieurs "systèmes à rebonds" tels que par exemple des « ressorts » ; Cette jonction entre « chaussant » et « réacteur » peut être par exemple constituée par un module d'articulation de type « liaison axiale » "bipolaire" et de nature non plus "réglable" cette fois , mais spécifiquement "mobile" et dynamique ; "bipolaire" car constituée selon deux points axiaux distincts l'un de l'autre , mis au service d'un même axe , et rendue ainsi "mobile" et dynamique grâce à l'adjonction de « systèmes à rebonds » , tels que par exemple comme via des « ressorts » , ressorts conjoints au mécanismes axiaux de ces

liaisons et interagissants entre les parties « chaussant » et « réacteur » . De même , la jonction entre « chaussant » et « réacteur » peut également être rendue "mobile" et dynamique selon le principe de plusieurs "centres" ou "niveaux" de mobilité associés ; Ainsi , une « liaison axiale » "bipolaire" et "mobile" peut constituer un premier "centre" de jonction et d'articulation ; ( "bipolaire" car constituée selon deux points axiaux distincts l'un de l'autre mais mis au service d'un même axe ; et "mobile" , du fait d'être laissée libre d'aucune retenue ) ; Cette « liaison axiale » "bipolaire" et "mobile" forme ainsi un premier "centre" de jonction et d'articulation qu'on associe à un second , constitué par exemple par des « liaisons dynamiques par poussoirs » , qui permettent , via des « systèmes à rebonds » , matérialisés par exemple par des « ressorts » et couplés complémentairement par exemple à des « poussoirs » de venir en quelque sorte se

"confronter" et interagir synergiquement les uns par rapport aux autres et produire un effet de mobilité dynamique dispensé à l'ensemble de la jonction « chaussant » - « réacteur » ; Les éléments « poussoirs » et « ressorts » pouvant se placer et se rattacher alternativement à partir du « chaussant » ou du « réacteur » . La jonction entre « chaussant » et « réacteur » peut encore être constituée en une « liaison axiale » "continue" et "mobile" sans césures ni subdivisions (causée en l'occurrence intermédiairement par un "obstacle" ou un "objet" , comme ici un « chaussant » ) ; Ce type de jonction peut - être assumé par un axe de type "traversier", rattachant au passage un prolongement de matière issu de la partie « chaussant » qui en permette indirectement le raccordement à la partie « réacteur » . Cette « liaison axiale » » ainsi "continue" par le biais d'un axe "traversier" est également rendue "mobile" et dynamique de part l'adjonction de « systèmes à rebonds » tels que par exemple d'un ou plusieurs « ressorts » montés en liaison avec cette « liaison axiale » "continue" assumée par le biais d'un axe de type "traversier". - une partie dite « armature » peut prendre place sur les jambes du nageur et en particulier sur sa partie mollet et joint les parties « chaussant » et/ou « réacteur » en pouvant par le biais

d'un ou plusieurs prolongements se solidarisant plus ou moins fermement avec le dispositif et selon un ou plusieurs points de jonction d'articulation permettre un effet de mobilité mesuré et suffisant entre cette partie « armature » et le reste du dispositif et tels que pouvant se présenter raccordés et donc de façon réciproque de façon potentiellement "amovibles" de celui-ci ; Cette partie « armature qui peut venir se placer et se raccorder en particulier à leurs jonctions , et qui peut prendre principalement place sur les mollets du nageur . Ces « armatures » ont pour but d'appuyer et d' accentuer l'action générale du dispositif en terme de contrôle envers le milieu aquatique , mais aussi en terme de rendement et de puissance dégagée , et ceci grâce à un maintien renforcé qu'elles procurent envers le reste du dispositif en globalité une fois le corps du nageur en action ; Ces « armatures » devront dénoter une conformation associant des qualités mécaniques particulières et suffisantes en terme notamment en partie de rigidité et/ou qui soient à même de permettre un résultat d'action probant . Ces « armatures » sont à baser sur les jambes , soit en les y fixant et/ou les enfilant , et peuvent venir s'y placer jusque dans les limites extrêmes de celles - ci , ceci , du pourtour du pied jusque plus haut dans les jambes , le mollet devant être leur foyer d'emplacement générique le plus évident pour les y "baser". ' Cette partie « armature » sera donc reliée en appui du dispositif par un ou plusieurs points de jonction suffisamment "mobiles" et/ou souples pour laisser libre court au mouvement tout en assurant sa mission de maintien renforcé ;

Ces points de jonction d'avec le reste du dispositif pourra se présenter par exemple en une « liaison axiale » "bipolaire" , "bipolaire" car constituée selon deux points d'articulation distincts l'un de l'autre , que sépare un ou plusieurs objets qu'elle prend en charge entre ses deux points d'articulation qui servent et déterminent ensembles un unique alignement axial cohérent . Le ou les moyens qu'elles auront d'être fixées à la jambe pourront varier .

- toutes les articulations utilisant des systèmes axiaux tels que les « articulations » du type « axes articulatoires » ou du type

« liaisons axiales » , ou s'y apparentant , telles que les « butées axiales » peuvent associer à leurs axes respectifs , un ou plusieurs mécanismes de type « roulements » , et notamment par exemple des roulements dits "à billes" , afin d'en faciliter la mobilité mécanique ; ces systèmes de « roulements » seront de façon non limitative surtout associés , comme c'est la façon classique , aux pourtours de ces différents types d'axes pour les enserrer en leur sein , et de façon non limitative là encore être positionnés et se placer tout comme les axes le plus souvent , sur et à partir des « parois » de la « structure canalisante » du « réacteur » .

Ces systèmes de « roulements » pourront être d'une nature n'en permettant pas la corrosion ni la pollution mécanique issue de l'extérieur qui viendrait notamment du milieu marin , tel que sable , particules , etc ... - des « parois » de « structures canalisantes » supplémentaires à celles de la structure générique peuvent venir s'adjoindre à elles ( et/ou au « chaussant » ) pour en quelque sorte les complémenter et venir s'intercaler et se placer entre elles ; Partant , ceci conditionne et autorise automatiquement et simultanément l'existence et/ou la possibilité d'une

"multiplication" du nombre d' « ensembles volumiques réactifs » et leurs « butées plastiques » à même de venir se placer entre les nouveaux espaces intersticiels ainsi crées et/ou leur division ou subdivision en morceaux qui sont reliés entre eux par des « articulations » . Ces « parois » de « structure canalisante » supplémentaires pourront également si besoin est se superposer en entier ou en partie avec d'autres ou celles d'origine . Elles pourront potentiellement , plus spécialement et notoirement varier en terme de formes et dimensions par rapport aux « parois » génériques .

