| DE2125930A1 | 1971-12-23 | |||
| GB1025824A | 1966-04-14 | |||
| FR1314092A | 1963-01-04 | |||
| FR2473271A1 | 1981-07-17 | |||
| US3785063A | 1974-01-15 | |||
| US3335015A | 1967-08-08 |
| 1. | 1} Procédé de fabrication alimentaire par déshydratation variable, hachage réglé fin, sans broyage, malaxage lent en mélange avec de l'huile préchauf¬ fée à 120 degrés, récupération des essences et arômes et leur réiπcorpora tion par 27 et 29 du malaxeur, l'ensemble de ces opérations est réalisé 5 sous pression réduite allant de 300 à 60 tαrrs. |
| 2. | Séchoir élément correspondant à la revendication 1. Il est étanche par les clapets 1 et 7, relié à une pompe à vide type primaire pour pression de 200 à 100 torrs au travers d'un condenseur par 15 pour réincorpαration après distillation des essences à l'état gazeux, dans le malaxeur par 27, 10 28, et 29. Y sont disposés deux moteurs à air puisé 3 antagoniste 4 et as¬ surent ainsi une turbulence favorisée par les lames directionnelles mobi¬ les 6 en position ouverte. Placage des matières légères, vers le bas, en coupant le 4 en fermant les lames 6 et en maintenant le 3. Ramassage par 8 sur 9 vers 10 sur tapis vibreur 12 et sécurité du trop plein 11. 15 3) Tunnel étanche de liaison selon la revendication 2 débute en 13 jusqu'à 17 de faible volume grâce au dénivelé du sol au niveau du malaxeur 24. La matière première passe au hachoir 38, protégée de l'oxydation, car il est relié à une pompe à vide d'air, 250 à 150 tαrrs, de type secondaire 36 évacuant l'air vers l'atmosphère extérieure au local 37. Il maintient la 20 même pression réduite dans le malaxeur par l'électrovaπne 16 en position ouverte. |
| 3. | Aboutissement des revendications 1 , 2, et 3, malaxeurstérilisateur, il reçoit dans sa cuve la matière sèche au un tiers de son volume total, les deux tiers restants assurent la descente de l'huile chaude par 20 ouvert 25 dans 21. La valve 23 de" remise en pression adéquate à la pénétration de l'huile est une sécurité au cas d'un pompage excessif. Un brassage court 60 secondes du mélange ainsi obtenu est suivi par fermeture de l'électro vanne 20 et pompage de 100 à 60 tαrrs, des arômes gazeux par 22 au travers d'un condenseur. La réincorpαration des essences et arômes est effectuée 30 après le premier et unique pompage, par 22, avec le décalage d'une fabri¬ cation, par le tube 25 usiné avec un pas de vis femelle, vissé sur la par¬ tie fixe 29 qui est soudée à l'intérieur de l'axe 19, composée d'un pas de vis mâle recevant celui du 25 un répartiteur de poussée en triangle, deux gicleurs à billes d'acier. La partie haute du tube 25 comprend l'arrivée en 35 retrait des arômes 27, au dessous de laquelle est fixé un roulement à bille 26 qui rend le piston 28 indépendant du mouvement rotatif 19, permet¬ tant la pénétration des arômes.dans l'ordre de marche rotatif de l'axe du malaxeur. ^^__. |
La présente invention concerne un procédé de fabrication alimentaire de crèmes concentrées végétales et animales qui a pour objectif de conserver aux matières premières ainsi traitées, leur * goût d'origine ce, par une opé¬ ration de cinq phases en chaîne continue. Certains éléments de la chaîne existent au sein de l'industrie, tels que tapis roulant, essoreuse, hachoir. Le but du procédé est d'éviter de détériorer la matière première par trai¬ tement ou transformation chimique, ou d'utiliser un procédé traditionnel. La première étape, phase A, est un trempage actif dans un panier aluminium perforé, sis à l'intérieur d'une cuve d'eau claire, pour éliminer les irnpu- rεtés ; côté droit de la cuve est propulsé de l'air comprimé, au milieu et au bas de la cuve de l'eau sous pression 10 bar ainsi que sur le cSté gauche Cette combinaison air comprimé-eau sous pression organise un re ou dont l'efficacité dépasse celle d'un simple trempage.
