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Title:
HYDRAULICALLY ASSISTED ELECTROMAGNETIC IMPULSE TURBINE
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2020/186327
Kind Code:
A1
Abstract:
The present invention relates to a hydraulically assisted electromagnetic impulse turbine comprising two pipes (5, 6), the orifices (9, 10) of which expel water to outside a circular base (7), in two parallel and diametrically opposite jets, the circular base (7) bearing a metallic track (22) and a flywheel (23) with two bars (37, 38) with which to make it turn, the flywheel (23) bearing a shaft (24) actuating an electric generator (36). The turbine also comprises vehicles (48, 51) bearing electromagnets (44, 47) attached to the pipes (5, 6) and electromagnets (45, 46) attached to the bars (37, 38) and opposed on the track (22) on either side of the centre of the circular base (7). The distance separating the ends of the opposed electromagnets (44, 45, 46, 47) being the same as the distance separating the tips of the copper rods (69), borne by the male electrical connectors (62, 63, 64), from the conducting metallic end wall (71) of the female electrical connectors (66, 67, 68).

Inventors:
FRANGIÉ NABIL H (CA)
Application Number:
PCT/CA2019/000035
Publication Date:
September 24, 2020
Filing Date:
March 18, 2019
Export Citation:
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Assignee:
FRANGIE NABIL H (CA)
International Classes:
H02K7/18; F03B3/08; F03B11/00; F03G3/00; H02K7/02
Domestic Patent References:
WO2009059398A12009-05-14
WO2017016181A12017-02-02
WO2017187472A12017-11-02
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Claims:
REVENDICATION

i - Turbine à impulsion électromagnétique assistée hydrauliquement caractérisée en ce qu’elle comprend :

- deux tuyaux (5,6) alimentés en eau par un tuyau (1) d’arrivée d’eau, et passant par un joint rotatif (2), soutenu par des poutres (4), les deux tuyaux (5,6) étant, dans leur partie verticale, contenus dans un cylindre isolant (11) , et maintenus à l’intérieur du cylindre (11) par des fixations (12,13) ;

- le cylindre isolant (11) portant sur son extrémité supérieure une couronne (17), soutenue par un roulement à billes (18) porté par une structure (19) fixée aux poutres (4), et stabilisée par une butée à billes (20), située entre la couronne (17) et l’intersection des poutres (4) ;

- le cylindre isolant (11) portant orthogonalement quatre disques conducteurs concentriques (75,76,85,86), de diamètres décroissants en allant du bas vers le haut dudit cylindre (11), respectivement reliés par des brosses métalliques (77,78,87,88) et des barres faites en matière isolante (79,80,89,90) à des sources (81,91) de courant électrique continu ;

- les tuyaux (5,6) étant coudés une première fois pour devenir horizontaux, puis une deuxième fois à angle droit et dans le même plan pour orienter les jets d’eau sortant de leurs orifices (9,10) suivant deux directions parallèles et opposées, de manière à expulser l’eau au-delà de la limite d’une base circulaire (7), reposant sur des piliers (8), et qui - les tuyaux (5,6) étant solidaires de premiers demi-parallélépipèdes rectangles (54,57), et étant fixés sur lesdits premiers demi- parallélépipèdes rectangles (54,57) dans des emplacements (58) spécialement aménagés pour les recevoir , les premiers demi- parallélépipèdes rectangles (54,57) étant eux-mêmes portés par des véhicules (48,51), ayant des roues (52) métalliques, pivotantes et indéformables, et circulant sur une piste métallique (22) en acier doux, les véhicules (48,51) portant sous leur ventre des ventouses (60) électromagnétiques rasant la piste métallique (22) ;

- la base circulaire (7) portant également un volant d’inertie (23), de plus petit diamètre que la piste circulaire (22), ledit volant d’inertie (23) portant deux barres métalliques (37,38) diamétralement opposées ;

- les barres métalliques (37,38) étant fixées sur deux autres demi- parallélépipèdes rectangles (55,56), dans des emplacements (59) spécialement aménagés pour les recevoir , les autres demi- parallélépipèdes rectangles (55,56) étant eux-mêmes portés par des véhicules (49,50), ayant des roues (52) métalliques, pivotantes et indéformables, et circulant sur la piste métallique (22) en acier doux ;

- les véhicules (48,49,50,51) portant respectivement des électroaimants (44,45,46,47), en tous points semblables à un électroaimant (39) sur les extrémités (40,41) duquel ont été vissées des barres (42,43) en acier doux, les barres (42,43) pouvant être de forme parallélépipédique rectangle, mais d’une section comparable à celle du noyau de l’électroaimant (39) et d’une longueur dépassant celle du rayon de l’électroaimant (39), et étant parallèles entre elles, orthogonales par rapport au noyau de l’électroaimant (39), et orientées dans la même direction ; - les véhicules (48,49) et (50,51) se faisant face sur la piste (22), de part et d’autre du centre de la base (7), respectivement par les extrémités des électroaimants (44,45) et (46,47) qu’ils portent ;

