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Patent Searching and Data


Title:
NETWORK BY MEANS OF WHICH A MACHINE SPEAKS THE LAW BY SIMULATING, BY CONTINUOUS AUTO-APPLICATION, THE SPEECH OF THE AUTHOR OF THE LEGAL INSTRUMENT
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2022/034266
Kind Code:
A1
Abstract:
Disclosed is a computer-assisted method for simulating the speech of the author of the legal instrument by means of a network, and comprising two phases. A phase (I) of mathematical specification (I) and a phase (II) of computer realisation of the mathematical specification. A plurality of means, the arrangement of which is specially designed in order to lend itself to the implementation of the method, are proposed, including a legal accessibility device and a network access point. A specific configuration of processors and recording media enables a network to be obtained. The network is the means allowing a machine to speak the law by simulating, by continuous auto-application, the speech of the author of the legal instrument. The speech of the author of the legal instrument is itself defined by a hardware point constituting the distinctive element of the network and allowing the sets to be defined in relation to which the speech can be considered as being heard.

Inventors:
CAPITOLIN JEAN-LOUIS (FR)
Application Number:
PCT/FR2021/000059
Publication Date:
February 17, 2022
Filing Date:
May 28, 2021
Export Citation:
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Assignee:
CAPITOLIN JEAN LOUIS (FR)
International Classes:
G06F17/10; G06F40/30; G06F40/56; G06Q50/18
Foreign References:
US20200184330A12020-06-11
US20200242306A12020-07-30
Other References:
KEPPENS JEROEN ET AL: "Towards an automated production of legal texts using recurrent neural networks", PROCEEDINGS OF THE 16TH EDITION OF THE INTERNATIONAL CONFERENCE ON ARTICIAL INTELLIGENCE AND LAW, 12 June 2017 (2017-06-12), New York, NY, USA, pages 229 - 232, XP055854462, ISBN: 978-1-4503-4891-1, Retrieved from the Internet DOI: 10.1145/3086512.3086536
HAI YE ET AL: "Interpretable Charge Predictions for Criminal Cases: Learning to Generate Court Views from Fact Descriptions", ARXIV.ORG, CORNELL UNIVERSITY LIBRARY, 201 OLIN LIBRARY CORNELL UNIVERSITY ITHACA, NY 14853, 23 February 2018 (2018-02-23), XP081218138
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Claims:
Revendications

[Revendication 1] Méthode assistée par ordinateur pour la simulation de la parole de l'auteur de l'acte juridique au moyen d'un réseau comportant :

1. une famille génératrice

2. une relation d'équivalence

3. un compact

4. une classe de procédés spécifiques caractérisée, selon la phase (I) suivante de spécification mathématique, en ce que : i. Ladite famille génératrice (1.1) est une famille de caractères, d'un espace vectoriel X, nécessaires à l'écriture de tout l'acte juridique et dont la combinaison linéaire forme les mots, les phrases, les alinéas, les paragraphes et la <structure> de cet acte. :

2. Ladite famille (1.1) permet de construire des faits de langage au moyen de ladite relation d'équivalence (1.2) entre l'espace vectoriel X des sources du droit, qui est fermé et borné et le corps topolologique non commutatif X**op qui est un compact nécessaire à la formation d'un réseau. a. Selon cette spécification mathématique, X est fermé et borné => texte de l'acte juridique. Les bornes et les points limites sont les scalaires associés au fait de langage r1(v) ou r3(v). Le scalaire est l'équivalent d'une quantité de parole cette quantité c'est tantôt une limite, tantôt une borne mais, dans tous les cas, une forme linéaire, la valeur de chaque caractère d'une suite de chaînes de caractères en entrée au moyen d'une équivalence relativement à des notions mathé- matiques de suite, structure, mesure, distance et ap- proximation et, en particulier, aux notions de points limites (en tant que fermé) et de bornes (ayant entre tous les points constituant la suite, une distance dé- terminée entre eux et entre les chaînes d'une suite) . Il signale des divisions (Loi, Titre, Section, Article, vote) qui sont autant de bornes et les types d'acte juridique (constitution, loi, décret, arrêté etc.) qui sont autant de points limites, un certain ordre (la numé- rotation, telle que publiée au Journal Officiel), des mention, citation et renvoi à ces divisions, bornes, points limites, types, numérotation, ordre. Ils ma- nifestent la <structure>, l'ultrafiltre, la classe de dualité pour produisant un espace localement compact en sortie et la topologie induite par la distance. Les scalaires sont l'accessibilité. Les points limites sont soit (Loi), soit (a voté)

3. Selon cette spécification mathématique, X est compact (1.3) => sous-suites liées à la topologie de l'acte (Loi, Titre, section, Article, Paragraphe, alinéa) et suite d'actes juridiques si l'ensemble de référence est (A) (Loi1, Loi2, Loi3,... etc.) le compact est le résultat de la transformation des sources (A) mis en input de ladite machine en vertu d'une loi de com- position interne d'équivalence dite de dualité entre les sous- espaces d'un espace de fonctions. Ledit compact est ladite gé- néralisation d'un dispositif d'acte juridique qui est fermé (contenant tous ses points limites) et borné (ayant, entre tous les points le constituant, une distance déterminée entre eux et, entre les chaînes d'une suite) et duquel on peut extraire des procédés relatifs aux normes aptes à faire partie du réseau utilisé pa rune machine (). Cette classe de dualité produit cette capacité en sortie au moyen des transformations naturelles d'un espace vectoriel X selon la classe de dualité et les sous- espaces suivants : a. Une classe dualité comprenant :

1. la transformation naturelle de l'espace vectoriel X en son dual algébrique

2. la transformation naturelle du dual al- gébrique en son dual topologique

3. la transformation naturelle du dual to- pologique en sa catégorie duale b. Les sous-espaces suivants :

1. le premier sous-espace est l'élémentO, l'ensemble des combinaisons linéaires de vecteurs de X sur un corps généré par une familles de caractères.

2. L'application associe à toute combinaison sa k-ième coordonnée dans la famille. Les formes de cette application [Formule de pro- mulgation, Loi, Titre, Chapitre, Section, Article] forment une base du sous-espaces des formes linéaires sur X* et jouent le rôle de filtres (bornes du compact) imbriqués en vertu d'une relation d'inclusion

3. la catégorie des espaces vectoriels topo- logiques obtenue par transformation naturelle du dual algébrique. On y atteint X** le dispositif de l'acte juridique, l' Article comme ouvert.

4. la catégorie opposée obtenue par trans- formation naturelle de la catégorie du dual topologique. On y atteint localement, au moyen d'un ultrafiltre, un compact X**op ; exemplaire du dispositif qui contient tous les filtres. La réunion de tous les articles contient $X$ et cette propriété, vraie au voisinage de chaque caractère d'un acte juridique est vraie de façon uniforme sur tout le compact (les $SOURCES$ du droit de type juridictionnel ou non) c. Dans certains articles de l'ensemble de tous les articles dont la réunion contient $X$ certains vecteurs font partie d'une classe de procédés spécifiques (1.4). Ladite classe comprend les paramètres de certaines relations entre normes aptes à faire partie du réseau et dont la finalité est fonctionnellement limitée à un effet technique déterminé. Ces procédés techniques spécifiques, (1.4) relatifs aux relations entre normes sont, en vertu de la realtion d'équivalence, membres d'une famille (B) de parties d'un nombre fini de ca- ractères d'une suite de chaînes de caractères du texte de l'acte juridique des sources du droit (A) consignés dans une bibliothèque de programmes décrivant des comportements du droit qui ont lieu en des endroits déterminés et à un instant donné, -, notamment des instructions natives (remplacer, ajouter, supprimer, lire) susceptibles d'être mise en œuvre par un or- dinateur pour produire une homotopie. d. Entre deux articles de l'ensemble de tous les articles dont la réunion contient $X$ certains vecteurs sont liés par une relation de citation ou de mention au moyen de <labels> limitant fonctionnellement la finalité de ladite classe de procédés spécifiques (1.3) Ils sont des applications continues dans X**op e. Pour établir la communication entre ces deux articles, et produire l'état du droit qui en résulte, une homotopie pendant l'échange entre deux applications continues (procédés spécifiques) complète le réseau f. Les paramètres de ces relations, ces relations et les <labels> peuvent être extraits de X**op, sous forme de sous-recouvrements finis aptes à former le réseau

[Revendication 2] La famille génératrice (1.1) selon la revendication précédente, comprend différents jeux de caractères correspondant à un ordre ou à un système juridique déterminé

[Revendication 3] Parole de l'auteur de l'acte juridique selon la revendication 1, décrite par un moyen de constituer l'unité de base du réseau et les ensembles par rapport auxquels la parole peut être considérée comme étant entendue. comprenant la cinématique suivante :

1. un point matériel

2. des référentiels caractérisée en ce que :

1. l'unité de base du réseau est la famille génératrice (1.1) décrite par un point (v) auquel on associe une quantité de ladite parole constituant un ensemble de coordonnées dans X**op. Ce point est, dans de l'économie intérieure du système de la personne de l'auteur de F acte juridique, assimilé à la personne objet de l'auteur de l'acte juridique, celle dont il est par1é et au moyen de laquelle certaines relations sont aptes à faire partie d'un réseau pour le constituer. Cette <capacité> échappe en soi à la variation de rang. Son rang, qui ne varie pas, est celui de ce dont on parle, autrement dit un rang en coïncidence avec le rang troisième il. C'est le rang logique (neutre) : (rlog) Un ré- férentiel logique de la personne logique (I),- sans rang par fait de langage -, qui fait partie de l'économie intérieure du système de la personne de l'auteur de l'acte juridique a. il = rlog => (rlog(v)) b. La constance de cette troisième personne, sous tous les intitulés ordinaux d'auteurs d'actes juridiques est une <capacité> sur laquelle repose la simulation de la parole de l'auteur de l'acte juridique. Cette capacité : 1. est mise en œuvre par un dispositif d'accessibilité juridique qui assigne à cette personne logique un rang par fait de langage des sources du droit dans r1 et r3 : i. sous la personne parlante "je" (r1(v)) disant, par exemple, «La présente loi entrera en vigueur im- médiatement et sera exécutée comme loi de l'État.», il y a le droit qui parle de lui~: elle est donc aussi la personne dont il est parlé, donc troisième (rlog(v)) sous première. ii. Sous la personne "tu" (r2(v)), — le destinataire de l'acte juridique, qui est aussi client lorsqu'il interroge la machine --, il y a celle à qui l'on parle, qui est aussi celle dont il est parlé à elle-même, donc troisième (rlog(v)) sous deuxième. iii. Sous la personne "il" (r3(v)) qui ne parle pas, et à qui il n'est pas parlé, qui est une personne négative du côté du langage, il y a une personne dont il est parlé, elle qui est troisième (rlog(v)) sous troisième.

2. met en œuvre une ou plusieurs fonctions.

2. Ladite cinématique du point matériel (v) décrit les ensembles par rapport auxquels la parole peut être considérée comme pouvant être entendue et comprend des référentiels, notamment manifestés par des sous-recouvrements finis de X**op, suivants : a. Un référentiel spatial dans lequel la personne logique (rlog(v)) est apte à parcourir un homéomorphisme entre un espace vectoriel X et l'ESP X**op en passant par l'espace des formes linéaires X*, puis par espace vectoriel topologique X**.

