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Title:
SHOE SOLE
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2014/080132
Kind Code:
A1
Abstract:
The invention relates to a shoe sole comprising a base surface (2) whereon alveolar shapes (4) are formed, that are defined by radial walls (3) projecting from the surface, said walls being interconnected in order to form a network for rigidifying said sole, said rigidifying network comprising an area wherein said walls are interrupted in order to form segments (9) that are each formed by a portion of the wall (3) defined by recesses (10), said segments being arranged such that they are able to deform in order to create a sub-network for shock absorbency when contact is made with the ground.

Inventors:
CAULLIEZ GUILLAUME (FR)
Application Number:
PCT/FR2013/052818
Publication Date:
May 30, 2014
Filing Date:
November 21, 2013
Export Citation:
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Assignee:
DECATHLON SA (FR)
International Classes:
A43B7/14; A43B1/00; A43B13/18
Foreign References:
FR2800581A12001-05-11
US20060156579A12006-07-20
FR520232A1921-06-22
FR2800581A12001-05-11
CN2291809Y1998-09-23
Attorney, Agent or Firm:
SAYETTAT, Julien (FR)
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Claims:
REVENDICATIONS

1 . Semelle de chaussure présentant une surface de base (2) sur laquelle sont formées des alvéoles (4) qui sont délimitées par des parois radiales (3) issues de ladite surface, lesdites parois étant reliées entre elles pour former un réseau de rigidification de ladite semelle, ladite semelle étant caractérisée en ce que le réseau de rigidification présente une zone dans laquelle les parois (3) sont désolidarisées pour réaliser des plots (9) formés chacun par une portion de paroi (3) qui est délimitée par des évidements (10), lesdits plots étant agencés pour pouvoir se déformer afin de créer un sous-réseau d'amortissement des impacts au sol.

2. Semelle de chaussure selon la revendication 1 , caractérisée en ce que les évidements (10) sont formés au niveau d'une jonction entre au moins deux parois (3) du réseau de rigidification.

3. Semelle de chaussure selon la revendication 1 ou 2, caractérisée en ce que le sous-réseau d'amortissement est réalisé dans une zone intérieure du réseau de rigidification.

4. Semelle de chaussure selon l'une quelconque des revendications 1 à 3, caractérisée en ce que le réseau de rigidification comprend des parois latérales (3a) qui sont associées au bord périphérique (5) de la semelle.

5. Semelle de chaussure selon les revendications 3 et 4, caractérisée en ce que le sous-réseau d'amortissement est relié au bord périphérique (5) par l'intermédiaire des parois latérales (3a). 6. Semelle de chaussure selon l'une quelconque des revendications 1 à 5, caractérisée en ce que chaque alvéole (4) est délimitée par six parois (3) disposées suivant une géométrie hexagonale, le réseau de rigidification s'étendant sur la surface de base (2) selon une configuration en nid d'abeilles.

7. Semelle de chaussure selon la revendication 6 lorsqu'elle dépend de la revendication 2, caractérisée en ce que les évidements (10) sont formés au niveau d'un sommet (7) commun à au moins deux alvéoles (4).

8. Semelle de chaussure selon la revendication 7, caractérisée en ce qu'au moins deux évidements (10) sont formés sur respectivement un sommet (7) d'une alvéole (4). 9. Semelle de chaussure selon la revendication 8, caractérisée en ce que deux évidements (10) sont formés sur respectivement deux sommets (7) adjacents pour former un plot (9) dans une paroi (3).

10. Semelle de chaussure selon l'une quelconque des revendications 1 à 9, caractérisée en ce que les plots (9) sont orientés dans au moins deux directions différentes.

1 1 . Semelle de chaussure selon l'une quelconque des revendications 1 à 10, caractérisée en ce que des évidements (1 0) s'étendent sur toute la hauteur des parois (3).

12. Semelle de chaussure selon l'une quelconque des revendications 1 à 1 1 , caractérisée en ce que des évidements (10) s'étendent sur une partie de la hauteur des parois (3) pour former un pont de jonction à la base des plots (9).