- les « articulations » peuvent être "traversières" et donc relier de part en part chacune des « parois » de la « structure canalisante » et leurs morceaux jusqu'à l'autre ; Ces « articulations traversières » pouvant conséquemment traverser également des « butées plastiques » de l'« ensemble volumique réactif » ( une ou plusieurs ) , dans le cas d'« axes articulatoires » notamment , ceci tout en pouvant permettre si nécessaire d'en assurer

potentiellement seules le rattachement .

- F« ensemble volumique réactif » peut bénéficier dans l'espace interne de la « structure canalisante » de la présence de « butoirs » et/ou ou de « déflecteurs » pour un meilleur contrôle des flux d'eau ; « Butoirs » qui , lorsque les « butées plastiques» ( une ou plusieurs ) sont misent en action et proches de la fin de leurs parcours et de leur limite maximale de ploiement , et ceci dans un sens ou dans l'autre , s'interposent en tant qu'obstacles procurant une déformation finale aux « butées plastiques » ( une ou plusieurs toujours ) qui viennent ainsi y "buter" en causant un renflement de leur structure plastique , ce qui en dernier lieu , entraîne une déflection du flux d'eau encore plus vers l'arrière . Ces « butoirs » peuvent être de type "traversiers" , et ainsi aller de l'une des « parois » à l'autre de la « structure canalisante » . De façon très apparentée la zone interne de la « structure canalisante » et sa périphérie peuvent donc se présenter équipées de « déflecteurs » et particulièrement , de déflecteurs "traversiers" se plaçant et s 'interposant dans la largeur de la « structure canalisante » et donc entre les « parois » de celle-ci où , en plus que de faire office de « butoirs » s 'opposant au « butées plastiques » ( une ou plusieurs ) de l'« ensemble volumique réactif» tel que précédemment , peuvent prolonger la déviation du flux d'eau généré et issu de la mise en action de ces dernières . Ces « déflecteurs » peuvent être soit fixes soit mobiles , et ceci notamment en étant soit "réglables" de part l'action de l'homme ou soit influençables dans leur mobilité de part l'action imprimante des flux d'eau une fois le dispositif mis en action ; mais encore , être plus ou moins souples ou rigides , et ainsi associer plusieurs matériaux dans leurs structures , et bénéficier de découpes variées à leurs pourtours ou encore , de découpes internes .

-les « parois » de la « structure canalisante » du réacteur peuvent être formées à partir de structures de type charpentes et/ou armatures auxquelles on adjoint pour les compléter des structures de type planes relativement . Ces structures de type charpentes et/ou armatures peuvent former une architecture s 'apparentant à une ossature ou un squelette et/ou encore un cadre sur et/ou entre

lesquels se placent ces structures de type relativement planes ; Chacune de ces parties additionnelles pouvant être constituée en tout matériaux possibles ou en plusieurs matériaux associés et/ou distincts aux qualités mécaniques différentes et/ou complémentaires ; Ces structures de type relativement planes pouvant notamment et par exemple se présenter et être constituées par des matériaux de type textile ou entre guillemets revêtement plastiques ; De même ces structures de type relativement planes pourront se maintenir et/ou se fixer et/ou recouvrir les structures de type charpentes et/ou armatures , ceci par tous moyens correspondant . ces mêmes structures de type relativement planes pourront être de toutes épaisseurs utiles .

- les « butées plastiques » ( une ou plusieurs ) de l'« ensemble volumique réactif » peuvent se présenter dans leurs structures même selon des conformations de formes et de découpes internes et externes diverses , telles que notamment munies de bordures variées , d' architectures échancrées ( "fendues" par exemple ) , "valvaires" , etc .

- les « butées plastiques » ( une ou plusieurs ) de l'« ensemble volumique réactif » peuvent se présenter dans leurs structures même et leur épaisseur selon des conformations de type "volumiques" se présentant selon des architectures subdivisées se déployant sur différents niveaux et/ou directions et donc occupant un espace notable dans les trois dimensions de l'espace de même que potentiellement , sans remarquables déséquilibres entre toutes ces dimensions ; Ceci en pouvant notamment se déployer et occuper particulièrement un ou plusieurs espaces grâce à des prolongements de matière remarquables ou du fait de protubérances organisées par exemple ; ainsi , ces « butées plastiques » ( une ou plusieurs ) peuvent être selon une architecture se présentant "dédoublée" pour ainsi dire ou "subdivisée" , c'est à dire se déployant sur différents niveaux et/ou dans différentes directions .

- P« ensemble volumique réactif » peut présenter une ou plusieurs des « butées plastiques » le constituant qui ne prennent appui que sur l'un des pans ou "faces" internes des « parois » de la

« structure canalisante » . De cette façon et corrélativement à cette

possibilité , deux « butées plastiques » de ce type au moins peuvent être montées relativement "en face" les unes des autres pour ainsi s' "aligner" relativement , en sorte que l'espace entre elles pourra se réduire à rien et/ou être laissé libre et ouvert plus ou moins largement . Ces associations de plusieurs « butées plastiques » de ce type déterminent et forment ensemble des micro - systèmes synergiques unitairement cohérents .

- les « butées plastiques » ( une ou plusieurs ) de Y « ensemble volumique réactif» du réacteur sont "réglables" en terme d'orientation de leur position par rapport au reste du dispositif , ceci par exemple par le biais de l'adjonction d'une ou plusieurs vis .

- P« ensemble volumique réactif » et ses « butées plastiques » peut se présenter "d'un seul tenant" en un seul bloc unifié dans lequel sont préformées et/ou "découpées" des formes aux qualités résultantes comparables à celles des « butées plastiques » génériques , et non pas de façon à être un ensemble de corps distincts complémentaires et agissants de concert . Cette homogénéité plus intégrale pour un résultat approchant , peut donc être obtenue et réalisée concrètement à partir d'un bloc unique fixé dans l'intervalle des « parois » de la « structure canalisante » , et pouvant être d'une nature plus ou moins plastique et réactive par exemple , au sein duquel des « butées plastiques » viendront s'inscrire au départ dans sa masse même et qui , par leurs conformation seront à même d' interagir mécaniquement de part l'action et l'environnement aquatique .