1. dans l'espace vectoriel, les opérations suivantes sont des lois de composition de la personne logique (rlog(v)) : i. l'addition ii. la multiplication iii. le calcul d'opposés permettant de définir l'opérateur de soustraction iv. le calcul d'inverse permettant de définir l'opérateur de division, v. lesdites opérations étant continues sous la forme des opérateurs conc. et disp. Le changement continu de la position d'un état pouvant s'accompagner de questions de champ d'application, ou de modes de formation de l'ordre juridique

2. Les caractères s'ajoutent les uns aux autres, se retirent des chaînes en vertu des lois de compositions internes b. un référentiel d'énallage de personnes première et troisième. Les personnes parlantes r1(1) et ne parlant pas r3(v) s'échangent dans l'acte juridique. Cet échange est décrit par le groupe commutatif d'énallage ((rlog, r1, r3) opérateur)

3. Le fait de langage de la première personne « je » est noté r1 => (r1(v)) s'échange avec (rlog(v)) ; alors r1 est bien la personne « je » parlante

4. le fait de langage de la troisième personne « il » ou « elle » est noté r3 => (r3(v)) s'échange avec (sr(v)) ; alors r3 est bien la personne qui ne parle pas, et à qui il n'est pas parlé, qui est une personne hors langage, une personne négative du côté du langage

5. le fait de langage (r1(v)) s'échange avec (r3(v)) et vice versa

6. un référentiel de la personne logique de l'auteur de l'acte juridique

1. Hiérarchie des auteurs de l'acte, verticale (hiérarchie des actes unilatéraux) et horizontale (nature non juri- dictionnelle et juridictionnelle du dispositif : i. la relation d'équivalence concerne tant le dispositif de l'acte juridique non juri- dictionnel que celui de l'acte juridique juri- dictionnel, particulièrement utile pour in- terpréter le droit

Ü. Le corps de type juridictionnel de l'acte juridique, comporte dit « dispositif » et les motifs telle que : le majorant $x$ supérieur ou égal $y$ et le minorant $x$ inférieur ou égal à $y$. Un élément $x$ du corps de type juridictionnel est un majorant du « dispositif » s'il est supérieur ou égal à tous les éléments du « dispositif » ; dans ce cas, la partie majorée du « dispositif » est les motifs. Un élément $x$ du corps de type ju- ridictionnel est un minorant du « dispositif » s'il est inférieur ou égal à tous les éléments du « dispositif » ; la partie minorée du « dispositif » est dans ce cas tout ou partie du « dispositif ».

2. Signature des auteurs de l'acte, actes administratifs, promulgation

7. un référentiel d'applicabilité de la personne logique (notamment utile à l'opération d'interprétation)

1. d' applicabilité temporelle => dans l' espace non commutatif de fonctions le champ d'application temporel date de publication date d'entrée en vigueur iii. date de disparition iv. etc.

2. d'applicabilité spatiale => et p i. modes de formation de l'ordre juridique ii. parole locale (expérimentation, droit local)

3. d'applicabilité matérielle

8. référentiel d'application matérielle, temporelle et spatiale de la personne ayant rang de langage (notamment utile aux opérations d'interprétation)

9. un référentiel catégorique qui, au moyen d'une formulation axiomatique, relie les combinaisons linéaires ou les ap- plications continues aux fonctions qui les préservent et dans lequel les groupes mathématiques suivants - comportant un ensemble dont $v$ est un élément -, renvoient à eux-mêmes, et des morphismes renvoient à leurs classes suivantes d'homotopie :

1. Une famille de structures duales : i. X ii. X* iii. X** iv. X**op

2. Les classes d'homotopie : i. rlog(v)_0 ii. rlog(v)_1 iii. rlog(v)_2

3. le groupe fondamental :

[Revendication 4] Plusieurs moyens dont l'arrangement est spécialement conçu pour se prêter à la mise en œuvre de la méthode, comprenant :

1. un dispositif d'accessibilité

2. une machine

3. un réseau

4. un point d'accès caractérisé, selon la phase (Il) de réalisation informatique :

1. par l'implémentation d'un groupe fondamental (("il"_0, "il"_1, et d'un groupe fondamental (("je"_0,

2. et en ce que, ledit dispositif d'accessibilité (4.1) implémentant le groupe fondamental (riog(v)_0, rlog(v)_1, rlog(v)_2) , équipe ladite machine (4.2) pour simuler la parole de l'auteur de l'acte juridique au moyen dudit réseau (4.3) accessible audit point d'accès (4.4) pour donner à un des- tinataire la connaissance de ce que dit l'auteur de l'acte juridique.

3. Il admet des variantes d'une part, de la base des sous-espaces des formes linéaires sur X*, jouant le rôle de filtres d'autre part, de leur position a. la position des bornes (exemple du dispositif juri- dictionnel) b. la configuration de la position des points limites dans la chaîne de caractères de l'acte juridique pour distinguer r1 de r3

4. la spécification des formes linéaires pouvant s'effectuer dans l'ensemble de voisinages de façon à décrire r1 comme cor- respondant au cas où le premier caractère de $X$ du premier voisinage est celui d'un point limite de trois caractères (pour le type "Loi" de l'acte juridique) qui a une position supérieure ou égal au filtre et le dernier, une position inférieure ou égal au filtre "Loi de l'État", et l'inverse pour r3, le filtre "Loi de l'État" prenant la première place, (on précise que la formule de promulgation : actuellement, en deux parties dans le texte de l'acte juridique, la première [L'Assemblée nationale et le Sénat ont adopté, Le Président de la République promulgue la loi dont la teneur suit : ...] et la seconde [La présente loi sera exécutée comme loi de l'Etat. Fait à Paris, le ...] auquel on ajoute [auteur du décret de promulgation et contresignataires] ). D'autres variantes peuvent être retenues, dès lors que "je" = "a adopté" = "promulgue" = r1 et "il" = "Loi de l'État" = "Loi" = r3, par exemple ; la chaîne de caractères commençant par "a adopté" pour r1 et par "Loi" pour r3, par exemple.

[Revendication 5] Dispositif d'accessibilité juridique selon la revendication 3 et 4, comprenant :

1. des processeurs

2. des supports d'enregistrements

3. un système de communication

4. un commutateur caractérisé en ce que :

1. d'une part, l'assistance que la machine fournit au procédé fait partie de son fonctionnement interne et est décrite par une configuration spécifique desdits processeurs, notamment les processeurs r1 et r3, et desdits supports d'enregistrements ainsi que par ledit système de communication entre les processeurs et les supports d'enregistrements que cette machine im- plémente

2. d'autre part, ledit commutateur implémente le groupe commutatif d'énallage ((rlog, r1, r3) opérateur) pour que ladite configuration créer une instance du réseau (6.3) entre les sous- recouvrements finis de deux compacts X**op1 et X**op3 indiquant qu'il est possible de mesurer simultanément l'échange de deux applications continues d'un espace lo- calement compact (ELC) et, le système de communication fournit les moyens d'un échange entre sous-recouvrements de ces deux compacts au moyen d'une classe de procédés spé- cifiques pour faire entendre au client r2, la parole consolidée de l'auteur.

3. Un support d'enregistrement contient la suite de chaînes de ca- ractères du texte de l'acte juridique des sources du droit au moyen de laquelle un rang est assigné à la personne logique rlog

[Revendication 6] Ledit processeur selon la revendication 5,

1. ledit processeur est vectoriel (v) et implémente la famille gé- nératrice (1.1), qui, <partout> dans les sources du droit : a. parle de quelque chose que le processeur rlog 1 peut mettre à jour par une opération inverse en vertu de la classe de dualité du référentiel catégorique pour récupérer la mise à jour régulière des données publiées au JO)

1. un processeur en r1 et en r1-1

2. un processeur en r3 et en r3-1 b. implémente des lois de composition interne de la <structure> du fait de langage de l'acte juridique ap- partenant aux sources du droit (3.4.a)

1. l'addition

2. la multiplication

3. le calcul d'opposés permettant de définir l'opérateur de soustraction

4. le calcul d'inverse permettant de définir l'opérateur de division,

5. lesdites opérations étant continues

6. Les caractères s'ajoutent les uns aux autres, se retirent des chaînes en vertu des lois de compositions internes

7. lois de compositions au moyen desquelles une machine peut calculer des états, des différenciations, des déformations continues (isomorphisme syntaxique - syntaxe des grandes masses verbales -) c. intègre plusieurs fonctions.

1. une première sorte de fonction permet d'entrer en coïncidence avec un rang de langage en portant un intitulé ordinal émanant du langage (3.4.a). Cette sorte de fonction permet d'assigner à la personne logique (rlog) (3.3) trois valeurs : i. un rang premier (r1) de langage ii. un rang second (r2) de langage iii. un rang troisième (r3) de langage

2. La seconde sorte de fonction consiste à construire, au moyen des fonctions-rangs r1(v) et r3(v) de langage, un espace X isomorphe (à un isomorphisme près) à son propre espace X → X de fonctions et faire qu'un élément soit aussi une fonction (à un isomorphisme près) et qu'une fonction soit un élément, en X**op1 et en X**op3

3. L'accès à la troisième sorte de fonctions résulte de l'exécution des fonctions de la seconde sorte et se présente comme un corps topologique non commutatif - espace de fonctions X**op. (deux corps ) produit respectivement en r1(v) et r3(v).

4. La quatrième sorte de fonction implémente une classe de procédés spécifiques relatifs aux nonnes (cpts) au moyen d'instructions vectorielles faites de sous-recouvrements finis de fonctions de la troisième sorte

5. implémentation d'une bibliothèque de programmes qui implémente la classe et sa mise à jour

6. Une sixième sorte de fonction, applique l'une dans l'autre, par homotopie, deux ap- plications continues de la quatrième sorte pendant l'énallage (échange) au moyen d'un commutateur

7. Les fonctions de la quatrième sorte utilisent les référentiels (3.4.b) (3.4.c) (3.4.d) pour établir les relations dans le réseau (6.3)

8. Les fonctions de la première à la sixième sorte sont implémentées dans le processeur, selon la configuration la plus efficace rela- tivement aux processeurs et aux supports d' enregistrements d. Il établit les conditions d'un réseau :

1. dans une première étape, le processeur rlog(v) constitue l'espace vectoriel X puis,

2. dans une seconde, y récupère de nouvelles coordonnées ou positions, en associant à toute combinaison linéaire de cet espace, sa k-ième coordonnée dans la base du dual al- gébrique X* de l'espace vectoriel des formes linéaires suivantes : Formule de pro- mulgation, Loi, titre, Chapitre, Section, Article (Dispositif), munis d'une relation d'inclusion (suite décroissante). Les voisinages sont des formes linéaires qui sont des combinaisons linéaires de ces formes co- ordonnées.

3. Dans l'ensemble de voisinages obtenus après la seconde étape, l'implémentation précise lequel, parmi ces voisinages du dual al- gébrique X*, est un ouvert d'une topologie sur l'ensemble des voisinages ou, est un fermé . L'implémentation précise que l' Article est cet ouvert en tant que dispositif. La fonction-neutre (rlog) d'ouvert et de fermé (défini comme le complémentaire de l'ouvert) récupère, dans une quatrième étape, une nouvelle coordonnée ou position - to- pologique -, dans le dual algébrique X*, en récupérant les images pouvant faire dans le dual topologique X**, l'objet d'applications k-linéaires ouvertes et fermées (le complé- mentaire contenant toutes les propriétés de l'ouvert). On indique également à l'ordinateur que cette récupération se fait dans les $SOURCES$ du droit et non seulement dans un acte juridique. Le voisinage obtenu l'est de fonctions «suffisamment proches» pour les ouverts et «suffisamment proches» pour les fermés. Prouvant que cette chaîne, la fonction-neutre intègre donc plusieurs coordonnées dans l'espace de fonctions.

4. Dans l'espace obtenu après la mise en œuvre de la troisième étape, l'ordinateur inverse, la relation d'inclusion après que l'on ait spécifié l' Article (dispositif) comme ul- trafiltre (collection de filtres), pour obtenir un espace compact X**op homéomorphe à l'espace vectoriel X.

5. Au terme de la quatrième sous-étape, un re- couvrement ouvert des $SOURCES$ du droit est une famille d'ouverts ‘Article' incluant son complémentaire au moyen d'une relation d'ordre inversée, de réunion égale aux $SOURCES$ du droit Dans le langage de la topologie quotient, le quotient des dispositions par le dispositif (l'article) est le corpus juridique (les sources du droit).