13. Semelle de chaussure selon l'une quelconque des revendications 1 à 12, caractérisée en ce que le réseau de rigidification est formé sur au moins une partie de talon de la surface de base (2).

Description:
Semelle de chaussure

L'invention concerne une semelle, en particulier une semelle intermédiaire, pour chaussure, notamment pour des chaussures de marche portées au quotidien, ladite semelle pouvant être réalisée par moulage d'un matériau synthétique, par exemple à base d'un élastomère ou de polychlorure de vinyle (PVC).

Pour assurer la rigidité d'une telle semelle, en torsion et/ou en flexion, on connaît du document FR-2 800 581 une semelle monobloc présentant une surface de base sur laquelle sont formées des alvéoles délimitées par des parois radiales reliées entre elles de manière à former un réseau de rigidification de ladite semelle.

Toutefois, un tel réseau de rigidification apporte également une rigidité en compression qui ne confère pas un amorti suffisant des impacts du pied au sol pour garantir le confort de marche du porteur.

Pour résoudre ce problème d'amortissement, le document FR-2 800 581 prévoit de disposer sur le réseau de rigidification une semelle de propreté permettant l'absorption des chocs lors des appuis au sol. Il est également connu d'équiper une semelle avec des inserts permettant d'améliorer les caractéristiques d'amortissement.

En particulier, le document CN-2 291 809 propose un insert d'amortissement tel un gel absorbant ou un coussin d'air qui est disposé dans un logement formé dans un réseau de rigidification d'une semelle pour combiner rigidité et amorti. On connaît également des inserts d'amortissement pour semelle qui sont formés à partir d'un matériau élastomère, tels que des inserts de mousse d'éthylène-acétate de vinyle (EVA) et/ou de polyuréthane.

Toutefois, ces solutions rapportées dans la semelle ne donnent pas entière satisfaction en ce que l'ajout d'un insert d'amortissement augmente les coûts et le temps de fabrication de la semelle, notamment du fait des difficultés d'assemblage dudit insert à la semelle.

En outre, le matériau utilisé pour la réalisation de tels inserts ne répond pas toujours aux critères de confort de la semelle, notamment relativement au poids de ladite semelle et/ou à la durabilité de l'amorti. En particulier, l'EVA est un matériau très léger et absorbant, mais peu durable et coûteux, alors que le polyuréthane présente une plus grande résistance à l'usage mais un poids important.

L'invention vise à perfectionner l'art antérieur en proposant notamment une semelle pour chaussure présentant un compromis optimal et durable entre rigidité et amorti afin d'améliorer le confort de marche du porteur, ladite semelle étant en outre simple de fabrication.

A cet effet, l'invention propose une semelle de chaussure présentant une surface de base sur laquelle sont formées des alvéoles qui sont délimitées par des parois radiales issues de ladite surface, lesdites parois étant reliées entre elles pour former un réseau de rigidification de ladite semelle, ledit réseau de rigidification présentant une zone dans laquelle lesdites parois sont désolidarisées pour réaliser des plots formés chacun par une portion de paroi qui est délimitée par des évidements, lesdits plots étant agencés pour pouvoir se déformer afin de créer un sous-réseau d'amortissement des impacts au sol.

D'autres particularités et avantages de l'invention apparaîtront dans la description qui suit, faite en référence aux figures annexées, dans lesquelles :

- la figure 1 est une vue de dessus d'une semelle de chaussure selon un mode de réalisation ;

- les figures 2 et 3 sont des représentations de détail, respectivement en perspective de dessus et en coupe longitudinale, d'une partie de talon de la semelle de la figure 1 , montrant plus particulièrement la formation du sous-réseau d'amortissement dans le réseau de rigidification de ladite semelle.

