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Patent Searching and Data


Title:
SELF-COUPLING SNOWBOARD BINDING AND FOOTWEAR THEREFOR
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/1997/022390
Kind Code:
A1
Abstract:
A quick-fit binding requiring no prior adjustment is disclosed. The binding comprises a substantially oblong base plate or base (1) attachable to the snowboard. The base is provided with two plates (3, 4) vertically fastened to the two long sides thereof and provided with two respective channels (6, 7) for receiving and retaining a rod secured to the sole of the footwear. Said rod (10) is held at the bottom of the channels by self-locking cams (8, 9). A lever (12) held in a predetermined position by a spring enables the cams to be moved in order to release the rod (10).

Inventors:
DE FRANCE GUILLAUME (FR)
Application Number:
PCT/IB1996/001447
Publication Date:
June 26, 1997
Filing Date:
December 18, 1996
Export Citation:
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Assignee:
EMERY SOC (FR)
FRANCE GUILLAUME DE (FR)
International Classes:
A43B5/04; A63C10/10; A63C5/00; (IPC1-7): A63C9/00; A63C9/20; A43B5/04
Domestic Patent References:
WO1995009035A11995-04-06
Foreign References:
EP0615774A21994-09-21
US4403789A1983-09-13
US3905613A1975-09-16
US5299823A1994-04-05
EP0680775A21995-11-08
US5558355A1996-09-24
Other References:
See also references of EP 0885036A1
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Claims:
Revendications
1. 1Fixation de surf à neige à chaussage automatique comportant une plaque de base sensiblement oblongue, dénommée par la suite embase, destinée à être fixée sur le surf à neige, caractérisée en ce que l'embase (1) est munie de deux plaques fixées verticalement sur ses deux grand côtés (3 et 4) comportant des gorges (6 et 7) dans lesquelles vient s'insérer un élément allongé destiné à être fixé à la chaussure et en ce qu'elle comporte des moyens pour maintenir ledit élément au fond des gorges (10) en position fermée, libérant ledit élément en position ouverte.
2. Fixation de surf selon la revendication 1, caractérisée en ce que les moyens de maintien sont constitués par deux cames indépendantes fixées sur des axes solidaires des plaques verticales et maintenues élastiquement en position de maintien ou fermée.
3. Fixation de surf selon l'une des revendications 1 et 2, caractérisée en ce que les cames ont une forme telle que l'élément allongé est constamment poussé vers le fond de la gorge en position de fermeture, ce qui permet un rattrapage automatique lors du tassement dû à un sabot de neige.
4. Fixation de surf selon l'une des revendications précédentes, caractérisée en ce que l'embase et les plaques sont en métal, par exemple en acier ou en alliage d' aluminium, ou en matière synthétique.
5. Chaussure de surf à neige comportant une empeigne, une tige et une semelle pour une fixation selon l'une des revendications 1 à 4, caractérisée en ce que la semelle présente un renfoncement situé entre le talon et la partie avant dans lequel est disposé un élément allongé ou barre, dont les extrémités sont destinées à venir en prise avec les cames prévues à cet effet sur la fixation, transversalement par rapport à la longueur de la semelle et dont l'axe est sensiblement décentré relativement au milieu de la semelle du côté talon.
6. Chaussure selon la revendication 5, caractérisée en ce que le décentrage du barreau est compris entre 1 mm et 30 mm, de préférence 20 mm, le renfoncement est circulaire avec un diamètre compris entre 100 mm et 120 mm, de préférence 110 mm, avec une profondeur comprise entre 8 mm et 22 mm, de préférence 14 mm.
Description:
Fixation de surf à neige à chaussage automatique et chaussure pour cette dernière.

L'invention a pour obτet une fixation de surf à neige à chaussage automatique et une chaussure pour cette dernière. Le surf à neige, aussi dénommé planche à neige, est une planche allongée plus ou moins flexible destinée à glisser sur la neige.