[Revendication 7] Utilisation de l'accès au réseau, pour connaître la parole de l'auteur de l'acte juridique comprenant :

1. un terminal

2. des fonctions de télécommunication

3. des fonctions numériques caractérisé en ce que :

1. ledit terminal est le point d'accès à l'auto-application continue du droit dans le réseau pour l'auteur de l'acte juridique, le des- tinataire de l'acte juridique et pour les métiers du droit, et intègre plusieurs fonctions : a. L'accès de l'auteur de l'acte juridique au moyen d'un terminal dédié pour écrire cet acte à partir de la chaîne vide de caractères. b. L'accès du destinataire de l'acte juridique au moyen du réseau implémente le rang logique (rlog) qui parle de quelque chose en portant un intitulé ordinal émanant du langage de la personne de son utilisateur, le destinataire r2 de l'acte juridique : un input : 1. un client r2 se connecte au réseau. Une fonction (requête) d'interrogation de la personne « je » parlante (r1) qui va adresser un input «suffisamment proche» de celle de la troisième sorte de fonction du dispositif d'accessibilité juridique et, réciproquement, la personne négative « il » du côté du langage (r3) pour créer un exemplaire de son propre état (r2) qu'elle communique au terminal si le commutateur montre à l'utilisateur qu'il est possible de mesurer si- multanément l'échange de deux applications continues d'un espace localement compact pour que lui soit communiqués les états pertinents vocalement ou textuellement Le commutateur relie la machine à dire le droit audit point d'accès, montre à un client qui s'y connecte au moyen du terminal qu'il peut toujours et <partout>, avoir la connaissance de la parole de l'auteur de l'acte juridique simulée par la machine c. L'accès des métiers du droit

1. le terminal sert d'interface entre le dispositif d'accessibilité juridique et les différents dis- positifs externes des métiers du droit aptes à se connecter spécifiquement au réseau en raison des combinaisons linéaires

« suffisamment proches » qui les concernent dans X**op (administration électronique, justice numérique, dématérialisation des actes des collectivités territoriales)

2. le terminal peut notamment avoir des fonctions de télécommunication pour partager au sein de réseaux privés les fonctions de la personne logique (rlog), et avoir des conversations privées entre profes- sionnels des métiers du droit ainsi que servir de clé de connexion aux réseaux profes- sionnels privés existants. 3. lesdites fonctions de la personne logique (rlog) facilitent l'accès des métiers du droit par des prestations matérielles ou logiciels, comprenant des fonctions de télécommu- nication, des fonctions numériques, de service Web ou à des fonctions dédiées tel que l'enregistrement des résultats des mesures effectuées par des cinémomètres de contrôle routier, la surveillance électronique permettant une authentification biométrique vocale à des fins de vérification à distance de la présence de personnes sous surveillance électronique ou, servir de clé de connexion aux réseaux professionnels privés existants. Lesdites fonctions peuvent être des fonctions de photographies ou de numérisation de documents professionnels dont le nom est mentionné dans les sources du droit, lesdites prestations sont offertes notamment par une bibliothèque logicielle ou un service web, offrir des prestations vocales ou textuelles ou d'écriture (pour l'auteur de l'acte juridique) ou de télécommunication via des terminaux dédiés. De façon plus générale, le terminal dispose nativement des protocoles de sécurité dédiés à la communication sécurisée avec tout dispositif électronique créé par les sources du droit pour être utilisé de façon professionnelle dans les métiers du droit

4. La personne logique (rlog) permet de réduire les opérations humaines de surveillance et de maintenance relatives aux normes

5. la mise en œuvre d'une fonction de la sixième sorte, au résultat de laquelle un terminal a accès, supprime le délai entre la publication au JO d'un acte officiel modi- ficateur et l'accessibilité numérique d'une version consolidée de l'acte modifié.

6. L'implémentation de la personne logique (constante) facilite l'interopérabilité des données et des systèmes juridiques dans les métiers du droit

7. permet d'intervenir efficacement en portant les solutions non en considération des symptômes ou de certains effets auxquels on veut remédier mais sur les effets que sont susceptibles de produire des causes décrites comme des opérations non humaines.

[Revendication 8] Réseau, au moyen duquel, selon l'une quelconque des revendications précédentes, une machine dit le droit en simulant, par auto-application continue, la parole de l'auteur de l'acte juridique constitué :

1. de mots

2. de phrases

3. d'alinéas

4. de paragraphes

5. d'actes

6. de titres

7. de chapitres

8. d'article

9. d'une <structure>

10. de <labels>

11. un ordre

12. de « dispositifs »

13. de citation ou référence caractérisé par une instance opposable des sources du droit, dans la mémoire de la machine, susceptible de produire de nouvelles instances opposables, et composé :

1. du point matériel comme élément distinctif pour obtenir des sous-recouvrements finis de X**op1 et X**op3

2. Des applications continues (cpts1) et (cpts3) étant issues de sous-recouvrements finis, susceptibles d'être vrais ou faux, du recouvrement ouvert $X**op$, d'où il peut résulter une variation continue (T) de X**op X [(0,0), (1,1)] → X**op, telle que T(v,(0,0))=cpts1(v) et T(v,(1,1))=cpts3(v) où x dénote la ventilation des faits de langage des sources du droit de part et d'autre de (0,0) et (1,1), où cpts1(v) et cpts3(v) sont des éléments qui sont aussi des fonctions et, fonctions qui sont des éléments (du sous-recouvrement finis) - auquel est associé un scalaire, et où (0,0) et (1,1) sont des emplacements de pro- cesseurs qui fabriquent chacun X**op - notamment pour l'homotopie de sous-recouvrements, l'un dans l'autre,

3. des « dispositifs» locaux, en tant qu'espace localement compact (ELC) définis comme des homéomorphismes locaux entre lesdits « dispositifs » (9.12) quand l'homéomorphisme a lieu entre X**op1 et X**op3 a. X**op1 et X**op3 étant obtenus après la mise en œuvre de deux phases, l'une de spécification mathématique (I) (4.6.b), l'autre de réalisation informatique (Il) (6.1. b.3) de cette spécification.

4. des applications continues (de transition) entre d'une part, les homéomorphismes locaux entre lesdits « dispositifs » (8.12 ; 8.14), c'est-à-dire des « dispositifs » locaux et d'autre part, une instance produite par des opérations de consolidation, de codification et d'interprétation ; applications allant du même au même, tout en étant différent Ces applications continues appartiennent à la classe de procédés spécifiques entre les normes (1.3) et ont lieu notamment lorsque un « dispositif » cite un « dispositif » ou y fait référence (8.13) et utilisent le système de communication entre les processeurs et les supports d'enregistrements que cette machine implémente et notamment les <labels>

5. des combinaisons linéaires permettent d'obtenir les dits mots (8.1), phrases (8.2), alinéas (8.3), paragraphes (8.4) qui forment les formes linéaires (8.5 ; 8.6; 8.7 ; 8.8), l'ordre (8.11) et leur complémentaire - tel, le « dispositif » pour la forme linéaire ‘Article' (8.12) (ultrafiltre) ou l'objet de la loi pour la forme linéaire ‘Loi' -, ainsi que ce « dispositif » et son com- plémentaire fermé dans la topologie a. Un support d'enregistrement (mémoire entrale) où la machine peut, au moyen du dispositif d'accessibilité juridique, écrire tout l'acte juridique par combinaison linéaire au moyen des lois de composition interne des processeurs. La machine peut également écrire les éléments de la classe de procédés spécifiques, pour les appliquer à l'aide d'une bibliothèque de programmes qui contient des paramètres notamment relatifs à la mention (objet entre guillemets)

6. des combinaisons linéaires permettent d'obtenir des in- formations d'ordre temporel qui sont des moments incluant notamment : a. la temporalité propre d'un corps topologique non commutatif b. le moment de 1' input du client c. le moment des inputs des dispositifs externes

7. des <labels> qui établissent dans le réseau : a. une correspondance entre une certaine quantité de parole du point matériel et :

1. une source

2. une cible

3. l'image, dans la source, d'une cible,

4. un objet, entre guillemets, constitué des mots eux-mêmes

5. un ordre b. une correspondance entre deux quantités distinctes de parole 1. une citation ou référence et le « dispositif » cité ou référencé

2. un déclassement et le déclassé

3. une entrée en vigueur et une annulation ou abrogation c. une correspondance entre deux combinaisons linéaires d'ouverts distincts (interprétation) d. de façon générale, une correspondance potentielle entre un fermé quelconque où se trouvent toutes les propriétés d'un « dispositif » déterminé et un « dispositif » quelconque des $sources$.

8. des moyens d'un chemin permettant de modéliser la variation continue d'un « dispositif » dans le référentiel d'applicabilité (3.4.d), notamment un système d'équations pour décider qu'en présence d'un fait de langage d'un certain type un sous- recouvrement applique un sous-recouvrement, à un sous- recouvrement, pour provoquer un sous-recouvrement ap- partenant toujours au réseau.

9. Des fonctions de la quatrième sorte (6.1.c.4) implémentant une classe de procédés spécifiques relatifs aux normes (cpts) au moyen d'instructions vectorielles faites de sous-recouvrements finis de fonctions de la troisième sorte (6.1.c.3)

10. des fonctions de la sixième sorte (6.1.c.6) appliquant l'une dans l'autre, par homotopie, deux applications continues de la quatrième sorte pendant l'énallage (échange) au moyen d'un commutateur

[Revendication 9] Mode de réalisation partiiculier de la consolidation selon la reven- dication 8, constituée de :

1. une source

2. une cible

3. l'image, dans la source, de la cible

4. des instructions natives

5. un objet, entre guillemets, constitué des mots eux-mêmes caractérisé par :

1. une collection d'instructions qui sont exécutées par une machine pour réaliser lesdites instructions natives

2. pour ladite consolidation, lesdites instructions - la source, la cible, l'image de la cible dans la source, l'objet -, et les ins- tructions natives sont des sous-recouvrements finis d'un re- couvrement ouvert X**op dont l'écriture informatique im- plémente le sens et les lois de composition interne de la façon suivante : a. pour qu'une source atteigne une cible et ladite cible, ladite source, le programme utilise les lois de com- position interne de la multiplication et de la division. Un ELC cible est multiplié par le nombre d'ELC source de son image. À chaque étape d'une image de la cible, les instructions natives sont effectuées. À une étape quelconque le résultat qui est un dividende peut être inversement divisé par un nombre quelconque d'ELC source de l'image de la cible. Et le quotient, l'être à son tour. b. pour que le programme effectue lesdites instructions natives sur lesdits objets à chaque fois qu'une image de la cible est atteinte, on utilise les lois de com- position interne de l'addition et de la soustraction. L'association desdites instructions natives, qui sont des sous-recouvrements finis, à une addition ou à une soustraction est fonction du sens du sous- recouvrements finis correspondants - « la façon suivante ... remplacé par ...» «annule» c. pour que l'image dans la source de la cible soit associée à l'exécution desdites instructions natives on utilise un système de communication.

3. Pour lesdites codification et interprétation des bibliothèques spécifiques regroupent les sous-recouvrements finis cor- respondant auxdites instructions.

REVENDICATIONS MODIFIÉES reçues par le Bureau international le 25 novembre 2021 (25.11.2021)

1. Méthode assistée par ordinateur pour la simulation de la parole de l'auteur de Pacte juridique au moyen d'un réseau comportant :

(a) une famille génératrice

(b) une relation d'équivalence

(c) un compact

(d) une classe de procédés spécifiques caractérisée, selon la phase (I) suivante de spécification mathématique, en ce que :

(e) Ladite famille génératrice (l.a) est une famille de caractères, d'un espace vectoriel X, nécessaires à l'écriture de tout l'acte juridique et dont la combinaison linéaire forme les mots, les phrases, les alinéas, les paragraphes et la <structure> de cet acte. :

(f) Ladite famille (l.a) permet de construire des faits de langage au moyen de ladite relation d'équivalence (l.b) entre l'espace vectoriel X des sources du droit, qui est fermé et borné et le corps topologique non commutatif X**op qui est un compact nécessaire à la formation d'un réseau. i. Selon cette spécification mathématique, X est fermé et borné => texte de l'acte juridique. Les bornes et les points limites sont les scalaires associés au fait de langage r1(v) ou r3(v). Le scalaire est l'équivalent d'une quantité de parole cette quantité c'est tantôt une limite, tantôt une borne mais, dans tous les cas, une forme linéaire, la valeur de chaque caractère d'une suite de chaînes de caractères en entrée au moyen d'une équivalence relativement à des notions mathématiques de suite, structure, mesure, distance et approxi- mation et, en particulier, aux notions de points limites (en tant que fermé) et de bornes (ayant entre tous les points constituant la suite, une distance déterminée entre eux et entre les chaînes d'une suite) . Il signale des divisions (Loi, Titre, Section, Article, vote) qui sont autant de bornes et les types d'acte juridique (constitution, loi, décret, arrêté etc.) qui sont autant de points lim- ites, un certain ordre (la numérotation, telle que publiée au Journal Officiel), des mention, citation et renvoi à ces divisions, bornes, points limites, types, numérotation, ordre. Ils manifestent la <structure>, l'ultrafiltre, la classe de dualité pour produisant un espace localement compact en sortie et la topolo- gie induite par la distance. Les scalaires sont l'accessibilité. Les points limites sont soit (Loi), soit (a voté)

(g) Selon cette spécification mathématique, X est compact (Le) => sous-suites liées à la topologie de Pacte (Loi, Titre, section, Article, Paragraphe, alinéa) et suite d'actes juridiques si l'ensemble de référence est (A) (Loi1, Loi2, Loi3,. . . etc.)