- le véhicule (48) qui porte le tuyau (5) faisant face, par son avant d’où pointent les extrémités de l’électroaimant (44) qu’il porte, à l’avant du véhicule (49) qui porte la barre (37), et d’où pointent également les extrémités de l’électroaimant (45) qu’il porte ;

- le véhicule (51), diamétralement opposé au véhicule (48) sur la piste (22), qui porte le tuyau (6) et qui fait face, par son avant d’où pointent les extrémités de l’électroaimant (47) qu’il porte, à l’avant du véhicule (50) qui porte la barre (38), et d’où pointent également les extrémités de l’électroaimant (46) qu’il porte ;

- les branchements des électroaimants 44,45,46,47 à la source électrique 81 étant arrangés, au préalable de tout fonctionnement de la machine selon l’invention, de telle sorte que leurs extrémités de même signe se font face, les extrémités supérieures des électroaimants 44,45,46,47 étant, par exemple, de signe positif, et les extrémités inférieures des mêmes électroaimants 44,45,46,47 étant de signe négatif.

- le volant d’inertie (23) portant en son centre un axe (24) métallique descendant vers le bas et actionnant en fin de course, grâce à une tige métallique (33) une boîte multiplicatrice d’engrenages (34) qui actionne à son tour le rotor (35) d’un générateur électrique (36) ;

- les véhicules (48,51) portant un ensemble (61) de prises de courant mâles (62,63,64), et les véhicules (49,50) portant un ensemble (65) de prises de courant femelles (66,67,68), .les prises mâles (62,63) et femelles (66,67) reliant les électroaimants (44,45,46,47) à la source de courant continu (81), grâce à des câbles électriques, des relais (72,73,74), deux disques conducteurs (75,76) concentriques fixés sur le cylindre (11), des brosses métalliques (77,78) et des barres faites en matière isolante (79,80) ;

.les prises mâle (64) et femelle (68) reliant les ventouses (60) à la source de courant continu (91), grâce à des câbles électriques, des relais (82,83,84), deux disques conducteurs (85,86) concentriques fixés sur le cylindre (11), des brosses métalliques (87,88) et des barres faites en matière isolante (89,90) ;

- la distance séparant les extrémités des électroaimants opposés (44,45), et (46,47) étant exactement la même que celle qui sépare les pointes des tiges (69) en cuivre, portées par les prises de courant mâles (62,63,64), du fond (71) métallique conducteur des prises de courant femelles (66,67,68) ;

- des moyens de stabilisation comprenant un roulement à billes (18), et son support (19), destiné à porter la couronne (17) du disque (11), et une butée à billes (20) destinée à régulariser sa rotation, également un palier de butée (25) supportant l’axe (24), et l’épaulement (26) qui le soutient, ainsi que deux autres roulements à billes (27,28) destinés aussi à stabiliser sa rotation, avec leurs épaulements respectifs (29,30) ;

- des sources d’alimentation en courant continu (81,91).

Description:
TURBINE

À IMPULSION ÉLECTROMAGNÉTIQUE ASSISTÉE HYDRAULIQUEMENT

L’accès à l’énergie électrique est limité, dans de nombreuses régions en développement dans le monde, par le coût des énergies fossiles et aussi par les coûts de construction d’installations hydroélectriques. Le fait de n’utiliser principalement qu’une seule ressource pour produire de l’électricité augmente la fragilité énergétique de ces régions. Des prix du pétrole en hausse ou bien une pluviométrie en baisse, et la crise devient aigüe.

La solution proposée ici réside dans une production hybride d’électricité, à travers le bénéfice offert par l’association de deux forces : une force d’origine électromagnétique d’une part, et une force d’origine hydraulique, d’autre part.

La force de répulsion ou d’attraction développée par un électroaimant parcouru par un courant électrique continu, lorsque cet électroaimant est bobiné en privilégiant l’usage d’un grand nombre de spires et d’un faible nombre d’ampères, peut être très importante.

Mais, dans le cas d’une répulsion magnétique entre deux électroaimants longitudinaux, à travers l’opposition de deux pôles de même signe, l’on arrive à deux problèmes. Le premier est que les deux pôles qui ne sont pas opposés l’un à l’autre ne servent à rien, et transmettent une force qui n’est pas utilisée. Le deuxième problème est que, lorsque sous l’effet de la force de répulsion électromagnétique, les électroaimants s’écartent l’un de l’autre, il n’y a plus de réaction et la force des électroaimants n’est plus que potentielle.

De même pour ce qui concerne une chute d’eau dont on souhaite extraire une certaine puissance électrique : s’il n’y a pas assez d’eau, il y aura moins d’énergie d’origine hydraulique.