Les surfs à neige sont chers relativement au temps pendant lequel ils sont utilisés. De plus, durant la période ou ils ne sont pas utilisés ils sont encombrants. Pour ces raisons beaucoup de sportifs occasionnels préfèrent louer des surfs a neige plutôt que de les acheter. Les fixations actuelles nécessitent un réglage selon les types de chaussures et les pointures. Les fixations de surf à chaussage automatique actuellement sur le marché, offrent peu de position de chaussage, ce qui est particulièrement incommode avec des chaussures à coques rigides, dite alpines.

En effet, les fixations à chaussage automatique actuelles comportent un encliquetage très directionnel. La plupart des fixations de surfs à chaussage automatique nécessitent une grande précision de la part de l'utilisateur pour les chausser. Ces fixations ne sont pas satisfaisantes, certaines ne sont pas centrales relativement à la chaussure et nécessitent un étrier de tenue à l'avant de la chaussure, elles n'offrent pas une bonnes répartition des efforts sur le surf. Elles sont à encliquetage latéral ou très directionnel ce qui offrent peu de confort à l'utilisateur. De plus, elles sont inutilisables pour les utilisateurs de chaussures rigides, dite à coque. Pour d'autres types la position lors de l' encliquetage ne laisse pas la fixation visible pour l'utilisateur et demande beaucoup de précision. Elles ne possèdent pas de possibilité de compensation automatique de serrage lors de la présence d'une épaisseur de neige sous la chaussure. La neige se tassant au gré des mouvements, laisse un vide générateur d'instabilités.

Pour améliorer les fixations de surfs à chaussage automatique on a imaginé une fixation comprenant une embase comportant des crochets latéraux, dont l'un est verrouillé par un levier, dans lesquels viennent s'encliqueter deux étriers solidaires de la chaussure. L'un des étriers est verrouillé par un moyen de fermeture qui laisse le passage lors du chaussage et empêche le retour de l'étrier par son interposition lors d'une sollicitation verticale. Si cette fixation est satisfaisant quant au chaussage automatique, elle ne l'est pas pour son confort puisque le chaussage peut s'effectuer que par une arrivée très directionnelle. Pour les chaussures à coque ce type de fixation ne permet pas l'utilisation d'une chaussure rigide, car la jambe de l'utilisateur ayant les articulations maintenues n'offre pas la souplesse requise pour permettre 1'encliquetage. Un autre type de fixation comportant une plaque basse fixée sur le surf et l'empreinte femelle solidaire de la chaussure comportant les moyens de fermeture, offre les caractéristiques de fixation de surf à chaussage automatique mais a l'inconvénient d'occulter la pièce à encliqueter puisque cette dernière se situe sous la chaussure de l'utilisateur.

On connaît les chaussures de surf à neige comportant à leurs deux extrémités des rebords ou des pièces complexe sous la semelle destinées à permettre leur maintien sur le surf ou sur le ski. La plupart de ces chaussures donnent satisfaction à leurs utilisateurs, toutefois dans certaines situations elles présentent des difficultés pour être fixées sur le surf ou sur le ski, notamment lorsque de la neige s'est fixée sur le surf ou le ski ou sous la chaussure, pour les chaussures à fixation intégralement sous la semelle notamment. De plus, pour les chaussures dont la fixation se fait à l'avant et à l'arrière ou dans les zones latérales en porte-à-faux, la transmission des efforts n'est pas optimum.

D'autres chaussures présentent des creusures au niveau de la semelle dans la zone médiane pour permettre leur maintien par des griffes. Ces fixations sont relativement compliquées et peu

fiables. De plus, les creusures des chaussures peuvent se remplir de neige ou la chaussure ou la fixation peut être couvert de neige, ce qui rend difficile le chaussage.

L'invention a pour objet de fournir une fixation qui ne présente pas les défauts des fixations existantes et une chaussure pou cette dernière. Ces buts sont atteint avec la fixation de surf à neige définie à la revendication 1 et avec la chaussure définie a la revendication 5.