FEUILLE MODIFIEE (ARTICLE 19) le compact est le résultat de la transformation des sources (A) mis en input de ladite machine en vertu d'une loi de composition interne d'équivalence dite de dualité entre les sous-espaces d'un espace de fonctions. Ledit compact est ladite généralisation d'un dispositif d'acte juridique qui est fermé (contenant tous ses points limites) et borné (ayant, entre tous les points le constituant, une distance déterminée entre eux et, entre les chaînes d'une suite) et duquel on peut extraire des procédés relatifs aux normes aptes à faire partie du réseau utilisé pa rune machine (). Cette classe de dualité produit cette capacité en sortie au moyen des transformations naturelles d'un espace vectoriel X selon la classe de dualité et les sous-espaces suivants : i. Une classe dualité comprenant :

A. la transformation naturelle de l'espace vectoriel X en son dual algébrique

B. la transformation naturelle du dual algébrique en son dual topologique

C. la transformation naturelle du dual topologique en sa catégorie duale ii. Les sous-espaces suivants :

A. le premier sous-espace est l'élémentO, l'ensemble des combinaisons linéaires de vecteurs de X sur un corps généré par une familles de caractères.

B. L'application associe à toute combinaison sa k-ième coordonnée dans la famille. Les formes de cette application [Formule de promulgation, Loi, Titre, Chapitre, Section, Article] forment une base du sous-espaces des formes linéaires sur X* et jouent le rôle de filtres (bornes du compact) imbriqués en vertu d'une relation d'inclusion

C. la catégorie des espaces vectoriels topologiques obtenue par transforma- tion naturelle du dual algébrique. On y atteint X** le dispositif de l'acte juridique, l' Article comme ouvert.

D. la catégorie opposée obtenue par transformation naturelle de la catégorie du dual topologique. On y atteint localement, au moyen d'un ultrafiltre, un compact X**op ; exemplaire du dispositif qui contient tous les filtres. La réunion de tous les articles contient X et cette propriété, vraie au voisinage de chaque caractère d'un acte juridique est vraie de façon uni- forme sur tout le compact (les SOURCES du droit de type juridictionnel ou non) iii. Dans certains articles de l'ensemble de tous les articles dont la réunion con- tient X certains vecteurs font partie d'une classe de procédés spécifiques (l.d). Ladite classe comprend les paramètres de certaines relations entre normes aptes à faire partie du réseau et dont la finalité est fonctionnellement limitée à un effet technique déterminé. Ces procédés techniques spécifiques, (l.d) re- latifs aux relations entre normes sont, en vertu de la relation d'équivalence, membres d'une famille (B) de parties d'un nombre fini de caractères d'une suite de chaînes de caractères du texte de Pacte juridique des sources du droit (A) consignés dans une bibliothèque de programmes décrivant des com- portements du droit qui ont lieu en des endroits déterminés et à un instant donné, -, notamment des instructions natives (remplacer, ajouter, supprimer, lire) susceptibles d'être mise en œuvre par un ordinateur pour produire une homotopie. iv. Entre deux articles de l'ensemble de tous les articles dont la réunion contient X certains vecteurs sont liés par une relation de citation ou de mention au moyen de <labels> limitant fonctionnellement la finalité de ladite classe de procédés spécifiques (1.g.iii) Ils sont des applications continues dans X**op

FEUILLE MODIFIEE (ARTICLE 19) v. Pour établir la communication entre ces deux articles, et produire l'état du droit qui en résulte, une homotopie pendant l'échange entre deux applications continues (procédés spécifiques) complète le réseau vi. Les paramètres de ces relations, ces relations et les <labels> peuvent être extraits de X**op, sous forme de sous-recouvrements finis aptes à former le réseau

2. La famille génératrice (l.e) selon la revendication précédente, comprend différents jeux de caractères correspondant à un ordre ou à un système juridique déterminé

3. Parole de l'auteur de Pacte juridique selon la revendication 1, décrite par un moyen de constituer l'unité de base du réseau et les ensembles par rapport auxquels la parole peut être considérée comme étant entendue comprenant la cinématique suivante :

(a) un point matériel

(b) des référentiels caractérisée en ce que :

(c) l'unité de base du réseau est la famille génératrice (2) décrite par un point (v) auquel on associe une quantité de ladite parole constituant un ensemble de coor- données dans X**op. Ce point est, dans de l'économie intérieure du système de la personne de l'auteur de Pacte juridique, assimilé à la personne objet de l'auteur de Pacte juridique, celle dont il est parlé et au moyen de laquelle certaines rela- tions sont aptes à faire partie d'un réseau pour le constituer. Cette <capacité> échappe en soi à la variation de rang. Son rang, qui ne varie pas, est celui de ce dont on parle, autrement dit un rang en coïncidence avec le rang troisième il. C'est le rang logique (neutre) : (rlog) Un référentiel logique de la personne logique (I),- sans rang par fait de langage -, qui fait partie de l'économie intérieure du système de la personne de l'auteur de Pacte juridique i. il = rlog => (rlog(v)) ii. La constance de cette troisième personne, sous tous les intitulés ordinaux d'auteurs d'actes juridiques est une <capacité> sur laquelle repose la simu- lation de la parole de l'auteur de Pacte juridique. Cette capacité :

A. est mise en œuvre par un dispositif d'accessibilité juridique qui assigne à cette personne logique un rang par fait de langage des sources du droit dans r1 et r3 :

• sous la personne parlante "je" (r1(v)) disant, par exemple, «La présente loi entrera en vigueur im- médiatement et sera exécutée comme loi de l'État.», il y a le droit qui parle de lui : elle est donc aussi la personne dont il est parlé, donc troisième (rlog(v)) sous première.

• Sous la personne "tu" (r2(v)), - le destinataire de Pacte juridique, qui est aussi client lorsqu'il interroge la machine -, il y a celle à qui l'on parle, qui est aussi celle dont il est parlé à elle-même, donc troisième (rlog(v)) sous deuxième.

• Sous la personne "il" (r3(v)) qui ne parle pas, et à qui il n'est pas parlé, qui est une personne négative du côté du langage, il y a une personne dont il est parlé, elle qui est troisième (rlog(v)) sous troisième. iii. met en œuvre une ou plusieurs fonctions.

FEUILLE MODIFIEE (ARTICLE 19) (d) Ladite cinématique du point matériel (v) décrit les ensembles par rapport auxquels la parole peut être considérée comme pouvant être entendue et comprend des référentiels, notamment manifestés par des sous-recouvrements finis de X**op, suivants : i. Un référentiel spatial dans lequel la personne logique (rlog(v)) est apte à parcourir un homéomorphisme entre un espace vectoriel X et l'ESP X**op en passant par l'espace des formes linéaires X*, puis par espace vectoriel topologique X**.

A. dans l'espace vectoriel, les opérations suivantes sont des lois de composi- tion de la personne logique (rlog(v)) :

• l'addition

• la multiplication

• le calcul d'opposés permettant de définir l'opérateur de soustraction

• le calcul d'inverse permettant de définir l'opérateur de division

• lesdites opérations étant continues sous la forme des opérateurs conc. et disp. Le changement continu de la position d'un état pouvant s'accompagner de questions de champ d'application, ou de modes de formation de l'ordre juridique

B. Les caractères s'ajoutent les uns aux autres, se retirent des chaînes en vertu des lois de compositions internes ii. un référentiel d'énallage de personnes première et troisième. Les personnes parlantes r1(1) et ne parlant pas r3(v) s'échangent dans Pacte juridique. Cet échange est décrit par le groupe commutatif d'énallage ((rlog, r1, r3) opéra- teur)

(e) Le fait de langage de la première personne « je » est noté r1 => (r1(v)) s'échange avec (rlog(v)) ; alors r1 est bien la personne « je » parlante

(f) le fait de langage de la troisième personne « il » ou « elle » est noté r3 => (r3(v)) s'échange avec (sr(v)) ; alors r3 est bien la personne qui ne parle pas, et à qui il n'est pas parlé, qui est une personne hors langage, une personne négative du côté du langage

(g) le fait de langage (r1(v)) s'échange avec (r3(v)) et vice versa

(h) un référentiel de la personne logique de l'auteur de Pacte juridique i. Hiérarchie des auteurs de Pacte, verticale (hiérarchie des actes unilatéraux) et horizontale (nature non juridictionnelle et juridictionnelle du dispositif :

A. relation d'équivalence concerne tant le dispositif de Pacte juridique non juridictionnel que celui de Pacte juridique juridictionnel, particulièrement utile pour interpréter le droit.

B. Le corps de type juridictionnel de Pacte juridique, comporte dit « dis- positif » et les motifs telle que : le majorant x supérieur ou égal y et le minorant x inférieur ou égal à y. Un élément x du corps de type juridic- tionnel est un majorant du « dispositif » s'il est supérieur ou égal à tous les éléments du « dispositif > ; dans ce cas, la partie majorée du « dis- positif » est les motifs. Un élément x du corps de type juridictionnel est un minorant du « dispositif » s'il est inférieur ou égal à tous les éléments du « dispositif » ; la partie minorée du « dispositif > est dans ce cas tout ou partie du « dispositif ». ii. Signature des auteurs de Pacte, actes administratifs, promulgation

FEUILLE MODIFIEE (ARTICLE 19) (i) un référentiel d'applicabilité de la personne logique (notamment utile à l'opération d'interprétation) i. L'applicabilité temporelle => dans l'espace non commutatif de fonctions le champ d'application temporel

A. date de publication

B. date d'entrée en vigueur

C. date de disparition ii. d'applicabilité spatiale => et p

A. modes de formation de l'ordre juridique

B. parole locale (expérimentation, droit local)

C. d'applicabilité matérielle iii. référentiel d'application matérielle, temporelle et spatiale de la personne ayant rang de langage (notamment utile aux opérations d'interprétation)

(j) un référentiel catégorique qui, au moyen d'une formulation axiomatique, relie les combinaisons linéaires ou les applications continues aux fonctions qui les préser- vent et dans lequel les groupes mathématiques suivants - comportant un ensemble dont v est un élément -, renvoient à eux-mêmes, et des morphismes renvoient à leurs classes suivantes d'homotopie : i. Une famille de structures duales :

A. X

B. X*

C. X**

D. X**op ii. Les classes d'homotopie :

A. rlog(v)0

B. rlog(v)1

C. rlog(v)2 iii. le groupe fondamental : ((rlog(v)0, rlog(v)1, rlog(v)2) opérateur)

4. Plusieurs moyens dont l'arrangement est spécialement conçu pour se prêter à la mise en œuvre de la méthode, comprenant :

(a) un dispositif d'accessibilité

(b) une machine

(c) un réseau

(d) un point d'accès caractérisé, selon la phase (II) de réalisation informatique :

(e) par l'implémentation d'un groupe fondamental (("il"0, "il"1, "il'2) opérateur) et d'un groupe fondamental (("je"0, "je"1, "je"2) opérateur)

(f) et en ce que, ledit dispositif d'accessibilité (4.a) implémentant le groupe fonda- mental ((rlog(v)0, rlog(v)1, rlog(v)2) opérateur), équipe ladite machine (4.b) pour simuler la parole de l'auteur de Pacte juridique au moyen dudit réseau (4.c) ac- cessible audit point d'accès (4.d) pour donner à un destinataire la connaissance de ce que dit l'auteur de Pacte juridique.