Il existe cependant une possibilité d’associer ces forces, assez peu utiles si elles restent isolées, dans une machine qui produise du courant électrique, d’autant que ces forces offrent deux avantages majeurs : un électroaimant bien bobiné ne consomme que relativement peu de puissance électrique mais peut fournir une force importante, tandis que l’eau est renouvelée sans aucun coût.

La machine selon l’invention vise donc à produire du courant électrique à travers l’union de deux forces :

- d’une part, la force de répulsion entre des électroaimants associés à des éléments métalliques particuliers, et parcourus par un courant électrique continu,

- et, d’autre part, la force de réaction de jets d’eau quittant les orifices des tuyaux qui les transportent à une certaine vitesse, l’eau ayant été captée à une certaine hauteur, vingt mètres et plus par exemple.

Il est à noter ici que la force de ces jets d’eau quittant les orifices des tuyaux qui les transportent à une certaine vitesse, n’est pas utilisée, dans la machine selon l’invention, pour produire directement du courant électrique, comme cela est le cas pour une turbine Pelton, par exemple. Dans le cas de la machine selon l’invention, les jets d’eau, beaucoup plus faibles que ceux nécessaires pour faire tourner une turbine Pelton, sont utilisés pour la force de réaction qu’ils produisent. Cette force va être accolée à des électroaimants associés à des éléments métalliques particuliers, que ces jets d’eau vont pousser pour déclencher, avec d’autres électroaimants semblables, des réactions de répulsion électromagnétique, et assurer ainsi le mouvement rotatif d’un volant d’inertie autour de son axe central, ce qui, à travers une boîte multiplicatrice d’engrenages, va actionner un générateur électrique.

La présente invention vise une machine électrique caractérisée en ce qu’elle comprend :

- deux tuyaux (5,6) alimentés en eau par un tuyau d’arrivée d’eau (1), muni d’un joint rotatif (2), les deux tuyaux (5,6) d’abord verticaux, puis horizontaux, étant enfin coudés à l’extrémité de leur partie horizontale pour orienter les jets d’eau qui sortent de leurs orifices (9,10) suivant deux directions parallèles et opposées ;

- les deux tuyaux (5,6) étant contenus, lors de leur phase verticale, dans un cylindre (11) isolant, dont la couronne (17), située sur son extrémité supérieure, est portée par un premier roulement à billes (18), lui-même porté par un élément en acier (19) fixé aux poutres (4), une butée à billes (20) séparant la couronne (17) des poutres (4) ;

- une base circulaire (7) portant en son centre une ouverture (21) également circulaire, et sur sa périphérie une piste métallique (22) en acier doux et, sur un plus petit diamètre, un volant d’inertie (23) ayant deux bras (37,38) diamétralement opposés et dirigés vers l’extérieur de la base circulaire (7) ; - un axe (24) reliant le centre du volant d’inertie (23), grâce à son extrémité (33) à une boîte multiplicatrice d’engrenages (34) qui actionne le rotor (35) d’un générateur électrique (36), l’axe (24) étant soutenu par un palier de butée (25) grâce à un premier épaulement intérieur (26) et stabilisé dans sa rotation par deux autres roulements à billes (27,28) reposant respectivement sur deux autres épaulements intérieurs (29,30) ;

- des électroaimants (44,45,46,47), formés sur le modèle de l’électroaimant (39) aux extrémités (40,41) duquel ont été fixées à angle droit des barres d’acier doux (42,43), les barres (42,43) pouvant être de forme parallélépipédique rectangle, mais d’une section comparable à celle du noyau de l’électroaimant (39), les barres (42,43) étant d’une longueur dépassant celle du rayon de l’électroaimant (39), parallèles entre elles et orientées dans la même direction ;

- des véhicules (48,49,50,51) portant respectivement les électroaimants (44,45,46,47), les véhicules (48,49,50,51) étant des conteneurs montés sur des roues (52), et disposés sur la piste métallique (22), de part et d’autre du centre de la base circulaire (7), en deux paires, (48,49) et

(50,51) ;

- les véhicules (48,51) étant respectivement solidaires des tuyaux (5,6) qui transportent l’eau, et les véhicules (49,50) étant respectivement solidaires des barres (37,38) qui mettent en rotation le volant d’inertie

(23) ;

- les véhicules (48,51), respectivement solidaires des tuyaux (5,6), portant sous leur ventre des ventouses électromagnétiques (60) qui rasent la piste métallique (22) ; - les véhicules (48,49) étant opposés l’un à l’autre par le côté où se trouvent respectivement les extrémités des électroaimants (44,45), et les véhicules (50,51) étant opposés l’un à l’autre par le côté où se trouvent respectivement les extrémités des électroaimants (46,47) ;

- une première source de courant électrique continu (81) alimentant les électroaimants (44,45,46,47) à travers les disques concentriques (75,76) conducteurs et orthogonalement fixés sur le cylindre isolant (11), et aussi grâce à un premier relais (74), situé sur le cylindre (11), et deux autres relais (72,73) respectivement situés sur les tuyaux (5,6), puis à travers, d’une part, des prises électriques mâles (62,63), fixées sur le toit des véhicules (48,51) et comprenant des tiges conductrices (69) et, d’autre part, des prises électriques femelles (66,67), fixées sur le toit des véhicules (49,50) et comprenant des gaines isolantes (70) et un fond (71) métallique conducteur ;