- le « réacteur » peut ne comporter un « ensemble volumique réactif» réduit qu'à une seule et unique « butée plastique » et ceci notamment au vue de la longueur choisie pour le « réacteur » . - des « butées plastiques » ( une ou plusieurs ) de l'« ensemble volumique réactif » peuvent se rattacher à la partie « chaussant » , et ceci en partie ou seulement , et notamment à sa partie avant , ceci afin de limiter utilement en taille et longueur l' ensemble du dispositif et spécialement sa partie « réacteur » , en utilisant un espace utile .

Les dessins indexés illustrent l'invention :

La figure 1 représente le dispositif de l'invention en perspective . La figure 2 représente en vue de profil le dispositif de l'invention . La figure 3 représente en vue de dessus , une variante du dispositif selon l'invention , décrivant une partie « chaussant » accueillant deux pieds .

La figure 4 représente en vue de profil le dispositif selon l'invention , décrivant une partie « chaussant » orientée dans la continuité de la longueur de la partie « réacteur » . La figure 5 représente en vue de profil , une variante du dispositif selon l'invention , décrivant un dénivelé appuyé en terme de "hauteur" , entre la partie « chaussant » et la partie « réacteur » , ce de part un prolongement des « parois » de la « structure canalisante » de ce dernier . La figure 6 représente en perspective , une variante du dispositif selon l'invention , décrivant la possibilité de réunir en certains points , les extrémités des « parois » du « réacteur » . Les figures 7a , 7b , 7c , 7d et 7 e précisent la figure 6 et représentent en coupe selon cette même variante, plusieurs possibilités et formes pouvant être adoptées par les « parois» de la « structure canalisante » du « réacteur » une fois leurs extrémités de « parois » réunies en certains points . La figure 8 représente en vue de dessus une variante du dispositif selon l'invention , décrivant la possibilité d'adjoindre aux deux « parois » initiales de la « structure canalisante » du « réacteur » , des « parois » supplémentaires .

La figure 9 représente de profil une variante du dispositif selon l'invention , qui décrit un tronçon du « réacteur » , rendant compte de la possibilité que les « parois » de la « structure canalisante » soient subdivisés en morceaux liés entre eux et rendus mobiles par des « articulations » .

La figure 10 représente et précise la variante de la figure 9 et les « articulations » de morceaux de « parois » de la « structure canalisante » en vue de dessus , et représente également en son sein la posibilité d' « articulations » axiales de type

« traversiers » , permettant de réunir de part en part une «parois » de « structure canalisante » à l'autre , et ce , plus "directement"

que par le biais de raccordements de celles-là obtenus par les seules « butées plastiques » .

Les figures 11 et 12 représentent de profil la variante présentée en figures 9 et 10 et qui décrivent un tronçon de « réacteur » dont les « parois » de la « structure canalisante » sont subdivisées en morceaux liés entre eux et rendus "mobiles" par des « articulations » ; la figure 11 rendant compte du dispositif "au repos" et la figure 12 , une fois celui-ci mis "en action" . Les figures 13 et 14 représentent successivement de profil et en vue de dessus , un tronçon du « réacteur » qui décrit selon la figure 9 une variante et variation possible de la conformation et de l'agencement des morceaux de « parois » de la « structure canalisante » entre eux . La figure 15 représente en perspective le dispositif selon l'invention équipé de la variante décrite en figure 9 , figure 9 qui rend compte de la possibilité que les « parois » de la « structure canalisante » soient subdivisées en morceaux liés entre eux et rendus mobiles par des « articulations » . La figure 16 représente de profil le dispositif selon l'invention équipé de la variante décrite en figure 9 , figure 9 qui rend compte de la possibilité que les « parois » de la « structure canalisante » soient subdivisées en morceaux liés entre eux et rendus mobiles par des « articulations » . La figure 17 représente relativement à la figure 3 , en vue de dessus , une variante du dispositif selon l'invention décrivant une partie « chaussant » accueillant deux pieds , associée à un « réacteur » équipé de la variante décrite en figure 9 , figure 9 qui rend compte de la possibilité que les « parois » de la « structure canalisante » soient subdivisés en morceaux liés entre eux et rendus "mobiles" par des « articulations » .

La figure 18 représente en vue de profil le dispositif selon l'invention décrivant une partie « chaussant » orientée dans la continuité de la longueur de la partie « réacteur » et équipée de la variante décrite en figure 9 , figure 9 qui rend compte de la possibilité que les « parois » de la « structure canalisante » soient subdivisées en morceaux liés entre eux et rendus "mobiles" par des « articulations ».

La figure 19 représente relativement à la figure 5 , en vue de profil , une variante du dispositif selon l'invention , décrivant un dénivelé appuyé en terme de "hauteur" entre la partie « chaussant » et la partie « réacteur » , et qui présente ici cette dernière partie « réacteur » associée à la variante décrite en figure 9 , figure 9 qui rend compte de la possibilité que les « parois » de la « structure canalisante » soient subdivisées en morceaux liés entre eux et rendus "mobiles" par des « articulations » . La figure 20 représente , relativement à la figure 6 , en perspective , une variante du dispositif selon l'invention décrivant la possibilité de réunir en certains points les extrémités des « parois » du « réacteur » , variante associée ici à celle décrite en figure 9 , figure 9 qui rend compte de la possibilité que les « parois » de la « structure canalisante » soient subdivisées en morceaux liés entre eux et rendus mobiles par des « articulations » .

La figure 21 représente , relativement à la figure 8 , en vue de dessus une variante du dispositif selon l'invention , décrivant la possibilité d'adjoindre aux deux « parois » initiales de la « structure canalisante » du « réacteur » , des « parois » supplémentaires ; cette variante est ici associée à la variante décrite en figure 9 , figure 9 qui rend compte de la possibilité que les « parois » de la « structure canalisante » soient subdivisés en morceaux liés entre eux et rendus "mobiles" par des « articulations » .

Les figures 22 et 23 représentent successivement de profil et en vue de dessus un tronçon du « réacteur » du dispositif selon l'invention qui montre , relativement à la variante rendant compte de « parois » de « structure canalisante » subdivisées en morceaux liés entre eux et rendus mobiles par des « articulations » décrite en figure 9 , la possibilité d'adjoindre des « systèmes à rebonds » à ces éléments , ici en l'occurrence des « ressorts » , interagissants entre ces éléments . La représentation des « ressorts » sur cette figure y est laissée "en transparence" pour plus de lisibilité .