FEUILLE MODIFIEE (ARTICLE 19) (g) Il admet des variantes d'une part, de la base des sous-espaces des formes linéaires sur X*, jouant le rôle de filtres d'autre part, de leur position i. la position des bornes (exemple du dispositif juridictionnel) ii. la configuration de la position des points limites dans la chaîne de caractères de Pacte juridique pour distinguer r1 de r3

(h) la spécification des formes linéaires pouvant s'effectuer dans l'ensemble de voisi- nages de façon à décrire r1 comme correspondant au cas où le premier caractère de X du premier voisinage est celui d'un point limite de trois caractères (pour le type "Loi" de Pacte juridique) qui a une position supérieure ou égal au filtre et le dernier, une position inférieure ou égal au filtre "Loi de PÉtat", et l'inverse pour r3, le filtre "Loi de PÉtat" prenant la première place, (on précise que la formule de promulgation : actuellement, en deux parties dans le texte de Pacte juridique, la première [L'Assemblée nationale et le Sénat ont adopté, Le Président de la République promulgue la loi dont la teneur suit :...] et la seconde [La présente loi sera exécutée comme loi de PEtat. Fait à Paris, le...] auquel on ajoute [au- teur du décret de promulgation et contresignataires]). D'autres variantes peuvent être retenues, dès lors que "je" = "a adopté" = "promulgue" = r1 et "il" = "Loi de PÉtat" = "Loi" = r3, par exemple ; la chaîne de caractères commençant par "a adopté" pour r1 et par "Loi" pour r3, par exemple.

5. Dispositif d'accessibilité juridique selon la revendication 3 et 4, comprenant :

(a) des processeurs

(b) des supports d'enregistrements

(c) un système de communication

(d) un commutateur caractérisé, en ce que :

(e) d'une part, l'assistance que la machine fournit à la méthode fait partie de son fonctionnement interne et est décrite par une configuration spécifique des dits pro- cesseurs, notamment les processeurs r1 et r3, et des dits supports d'enregistrements ainsi que par ledit système de communication entre les processeurs et les supports d'enregistrements que cette machine implémente (5. b)

(f) d'autre part, ledit commutateur implémente le groupe commutatif d'énallage ((rlog, r1, r3) opérateur) pour que ladite configuration créer une instance du réseau (6.3) entre les sous-recouvrements finis de deux compacts X**op1 et X**op3 indiquant qu'il est possible de mesurer simultanément l'échange de deux applica- tions continues d'un espace localement compact (ELC) et, le système de commu- nication fournit les moyens d'un échange entre sous-recouvrements de ces deux compacts au moyen d'une classe de procédés spécifiques pour faire entendre au client r2, la parole consolidée de l'auteur.

(g) Un support d'enregistrement contient la suite de chaînes de caractères du texte de l'acte juridique des sources du droit au moyen de laquelle un rang est assigné à la personne logique rlog

6. Ledit processeur selon la revendication 5,

FEUILLE MODIFIEE (ARTICLE 19) (a) ledit processeur est vectoriel (v) et implémente la famille génératrice (3.c), qui, <partout> dans les sources du droit : i. parle de quelque chose que le processeur rlog-1 peut mettre à jour par une opération inverse en vertu de la classe de dualité du référentiel catégorique pour récupérer la mise à jour régulière des données publiées au JO)

A. un processeur en r1 et en r1-1

B. un processeur en r3 et en r3-1 ii. implémente des lois de composition interne de la <structure> du fait de langage de Pacte juridique appartenant aux sources du droit (3.d.i.a)

A. l'addition

B. la multiplication

C. le calcul d'opposés permettant de définir l'opérateur de soustraction

D. le calcul d'inverse permettant de définir l'opérateur de division,

E. lesdites opérations étant continues

F. Les caractères s'ajoutent les uns aux autres, se retirent des chaînes en vertu des lois de compositions internes

G. lois de compositions au moyen desquelles une machine peut calculer des états, des différenciations, des déformations continues (isomorphisme syn- taxique - syntaxe des grandes masses verbales -) iii. intègre plusieurs fonctions.

A. une première sorte de fonction permet d'entrer en coïncidence avec un rang de langage en portant un intitulé ordinal émanant du langage (3.e, 3.f, 3.g). Cette sorte de fonction permet d'assigner à la personne logique (rlog) (3.c, 3.h, 3.i) trois valeurs :

• un rang premier (r1) de langage e un rang second (r2) de langage

• un rang troisième (r3) de langage

B. La seconde sorte de fonction consiste à construire, au moyen des fonctions- rangs r1(v) et r3(v) de langage, un espace X isomorphe (à un isomor- phisme près) à son propre espace X → X de fonctions et faire qu'un élé- ment soit aussi une fonction (à un isomorphisme près) et qu'une fonction soit un élément, en X**op1 et en X**op3

C. L'accès à la troisième sorte de fonctions résulte de l'exécution des fonc- tions de la seconde sorte et se présente comme un corps topologique non commutatif - espace de fonctions X**op. (deux corps X**op1 et X**op3) produit respectivement en r1(v) et r3(v).

D. La quatrième sorte de fonction implémente une classe de procédés spé- cifiques relatifs aux normes (cpts) au moyen d'instructions vectorielles faites de sous-recouvrements finis de fonctions de la troisième sorte

E. implémentation d'une bibliothèque de programmes qui implémente la classe et sa mise à jour

F. Une sixième sorte de fonction, applique l'une dans l'autre, par homotopie, deux applications continues de la quatrième sorte pendant l'énallage (échange au moyen d'un commutateur

G. Les fonctions de la quatrième sorte utilisent les référentiels (3.d) (3.h) (3.i) (3.j) pour établir les relations dans le réseau (6.3)

FEUILLE MODIFIEE (ARTICLE 19) H. Les fonctions de la première à la sixième sorte sont implémentées dans le processeur, selon la configuration la plus efficace relativement aux pro- cesseurs et aux supports d'enregistrements

7. Configuration spécifique des processeurs et des supports d'enregistrements selon les revendications 5 et 6, pour que, au sein des SOURCES, par elle-même, une action (un procédé relatif aux actes juridiques), que comporte un acte juridique, s'applique à un acte juridique susceptible par ailleurs de comporter une action ayant le même effet potentiel, comme un ensemble d'instructions et d'opérations destinées à être exécutées par un ordinateur pour produire un état opposable relevant toujours de ces SOURCES et dont la cause est cette action ; configuration pouvant être décrite selon la modalité suivante :

(a) La configuration spécifique des processeurs qui décrit l'assistance que la machine fournit à la méthode (5.e) peut être caractérisée en ce que d'une part, l'unité logique et arithmétique que contient ces processeurs est à la fois un moyen de traitement d'une quantité de parole (6.a), le traitement lui- même et cette quantité elle-même (4, 5, 6) constituant un ensemble de coordonnées d'autre part, l'unité de contrôle des échanges entre les principaux éléments de ces processeurs fournit l'adresse du support d'enregistrement qui contient la suite de chaînes de caractères du texte de l'acte juridique des sources du droit au moyen de laquelle un rang, par fait de langage, est assigné à la personne logique rlog pour dire le droit. i. L'unité logique et arithmétique est la personne logique (rlog) qui s'assigne un rang par fait de langage, le consigne dans un des registres du processeur pour récupérer de nouvelles coordonnées ou positions et établir les conditions d'un réseau

(b) Pour dire le droit, le dispositif d'accessibilité juridique équipe la machine d'une <capacité> (1.g) (3.c.ii) de porter un intitulé ordinal émanant du langage "je" et l'intitulé "il", et d'intégrer une ou plusieurs fonctions telles, en particulier : i. au moins, autant d'unités logique et arithmétique que d'éléments d'une famille génératrice des sources du droit dont chacun de ces intitulés, "je" et "il", a besoin pour être l'auteur des dites SOURCES ii. des registres

A. X**op1

B. X**op3

C. récupère des programmes dans une bibliothèque de programmes

D. récupère les référentiels pour réaliser les calculs

E. applique les programmes logiques entre les X**op1 et X**op3 et présente le résultat (1.g) (6.a.iii.C)

F. homotopie : pouvant contenir des sous-registres spécialisés (consolidation, consolidation, interprétation) et appliquant des fonctions de la sixième sorte (6.a.iii.H) iii. une unité de contrôle des unités de contrôle des processeurs r1 et r3 du dis- positif et r2 du terminal, au moyen de l'implémentation d'un commutateur : les unités de contrôle de r1 et r3 faisant elles-mêmes partie d'un groupe commutatif d'énallage.

A. l'unité de contrôle du dispositif implémentant le groupe fondamental ((rlog(v)0, rlog(v)1, rlog(v)2) opérateur)

FEUILLE MODIFIEE (ARTICLE 19) • l'unité de contrôle des processeurs vectoriels r1 et r3 implémentant respectivement le groupe fondamental (("je"0, "je"1, "je"2) opérateur) et le groupe fondamental (("il"0, "il"1, "il"2) opérateur)

B. L'unité de contrôle des unités de contrôle des processeurs vectoriels trans- met la parole de l'auteur de l'acte juridique sur des réseaux via Internet ou des réseaux privés (intranets) ou publics ou des réseaux téléphoniques, après avoir traitée une requête qu'elle a reçu [7.1, telle que déposée] du terminal.

C. L'unité de contrôle des unités de contrôle des processeurs vectoriels lit dans X**op1 et X**op3, toutes les mentions, dans les SOURCES, de dis- positifs techniques, comme le contrôle à distance (bracelet électronique) et que recense une bibliothèque des dispositifs techniques des sources du droit (sous-bibliothèques de la bibliothèque des procédés relatifs aux normes : «procédé» en mention dans ces SOURCES)

(c) L'alignement des unités logiques et arithmétiques de r1 et r3 permet d'une part, la lecture par le dispositif de X**op1 et X**op3 d'autre part, l'exécution simultanée [0076] et [5.2], de la constitution des sous-recouvrements finis et de leur traitement au moyen des opérations élémentaires canoniques.

(d) Pour imiter des comportements du droit, la machine, équipée du dispositif d'accessiibilité, utilise l'exemplaire du réseau qu'elle a fabriqué à partir des sources, en effectuant par son moyen les opérations rendues accessibles par la compacité et par les deux familles d'unités logique et arithmétique génératrices i. Chacune des deux familles d'unités logique et arithmétique génératrices con- stitue une configuration des processeurs vectoriel r1 et r3 dont les éléments, anticipant dans la machine l'élément de base ou distinctif du réseau, accè- dent aux instructions du registre vectoriel et aux bibliothèques du dispositif suivantes :

A. une fonction imbriquée [1.g.ii.B] de la première sorte qui est le point (v) (6. a), dont la définition est comprise dans une combinaison linéaire (Ar- ticle), elle-même comprise dans une combinaison linéaire (Paragraphe) à son tour compris dans une combinaison linéaire (Section) jusqu'à épuise- ment de la hiérarchie

B. une instruction pour trouver la suite de chaînes de caractères de l'acte de juridique dans un support d'enregistrement (5.g) et construire X

C. une instruction pour chercher le nom des combinaisons linéaires dans une bibliothèque de bornes, de points limites [6.a] et construire X*

D. une instruction pour chercher la topologie dans une bibliothèque des ou- verts, fermés et ultrafiltre et construire X** [6.a]

E. une instruction qui applique la catégorie opposée et construit X**op [6.a]

F. un vecteur du registre contient le résultat X**op auquel le dispositif a accès

G. Bibliothèques auxquels les processeurs vectoriels r1 et r3 ont accès [6.a]

• Bibliothèque des bornes et limites pour la construction des formes linéaires

• Bibliothèque des programmes notamment logiques

• Bibliothèques des référentiels [6.a]

• Bibliothèques des dispositifs techniques dont le nom est mentionné dans les sources du droit

FEUILLE MODIFIEE (ARTICLE 19) (e) Pour simuler la parole de l'auteur de Pacte juridique : i. le système de communication relie les registres vectoriels de la personne "je” qui parle et de la personne "il" qui ne parle pas -, et qui implémentent respectivement le groupe fondamental (("je"0, "je"1, "je"2) opérateur) et le groupe fondamental (("il"0, "il"1, "il"2) opérateur) aux registres du dispositif d'accessibilité de la personne logique, qui implémente le groupe fondamental ((rlog(v)0, rlog(v)1, rlog(v)2) opérateur) ii. En vertu du système de communication, les processeurs r1 et r3 établissent une liaison qui rend, de part et d'autre, les éléments distinctifs du réseau, totalement ou partiellement solidaires selon que le dispositif d'accessibilité lit dans les registres de leur résultat des normes, de procédés relatifs au normes, «suffisamment proches» de l'input transmis par le terminal comprenant r2, lui-même entré en communication avec le réseau au moyen du commutateur où le groupe d'énallage a été implémenté

A. La machine détecte lesdits procédés en les comparant aux programmes contenus dans une bibliothèque de programmes e par auto-application continue ; chaque instruction native des processeurs vectoriels et du dispositif d'accessibilité anticipe, dans ce dernier, cer- tains des procédés relatifs aux normes accessibles dans le réseau (rem- placer, ajouter, supprimer, lire...) pour s'appliquer en tant que procédés relatifs aux normes