- une deuxième source de courant électrique continu (91) alimentant les ventouses (60) à travers les disques concentriques (85,86) conducteurs et orthogonalement fixés sur le cylindre isolant (11), et aussi grâce à un premier relais (84), situé sur le cylindre (11), et deux autres relais (82,83) respectivement situés sur les tuyaux (5,6), puis à travers, d’une part, une prise électrique mâle (64) fixée sur le toit des véhicules (48,51) et comprenant des tiges conductrices (69) et, d’autre part, une prise électrique femelle (68) fixée sur le toit des véhicules (49,50) et comprenant des gaines isolantes (70) et un fond (71) métallique conducteur.

Les figures du dessin annexé feront bien comprendre comment l’invention peut être réalisée. Il convient de souligner que, du fait du très grand nombre de réalisations possibles de la machine selon l’invention, ces figures ne représentent pas le dessin à une échelle donnée. Il en résulte donc que les figures du dessin annexé représentent la machine selon l’invention d’une manière schématique et complète, sans se plier aux contraintes d’une installation particulière.

De plus, il faut faire pivoter toutes les figures du dessin annexé, à l’exception des figures 3 et 4, de 90 degrés dans le sens des aiguilles d’une montre, pour les lire.

La figure 1 est une vue de haut de la machine selon l’invention.

La figure 2 représente une vue en coupe de la machine selon l’invention.

Il est à noter que certains éléments n’ont pas été représentés dans les figures 1,2, comme l’alimentation électrique des électroaimants et des ventouses électromagnétiques, dont la présence ne ferait qu’encombrer des figures déjà bien remplies, et à laquelle la figure 10 est exclusivement consacrée.

La figure 3 représente un élément de fixation des tuyaux d’adduction d’eau dans la machine selon l’invention, durant leur trajet vertical.

La figure 4 représente l’axe vertical qui unit le volant d’inertie à une boîte multiplicatrice d’engrenages et au générateur électrique.

La figure 5 représente l’électroaimant qui va être associé à des éléments métalliques particuliers.

La figure 6 représente l’électroaimant modifié avec ses éléments métalliques particuliers. La figure 7 représente la disposition de l’électroaimant modifié à l’intérieur d’un véhicule.

La figure 8 représente un exemple de l’équipement et de l’opposition de deux véhicules portant des électroaimants.

La figure 9 représente les prises électriques qui, situées sur les toits des véhicules et reliées aux sources de courant continu, assurent l’alimentation en courant électrique continu des électroaimants et des ventouses électromagnétiques portés par les véhicules.

La figure 10 reprend la figure 2 en une partie uniquement consacrée à la description des liaisons électriques entre les électroaimants et les ventouses électromagnétiques, d’une part, et les sources de courant électrique continu, d’autre part.

La machine selon l’invention comprend un tuyau 1 (figures 1,2) d’arrivée de l’eau, d’une hauteur de vingt mètres et plus, par exemple. Le tuyau 1 est fixe. A son arrivée dans la machine selon l’invention, le tuyau 1 se prolonge par un joint rotatif 2 qui est porté par un support 3 fixé au point de rencontre de quatre poutres 4 horizontales (figure 1), en acier par exemple, qui surplombent la machine selon l’invention avant de descendre vers le sol autour d’elle.

A la sortie du joint rotatif 2 (figures 1,2), l’eau transportée par le tuyau 1 est acheminée par deux autres tuyaux 5,6 qui sont d’abord verticaux, puis ils sont coudés à angle droit (figure 2) pour devenir horizontaux et aller dans deux directions diamétralement opposées (figures 1,2), au-dessus d’une base circulaire 7 (figures 1,2), reposant sur des piliers 8 (figure 2), laquelle base circulaire 7 peut être constituée par une table en acier inoxydable.

Les tuyaux 5,6, lorsqu’ils dépassent la longueur du rayon de la base circulaire 7, sont coudés à angle droit une deuxième fois à leurs extrémités et dans le même plan, de telle sorte que leurs orifices de sortie 9,10 (figures 1,2) soient orientés dans deux directions parallèles et opposées (figure 1), au-delà de la limite de la base circulaire 7.

Tout au long de leur cheminement vertical, les tuyaux 5,6 se trouvent à l’intérieur d’un cylindre 11 (figure 2), fait d’une matière isolante, de la bakélite par exemple, et ayant une certaine épaisseur, deux centimètres, par exemple.