Les figures 24 et 25 représentent successivement en vue de profil et en vue de dessus une variante du dispositif selon l'invention qui

montre , relativement à la variante rendant compte de « parois » de « structure canalisante » subdivisées en morceaux liés entre eux et rendus "mobiles" par des « articulations » décrite en figure 9 , la possibilité d'un "mode articulatoire" ou d' « articulation » particulier , nommé par « butées axiales articulatoires » se voit agis de part plusieurs "points d'appui articulatoires" excentriques , mis au service d'un seul et même foyer articulatoire partagé , et qui peuvent comme c'est le cas ici et spécifié en figures 22 et 23 , adjoindre des « systèmes à rebonds » tels que ceux de « ressorts » .

A noter que cette variante est ici présentée à partir d'une autre variante décrite en figures 13 et 14 et qui montre un mode d'assemblage des morceaux de « parois » de la « structure canalisante » particulier . Les figures 26 , 27 et 28 représentent successivement en vue de profil et en vue de dessus puis en vue de profil de nouveau , une variante du dispositif selon l'invention qui montre . relativement à la variante rendant compte de « parois » de « structure canalisante » subdivisées en morceaux liés entre eux et rendus mobiles par des « articulations » décrite en figure 9 , la possibilité d'un "mode articulatoire" ou d'« articulation » particulier , opérant grâce à des « pliures articulatoires » agissants selon un principe "par pliage" de matière , en l'occurrence ici , de la matière issue des « parois » de la « structure canalisante » ; La figure 28 représente le même tronçon de cette variante en vue de profil une fois le dispositif mis "en action" . Les figures 29 et 30 représentent successivement de profil et en vue en coupe un tronçon du « réacteur » du dispositif selon l'invention qui montre , relativement à la variante rendant compte de « parois » de « structure canalisante » subdivisées en morceaux liés entre eux et rendus mobiles par des « articulations » décrite en figure 9 , la possibilité d'adjoindre des « systèmes à rebonds » à ces éléments , ici en l'occurrence un système d' « armatures élastiques » se plaçant relativement le long des morceaux des « parois » , et visant à induire un effet dynamique au processus d'articulation des de celle-ci une fois l'ensemble du dispositif mis en action .

Les figures 31 et 32 représentent successivement en coupe et en vue de profil , un tronçon du « réacteur » du dispositif selon l'invention décrivant une variante équipée d'un système de « longerons pénétrateurs » encore appelés « super bords d'attaque hydrodynamiques » ; Ceux-ci pouvant décrire de part une conformation et nature matérielle plastique , un comportement élastique et donc dynamique à même d'appuyer , de la même façon qu'un « système à rebonds » , la variante possible d'« articulations » liants les morceaux de « parois » de la « structure canalisante » du « réacteur » entre eux et décris avant tout par la figure 9 . Pour des raisons pratiques d'évocation cette variante de « longerons pénétrateurs » ou « super bords d'attaque hydrodynamiques » est ici représentée associée à la variante décrite en figure 9 et qui autorise donc les « parois » de la « structure canalisante » à être subdivisées en morceaux liés entre eux et rendus mobiles par des « articulations » . Les figures 33 , 34 et 35 représentent de profil des exemples de la variante des « longerons pénétrateurs » ou « super bords d'attaque » déjà décris en figures 31 et 32 , montrant ces « longerons pénétrateurs » ou « super bords d'attaque » pouvant comporter divers « renfoncements articulatoires » ou autres zones de moindres épaisseurs dans leurs structure , de façon à en permettre ou faciliter la torsion lors de la mise en action du dispositif dans le cas où , selon la variante présentée en figure 9 , les « parois » de la « structure canalisante » sont subdivisées en morceaux liés entre eux et rendus mobiles par des « articulations » Les figures 36a et 36b illustrent deux dessins à pouvoir considérer ensembles , et qui représentent le « réacteur » du dispositif selon l'invention en coupe , et la possibilité de différences envisageables , notamment en terme de formes et de profils , entre chaque « parois » de la « structure canalisante » . Les figures 37 , 38 et 39 représentent des variantes apparentées du dispositif selon l'invention , indiquants la possibilité d'adjoindre au dispositif selon l'invention , des « micro structures plastiques » de type « longerons » ou « ailettes » de natures plastiques disposées particulièrement à l'extérieur des « parois » de la « structure canalisante » et devant aider à mieux interagir

envers le milieu aquatique , ce notamment en vue de l'utilisation du dispositif lors de petits mouvements . Les figures 40 , 41 et 42 représentent les mêmes variantes que précédemment , mais adjointes à des dispositifs selon l'invention comprenant des variantes telles que présentées en figure 9 qui décrivent des « parois » de « structure canalisante » subdivisées en morceaux liés entre eux et rendus mobiles par des « articulations » ; celles-ci permettant des tailles de « réacteurs plus importantes . La figure 43 représente en vue de profil la variante du dispositif selon l'invention telle qu'illustrée en particulier en figures 37 , 38 et 39 , montrant des « micro structures plastiques » telles que des « ailettes » ou autres « longerons » , et la possibilité qu'il y a de les positionner de façon variée sur la surface externe du « réacteur » notamment .

La figure 44 représente une vue de profil de la variante du dispositif selon l'invention telle qu'illustrée en figure 43 et en figures 40 , 41 et 42 en particulier , montrant des « microstructures palmantes » telles que des « ailettes » ou autres « longerons » de nature plastique , et la possibilité qu'il y a de les positionner de façon variée sur la surface externe du « réacteur » , ceci dans le cas où , comme dans la variante décrite en figure 9 , les « parois » de la « structure canalisante » sont subdivisées en morceaux liés entre eux et rendus mobiles par des « articulations » .

Les figures 45 et 46 représentent en vue de coupe , le « réacteur » du dispositif selon l'invention et des variantes de ce dernier telles que présentées dans leurs principe dans les figures 37 à 42 et 43 , 44 et ainsi , certaines des dispositions possibles de « micro structures plastiques » sur les surfaces externes des « parois » de la « structure canalisante » du « réacteur » . Les figures 47 et 48 illustrent de profil un tronçon de « réacteur » qui présentent chacunes deux possibilités notoires d'emplacements pour les « butées plastiques » de F« ensemble volumique réactif » au sein de la « structure canalisante » du « réacteur » s'agissant de la variante décrite en figure 9 où les « parois » de la « structure canalisante »

sont subdivisés en morceaux liés entre eux et rendus mobiles par des « articulations » .