• par auto-application continue ; certains des procédés relatifs aux normes accessibles dans le réseau (remplacer, ajouter, supprimer, lire...) parce qu'ils sont lus par le dispositif dans les registres de résultat de r1 et r3, s'appliquent aux dites normes en tant qu' instructions natives des processeurs e par auto-application continue ; la coïncidence de certains des procédés relatifs aux normes accessibles dans le réseau (remplacer, ajouter, sup- primer, lire...) avec les instructions natives du processeur, constitue une inférence qui applique à des faits de langages, des règles («de la façon suivante, le présent chapitre ...», qui sont également des faits de langage)

B. Pour établir une liaison qui rend, de part et d'autre, les éléments distinc- tifs du réseau, totalement ou partiellement solidaires, chaque opération élémentaire des processeurs vectoriels et du dispositif, anticipe, dans le dispositif d'accessibilité, les lois de composition interne du compact

(f) Pour dire la parole de l'auteur de Pacte juridique que son dispositif est susceptible de produire par homotopie, en tant que résultat du calcul, la machine met en oeuvre la mécanique juridique et utilise des moyens de télécommunication et des services Web

8. Utilisation de l'accès au réseau, pour connaître la parole de l'auteur de l'acte juridique comprenant :

(a) un terminal

(b) des fonctions de télécommunication

(c) des fonctions numériques caractérisé en ce que :

FEUILLE MODIFIEE (ARTICLE 19) (d) ledit terminal est le point d'accès à l'auto-application continue du droit dans le réseau pour l'auteur de l'acte juridique, le destinataire de Pacte juridique et pour les métiers du droit, et intègre plusieurs fonctions : i. L'accès de l'auteur de Pacte juridique au moyen d'un terminal dédié pour écrire cet acte à partir de la chaîne vide de caractères. ii. L'accès du destinataire de Pacte juridique au moyen du réseau implémente le rang logique (rlog) qui parle de quelque chose en portant un intitulé ordinal émanant du langage de la personne de son utilisateur, le destinataire r2 de Pacte juridique : un input :

A. un client r2 se connecte au réseau. Une fonction (requête) d'interrogation de la personne « je » parlante (r1) qui va adresser un input «suffisam- ment proche» de celle de la troisième sorte de fonction du dispositif d'accessibilité juridique et, réciproquement, la personne négative « il » du côté du langage (r3) pour créer un exemplaire de son propre état (r2) qu'elle communique au terminal si le commutateur montre à l'utilisateur qu'il est possible de mesurer simultanément l'échange de deux applica- tions continues d'un espace localement compact pour que lui soit com- muniqués les états pertinents vocalement ou textuellement. Le commuta- teur relie la machine à dire le droit audit point d'accès, montre à un client qui s'y connecte au moyen du terminal qu'il peut toujours et <partout>, avoir la connaissance de la parole de l'auteur de Pacte juridique simulée par la machine

(e) L'accès des métiers du droit i. le terminal sert d'interface entre le dispositif d'accessibilité juridique et les différents dispositifs externes des métiers du droit aptes à se connecter spé- cifiquement au réseau en raison des combinaisons linéaires « suffisamment proches » qui les concernent dans X**op (administration électronique, jus- tice numérique, dématérialisation des actes des collectivités territoriales) ii. le terminal peut notamment avoir des fonctions de télécommunication pour partager au sein de réseaux privés les fonctions de la personne logique (rlog), et avoir des conversations privées entre professionnels des métiers du droit ainsi que servir de clé de connexion aux réseaux professionnels privés exis- tants. iii. lesdites fonctions de la personne logique (rlog) facilitent l'accès des métiers du droit par des prestations matérielles ou logiciels, comprenant des fonctions de télécommunication, des fonctions numériques, de service Web ou à des fonc- tions dédiées tel que l'enregistrement des résultats des mesures effectuées par des cinémomètres de contrôle routier, la surveillance électronique permettant une authentification biométrique vocale à des fins de vérification à distance de la présence de personnes sous surveillance électronique ou, servir de clé de connexion aux réseaux professionnels privés existants. Lesdites fonctions peuvent être des fonctions de photographies ou de numérisation de docu- ments professionnels dont le nom est mentionné dans les sources du droit, lesdites prestations sont offertes notamment par une bibliothèque logicielle ou un service web, offrir des prestations vocales ou textuelles ou d'écriture (pour l'auteur de Pacte juridique) ou de télécommunication via des terminaux dédiés. De façon plus générale, le terminal dispose nativement des protocoles de sécurité dédiés à la communication sécurisée avec tout dispositif électron- ique créé par les sources du droit pour être utilisé de façon professionnelle

FEUILLE MODIFIEE (ARTICLE 19) dans les métiers du droit iv. La personne logique (rlog) permet de réduire les opérations humaines de surveillance et de maintenance relatives aux normes v. la mise en œuvre d'une fonction de la sixième sorte, au résultat de laquelle un terminal a accès, supprime le délai entre la publication au JO d'un acte officiel modificateur et l'accessibilité numérique d'une version consolidée de Pacte modifié. vi. L'implémentation de la personne logique (constante) facilite l'interopérabilité des données et des systèmes juridiques dans les métiers du droit vii. permet d'intervenir efficacement en portant les solutions non en considéra- tion des symptômes ou de certains effets auxquels on veut remédier mais sur les effets que sont susceptibles de produire des causes décrites comme des opérations non humaines.

9. Réseau, au moyen duquel, selon l'une quelconque des revendications précédentes, une machine dit le droit en simulant, par auto-application continue, la parole de l'auteur de Pacte juridique constitué :

(a) de mots

(b) de phrases

(c) d'alinéas

(d) de paragraphes

(e) d'actes

(f) de titres

(g) de chapitres

(h) d'article

(i) d'une <structure> Ü) de <labels>

(k) un ordre

(l) de « dispositifs » (m) de citation ou référence caractérisé par une instance opposable des sources du droit, dans la mémoire de la machine, susceptible de produire de nouvelles instances opposables, et composé :

(n) du point matériel comme élément distinctif pour obtenir des sous-recouvrements finis de X**op1 et X**op3

(o) Des applications continues (cpts1) et (cpts3) étant issues de sous-recouvrements finis, susceptibles d'être vrais ou faux, du recouvrement ouvert X**op, d'où il peut résulter une variation continue (T) de X**op[(0, 0), (1, 1)] → X**op, telle que T(v,(0,0))=cpts1(v) et T(v,(1,1))=cpts3(v) où x dénote la ventilation des faits de langage des sources du droit de part et d'autre de (0,0) et (1,1), où cpts1(v) et cpts3(v) sont des éléments qui sont aussi des fonctions et, fonctions qui sont des éléments (du sous-recouvrement finis) - auquel est associé un scalaire, et où (0,0) et (1,1) sont des emplacements de processeurs qui fabriquent chacun X**op - notamment pour l'homotopie de sous-recouvrements, l'un dans l'autre.

FEUILLE MODIFIEE (ARTICLE 19) (p) des « dispositifs» locaux, en tant qu'espace localement compact (ELC) définis comme des homéomorphismes locaux entre lesdits « dispositifs » (9.12) quand l'homéomorphisme a lieu entre X**op1 et X**op3 i. X**op1 et X **op3 obtenus après la mise en œuvre de deux phases, l'une de spécification mathématique (I) (4.6.b), l'autre de réalisation informatique (II) (6.1.b.3) de cette spécification.

(q) des applications continues (de transition) entre d'une part, les homéomorphismes locaux entre lesdits « dispositifs » (8.12 ; 8.14), c'est-à-dire des « dispositifs » locaux et d'autre part, une instance produite par des opérations de consolidation, de codification et d'interprétation ; applications allant du même au même, tout en étant différent. Ces applications continues appartiennent à la classe de procédés spécifiques entre les normes (1.3) et ont lieu notamment lorsque un « dispositif » cite un « dispositif » ou y fait référence (8.13) et utilisent le système de commu- nication entre les processeurs et les supports d'enregistrements que cette machine implémente et notamment les <labels>

(r) des combinaisons linéaires permettent d'obtenir les dits mots (8.1), phrases (8.2), alinéas (8.3), paragraphes (8.4) qui forment les formes linéaires (8.5 ; 8.6; 8.7 ; 8.8), l'ordre (8.11) et leur complémentaire - tel, le « dispositif » pour la forme linéaire ‘Article' (8.12) (ultrafiltre) ou l'objet de la loi pour la forme linéaire ‘Loi' -, ainsi que ce « dispositif » et son complémentaire fermé dans la topologie i. Un support d'enregistrement (mémoire centrale) où la machine peut, au moyen du dispositif d'accessibilité juridique, écrire tout l'acte juridique par combinaison linéaire au moyen des lois de composition interne des processeurs. La machine peut également écrire les éléments de la classe de procédés spéci- fiques, pour les appliquer à l'aide d'une bibliothèque de programmes qui con- tient des paramètres notamment relatifs à la mention (objet entre guillemets)

(s) des combinaisons linéaires permettent d'obtenir des informations d'ordre temporel qui sont des moments incluant notamment : i. la temporalité propre d'un corps topologique non commutatif ii. le moment de l'input du client iii. le moment des inputs des dispositifs externes

(t) des <labels> qui établissent dans le réseau : i. une correspondance entre une certaine quantité de parole du point matériel et :

• une source

• une cible

• l'image, dans la source, d'une cible,

• un objet, entre guillemets, constitué des mots eux-mêmes

• un ordre ii. une correspondance entre deux quantités distinctes de parole

• une citation ou référence et le « dispositif » cité ou référencé

• un déclassement et le déclassé

• une entrée en vigueur et une annulation ou abrogation iii. une correspondance entre deux combinaisons linéaires d'ouverts distincts (in- terprétation)

FEUILLE MODIFIEE (ARTICLE 19) iv. de façon générale, une correspondance potentielle entre un fermé quelconque où se trouvent toutes les propriétés d'un « dispositif » déterminé et un « dispositif » quelconque des sources.

(u) des moyens d'un chemin permettant de modéliser la variation continue d'un « dispositif » dans le référentiel d'applicabilité (3.4.d), notamment un système d'équations pour décider qu'en présence d'un fait de langage d'un certain type un sous- recouvrement applique un sous-recouvrement, à un sous-recouvrement, pour provoquer un sous-recouvrement appartenant toujours au réseau.

(v) Des fonctions de la quatrième sorte (6.1.c.4) implémentant une classe de procédés spécifiques relatifs aux normes (cpts) au moyen d'instructions vectorielles faites de sous-recouvrements finis de fonctions de la troisième sorte (6.1.c.3)

(w) des fonctions de la sixième sorte (6.1.c.G) appliquant l'une dans l'autre, par ho- motopie, deux applications continues de la quatrième sorte pendant l'énallage (échange) au moyen d'un commutateur

10. Mode de réalisation particulier de la consolidation selon la revendication 9, constitué de :

(a) une source

(b) une cible

(c) l'image, dans la source, de la cible

(d) des instructions natives

(e) un objet, entre guillemets, constitué des mots eux-mêmes caractérisé par :

(f) une collection d'instructions qui sont exécutées par une machine pour réaliser lesdites instructions natives

(g) pour ladite consolidation, lesdites instructions - la source, la cible, l'image de la cible dans la source, l'objet -, et les instructions natives sont des sous-recouvrements finis d'un recouvrement ouvert X**op dont l'écriture informatique implémente le sens et les lois de composition interne de la façon suivante : i. pour qu'une source atteigne une cible et ladite cible, ladite source, le pro- gramme utilise les lois de composition interne de la multiplication et de la division.

Un ELC cible est multiplié par le nombre d'ELC source de son image. À chaque étape d'une image de la cible, les instructions natives sont effectuées.

À une étape quelconque le résultat qui est un dividende peut être inversement divisé par un nombre quelconque d'ELC source de l'image de la cible. Et le quotient, l'être à son tour. ii. pour que le programme effectue lesdites instructions natives sur lesdits ob- jets à chaque fois qu'une image de la cible est atteinte, on utilise les lois de composition interne de l'addition et de la soustraction. L'association des dites instructions natives, qui sont des sous-recouvrements finis, à une addi- tion ou à une soustraction est fonction du sens du sous-recouvrements finis correspondants - « la façon suivante . . . remplacé par ...» «annule» iii. pour que l'image dans la source de la cible soit associée à l'exécution des dites instructions natives on utilise un système de communication.