Les tuyaux sont maintenus fixes à l’intérieur du cylindre 11 grâce à deux fixations internes 12,13 (figure 2). Chaque fixation 12,13 est constituée par un cercle 14 (figure 3) en plastique épais par exemple, d’un diamètre identique au diamètre intérieur du cylindre 11 et fixé à un épaulement interne. Le cercle 14 est percé de deux autres cercles 15,16 d’un diamètre égal au diamètre extérieur des tuyaux 5,6, qui, une fois qu’ils passent dans ces cercles 15,16, sont fermement maintenus à l’intérieur du cylindre 11.

L’extrémité supérieure du cylindre 11 porte une couronne 17 (figure 2), au-dessus d’un roulement à billes 18, lui-même porté par une structure 19, en acier par exemple, fixée aux poutres 4. De plus, la rotation du cylindre 11 est stabilisée par une butée à billes 20, placée entre la couronne 17 et les poutres 4.

La base circulaire 7 porte en son centre une ouverture 21 (figures 2,4), également circulaire. Sur la base circulaire 7, et le long de sa périphérie, se trouve une piste métallique 22 (figure 1) d’une certaine largeur, faite en acier doux, par exemple.

Egalement sur la base circulaire 7 se trouve un volant d’inertie

23 (figures 1,2) d’un diamètre inférieur à celui de la piste 22. Par son axe

24 (figures 2,4) qui se trouve en son centre et descend vers le bas, le volant d’inertie 23 est porté par un palier de butée 25 (figure 4) soutenu par un premier épaulement 26. L’axe 24 possède plusieurs diamètres et, au fur et à mesure de son affinement, sa rotation est stabilisée par deux roulements à billes 27,28 portés par deux autres épaulements 29,30.

Le palier de butée 25 (figure 4), le premier épaulement 26 qui le porte, les deux roulements à billes 27,28 et les deux autres épaulements 29,30 qui les portent, sont tous contenus dans un cylindre 31 en acier dont l’extrémité supérieure porte une couronne 32 qui est fixée sur la base circulaire 7.

L’axe 24 se termine par une tige 33 (figures 2,4) en acier qui actionne une boîte multiplicatrice d’engrenages 34 qui fait tourner le rotor 35 d’un générateur électrique 36.

En outre, le volant d’inertie 23 porte deux barres 37,38 (figures 1,2) en acier qui lui sont soudées et qui sont diamétralement opposées l’une à l’autre, les deux barres 37,38 étant orientées du centre vers l’extérieur de la base circulaire 7.

Les électroaimants utilisés dans la machine selon l’invention, sont identiques à l’électroaimant 39 (figure 5), sur les extrémités 40,41 duquel sont vissées à angle droit des barres d’acier doux 42,43 qui sont parallèles entre elles (figure 6), et qui peuvent être de forme parallélépipédique rectangle, avec une section comparable à celle du noyau de l’électroaimant 39. Ces barres 42,43 sont d’une longueur dépassant celle du rayon de l’électroaimant 39, les vis utilisées étant aussi en acier doux.

Cette manière de procéder permet, avec le passage d’un courant électrique continu, de tirer profit de la force passant par chacune des deux extrémités de l’électroaimant 39 et d’orienter cette force suivant les contraintes d’une installation donnée.

Les quatre électroaimants identiques à l’électroaimant 39 ainsi modifié, qui vont assurer la réaction de répulsion électromagnétique dans la machine selon l’invention, portent les numéros 44,45,46,47.

Ces électroaimants 44,45,46,47 sont placés respectivement dans des véhicules 48,49,50,51 (figures 1,7). Les véhicules 48,49,50,51 sont des conteneurs ayant la forme de parallélépipèdes rectangles , qui peuvent être faits de plastique épais, par exemple, et qui sont équipés de roues 52, métalliques, pivotantes et indéformables, et de plates- formes 53 rectangulaires à l’arrière, derrière l’électroaimant que chacun porte (figure 7).

L’électroaimant 44 est donc placé dans le véhicule 48, l’électroaimant 45 dans le véhicule 49, l’électroaimant 46 est placé dans le véhicule 50, et enfin l’électroaimant 47 est placé dans le véhicule 51.

Chacun des véhicules 48,49,50,51, monté sur des roues 52, a donc un avant par où pointent les extrémités des électroaimants 44,45,46,47, et un arrière où se trouve la plate-forme 53 rectangulaire, les parois latérales des véhicules 48,49,50,51 pouvant être munies d’ouvertures permettant leur aération.

Chaque véhicule 48,49,50,51 porte à l’arrière un demi- parallélépipède rectangle fixé sur la plate-forme 53 réservée à cet usage, soit les demi-parallélépipèdes rectangles 54,55,56,57 respectivement sur les véhicules 48,49,50,51 (figure 1), le côté droit le plus long de chaque demi-parallélépipède rectangle étant fixé verticalement et à angle droit à l’arrière du véhicule et le côté droit le plus court étant le plus bas et parallèle à la piste 22 (figures 7,8).