Les figures 49 , 50 , 51 , 52 , 53 et 54 représentent en vue de profil des possibilités de positionnements et d'orientations variées pour les « butées plastique » de l'« ensemble volumique réactif» au sein du « réacteur » et de ses « parois » ; Ces possibilités sont ici représentées à partir de la possibilité qu'offre la variante décrite en figure 9 . et qui permet des « parois » de « structure canalisante » subdivisées en morceaux , liés entre eux et rendus mobiles par des « articulations » , ceci pour des raisons pratiques d'évocation liées notamment à ce que dans ce cas , le « réacteur » peut-être plus certainement d'une taille éloquente . Les figures 55 et 56 représentent , à partir de la possibilité qu'offre la variante décrite en figure 9 , et qui permet des « parois » de « structure canalisante » subdivisées en morceaux , liés entre eux et rendus "mobiles" par des « articulations » , une variante du dispositif selon l'invention décrivant de profil , successivement , un tronçon du « réacteur » une fois celui ci mis "au repos" en figure 55 et "en action" en figure 56 , et qui montre l'intérieur des « parois » de la « structure canalisante » munies de « butoirs » , « butoirs » ayant pour mission d'arrêter la course des « butées plastiques » de l' « ensemble volumique réactif » en même temps que de viser à en retirer à ce moment et du fait d'une déformation de leur structure , une déflection du flux d'eau induit par elles , et ce , vers l'arrière du dispositif selon l'invention . Les figures 57 et 58 représentent successivement de profil et en vue de dessus , à partir de la possibilité qu'offre la variante décrite en figure 9 , et qui permet des « parois » de « structure canalisante » subdivisées en morceaux , liés entre eux et rendus "mobiles" par des « articulations » , une variante du dispositif selon l'invention , décrivant un tronçon du « réacteur » muni de « déflecteurs » agissants à la façon des « butoirs » présentés en figures 55 et 56 , tout en permettant de prolonger et aider à rediriger plus certainement et plus "largement" le flux d'eau issu des « butées plastiques » de l' « ensemble volumique réactif » une fois celles ci misent en action . Les figures 59 , 60 , 61 , 62 , 63 , 64 , 65 et 66 représentent en vue

de dessus différentes variantes possibles de « butées plastiques » pour l' « ensemble volumique réactif » du « réacteur » du dispositif selon l'invention ; Ainsi , la figure 59 présente une « butée plastique » "en spatule" , les figures 60 et 61 présentent des « butées plastiques » aux découpes externes diverses ou encore comme en figure 62 la possibilité de « butées plastiques » présentant des découpes internes , pouvant apparaître de type "valvaires" dans ce cas là ; Les figures 63 et 64 présentent des échancrures possibles pour ces « butées plastiques » et , les figures 65 et 66 , des modulations à partir du principe de ne rattacher certaines de ces « butées plastiques » qu'à une seule des « parois » de l'« ensemble volumique réactif » . Les figures 67 , 68 , 69 , 70 , 71 , 72 , 73 et 74 représentent la partie « réacteur » en coupe et des variantes du dispositif selon l'invention , décrivant différents modèles et configurations de « butées plastiques » pour F « ensemble volumique réactif » ; Les figures 67 , 68 et 69 étant particulièrement à rapprocher et considérer selon les variantes présentées en figures 65 et 66 , alors que les figures 70 à 74 présentent des variantes possibles de diverses « butées plastiques » de l' « ensemble volumique réactif » de type "volumiques" , se déployant selon plusieurs niveaux et/ou sur une épaisseur importante . Les figures 75 et 76 représentent de profil un tronçon du « réacteur » du dispositif selon l'invention et en particulier , des variantes décrivant toutes deux des modèles possibles de « butées plastiques » d' « ensemble volumique réactif » , se déclinant sur plusieurs niveaux . Les figures 77 et 78 représentent successivement en vue de dessus et en coupe , un tronçon du « réacteur » du dispositif selon l'invention et décrivent particulièrement une variante de « butée plastique » possible , de type "composite" , ainsi formée de parties souples , particulièrement déformables mécaniquement . en association avec des parties plus rigides . Les figures 79 et 80 représentent successivement en vue de dessus et en coupe , un tronçon du « réacteur » du dispositif selon l'invention , décrivant une variante qui présente l'ensemble des

éléments "majeurs" constituant le « réacteur » , en l'occurrence la « structure canalisante » et ses « parois » , ainsi que V « ensemble volumique réactif » et ses « butées plastiques » , comme « d'un seul tenant » , et donc , intimement associés et en quelque sorte "fondus" l'un et l'autre en un seul objet .

Les figures 81 et 82 représentent successivement en vue de dessus et en coupe , un tronçon du « réacteur » du dispositif selon l'invention décrivant une variante qui présente l'« ensemble volumique réactif » et ses « butées plastiques » se présentant "d'un seul tenant" , en un bloc unique homogène , et non pas de façon à constituer un ensemble de corps distincts complémentaires et agissants de conserve .

Les figures 83 et 84 représentent successivement en vue de profil et en vue de dessus , une variante du dispositif selon l'invention , décrivant la jonction des parties « chaussant » et « réacteur » munie d'une « liaison axiale » "bipolaire" et "réglable" ; "bipolaire" car constituée selon deux points axiaux distincts l'un de l'autre et au service d'un même axe , et rendue "réglable" via un « système de fixation » adapté . en l'occurrence ici des « vis » par exemple , de varier l'angle d'incidence du

« chaussant » par rapport à l'angle général du « réacteur » dans le plan vertical .