Puis par télémécanique, le contenu est déversé dans l'essoreuse dont le tam- bαur est incliné à 50 degré pour faciliter la récupération basse. Un tapis roulant déverse la matière première, en phase B, dans l'orifice 1 qui est un clapet étanche du séchoir, un déclencheur électrique fixé sur 14 démarre le moteur 3 et actionne les lames directionnelles 6 et dès que le volume utile est atteint, arrête l'action du tapis roulant. Le moteur 4 débute son ac- tion antagoniste qui ainsi assure une turbulence de l'air chaud puisé. Ce processus active particulièrement le séchage des végétaux légers tels que les labiacés, maintenus ainsi en continuel mouvement ; et au lieu d'utili¬ ser un séchoir du type mobile ascensionnel, le premier permet de traiter un plus grand volume avec un meilleur rapport volume/énergie dépensée. En, cours de séchage, l'action de la pompe à vide 34 reliée au séchoir par 15 assure premièrement, une température interne constante de la matière première, deuxièmement, la récupération des essences volatiles au travers du conden¬ seur 33. Celles-ci sont récupérées, distillées et réiπcαrporées ultérieu¬ rement dans le malaxeur par 27 et 29. Le ramassage en fin de cycle de sé- chage est effectué par la lame 8 qui s'actionne de la gauche vers la droite sur la fente de guidage 9 au dessous de laquelle est situé un moteur élec¬ trique classique ; à la sortie du séchoir 10 est disposé un tapis roulant 12 du type vibreur afin de ne pas engorger l'évacuation, le trop plein 11 est prévu aussi à cet effet. Au dessus du clapet étanche 7, débute en phase C, l'intégration du tunnel de protection 13, celui-ci est fixé par rivets sur les côtés du séchoir et sur ceux de l'épaisseur 17 du circuit de vapeur 18, ainsi qu'au sol sur joints
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d'étaπchéïté. Cette intégration est ùπ des points clés de la chaîne parce qu'elle est à la fois le relais entre le séchoir et le malaxeur et le lieu de la délicate opération en phase D, de hachage fin 38, non d'un broyage littéral, qui nécessite tout particulièrement la protection contre l'air am- biant qui occasionnerait une néfaste oxydation, donc la nécessaire évacua¬ tion de ce dernier vers l'atmosphère exétieure au local de fabrication par une sortie de toiture à l'aide d'une tubulure appropriée 37 reliée à une pompe à joint d'huile de type secondaire 36. Cette évacuation secondaire n'est pas nécessaire au niveau de l'air pompé dans le séchoir et malaxeur car ces deux appareils sont chacun reliés, à un condenseur pour récupération des essences et arômes donc ne nécessitent qu'une pompe non refoulante de type primaire 34.
Pour éliminer la fermentation, une déshydratation à pourcentage variable est effectuée par le séchoir, selon la nature, PH, de la matière première. Pour éviter l'oxydation et le rancissement les phases B, C, D, E du procédé sont réalisées sous vide d'air ; dans le séchoir, la pression est amenée de 200 à 1QQ torrs. Sous le tunnel 13, en phase C, de 300 à 150 tαrrs, donc la pression est identique, dans un premier temps, dans la cuve 24 du malaxeur car l'électro-vanne 16 est alors en position ouverte jusqu'à ce que, en phase E, la matière hachée finement sous le tunnel pénètre dans la cuve du malaxeur pour en atteindre le premier tiers du volume total. Les deux tiers restants assurent la descente de l'huile préchauffée dans le réservoir 39 muni de résistances électriques et situé au dessus du conduit 21 du malaxeur. Cette huile chaude arrive par 21, 1*électrovanne 20 restant ouverte pendant cette opération, au cas .d'un pompage erroné, dépassant par sa pression 100 torrs, une valve 23 sur conduit 21 , de remise en pression adéquate est ac¬ tionnée manuellement. Le litragε d'huile se trouvant à l'intérieur de la cuve, ne dépasse pas cumulé avec la matière hachée les deux tiers de son volume total. Dès lors, un premier brassage de 4 à 6 tours est aussitôt suivi de la fermeture de 20 et du pompage de 100 à 60 torrs par 22 au tra¬ vers du condenseur pour la récupération des arômes à l'état gazeux. Ce dé¬ gazage de surface est d'autant facilité que les parois de la cuve sont traitées, polies électrαlytiquemeπt, puis étuvéεs à 800 degrés centigrade ; le mélange est maintenu en température de stérilisation par le circuit va- peur débutant en 18, les arômes sont distillés puis réincorporés lors de la prochaine fabrication par 27 et 29. Reprise de l'opération suivante, le brassage lent, une révolution de l'axe toutes les 10 secondes, est néanmoins un brassage de courte durée, rendu possible par la descente de l'huile à 120
degrés, qui de plus a été stérilisée indépendamment en 39. Pour ce deuxième brassage, le circuit de vapeur 18 assure également la maintenance thermique du mélange et si nécessaire son élévation.
D'autre part, dans un soucis d'économie d'énergie, car en comparant avec le rendu thermique du circuit de vapeur 18, celui-ci, de par sa seule action augmenterait considérablement le temps de montée en température de l'huile, donc à plus forte raison celle du mélange. Ce circuit de circulation de va¬ peur est proportionnel à l'obtention maximale en degré thermique nécessaire à l'obtention d'une stérilisation de qualité. Ce circuit est muni de manoτ- mètres de mesure de la pression et de clapets automatiques de sécurité ; l'axe rotatif 19 qui le traverse est muni de joints d'étaπchélté. Le mélange prit à être conditionné sort par le doseur 30, sur le tapis rou¬ lant 31, sous la protection d'un tunnel 32 à pression atmosphérique mais assurant une relative protection, notamment limitant le choc thermique au moment de la mise en contenants de verre préalablement passés à la vapeur puis au séchoir. Le capsulage est du type à sertir.