Les véhicules 48,49,50,51 (figure 1) sont divisés en deux groupes : 48,51 d’une part et 49,50 d’autre part. Les véhicules 48,51 reçoivent respectivement les tuyaux 5,6 sur les demi-parallélépipèdes rectangles 54,57 (figure 1) qu’ils portent. Aussi ces demi- parallélépipèdes rectangles 54,57 portent-ils sur leur côté oblique un emplacement évidé en forme de demi-cercle 58 (figure 8) pour y recevoir les tuyaux 5,6 respectivement.

Quant aux véhicules 49,50, ils reçoivent respectivement les barres 37,38 solidaires du volant d’inertie 23 (figure 1) sur les demi- parallélépipèdes rectangles 55,56 qu’ils portent. Aussi ces demi- parallélépipèdes rectangles 55,56 portent-ils sur leur côté oblique un emplacement évidé en forme de carré ou de rectangle tronqué 59 (figure 8) pour y recevoir les barres 37,38 respectivement.

Ces dispositions font que respectivement les tuyaux 5,6 (figure 1), les demi-parallélépipèdes rectangles 54,57 et les véhicules 48,51 sont totalement solidaires dans leur mouvement rotatif. De même, les barres 37,38, les demi-parallélépipèdes rectangles 55,56 et les véhicules 49,50 sont totalement solidaires dans leur mouvement rotatif. Ces deux faits impliquent que le chemin de rotation des véhicules 48,49,50,51 ne peut dévier.

Les véhicules 48,49,50,51 (figure 1) sont disposés sur la piste 22 de la manière suivante : le véhicule 48 qui porte le tuyau 5 fait face, par son avant d’où pointent les extrémités de l’électroaimant 44 qu’il porte, à l’avant du véhicule 49 qui porte la barre 37, et d’où pointent également les extrémités de l’électroaimant 45 qu’il porte (figure 8).

Diamétralement opposé au véhicule 48 sur la piste 22 se trouve le véhicule 51 (figure 1) qui porte le tuyau 6 et qui fait face, par son avant d’où pointent les extrémités de l’électroaimant 47 qu’il porte, à l’avant du véhicule 50 qui porte la barre 38, et d’où pointent également les extrémités de l’électroaimant 46 qu’il porte.

Les véhicules 48,51 qui portent respectivement les tuyaux 5,6, sont chacun équipés d’une ventouse 60 électromagnétique sous leur ventre (figure 8). La ventouse 60 rase la piste 22 lors de sa rotation.

Les ventouses 60, fixées sous les véhicules 48,51, et les électroaimants 44,45,46,47 portés par les véhicules 48,49,50,51 sont reliés à des sources de courant électrique continu 81,91 (figure 10). Ces liaisons électriques se font par deux ensembles 61,65 (figure 9) de prises électriques respectivement mâles et femelles, disposés de la manière suivante : les véhicules 48,51 qui reçoivent respectivement les tuyaux 5,6 portent un ensemble 61 de trois prises électriques mâles 62,63,64 (figure 9), fixées sur les bords de leurs toits, au-dessus des extrémités des noyaux des électroaimants 44,47 que ces véhicules 48,51 portent (figures 1,8).

De même, les véhicules 49,50 qui reçoivent respectivement les barres 37,38 reliées au volant d’inertie 23, portent un ensemble 65 de trois prises électriques femelles 66,67,68 (figure 9), fixées sur les bords de leurs toits, au-dessus des extrémités des noyaux des électroaimants 45,46 que ces véhicules 49,50 portent (figure 1). Les prises électriques mâles 62,63 et femelles 66,67 (figure 9) alimentent en courant électrique continu les électroaimants 44,45,46,47 portés respectivement par les véhicules 48,49,50,51, tandis que les prises mâle 64 et femelle 68 alimentent en courant électrique continu les ventouses 60 portées sous leur ventre par les seuls véhicules

48,51.

Les prises électriques mâles 62,63,64 se caractérisent par de longues tiges 69 (figure 9), en cuivre par exemple, alors que les prises électriques femelles 66,67,68 portent des cylindres 70 isolants, en plastique par exemple et d’une certaine longueur. Le but de cet agencement est de laisser les tiges 69, portées par les prises mâles 62,63,64, engagées dans les cylindres 70 isolants, portés par les prises femelles 66,67,68, lorsque, sous l’effet de la répulsion électromagnétique provoquée entre les électroaimants 44,45 et 46,47 respectivement portés par les véhicules 48,49 et 50,51, les véhicules 48,49 et 50,51 s’éloignent les uns des autres, et ainsi les pointes des tiges 69 des prises mâles 62,63,64 ne touchent plus le fond 71 métallique conducteur, des prises femelles 66,67,68. La disposition des tiges 69 et des cylindres 70 décrite plus haut constitue une précaution pour faciliter leur mouvement lors de la réaction suivante de répulsion électromagnétique.