Les figures 85 et 86 représentent successivement en vue de profil et en vue dessus , une variante du dispositif selon l'invention , présentant la jonction des parties « chaussant » et « réacteur » selon une « liaison axiale » "continue" et "réglable" . permise et matérialisée en l'occurrence et par exemple ici , par un axe "traversier" , prenant en charge la partie « chaussant » en permettant d'en régler l'angle d'incidence par rapport à l'angle général du « réacteur » dans le plan vertical , via un « système de fixation » adapté , en l'occurrence ici des « vis » par exemple . Les figures 87 et 88 représentent successivement en vue de profil et en vue de dessus , une variante du dispositif selon l'invention , décrivant la jonction des parties « chaussant » et « réacteur » réalisée et rendue effective selon plusieurs "centres" de jonction , notamment afin d'avoir les bénéfices d' '"une" fixation mieux assurée tout en permettant là encore de varier l'angle d'incidence

du « chaussant » par rapport à l'angle général du « réacteur » dans le plan vertical . Ces "centres" ou "niveaux de fixation" se décomposent en une première jonction telle que par exemple par une « liaison axiale » "bipolaire" et "réglable" ; "bipolaire" car constituée selon deux points axiaux distincts l'un de l'autre et servants d'un même axe , et rendue "réglable" via un « système de fixation » adapté tel que par exemple par « vis » , et qui constitue donc une première jonction ou un premier "niveau de fixation" qu'on associe aune seconde jonction , telle que par « liaisons par encoches et taquets » par exemple qui elle , permet d'assurer le plus gros du "réglage" tout en permettant une fixation confortée de l'ensemble . L'un ou l'autre de ces deux éléments pouvant se rattacher alternativement à partir du « chaussant » ou du « réacteur » . Les figures 89 et 90 représentent successivement en vue de profil et en vue de dessus , une variante du dispositif selon l'invention , décrivant la jonction des parties « chaussant » et « réacteur » munie d'une « liaison axiale » "bipolaire" et "mobile" ; "bipolaire" car constituée selon deux points axiaux distincts l'un de l'autre et servants d'un même axe , et rendue ainsi "mobile" et réactive grâce à l'adjonction de « systèmes à rebonds » , tels que par exemple comme ici des « ressorts » , ressorts conjoints au mécanismes axiaux de ces liaisons . Les figures 91 et 92 représentent successivement en vue de profil et en vue de dessus , une variante du dispositif selon l'invention , décrivant une jonction "mobile" des parties « chaussant » et « réacteur » réalisée et rendue effective selon plusieurs "centres" de jonction associés et "mobiles" ensembles , ce notamment , afin d'avoir le bénéfice d' "une" jonction "mobile" ainsi mieux assurée ; Ces "centres" se décomposent en une première jonction telle que formée par une « liaison axiale » "bipolaire" et "mobile" ; "bipolaire" car constituée selon deux points axiaux distincts l'un de l'autre et servants d'un même axe , et "mobile" du fait d'être laissée libre d'aucune retenue ; Cette « liaison axiale » "bipolaire" et "mobile" qu'on associe à un autre "centre" ou "niveau de mobilité", constitué par exemple par des « liaisons dynamiques par poussoirs » qui elles , permettent

effectivement par un ensemble - « système à rebonds » , matérialisé par des « ressorts » ( représentés pour une meilleure lisibilité en transparence sur la figure ) , ressorts couplés à des « poussoirs » , de produire un effet de mobilité dynamique dispensé pour l'ensemble de la jonction « chaussant » -

« réacteur » ; Ces éléments « poussoirs » et « ressorts » pouvant se rattacher alternativement à partir du « chaussant » ou du « réacteur » ( présentement dans ces figures , l'élément « poussoir » s'inscrit depuis la partie « chaussant » alors que les « ressorts » y sont inscrits depuis la partie « réacteur » ) . La figure 93 représente de façon générique une vue de profil d'une variante selon le dispositif de l'invention ; Celle-ci décrit une « armature » à placer sur la jambe du nageur , et en particulier à "baser" sur son mollet , et qui est reliée au reste du dispositif par une jonction qui permette , en même temps qu'un maintien fort , également un mouvement minimal suffisant ; Cette jonction est constituée par exemple par une « liaison axiale » "bipolaire" ; "bipolaire" car constituée selon deux points axiaux distincts l'un de l'autre et au service d'un même axe . Si la jonction entre les parties « chaussant » et « réacteur » n'est pas fixe , et est donc conséquemment "réglable" ou "mobile", cette jonction peut se raccorder aux points de jonction joignants déjà les parties « chaussant » et « réacteur » du dispositif entre eux .

En référence à ces dessins , le dispositif comporte deux parties majeures , une partie « chaussant » (A) et une partie dite « réacteur » (B) ; Cette dernière comporte un ensemble appelé « structure canalisante » (1) formé par deux « parois » montées chacunes relativement en vis à vis et entre lesquelles vient se rattacher l' « ensemble volumique réactif» et les « butées plastiques » (2) qui le constituent et qui réagissent dynamiquement de part leur nature mécaniquement plastique lors de la mise en action du dispositif .

Dans la forme de réalisation selon les figures 9 et 15 notamment , les « parois » de la « structure canalisante » (1) peuvent se décomposer en morceaux s 'articulant entre eux grâce à des « articulations » (3) pouvant être matérialisées par des « axes articulatoires » ; Dans la forme de réalisation selon la figure 10 ,

ces « articulations » (3) peuvent également être de type « traversières » (4) de manière à relier de part en part les « parois » de la « structure canalisante » (1) et leurs morceaux entre eux . Les morceaux de « parois » de la « structure canalisante » (1) peuvent être rendus remarquables et "lisibles" de part leurs zones de séparation encore appelées « renfoncements articulatoires » (5) ; Dans la forme de réalisation selon les figures 22 et 23 des « système à rebonds » (6) du type « ressorts » peuvent être adjoints aux pourtours des « articulations » (3) et donc , de ces « axes articulatoires » des morceaux de « parois » de la « structure canalisante » (1) .

Dans la forme de réalisation selon les figures 24 et 25 , une variante de système d' « articulations » (3) des morceaux de « parois » de la « structure canalisante » (1) entre eux , dite par « butées axiales » peut être utilisée et être munie accessoirement de « systèmes à rebonds » (6) , et en l'occurrence ici , de « ressorts » , permettant là encore , en plus que de produire un effet rebond mécaniquement appréciable , de permettre un suivi axial mieux contraint et dynamique . Dans la forme de réalisation selon les figures 26 , 27 et accessoirement 28 , le mode articulatoire des « parois » de la « structure canalisante » (1) peut varier et se voir remplacé par des « articulations » (3) prenant la forme d'un système par pliage structurel appelé « système par pliures articulatoires » ou de « pliures articulatoires » subdivisant et articulant les morceaux de « parois » de la « structure canalisante » (1) entre eux et les articulant . Dans la forme de réalisation selon les figures 29 et 30 , une autre variante de « système à rebonds » (6) du type systèmes par « armatures élastiques » peut s'adjoindre aux « parois » de la « structure canalisante » (1) tout du long ou parcellairement , et produire et former , en plus que d'un « système à rebonds » (6) , un système articulatoire ou d' « articulations » , secondaire cohérent accompagnant le mouvement imprimé par le nageur . Ces « armatures élastiques » font corps ou s'imbriquent de façon plus ou moins superficielle aux « parois » de la « structure canalisante » (1) et à leurs morceaux . Dans la forme de réalisation selon les figures 31 et 32 , et d'après une variante du dispositif de