En relation avec ces figures, on décrit ci-dessous une semelle pour chaussure, notamment pour chaussures de marche pouvant être portées au quotidien. En particulier, la semelle peut être réalisée par moulage d'un matériau synthétique qui est résistant à l'usure et à l'abrasion, par exemple à base d'un élastomère, tel que du caoutchouc, ou à base de PVC. La semelle présente une surface inférieure 1 destinée à l'appui au sol et qui peut présenter une structure facilitant l'adhérence, par exemple en étant crantée au moyen de différents jeux de rainures transversales et longitudinales de profondeur variable, notamment selon l'usage de la chaussure. En variante, la surface inférieure 1 peut être recouverte d'une couche de matériau améliorant l'adhérence et/ou limitant l'usure de la semelle, telle qu'une couche de polyuréthanne thermoplastique (TPU).

A l'opposée de la surface inférieure, la semelle présente une surface de base 2 comprenant un réseau de rigidification de ladite semelle qui est également agencé pour limiter le poids de ladite semelle. A cet effet, le réseau de rigidification comprend des parois radiales 3 issues de la surface de base 2 qui s'étendent vers le haut à l'opposée de la surface inférieure 1 , lesdites parois étant reliées entre elles pour délimiter des alvéoles 4. En particulier, les parois 3 sont réalisées avec le même matériau que celui de la surface de base 2, notamment étant issues du moulage de la semelle.

Le réseau de rigidification s'étend sur toute ou partie de la surface de base 2, les bords supérieurs des alvéoles 4 formant une surface d'appui du pied sur laquelle peut être disposée une semelle interne de propreté pour renforcer une ou plusieurs propriétés particulières de ladite semelle, telles que l'absorption de l'humidité ou la réduction des frottements. Le réseau de rigidification est formé au moins sur une partie de talon de la surface de base 2 qui est la plus sollicitée lors des impacts du pied au sol, afin notamment de stabiliser l'arrière-pied du porteur, l'épaisseur des parois 3 pouvant dépendre du degré de rigidification souhaité qui est notamment fonction de l'utilisation de la chaussure.

Selon la figure 1 , le réseau de rigidification s'étend de la partie de talon à une partie de voûte de la surface de base 2 de manière à assurer une rigidité à la fois en torsion et en flexion de la semelle sans compromettre la mobilité de l'avant-pied qui est nécessaire à la propulsion du pied lors du cycle de la marche.

En outre, les parois radiales 3 peuvent présenter des hauteurs différentes de manière à former un relief correspondant à la morphologie de la plante du pied afin de conférer à la surface d'appui de la semelle une géométrie anatomique optimisant le confort de marche.

Un bord périphérique 5 s'étend sur le pourtour de la surface de base 2 de manière à entourer le réseau de rigidification, ledit réseau comprenant des alvéoles 4 périphériques qui sont associées audit bord par l'intermédiaire de parois radiales latérales 3a. Le bord périphérique 5 peut comprendre une extension supérieure 6 en saillie dudit réseau et qui est arrondie vers l'extérieur notamment pour faciliter le montage de la tige de chaussure. Selon le mode de réalisation représenté, chaque alvéole 4 est délimitée par six parois 3 agencées suivant une géométrie hexagonale, lesdites parois étant reliées par un sommet 7 de ladite alvéole. Le réseau de rigidification s'étend sur la surface de base 2 selon une configuration en nid d'abeilles permettant un rapport optimal entre légèreté et résistance de la semelle, ledit réseau limitant le poids de la semelle tout en assurant sa rigidité dans plusieurs directions de la surface de base 2 pour une meilleure stabilité. Selon d'autres réalisations, le réseau de rigidification peut présenter un ensemble d'alvéoles 4 de géométries différentes, par exemple en comprenant un nombre différent de parois 3 et/ou en étant reliées selon une configuration différente.

En outre, chaque paroi latérale 3a relie une alvéole 4 périphérique au bord périphérique 5 en s'étendant entre un sommet 7 de ladite alvéole et ledit bord de manière à présenter une direction différente de celles des parois 3 de ladite alvéole qui sont reliées par ledit sommet. En particulier, chaque paroi radiale 3 s'étend depuis un sommet 7 en formant un angle de 120° avec les parois 3 adjacentes.