FEUILLE MODIFIEE (ARTICLE 19) (h) Pour lesdites codification et interprétation des bibliothèques spécifiques regroupent les sous-recouvrements finis correspondant aux dites instructions.

FEUILLE MODIFIEE (ARTICLE 19)

Description:
Titre de l'invention : Reseau au moyen duquel une machine dit le droit en simulant, par auto-application continue, la parole de l'auteur de l'acte juridique

[0001] Considérons aujourd'hui les opérations dites de consolidation ou de codification ou d'entrée en vigueur qui sont un aspect particulier de l'accès aux actes juridiques publiés au Journal Officiel sous forme électronique. Considérons les comme illus- tratives d'une forme de pathologie, qu'elles héritent d'une tradition essentiellement littéraire que des services spécialisés de légistique n'ont jamais remis en cause. Ainsi, l'art de rédiger le droit et celui déployé dans la poésie peuvent être, sur le plan des principes qui les gouvernent, les mêmes, sans précaution épistémologique, dès lors que dans la poésie comme dans la légistique la longue expérience en matière d'abstraction, de concision, de précision et de clarté suffit (Catherine Bergeal - Avant-propos - Courrier juridique des finances et de l'industrie, numéro spécial, Juin 2008, p. 3) L'approche technique de la légistique relevant de l'application d'un principe de précaution d'ordre rédactionnel.

[0002] Mais le droit est-il vraiment comparable à la poésie en particulier et surtout aux autres données textuelles ?

[0003] Selon l'invention, il est une donnée comparable à aucune autre donnée ; ce qui peut avoir une conséquence sur la technologie de son écriture. Cette dernière ne se tient pas uniquement dans la langue naturelle, elle peut être symbolique comme dans les mathé- matiques ou l'informatique.

C'est précisément sur ces deux aspects qu'insiste la présente invention. L'approche n'est définitivement plus littéraire. Et, ce sont précisément des problèmes techniques qui peuvent le mieux montrer la chose ainsi que la solution technique qu'apporte l'invention consistant à la combinaison d'une réduction par simplification de l'acte juridique et de ce fait, des $SOURCES$ du droit pour montrer un corps topologique et d'une abstraction par sélection pour montrer un invariant algébrique, dans ces mêmes sources.

[0004] Un premier problème technique est celui de la relation entre un texte juridique $A$ et un texte de même nature $B$ qui le modifie n'est pas classé parmi les grands problèmes juridiques contemporains, du moins dans la mesure où, pour le moment, les débordements d'un certain «-bazar juridique-» seraient tout juste contenus par la compétence d'attribution des auteurs et ses bonnes intentions (Jean Waline - Le grand bazar juridique - AJDA, 8 février 2010, p. 177)

En effet, les juristes sont si réalistes qu'ils fabriquent un exemplaire $C$ de la règle $A$ modifiée par la règle $B$, alors qu'au sens propre, la règle $C$ n'existe pas ; elle n'a fait l'objet d'aucune signature, promulgation, elle n'a pas l exsistencia q ' u'a mis en exergue l'histoire de la philosophie et "définie comme ce qui peut avoir l'être" (Jean-Christophe Bardout - Penser l'existence, L'existence exposée, époque médiévale - Paris, Vrin, 2013, p. 26). On ne peut pas même dire que la règle $C$ est provoquée par $B$. Pourtant, créer $C$ automatiquement, voilà tout ce que les technologies de l'information et de la communication peuvent offrir aujourd'hui. Il suffit de comprendre que $C$ est la mise à jour de $A$, sans que l'on soit parvenu à expliquer comment $A$ peut demeurer, en toute circonstance, un exemplaire de lui-même tant que sa mise à jour créer un autre exemplaire de lui-même ; telle est le résultat de la timide ambition du positivisme s'en tenant à découvrir les lois des phénomènes (en l'occurrence, le phénomène $C$). En effet, la consolidation des textes consiste lorsqu'un article de texte (ou de code) est modifié, à le réécrire en y intégrant la modi- fication apportée. Les versions modifiées ou abrogées sont présentes dans le fonds do- cumentaire au même titre que les versions en vigueur ; ce qui conduit à une accu- mulation de fichiers.

[0005] Dans la présente invention on estime que $A$ a la cause de sa transformation dans $B$ sans intervention supplémentaire puisque $A$ tout en se transformant doit rester le Même, c'est-à-dire $A$. Il suffit donc d'être toujours en mesure de produire un exemplaire $A$.

[0006] Le second problème technique est celui de la relation entre code $A$ et sa modi- fication. On convient généralement qu'il convient de lui appliquer ce qui exige une attention humaine, par principe, considérable. Ainsi, « Il est indispensable que des textes portant sur une matière déjà codifiée soient rédigés en modifiant ou en complétant immédiatement le code et non en dehors de celui-ci ; en effet, les codes perdraient peu à peu de leur valeur si des textes extérieurs intervenaient sans y être insérés. Il va de soi qu'il importe de veiller à ce que les nouveaux textes ne visent, ne modifient ni n'abrogent un texte déjà abrogé du fait de la codification » (Rapport de la commission supérieure de codification, 2006- p. 30)

De la même façon, ces opérations de surveillance et de maintenance des opérations relatives aux codes pilote/suiveur demeurent importantes. L'attention doit être portée, en l'état actuel des choses, notamment aux « dispositions suiveuses » à modifier en même temps que la « disposition pilote » ; avec un signalement par les ministères, avec l'aide du fichier législatif du secrétariat général du Gouvernement, des articles pilotes qui sont repris dans une ou plusieurs dispositions suiveuses pour que les modifications ultérieures soient systématiquement coordonnées (Commission de la codification - Rapport 2006- p. 30) C'est dire que les relations entre normes font l'objet d'importantes interventions humaines. de clarté et d'accessibilité. Dans des cas particuliers, comme celui des collectivités régies par le principe de la spécialité législative on préconise de la remplacer par « la rédaction en plein des dispositions applicable » car alors on obtient une lecture facilitée pour les usagers du code mais elle implique nécessairement que soient systéma- tiquement modifiés en même temps les dispositions métropolitaines et l'écho qu'elles trouvent, en cas d'extension, dans le code outre-mer. Cette exigence de maintenance simultanée de deux codes implique la mise en place de strictes pratiques (Rapport 2007 p. 32).

Or, c'est précisément cette implication qui multiplie les risques d'erreurs. Ces erreurs sont là pour nous rappeler la permanence du problème. Il arrive que l'on constate un «-défaut de parallélisme dans la publication des textes de base et de leur textes modi- ficatifs. Ainsi, c'est une discrète insertion dans la partie « avis de l'édition lois et décrets du Journal Officiel du 24 mars 2001 qui a porté à la connaissance des usagers la signature de l'avenant n° 4 du 9 novembre 2000 à la convention nationale des médecins généralistes du 28 novembre 1998 alors que cette dernière, agréée par l'arrêté du 4 décembre 1998, avait été publiée dans la partie « textes généraux » sous la rubrique « ministère de l'emploi et de la solidarité », de même que ses avenants n° 2, 3 et 5 des 11 décembre 1999, 19 avril et 21 décembre 2000. En conséquence, Jurifrance omet les modifications apportées par cet avenant dans le texte consolidé de la convention qu'il reproduit, de même que Litec oublie de le mentionner-». (Hervé Moysan - La codification à droit constant ne résiste pas à l'épreuve de la consolidation - Chronique, Droit Administratif n° 4, Avril 2002, chron. 7) Les normes sont donc sus- ceptibles d'être vraies ou fausses, dans ce cas précis (Selon l'assertion de Kelsen. Michel Troper - La force du droit - p. 122), car ici chacun appréciera librement qu'il ne s'agit point de validité, dès lors que la consolidation n'a pas de caractère officiel.

On appréciera l'attention et le soin supplémentaires que les éditeurs mettent à l'œuvre pour éviter ces erreurs qui manifestement décroissent.

[0008] H y a donc une difficulté particulière qui est liée à ce que le respect des exigences de clarté et d'intelligibilité entraîne un surcroît d'intervention humaine et les techniques actuelles ne font que distinguer là où c'est le même et présenter le même quand il faudrait distinguer. Elles facilitent l'accès au droit mais n'insistent pas davantage sur le problème de son accessibilité. Or, nier ce problème conduit à croire que la conso- lidation des lois et règlements en vigueur est une opération purement mécanique même si des voix s'élèvent pour affirmer le contraire (Hervé Moysan - La codification à droit constant ne résiste pas à l'épreuve de la consolidation - Chronique, Droit Administratif n° 4, Avril 2002, chron. 7) Nier ce problème de l'accessibilité technique revient à croire que nous ne pouvons intervenir efficacement qu'en portant nos efforts sur les symptômes et non sur les causes malgré les voix dénonçant implicitement cette idée («-la codification porte sur les effets et non les causes du mal.-» Hervé Moysan - La codification à droit constant ne résiste pas à l'épreuve de la consolidation - Chronique, Droit Administratif n° 4, Avril 2002, chron. 7)

[0009] L'occasion de diminuer l'importance et la place des interventions humaines ont amenés, sur le principe, à considérer que certaines d'entre elles peuvent être auto- matisées ; les administrations chargées des opérations de publication légale se dotent donc, il est vrai, de l'outil informatique. Mais, en demeurant dans un double paradigme. Le premier consiste à réserver ce recours dans les cas où on est confronté à un nombre important d'opérations répétitives et donc susceptibles de normalisation et d'automatisation. Le second consiste à placer l'intérêt de ce recours dans le cadre classique du traitement de texte avec, comme pour la réalisation du code général des collectivités territoriales, un logiciel de codification assistée par ordinateur (le logiciel Magicode conçu par la mission de codification de la direction générale des collectivités locales a conçu) fondé sur l'utilisation de logiciels bureautiques (Rapport 2006, p. 28).

[0010] Au-delà de l'automatisation de tâches répétitives, l'informatique de la technique lé- gislative doit s'intéresser à ces relations d'une façon qui dispense d'interventions humaines, sources d'erreurs. A cet égard, le fait que le problème contemporain de clarté et d'accessibilité se soit cristallisé dans des questions de relations entre normes constitue bien un des intérêts de la recherche et de la définition d'une solution technique selon l'invention.

[0011] Du reste, la consolidation pratiquée en France est de nature informative et elle ne possède pas de valeur opposable. (Forum européen des journaux officiels 2013) et elle nécessite toujours un délai après l'entrée en vigueur d'une modification publiée au JO.

[0012] Les problèmes techniques que posent donc la connaissance du droit exigent une approche nouvelle que la présente invention expose. On remarquera et on insistera sur le fait que tous ces problèmes techniques touchent des relations et non des objets. Cette relation que l'on montre dans la solution entre la machine et un point d'accès à la connaissance. La présente invention considère les relations sous un angle conférant à la solution qu'elle propose un effet technique.

[0013] Une machine à dire le droit est proposée et particulièrement dédiée à l'accessibilité numérique d'états du droit par auto-application continue de procédés relatifs aux normes, que ladite machine équipée d'un dispositif d'accessibilité juridique, disposant d'un point d'accès, met en œuvre.

[0014] Le dispositif d'accessibilité juridique est celui-là même dont, sans même le connaître, Hans Kelsen supposait l'existence dans un point de vue « dynamique », en affirmant que « Le droit règle lui-même sa propre création » (Hans Kelsen - Théorie pure du droit - traduit par Charles Eisenmann, Paris, Dalloz, 1962, 2e édition, p. 299). Ce dispositif équipe une machine pour l'auto-application continue dans les sources du droit, d'un procédé, contenu dans des dispositions, qui a pour objet des dispositions, pour produire la connaissance du droit.

[0015] Sur un plan plus technique on peut aussi s'inspirer de l'hypothèse présentée par Giuseppe Longo en matière d'auto-application en affirmant qu'il s'agit de construire un espace $X$ isomorphe à son propre espace $X → X$ de fonctions. Ainsi un élément est aussi une fonction (à un isomorphisme près), une fonction est un élément. C'est le cas du dispositif d'accessibilité juridique. En cela, la présente invention apporte une solution technique en portant l'attention sur les causes et non sur les effets.