l' invention , des « longerons pénétrateurs » ou « super bords d'attaque hydrodynamiques » (7) peuvent prendre place au pourtour des entrées - sorties d'eau des « parois » de la « structure canalisante » (1) et faire office de protections pare-chocs vis à vis de l'environnement qui peut-être rencontré , de même qu'office de structures visant à améliorer l'hydrodynamisme du dispositif ; Ces « longerons pénétrateurs » ou « super bords d'attaque hydrodynamiques » (7) peuvent exploiter , au moins pour partie , les mêmes qualités en terme d'apport mécanique et dynamique que celles des « systèmes à rebonds » (6) dits par « armatures élastiques » présentés ci-avant , c'est à dire qu'elles même peuvent constituer de par leur nature constitutive et/ou matérielle plastique un système dynamique capable de rebonds ; Dans la forme de réalisation selon les figures 33 , 34 et 35 , leurs ploiement pouvant être facilité grâce à l'entremise de « rupture articulatoires » consistant en des césures de moindre épaisseur et/ou des rognages inscrits dans la structure même de celles-ci . Dans la forme de réalisation selon les figures 37 , 38 et 39 , des « longerons plastiques » ou « ailettes » de nature plastique , à entendre par « micro structures palmantes » (8) peuvent se placer le long des « parois » de la « structure canalisante » (1) et permettre un effet mécanique d'appoint et d'appui , à même de produire un contrôle accru du dispositif selon l'invention envers le milieu aquatique . Dans la forme de réalisation selon les figures 55 et 56 , des « butoirs » (9) peuvent venir se placer dans l'intervalle des « parois » de la « structure canalisante » (1) du « réacteur » (B) pour permettre d'arrêter la course des « butées plastiques » (2) de F « ensemble volumique réactif » et , simultanément , par la mise en contrainte due à la présence de ces « butoirs » (9) , engendrer une déformation mécanique résiduelle de celles-ci , de telle façon que le flux d'eau issu de l'action soit finalement davantage dévié et canalisé vers l'arrière du sens vers lequel le nageur qui utilise le dispositif de l'invention se dirige . Dans la forme de réalisation selon les figures 57 et 58 , et pour un résultat apparenté à celui de ces « butoirs » (9) mais de façon plus conséquente en terme d'effet retiré de déflection des flux d'eau , et toujours dans l'intervalle des « parois » de la «structure canalisante » (1) , des « déflecteurs »

(10) peuvent venir se placer en bout de course des « butées plastiques » (2) pour en dévier plus pleinement le flux d'eau généré par elles . Si les « butées plastiques » (2) peuvent adopter des formes variées , elles peuvent également être de configurations

"composites" et dans la forme de réalisation selon les figures 77 et 78 , comprendre ainsi , de façon associée , des parties souples et "déformables" (11) et d'autres parties plus "rigides" (12) ceci pour qu'en soit retiré un effet mécanique accru . La jonction « chaussant » (A) et « réacteur » (B) peut , si elle n'est pas fixe et pré-déterminée , se présenter selon un ou plusieurs points "réglables" de jonction et/ou se présenter selon un ou plusieurs points "mobiles" de jonction ; Cette jonction « chaussant » (A) - « réacteur » (B) se voit agit par des « liaisons axiales » (13) , qui diffèrent principalement des « articulations » (3) des morceaux de « parois » de la « structure canalisante » (1) du « réacteur » (B) , en ce qu'elles ont à prendre en charge un objet "extérieur" à leur "origine" , et qui en l'occurrence s 'agissant du dispositif est la partie « chaussant » (A) .

Ainsi , dans la forme de réalisation selon les figures 83 et 84 , une jonction formée par une « liaison axiale » (13) "bipolaire" , constituée selon deux points axiaux distincts l'un de l'autre et servants d'un même axe , sont rendus "réglables" de part un « système de fixations » (14) tel que par exemple des « vis » , qu'adjoignent concomitamment des « pas de vis » (15) ; De même , ces « liaisons axiales » (13) "bipolaires" peuvent être terminées par des « rondelles de fixation » (16) dévolues à pouvoir associer notamment les « systèmes de fixations » (14) , et donc par exemple et en l'occurrence des « vis » .

Ces « liaisons axiales » (13) "bipolaires" qui constituent donc une même jonction constituée selon deux points axiaux distincts l'un de l'autre et qui servent un même axe , peuvent se voir remplacer par une jonction constituée d'un point de liaison « continu » , qu'on nommera « liaison axiale » (13) "continue" ou

"traversière" ; "traversière" ou "continue" et sans subdivisions dans son principe de jonction du fait qu'elle est constituée par un

axe "traversier" prenant en charge au passage la partie

« chaussant » ;

Dans la forme de réalisation selon les figures 85 et 86 , cette « liaison axiale » (13) "continue" ou "traversière" pourra être "réglable" de part , là aussi un « système de fixations » (14) tel que constitué par exemple par des « vis » , qu'adjoignent concomitamment des « pas de vis » (15) , et là encore . être terminée par des « rondelles de fixation » (16) dévolues à y associer notamment les « systèmes de fixation » (14) , et donc en l'occurrence et par exemple des « vis ».