Afin de favoriser le mouvement du pied lors de l'appui au sol, la surface de base 2 présente une partie d'avant-pied comprenant un jeu de nervures 8 ondulées s'étendant transversalement entre le bord périphérique et parallèlement les unes aux autres de manière à apporter une certaine souplesse à ladite partie d'avant-pied. Le réseau de rigidification et le jeu de nervures 8 sont ainsi agencés sur la surface de base 2 de manière à favoriser l'enroulé et le déroulé du pied lors de l'appui au sol, ledit jeu de nervures facilitant la flexion de l'articulation métatarso-phalangienne dudit pied.

Pour un compromis optimal entre rigidité et amorti de la semelle au niveau du réseau de rigidification, les parois radiales 3 sont désolidarisées dans une ou des zones dudit réseau où un amorti accru est nécessaire, ladite désolidarisation permettant la réalisation de plots 9 formés chacun par une portion de paroi 3 et agencés pour pouvoir se déformer sous le poids du porteur afin de créer un sous-réseau d'amortissement des impacts du pied au sol. Ainsi, le sous-réseau d'amortissement est réalisé en une seule pièce avec la semelle, ne nécessitant pas d'assemblage particulier, afin de garantir des propriétés d'amortissement de ladite semelle plus homogènes et plus durables.

En variante, le réseau de rigidification peut comprendre un logement formé dans une ou plusieurs zones à assouplir et dans lequel le sous-réseau d'amortissement est rapporté, ledit sous-réseau pouvant être réalisé à partir d'un matériau présentant une dureté différente du matériau de la semelle.

Chaque portion de paroi 3 formant un plot 9 est délimitée par des évidements 10 qui peuvent être réalisés lors ou après le moulage de la semelle, lesdits évidements permettant un fléchissement des plots 9 indépendamment des uns des autres. De manière avantageuse, les évidements 10 sont formés au niveau d'une jonction entre au moins deux parois radiales 3 pour favoriser la déformation du sous-réseau d'amortissement.

Le sous-réseau d'amortissement peut être formé dans les zones subissant les pressions maximales du pied, notamment les zones d'attaque du pied au sol où une absorption optimale des chocs est nécessaire, ledit sous-réseau pouvant être situé dans la partie de talon et/ou dans la partie d'avant-pied.

De manière avantageuse, le sous-réseau d'amortissement est réalisé dans une zone intérieure du réseau de rigidification, ledit sous-réseau étant relié au bord périphérique 5 par l'intermédiaire des parois latérales 3a. Ainsi, cet agencement permet de maintenir autour de la zone de parois 3 désolidarisées une rigidité de la semelle nécessaire à la conservation du dynamisme des appuis.

Selon le mode de réalisation représenté, le sous-réseau d'amortissement est formé au centre de la partie de talon par la désolidarisation d'au moins une paroi 3 de six alvéoles 4 hexagonales du réseau de rigidification. En particulier, les évidements 10 sont formés au niveau d'un sommet 7 commun à au moins deux alvéoles 4 pour notamment assurer la continuité du sous-réseau d'amortissement dans le réseau de rigidification.

Les alvéoles 4 désolidarisées du sous-réseau d'amortissement comprennent au moins deux évidements 10 formés sur respectivement un sommet 7. Pour améliorer la déformabilité du sous-réseau d'amortissement, les deux évidements 10 sont formés sur respectivement deux sommets 7 adjacents de manière à ce qu'un plot 9 soit formé dans une paroi 3 d'une alvéole 4. En particulier, les alvéoles 4 désolidarisées peuvent comporter un nombre de plots 9 différents en fonction de leur disposition dans le sous-réseau d'amortissement. Selon les figures, le sous-réseau d'amortissement comprend une alvéole centrale 4a et cinq alvéoles périphériques 4b-4f, lesdites alvéoles périphériques étant reliées au bord périphérique 5 par respectivement au moins deux parois latérales 3a. L'alvéole centrale 4a est entourée par respectivement deux alvéoles périphériques avant 4b, 4c et arrière 4d, 4e, la cinquième alvéole périphérique 4f étant adjacente aux deux alvéoles arrière 4d, 4e, à l'opposée de ladite alvéole centrale.