Un point essentiel est à souligner ici : la distance qui sépare les pointes des tiges 69, portées par les prises mâles 62,63,64, du fond 71 métallique conducteur des prises femelles 66,67,68 (figure 9), doit être rigoureusement égale à la distance qui sépare les unes des autres les extrémités des électroaimants 44,45, respectivement portés par les véhicules 48,49, et qui se font face (figures 1,8). De même, la distance qui sépare les pointes des tiges 69, portées par les prises mâles 62,63,64, du fond 71 métallique conducteur des prises femelles 66,67,68, (figure 9) doit être rigoureusement égale à la distance qui sépare les unes des autres les extrémités des électroaimants 46,47, respectivement portés par les véhicules 50,51, et qui se font face (figure 1,).

Ainsi, lorsque les extrémités de l’électroaimant 44 entrent en contact avec les extrémités de l’électroaimant 45, et que les extrémités de l’électroaimant 46 entrent en contact avec les extrémités de l’électroaimant 47, les pointes des tiges 69 des prises mâles 62,63,64 touchent le fond 71 métallique conducteur des prises femelles 66,67,68 et le courant passe dans les électroaimants 44,45,46,47 comme dans les ventouses 60.

Les prises électriques 62,63 mâles et les prises électriques 66,67 femelles (figure 9) alimentant en courant électrique continu les électroaimants 44,45,46,47, sont reliées par des câbles électriques à deux relais électriques 72,73 (figures 1,10), respectivement situés sur les tuyaux 5,6. Les relais 72,73 rejoignent un troisième relais 74 (figure 10), fixé sur le cylindre 11. Grâce à des rainures verticales pratiquées dans l’épaisseur du cylindre 11 et à l’aide des câbles électriques qui y passent, le troisième relais 74 est relié à deux disques conducteurs concentriques 75,76, en cuivre par exemple, de diamètres décroissants en allant du bas vers le haut dudit cylindre 11, et fixés sur le cylindre 11 isolant, les deux disques concentriques 75,76 étant balayés dans leur rotation par deux brosses métalliques 77,78 portées par deux barres 79,80, faites en une matière isolante, et fixées aux poutres 4, les brosses métalliques 77,78 étant reliées par des câbles électriques à une première source 81 de courant électrique continu située à proximité de la machine selon l’invention. De même, les prises mâle 64 et femelle 68 (figure 9), alimentant en courant électrique continu les ventouses 60 électromagnétiques, sont reliées par des câbles électriques à deux relais électriques 82,83 (figures 1,10), respectivement situés sur les tuyaux 5,6. Les relais 82,83 rejoignent un troisième relais 84 (figure 10), fixé sur le cylindre 11. Grâce à des rainures verticales pratiquées dans l’épaisseur du cylindre 11 et à l’aide des câbles électriques qui y passent, le troisième relais 84 est relié à deux disques conducteurs concentriques 85,86, en cuivre par exemple, de diamètres décroissants en allant du bas vers le haut dudit cylindre 11, et fixés sur le cylindre 11 isolant, les deux disques concentriques 85,86 étant balayés dans leur rotation par deux brosses métalliques 87,88 portées par deux barres 89,90, faites en une matière isolante et fixées aux poutres 4, les brosses métalliques 87,88 étant reliées par des câbles électriques à une deuxième source 91 de courant électrique continu située à proximité de la machine selon l’invention.

Les préparatifs en vue du fonctionnement de la machine selon l’invention sont les suivants :

- L’eau captée est reçue dans un réservoir collecteur situé à une hauteur de vingt mètres et plus. Le débit des tuyaux 1,5,6 peut être régulé à la sortie du réservoir collecteur. Les jets d’eau qui vont sortir des orifices 9,10 des tuyaux 5,6 respectivement, vont servir à produire une force de réaction suffisante pour faire avancer les véhicules 48,51 (figure 1) sur la piste 22, et non à faire tourner des turbines. Mais au cas où des installations très importantes de la machine selon l’invention nécessiteraient des forces de réaction de l’eau beaucoup plus fortes, il serait tout à fait envisageable de contrôler le débit des tuyaux 5,6 depuis les coudes situés avant les orifices 9,10 en y installant des systèmes de fermeture à aiguilles.

- Les électroaimants 44,45, et 46,47 doivent recevoir un courant électrique continu d’une puissance suffisante pour que la force de répulsion générée entre les extrémités de même signe de chaque paire d’électroaimants 44,45, et 46,47 forme, avec le rayon de la piste 22, un couple suffisant pour rendre le générateur 36 opérationnel.

-La force de maintien des ventouses électromagnétiques 60, portées par les véhicules 48,51 doit être suffisante pour immobiliser ces véhicules 48,51 sur la piste 22 lorsque la réaction de répulsion est provoquée entre les électroaimants 44,45, d’une part, et 46,47 d’autre part. En effet, la force de maintien des ventouses électromagnétiques 60 doit ainsi fournir aux véhicules 48,51 le point d’appui nécessaire pour que la force de répulsion générée par les électroaimants 44,45, portés respectivement par les véhicules 48,49, et par les électroaimants 46,47, portés respectivement par les véhicules 50,51, s’oriente dans le sens souhaité et fasse tourner le volant d’inertie 23 et son axe 24 pour produire du courant électrique grâce à la boîte multiplicatrice d’engrenages 34 et au générateur 36.

