Dans le monde de l'aéronautique, les modes de l'aérodynamisme sont complexes et relèvent autant de l'expérimentation que des calculs de modélisations des principes de vol. Le comportement du vol se réalise en trois dimensions dans la dynamique réelle du comportement des profils des aéronefs, ce qui complique les approches intellectuelles au sol des ingénieurs. C'est ainsi que les performances s'améliorent, mais aussi les coûts d'exploitations financières exigent des performances encore meilleures, dans la rentabilité, et la clientèle demande le confort, la stabilité, tout comme les pilotes. C'est ainsi que les winglets ont apporté la stabilité de vol, mais aussi une réduction de consommation de 1 ,5%. L'approche technique est la réduction de la traînée, facteur le plus pénalisant à parfaire. En effet, la traînée contribue à la résistance à l'avancement, la diminuer est le principe fondamental auquel nous apportons par la présente demande de PCT, une solution pour au moins 10%, totalement inédite, car elle est une approche nouvelle basée sur des principes fondamentaux de réactivités magnétiques, électriques, électromagnétiques des structures. Le profil d'une aile provoque dans son déplacement des mouvements d'air, entre l'avant de l'aile, le bord d'attaque et le bord de fuite à l'arrière de l'aile. Aux extrémités apparaissent des nappes marginales tourbillonnaires qui perturbent les ailes. Il y a des déphasages entre les différents flux d'air prenant naissance sous les ailes, sur les ailes et sur les extrémités des ailes qui se retrouvent en total déphasage aux extrémités et aux points de rencontres avec des vecteurs de forces différents engendrant les torsions entre les nappes tourbillonnaires. Les rencontres des nappes tourbillonnaires du dessus et du dessous de l'aile avec des vitesses et des pressions différentes s'exerçant sur le bord de fuite, entraînent des traînées résistant à l'avancement du vol, idem sur l'empennage. Ces différents flux autour du profil existent par la viscosité de l'air, qui permet des vitesses et des directions différentes qui imposent à la structure des contraintes de tensions différentes. Ainsi, par les frottements différents de l'air sur les structures, des tensions de surface s'imposent sur les structures des ailes, et créent des tensions électriques différentes par réactivités de secteur par secteur. Le but est de diminuer autour des profils les déphasages entre les nappes tourbillonnaires et les tourbillons marginaux en bout d'aile. Ces tensions déterminent, sur les structures des ailes, des forces de tensions importantes et des secteurs de tensions électriques que Boeing identifie comme d'autres opérateurs. La sectorisation modélisée de tensions électriques réparties sur toute la surface des ailes est une nouvelle approche, car elle met en évidence des réactivités magnétiques et électromagnétiques par les frottements des flux d'air et des effets des écoulements de l'air engendrés par l'air sur la structure de tout l'avion. Le procédé et le produit permettent de limiter les contre-réactions identifiées afin de stabiliser le vol de façon importante pour en améliorer le coût d'exploitation, en atténuant les effets des nappes tourbillonnaires autour des profils, et surtout les effets de déphasage sur les structures qui polarisent électriquement les structures. Pour réguler les déphasages et les polarisations électriques des structures, nous utilisons un produit quantique qui stoppe ou lisse, ou gomme les écarts de tensions électriques diminuant ainsi les déphasages des nappes tourbillonnaires, par une auto induction électrique qui inverse les phases de polarisations, amortissant les effets. Fig.l, Le produit (1) est appliqué sur le bord de fuite (2) et/ou aussi sur le saumon (3) de l'aile suivant la possibilité du profil. Le produit peinture/gel aéro est constitué de poudre de piézo, oxyde de titane, de plomb par exemple, qui permet d'inverser l'information électrique et enfin de l'annuler. Le principe piézo de Pierre et Marie Curie transpose l'énergie électrique en mode mécanique faisant disparaître la tension électrique, ou l'inversant de phase. Un autre composant permet de capter les informations électriques, telle que de la poudre métallique, d'aluminium, de cuivre, d'or par exemple non limitatif de possibilités qui seront choisies par l'homme de l'art, pour la sensibilité électrique à capter les électrons. Les deux composants à parité égale en poids 50/50 sont mélangés dans un excipient, de la peinture à l'eau pour 30% volumique par exemple, pour appliquer le produit sur les structures. Les granulométries sont très fines pour être sensibles, de l'ordre d'une dizaine de microns par exemple non limitatif de réalisation par l'homme de l'art. L'homme de l'art suivant la vitesse de régularisation des charges électriques déterminera le mélange idoine avec du carbone en poudre de granulométrie du μ, qui introduit une notion d'information quantique en trois dimensions instantanées pour 3 à 5 % du produit peinture, pour obtenir une peinture quantique de régulation des déphasages en 3 Dimensions. Pour un « Falcon 10 » 300 à 500 grammes de produit fini suffisent pour être efficace, répartis sur le bord de fuite sur ses deux faces, supérieure et inférieure, et les deux saumons. Ce principe est valable pour tout profil se déplaçant dans un milieu fluide. Ce principe s'applique pour les bateaux, les sous-marins, les voitures, comme les formules 1. Le principe du produit s'adapte et permet l'effacement des polarisations de l'effet aérodynamique 3D, des effets de nappes tourbillonnaires sur tout profil évoluant dans un milieu fluide. Les aubes des turbines d'avion sont concernées par l'aspect à deux dimensions du fait de leur carénage, cela permet d'adapter les rendements et d'harmoniser les étages de compressions. Le produit concerne la stabilité des pales d'hélicoptère, des hélices d'avion ou de bateau, les éoliennes, les ventilateurs des machines électriques ou mécaniques, les climatisations ou les frigos, tout ce qui est profil dynamique dans un milieu fluide. Le produit peut s'appliquer partout où les profils ont besoin de nettoyer les polarisations, sectorisations électriques constatées sur les structures, générées par les frottements de l'air. Le produit quantique répartit au pistolet ou au pinceau sur la structure stabilise immédiatement les turbulences du vol. L'effet flutter est notamment concerné, car les vibrations engendrées, engendrent des variations de tensions électromagnétiques des structures, qui sont amorties par la présence de gel/peinture quantique.