Dans la forme de réalisation selon les figures 87 et 88 , la jonction entre « chaussant » (A) et « réacteur » (B) peut être rendue "réglable" selon le principe de plusieurs ensembles ou "centres" ou encore "niveaux de fixation" et de réglage associés ; Ainsi une « liaison axiale » (13) "bipolaire" , "réglable" , adjoignant un « système de fixations » (14) tel que par exemple par « vis » à son principe , peut constituer un premier ensemble ou "centre" , associant complémentairement un second "centre" ou "niveau de fixation" , ce par exemple , via un système qu'on nommera « système gradant à encoches » , associant la présence d' « encoches » (18) et l'action complémentaire de « taquets » (19) voués à être accueillis et bloqués en leur sein ; l'un ou l'autre de ces deux éléments pouvant se rattacher alternativement à partir du « chaussant » ou du « réacteur » . Dans la forme de réalisation selon les figures 89 et 90 , la jonction entre « chaussant » (A) et « réacteur » (B) peut être encore constituée par une « liaison axiale » (13) "bipolaire" non plus "réglable" mais spécifiquement rendue "mobile" et dynamique , et ainsi comporter des « systèmes à rebonds » (6) tel que constitué de « ressorts » associés à cette « liaison axiale » (13) "bipolaire" , et interagissant entre « chaussant » (A) et « réacteur » (B) . Dans la forme de réalisation selon les figures 91 et 92 , cette jonction entre « chaussant » (A) et « réacteur » (B) peut également selon ce principe de plusieurs "centres" ou "niveaux de mobilité" associés , être rendue "mobile" et dynamique ; Ainsi , une « liaison axiale » (13) "bipolaire" d'un type "non

réglable" cette fois , mais laissée libre , et par là ne comportant donc aucun « système de fixation » associé , peut constituer un premier "centre", s 'associant à un second ; Ce Second "centre" ou "niveau de mobilité" dynamique , inclut un ensemble - « système à rebonds » (6) tel que permis par exemple par des « ressorts » , ressorts se couplant complémentairement à des « poussoirs » (20) avec lesquels ils viennent en quelque sorte se "confronter" et interagir dynamiquement et synergiquement les uns par rapport aux autres ; Chacun de ces deux éléments pouvant se rattacher alternativement à partir du « chaussant » (A) ou du « réacteur » (B) .

Dans la forme de réalisation selon la figure 93 , les parties « chaussant » (A) et « réacteur » (B) peuvent associer une partie dite « armature » (C) , joignant la partie « chaussant » (A) et/ou « réacteur » (B) notamment à leurs jonction , et qui est à placer sur la jambe du nageur et en particulier à "baser" au niveau du mollet de celui-ci ; Celle-ci a pour but d'appuyer et d'accentuer l'action générale du dispositif en terme de rendement et de puissance dégagée , grâce à un maintien renforcé du dispositif dans son ensemble au corps du nageur une fois celui-ci mis en action ; Cette partie « armature » (C) est donc reliée au dispositif par une ou plusieurs jonctions , et ceci en particulier de façon pratique et associée aux points de jonction servant déjà à relier les parties « chaussant » (A) et « réacteur » (B) entre elles , et ceci notamment par le biais d'une « liaison axiale » (13) "bipolaire" qui peut lui servir de point de jonction ; Par contre , si la jonction entre les parties « chaussant » (A) et « réacteur » (B) est fixe , et ainsi "non réglable" ou "mobile" , la ou les jonctions de cette partie « armature » (C) la rattachant au reste du dispositif se fait par le biais d'une jonction , par exemple du type « liaison axiale » (13) "bipolaire" qui doit , en même temps que d'être d'une nature suffisamment "mobile" et permettant un mouvement minimal suffisant , être capable d'assurer un maintien fort , ceci notamment au niveau de l'articulation de la cheville du nageur .

Le ou les moyens qu'elles auront de se voir fixer ou retenir à la jambe pourront varier .

Selon des variantes non illustrées , toutes « articulations » (3) s 'apparentant à des systèmes axiaux , (comprenant les « butées axiales » ) et donc y compris les « liaisons axiales » (13) , peuvent associer à leurs axes respectifs , un ou plusieurs mécanismes de type « roulements » , et notamment des roulements dits "à billes" , afin d'en faciliter la mobilité mécanique .

Selon une variante non illustrée , le système d'« articulations » (3) des morceaux de « parois » de la « structure canalisante » (1) , appelé par « pliures articulatoires » peut voir ses "pliures" s'orienter vers l'intérieur du réacteur plutôt que se renflant vers l'extérieur .

Selon une variante non illustrée , les « butoirs » (9) pourront être "traversiers" , à la façon des « articulations » (3) du type « axes articulatoires » du même principe (4) déjà évoquées , et donc , relier une « paroi » de la « structure canalisante » (1) à l'autre .

Selon une variante non illustrée , le type de jonction « chaussant » (A) - « réacteur » (B) constituée d'une « liaison axiale » (13) « continue » ou "traversière", peut être rendue "mobile" également et ce , par l'intermédiaire de « systèmes à rebonds » (6) et par exemple grâce à un ou plusieurs « ressorts » adjoints et associés à cette « liaison axiale » "continue" ou traversière" .

Selon une variante non illustrée , et dans le cas où la jonction entre « chaussant » (A) et « réacteur » (B) est rendue "réglable" selon le principe de plusieurs "centres" ou encore "niveaux de fixation" associés , et ce notamment par le biais d'une « liaison axiale » (13) "bipolaire" , "réglable" , associant complémentairement un système qu'on nomme « système gradant à encoches » , cette « liaison axiale » (13) "bipolaire" . "réglable" peut se voir remplacer par une d'un type "non réglable" , et ne comportant donc aucuns "systèmes de fixation" associés .

Selon une variante non illustrée . la partie « réacteur » (B) sera spécifiquement "amovible" de la partie « chaussant » (A) et ce de part un « système de fixation » (14) tel que permis par des « vis » se plaçant à leur jonction . A titre d'exemple non limitatif , l'intervalle compris entre les

« parois » de la « structure canalisante » pourra être de l'ordre de 2 à 8 cm (espace entre les « parois » dont le réfèrent ( ergonomique et logique ) en terme d'écartement peut notamment correspondre de façon là encore non limitative à un espace inférieur ou égal à la largeur de la partie « chaussant » ) , la "hauteur" de ces « parois » de l'ordre de 8 àl5 cm , et leur longueur à partir du « chaussant » de l'ordre de 10 cm jusqu'à 60 cm voir plus ; La taille et le nombre des « butées plastiques » étant fixée , même si ce n'est pas obligatoire , relativement en fonction du reste du « réacteur » et donc de la « structure canalisante » et de ses « parois » ;

A titre d'exemple non limitatif toujours , celles-ci pourront avoir une largeur moyenne de l'ordre de 1.5 à 7.5 cm et une longueur de l'ordre de 5 à 20 cm par exemple .

Le dispositif selon l'invention est particulièrement destiné au sports sous - marins , mais encore , au sauvetage en mer et le long des côtes .