- Enfin, les branchements des électroaimants 44,45,46,47 à la source électrique 81 sont arrangés, au préalable de tout fonctionnement de la machine selon l’invention, de telle sorte que leurs extrémités de même signe se font face. Ainsi, et par exemple, les extrémités supérieures des électroaimants 44,45,46,47 sont de signe positif, tandis que extrémités inférieures des mêmes électroaimants 44,45,46,47 sont de signe négatif. La machine selon l’invention fonctionne de la manière suivante. Lorsque l’eau transportée par les tuyaux 5,6, qui sont solidaires des véhicules 48,51, sort à travers les orifices 9,10, elle génère une poussée qui met en mouvement les véhicules 48,51 qui portent les électroaimants 44,47.

Sous la poussée de l’eau sortie des orifices 9,10, les véhicules 48,51 entrent en rotation sur la piste 22, portés par la base circulaire 7, et ainsi les extrémités des électroaimants 44,47 qu’ils portent entrent en contact avec les extrémités des électroaimants 45,46, portés par les véhicules 49,50, qui portent également et respectivement les barres métalliques 37,38 reliées au volant d’inertie 23.

A ce moment très précis, et comme la distance qui sépare les extrémités des électroaimants 44 de celles des électroaimants 45 d’une part, et les extrémités des électroaimants 46 de celles des électroaimants 47 d’autre part, est exactement la même que celle qui sépare les pointes des tiges 69 en cuivre des prises mâles 62,63,64, portées par les véhicules 48,51, du fond 71 métallique conducteur des prises 66,67,68 femelles, portées par les véhicules 49,50, le courant électrique passe en même temps dans les électroaimants 44,45,46,47 et dans les ventouses 60.

Il se produit en conséquence deux réactions concomitantes :

1- une réaction de répulsion entre les électroaimants 44,45 portés par les véhicules 48,49 respectivement, et une réaction de répulsion entre les électroaimants 46,47 portés par les véhicules 50,51 respectivement ;

2- une réaction d’immobilisation des véhicules 48,51 qui portent sous leur ventre les ventouses électromagnétiques 60 dont la force de maintien fixe les véhicules 48,51 sur la piste métallique 22, et fournit ainsi auxdits véhicules 48,51 et aux électroaimants 44,47 qu’ils portent, deux points d’appui pour que la réaction de répulsion électromagnétique entre les électroaimants 44,45 d’une part, et 46,47 d’autre part, provoque la rotation des véhicules 49,50, qui portent les barres 37,38 reliées au volant d’inertie 23, et à travers ce dernier la rotation de l'axe 24 qu'il porte, et qui actionne une boîte multiplieatrice d'engrenages 34 qui à son tour va actionner le rotor 35 d'un générateur 36 et produire de ce fait de l’électricité.

La force de répulsion électromagnétique entre les électroaimants 44,45 d’une part, et 46,47 d’autre part, va à son tour provoquer deux réactions :

1- les véhicules 49,50, qui portent les barres 37,38 reliées au volant d’inertie 23, vont avancer sur la piste 22 et vont donc faire tourner le volant d’inertie 23 et l’axe 24 qu’il porte ;

2- en conséquence, les pointes des tiges 69 en cuivre des prises mâles 62,63,64 de l’ensemble 61, portées par les véhicules 48,51, vont s’éloigner du fond 71 métallique conducteur des prises femelles 66,67,68 de l’ensemble 65, portées par les véhicules 49,50, et le courant électrique ne passera donc plus dans les électroaimants 44,45,46,47 et dans les ventouses 60 et, de ce fait, la force de répulsion électromagnétique entre les électroaimants 44,45 d’une part, et 46,47 d’autre part, prendra fin, de même que prendra fin l’immobilisation des véhicules 48,51, les ventouses 60 fixées sous leur ventre n’exerçant plus leur force de maintien.

En conséquence, l’eau transportée par les tuyaux 5,6, qui sont solidaires des véhicules 48,51, et qui sort à travers les orifices 9,10, va à nouveau générer une poussée qui mettra en mouvement une séquence comparable à la première séquence. Plus la force de poussée exercée par l’eau sortant des orifices 9,10 des tuyaux 5,6 respectivement sera importante, plus rapide sera la succession des séquences de répulsion entre les électroaimants 44,45 d’une part, et 46,47 d’autre part et, en conséquence, plus rapide sera la rotation du volant d’inertie 23 et de l’axe 24 qui actionne le générateur électrique 36.

Au final, la puissance électrique nette qui sera gagnée sera la puissance électrique produite par le générateur 36 diminuée de la puissance électrique utilisée pour alimenter les électroaimants 44,45,46,47 ainsi que les ventouses 60.