L' invention sera mieux comprise a la lecture de la description de formes d'exécution données a titre d'exemple en regard des dessins sur lesquels:

la figure 1 représente une vue en perspective d'une forme d'exécution de la fixation de surf selon l'invention.

la figure 2 représente une vue de la fixation représentée a la figure 1 en vue par-dessus.

la figure 3 représente une vue de la fixation représentée a la figure 1 en vue de face.

la figure 4 représente deux vue de la fixation représentée a la figure 1 en vue latérale en position ouverte et fermée.

la figure 5 représente la fixation de la figure 1 en vue latérale sur laquelle on a représente une chaussure avant la chaussage.

les figures 6A et 6B représentent une variante de la fixation représentée à la figure 1 respectivement avant et après chaussage.

Les figures 7A et 7B représentent une autre variante de la fixation de la figure 1, respectivement avant et après chaussage.

la figure 8 représente en vue perspective le dessous de la semelle d'une chaussure selon l'invention.

la figure 9 représente en vue perspective éclatée de la semelle de la chaussure de la figure 8.

Comme on le voit sur la figure 1 une fixation selon l'invention représente un ensemble compact ayant une forme agréable à regarder. La fixation comporte une plaque de base 1, aussi dénommée embase, destinée à être fixée sur la surface supérieure d'un surf à neige. La fixation de l'embase 1 se fait au moyen de vis passant à travers les percements 2, ou par l'intermédiaire d'une plaque circulaire (non représentée), qui comportent des crans pour permettre le réglage d'angle sur 360° et des perçages destinés à recevoir des vis de fixation, non représentées. La plaque circulaire (non représentée) est indépendante de l'embase 1 et comporte un rebord avec des cannelures. On retrouve des cannelures identiques sur l'embase 1 ce qui permet d'orienter la fixation de la manière désirée. Ce dispositif est connu et se trouve sur des fixations existantes c'est pourquoi il n'a pas été représenté.

La fixation est formée par une embase 1 comportant deux plaques latérales 3 et 4, possédant un écartement 5 sensiblement de la largeur d'une chaussure. Chacune desdites plaques 3 et 4 présente une gorge verticale 6 respectivement 7 en son centre et une came 8 respectivement 9 mobile sur des axes solidaires desdites plaques 3 et 4. Ces cames sont destinées à maintenir au fond des gorges 6 et 7 une barre transversale 10 fixée sous la semelle de la chaussure (voir figure 8 et 9) . La barre transversale 10 vient s'encliqueter dans les gorges 6 et 7 des plaques 3 et 4 de l'embase 1 et est retenue par les cames 8 et 9. Lesdites cames sont autoserrantes, c'est-à-dire qu'elles

peuvent rattraper un éventuel jeu laissé par le tassement d'une couche de neige sous la semelle grâce aux fraisures 11. La libération de la chaussure s'effectue par simple pression sur un levier latéral 12, qui par une tige de transmission 13 maintenue en position basse par un ressort 14, ouvre les deux cames 8 et 9 en même temps, ce qui permet le retrait de la barre 10, donc de la chaussure 15 (Fig 5) . La barre 10 peut être constituée par une barre droite ou comportant des pliages.

Sur la figure 2 on voit que l'embase 1 est de forme compacte occupant peu de place sur la planche. On peut y remarquer la tige de transmission 13, commandant l'ouverture des cames 8 et 9. On y remarque en position fermée la barre 10 retenue par les cames 8 et 9 ce qui constitue un moyen de fermeture simple et efficace.

La figure 5 permettra de mieux comprendre le fonctionnement de la fixation. En effet, il n'est pas nécessaire de présenter la chaussure 15 horizontalement latéralement ou longitudinalement pour que l'encliquetage soit réalisé. Les cames 8 et 9 sont indépendantes malgré leur liaison par la tige 13 par la présence de la fente 16.

Par sa conception, la fixation est utilisable quelle que soit l'orientation de la chaussure.

La fixation selon l'invention peut être réalisée en métal léger par exemple en tôle ou en alliage d'aluminium ou en matière synthétique de résistance appropriée.