En particulier, la désolidarisation des parois 3 est telle que l'assouplissement du réseau de rigidification augmente progressivement vers l'intérieur dudit réseau. A cet effet, un évidement 10 est formé dans chacun des sommets 7 de l'alvéole centrale 4a de sorte que ladite alvéole centrale forme six plots 9, les alvéoles périphériques avant 4b, 4c et arrière 4d, 4e présentant trois plots 9 qui sont chacun délimités notamment par un évidement 10 formé dans un sommet 7 commun avec ladite alvéole centrale. En outre, les alvéoles périphériques arrière 4d, 4e comprennent chacune un quatrième plot 9 qui est commun avec la cinquième alvéole périphérique 4f.

Ainsi, le sous-réseau d'amortissement comprend des plots 9 orientés dans au moins deux directions différentes de sorte que le fléchissement desdits plots peut être réalisé en fonction de la direction de la force d'appui pour ajuster l'amorti de la semelle. En relation avec les figures, les plots 9 sont disposés à 120° les uns des autres, lesdits plots présentant alors trois orientations différentes. La taille du sous-réseau d'amortissement et/ou le nombre de plots 9 peut varier selon les caractéristiques physiologiques de l'utilisateur, telles que son sexe ou son poids. En outre, les plots 9 peuvent être formés de manière à présenter une inclinaison par rapport à la surface de base 2 dans une ou plusieurs directions, notamment selon leur disposition au sein du sous-réseau d'amortissement, lesdits plots pouvant être inclinés vers l'avant ou vers l'arrière de la semelle pour favoriser leur déformation lors de l'appui du pied.

En relation avec la figure 3, les évidements 10 s'étendent sur toute la hauteur des parois 3 pour obtenir un fléchissement maximal des plots 9 en direction de la surface de base 2. En variante, les évidements 10 peuvent s'étendre sur seulement une partie de la hauteur des parois 3 pour former un pont de jonction à la base des plots 9 afin de limiter leur fléchissement et obtenir un amorti plus progressif. En particulier, les ponts de jonction à la base des plots 9 peuvent être issus du moulage de la semelle. Les évidements partiels peuvent également être réalisés au moyen d'un matériau coulé dans la semelle qui peut être identique au matériau de ladite semelle ou être différent, tel que de l'EVA ou du polyuréthane. Par ailleurs, les évidements 10 peuvent être réalisés de manière à former des plots 9 présentant une géométrie effilée vers le haut, lesdits plots pouvant être notamment trapézoïdes ou triangulaires de manière à augmenter l'assouplissement du réseau de rigidification, la géométrie desdits plots pouvant être agencée en fonction de l'usage de la chaussure, notamment en fonction de la pratique sportive pour laquelle l'amorti de la semelle doit être adapté à la nature du terrain d'évolution et au mode de déplacement.

En outre, les plots 9 peuvent comprendre une surface supérieure d'appui plus ou moins importante, qui est également adaptée à l'usage de la chaussure et/ou à l'utilisateur, lesdits plots présentant une section identique ou différente entre eux qui peut être notamment triangulaire, ovale ou hexagonale.

Selon l'amorti souhaité, le réseau de rigidification peut comprendre des alvéoles 4 de tailles différentes, les alvéoles 4 du sous-réseau d'amortissement pouvant présenter une dimension supérieure à celle des autres alvéoles 4. En outre, la taille des alvéoles 4 peut diminuer progressivement en direction du bord périphérique 5, de sorte que le sous-réseau d'amortissement comprend des alvéoles 4 périphériques de taille plus réduite que les autres alvéoles 4 dudit sous-réseau de manière à augmenter l'amorti vers l'intérieur dudit sous-réseau tout en maintenant la rigidité périphérique.