Comme on le voit sur les figures, seule la semelle de la chaussure a été représentée, car l'empeigne et la tige peuvent être de forme quelconque et n'ont aucune influence sur l' invention.

On voit sur les figures 8 et 9 qu'une semelle 1 d'une chaussure selon l'invention comporte une partie avant 3 et une partie arrière dénommée talon 2. Entre les deux parties 2 et 3 se

trouve un renfoncement 4, qui dans la forme d'exécution décrite est circulaire avec un diamètre de 110 mm et profondeur de 14 mm. Ces formes et ces dimensions ne sont données qu'à titre d'exemple. Le renfoncement peut avoir toute forme, par exemple: carrée, rectangulaire, elliptique, ovale etc. pour permettre la fixation d'un barre 5 entre la partie avant 3 et le talon 2. Cette barre disposée transversalement relativement à la longueur de la semelle a une longueur légèrement supérieure à la largeur de la semelle, de manière à créer des éléments d'accrochage en saillie, ou sensiblement aligné sur les formes extérieures de la tige de la chaussure.

La barre 5 est destinée à venir se prendre dans un dispositif prévu (représenté sur les figures 1 à 7) sur la fixation conçue pour coopérer avec la dite chaussure. La position de la barre 5 est sensiblement décentrée, par rapport au milieu de la semelle, du côté arrière, c'est-à-dire vers le talon 2. Ce positionnement de la barre a pour but de créer une meilleure position de l'utilisateur à fin d'obtenir une transmission plus directe des efforts.

contre la semelle par tout moyen connu. Dans l'exemple décrit La barre 5 sera maintenue Comme on le voit sur les figures, seule la semelle de la chaussure a été représentée, car l'empeigne et la tige peuvent être de forme quelconque et n'ont aucune influence sur l'invention.

On voit sur les figures 1 et 2 qu'une semelle 1 d'une chaussure selon l'invention comporte une partie avant 3 et une partie arrière dénommée talon 2. Entre les deux parties 2 et 3 se trouve un renfoncement 4, qui dans la forme d'exécution décrite est circulaire avec un diamètre de 110 mm et profondeur de 14 mm. Ces formes et ces dimensions ne sont données qu'à titre d'exemple. Le renfoncement peut avoir toute forme, par exemple: carrée, rectangulaire, elliptique, ovale pour permettre la fixation d'un barreau 5 entre la partie avant 3 et le talon (2) . Ce barreau disposé transversalement relativement à la longueur de la semelle a une longueur légèrement supérieure à

la largeur de la semelle, de manière a créer des éléments d'accrochage en saillie, ou sensiblement aligne sur les formes extérieures de la tige de la chaussure.

Le barreau 5 est destiné a venir se prendre dans un dispositif prévu (non représenté) sur la fixation conçue pour coopérer avec la dite chaussure. La position du barreau 5 est sensiblement décentrée, par rapport au milieu de la semelle, du côté arrière, c'est-à-dire vers le talon 2. Ce positionnement du barreau a pour but de créer une meilleure position de l'utilisateur à fin d'obtenir une transmission plus directe des efforts.

La barre 5 sera maintenue contre la semelle par tout moyen connu. Dans l'exemple décrit elle est maintenue par une plaque 6 vissée par quatre vis 7. La semelle 1 de la chaussure peut aussi présenter une gorge 9 pour améliorer le maintien de la barre 5.

Dans certaines formes d'exécution la barre 5 présentera a ses deux extrémités dépassant la semelle 1 des coudes ceci pour gagner de la hauteur.

L'invention n'est pas limitée aux formes d'exécutions définies, mais au contraire comporte toutes les variantes que l'homme de l'art pourrait y adapter en ce qui concerne les dimensions, les formes et les positions des renforcements et de la barre 5.

Comme il va de soit, l'invention ne se limite pas à la seule forme d'exécution de cette fixation de surf à chaussage automatique, qui a été décrite ci-devant à titre d'exemple, mais embrasse toutes les variantes d'exécution, notamment en ce qui a trait à la forme de l'embase des plaques d'appui ou de la matière utilisée pour la réalisation.




 
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