[0016] Par, exemple, pour identifier une consolidation (effet), en vertu d'opérations que l'on peut définir comme non humaines (causes), on prend deux suites de chaînes de ca- ractères du texte de l'acte juridique dont les éléments forment deux compacts et on identifie les compacts entre eux au moyen des procédés relatifs aux normes c'est-à-dire à eux-mêmes. La consolidation est obtenue à partir de deux sources que l'on recolle au moyen de procédés qu'elles contiennent et dont elles sont elles-mêmes à la fois la source, l'objet et la cible.

Ne serait-ce que pour obtenir un compact, la présente invention exige d'abord de voir les sources du droit au delà des données qui les représentent généralement en matière de technologies de l'information et de la communication. En particulier, réintroduire la problématique de l'auteur et de la parole dans le traitement du problème.

[0017] Ainsi, selon Gustave Guillaume : « Les mouvements de la pensée intervenant dans l'économie intérieure du système de la personne sont nombreux et variés et soumis, selon les idiomes, à des interprétations fort diverses, mais ces interprétations, si diverses soient-elles, laissent en dehors d'elles, intangible, le fait que sous toutes les personnes ordinalement désignées, ayant rang par fait de langage, il existe une personne objet, dont il est parlé et qui, comme personne dont il est parlé, échappe en soi à la variation de rang. Son rang, qui ne varie pas, est celui de ce dont on parle, autrement dit un rang en coïncidence avec le rang troisième. Sous la personne \textit{ Je], parlante, il y a celle qui parle d'elle-: elle est donc aussi la personne dont il est parlé, donc troisième sous première. Sous la personne \textit{tu], il y a celle à qui l'on parle, qui est aussi celle dont il est parlé à elle-même, donc troisième sous deuxième. Et sous la personne \textit{ il] qui ne parle pas, et à qui il n'est pas parlé, qui est une personne hors langage, une personne négative du côté du langage, il y a une personne dont il est parlé, qui est une personne négative, qui est donc troisième sous un rang de langage inexistant.

La constance de cette troisième personne sous tous les intitulés ordinaux est le fait sur lequel repose universellement l'économie intérieure du système de la personne et de celui, annexe, du pronom. [...] À la personne, toujours existante, dont il est parlé il sera donné le nom de personne logique-: la logique veut en effet que toujours et <partout> en parlant il soit parlé de quelque chose, et c'est à la <capacité> que peut avoir la personne logique de porter un intitulé ordinal émanant du langage et d'intégrer en outre une ou plusieurs fonctions, que l'on rapportera l'économie toute entière du système de la personne et du système pronominal connexe. » (Gustave Guillaume - Leçons de lin- guistique de Gustave Guillaume-: 1948-1949, série C, Grammaire particulière du français et grammaire générale (IV) - texte établi en collaboration avec Christel Veyrat, deuxième édition, Roch Valin, Les Presses de l'université de Laval, Québec, 1982 p. 52)

[0018] Dans la présente invention, la mécanique est la suivante : par exemple, la loi est votée par le Parlement à l'article 24 de la constitution correspond à la personne, toujours existante, dont il est parlé, personne logique ‘il'. Le terme « loi » qui fait partie de l'intitulé de l'acte juridique, sa forme, correspond à la personne « il » qui ne parle pas, et à qui il n'est pas parlé, qui est une personne hors langage, une personne négative du côté du langage ou une non-personne pour Benveniste et enfin, la mention « a voté la loi dont la teneur suit » correspond à la personne « Je », parlante, et qui parle d'elle.

[0019] Ces deux aspects, a priori, non technique, deviennent technique dans cette mécanique juridique. En effet, il y a une personne dont il est parlé « le Parlement » sous les personnes qui ont rang par fait de langage, c'est-à-dire dans l'acte juridique : sous « loi » pour la personne négative qui ne parle pas et, sous « a voté ce qui suit » pour la personne « je » parlante. La constance de cette troisième personne logique sous la première personne et sous la personne dont le rang de langage est inexistant est le fait auquel la présente invention donne le vêtement mathématique d'homotopie. La mention « Le parlement vote la loi » a désormais un effet technique, mécanique, dès lors que l'on peut définir les applications continues concernées.

[0020] La présente invention propose une méthode pour décrire ces applications. Une des- cription qui répond à une finalité technique spécifique au domaine juridique et limité à ce domaine comme, Kelsen l'a très bien affirmé. L'application du droit par le droit lui- même mais sans intervention humaine.

[0021] Le lien entre cette finalité technique et les étapes de la méthode proposée est exposé d'une part, en dédoublant la question méthodologique : une spécification ma- thématique et une réalisation informatique constituent deux étapes préalables d'autre part, en préconisant une mise en œuvre par ordinateur de la méthode pour produire un exemplaire du dispositif d'accessibilité juridique revendiqué.

[0022] Sans cette mise en œuvre l'effet technique n'est pas obtenu mais sa possibilité est seulement formalisée. En entrée de ce processus on a une chaîne de caractères et à la sortie un espace de fonctions. Pour que les transformations par lesquelles la chaîne de caractères passent soient vues comme continues, un ordinateur doit exécuter l'opérateur d'énallage de personnes (figure de construction par révolution : Fontanier p. ) qui font partie, au début du processus, des éléments non purement non techniques : du ‘il' au ‘je'et du vice- versa.

[0023] La finalité technique spécifique de la présente invention utilise l'économie intérieure du système de la personne pour faire entendre la parole de la personne qui parle, s'agissant des auteurs des actes juridiques. Comme ceux-ci ne peuvent pas dire ici, qu'ils ont été modifiés de telle manière à telle date - ce que l'on a dans le système classique - et, là, qu'il faut lire ceci au lieu de cela, la présente invention fait entendre une parole consolidée à tout moment, à tout endroit, dans toute matière même si la consolidation est nulle auquel cas on a affaire à l'acte initial. Le paramétrage peut aller jusqu'au changement de voix quand, au sein de dispositions législatives, se trouve une expression qui a été déclassée par le conseil constitutionnel sur le fondement de l'article 37 alinéa 2 de la constitution de 1958.

[0024] Pour obtenir un compact, la présente invention persiste à voir les sources du droit au delà du format habituel des données qui les représentent généralement en matière de technologies de l'information et de la communication. En particulier, et de façon par- faitement complémentaire de l'économie intérieure du système de la personne, in- troduire la formalisation mathématique dans le traitement du problème, autrement que par le codage de caractères.

[0025] Ce faisant, la présente invention, n'emprunte à cette formalisation pas plus que ce qui lui est nécessaire. Il lui suffit de choisir dans cette formalisation ce qui rejoint ses pré- occupations essentielles : les problèmes techniques qu'elle examine touchent des relations et non des objets. La présente invention considère les relations, déjà présentes dans les sources du droit, sous un angle conférant à la solution qu'elle propose un effet technique.

[0026] Si cette présence n'a pas été remarquée, c'est faute de grandeur pour la marquer. C'est pourquoi, la présente invention place ses solutions dans le domaine des ca- tégories mathématiques. Elles peuvent montrer les grandeurs dont il est question et qui ne concernent que des relations sous la forme de trois morphismes, de trois classes d'homotopie, d'un groupe fondamental et une homotopie authentique pour construire cet espace isomorphe. Il suffit de spécifier mathématiquement des éléments des $SOURCES$ du droit parce que, précisément, ils ne sont pas purement non techniques. Leur vêtement mathématique n'est pas facile à trouver, mais la présente invention propose une détermination expérimentale se rapportant à des mesures et à la notion d'approximation.

[0027] Les $SOURCES$ du droit ne sont pas considérées comme un élément non technique. Il s'agit de les considérer comme non purement non technique. Ensuite, la méthode présente les moyens d'opérer le passage entre ce statut, non purement non technique, et un élément technique à part entière, pour la mise en œuvre et l'exploitation par or- dinateur.

[0028] En ce qui concerne la détermination expérimentale se rapportant à une mesure on considère l'acte juridique comme un espace vectoriel. Mais cette mesure doit respecter une structure de cet acte ou plutôt, la structure doit être faite dans cette mesure. Il en est ainsi de l'idée selon laquelle le dispositif qui fait l'objet d'une numération (article 1, article 2, article 3..., article n) est tout l'acte juridique ; telle la mesure d'un acte juridique et de toutes les $SOURCES$ du droit. On peut réduire l'acte juridique à son dispositif ; tous les éléments de forme ne sont que des propriétés du contenu de ce dispositif, le corps. Il existe une base qui génère ce corps et les propriétés de l'acte juridique, en général, sa forme, sont partagées par chaque élément de l'ensemble concerné

[0029] Il est assez facile conformément aux éléments de topologie de Bourbaki d'affirmer que l'article de l'acte juridique, ce dispositif, est un voisinage d'un mot ou d'une lettre de cet article, si lorsqu'on remplace ce mot ou cette lettre par un élément «-approché-», ce nouvel élément appartient encore à cet article, pourvu toutefois que tous les mots ou lettres de l'article «-suffisamment proches-» du mot ou de la lettre appartiennent à l'article.

[0030] Ensuite l'idée de communication des voisinages entre eux vient d'une part du fait qu'un voisinage peut bien citer un voisinage d'autre part, qu'un voisinage peut bien modifier un voisinage et que de ce point de vue on définit une autre distance (citation, temps) que celle retenue à l'origine en partant de la notion d'article ou de dispositif. Tous les problèmes cités dans la présente invention concernant les relations entre normes trouvent ici un épilogue. Il s'agit de relations entre ouverts d'une topologie, le dispositif non purement non technique (« provision » dans le droit anglo-saxon) celui- ci étant un ultrafiltre, le filtre le plus fin que l'on puisse envisager sur l'acte juridique, contenant en tant que collection, le filtre de l'acte juridique lui — même ainsi que tous ceux qui du point de vue textuel constitue sa structure (livre, titre chapitre). Les fermés sont le complémentaire du dispositif et le complémentaire est, selon la présente invention, le lieu où se trouvent toutes les propriétés du dispositif dans des conditions telles qu'aucune nuance que l'auteur de l'acte juridique aura introduit ne puisse ne pas être montrée, pour tout ou partie de tel ou tel dispositif.

[0031] En plus de sa localisation dans l'espace topologique, chaque caractère d'un dispositif, chaque élément de l'ensemble définissant le corps, transporte avec lui toutes ses propriétés alors que, dans le système hypertexte c'est à chaque nœud que l'on associe un certain nombre d'attributs formels (nom de l'auteur, date de création, etc.), le nœud pertinent étant généralement l'article. Chaque élément du corps a la propriété de se connaître lui-même, quelles que soient les valeurs que chacune des propriétés contenues dans les fermés aura et même si cette valeur peut différer aussi peu que possible dans un même voisinage.

[0032] En droit, la spécification mathématique des éléments des $SOURCES$ du droit vient du fait qu'en affirmant que le dispositif d'un acte juridique est un élément non purement non technique on donne à celui-ci un vêtement mathématique en vertu de la notion de distance qui revêt en droit de multiples dimensions. La distance n'est pas seulement celle qui existe entre l'article 1 et l'article 2 mais aussi celle qui existe entre l'article 1 et celui qui le modifie, celle qui existe entre l'article 2 et celui qui le cite, celle qui existe entre l'article 1 d'un acte réglementaire et l'article 1 d'une décision ju- ridictionnelle qui l'annule, celle qui existe entre l'applicabilité de plein doit et l'applicabilité sur mention expresse, c'est-à-dire, dans ce dernier cas une distance portée par deux propriétés possibles du dispositif. De même que le cas du terme lé- gislatif qui a fait l'objet d'un déclassement (article 37 alinéa 2 de la constitution française), on a là aussi une distance entre le dispositif comprenant le terme déclassé et le dispositif d'une décision du conseil constitutionnel déclassant.

[0033] Ce type d'abstraction par simplification qui part des $SOURCES$ du droit et s'arrête au dispositif n'épargne aucun système ou ordre juridique. Par exemple, il existe une distance, au sens de la présente invention, entre les «provisions» d'un statutory instrument et celles qui résultent de l'exercice des «statutories powers» dont ledit statutory instrument a autorisé l'exercice. En vertu du chapitre 36 du Statutory Ins- truments Act de 1946. Dans la présente invention les «provisions» sont synonymes de dispositif non purement non technique.

[0034] L'invention porte donc essentiellement sur un système de communication au- tomatique entre dispositifs dont la structure est le dispositif d'accessibilité juridique. Ce dispositif est une structure algébrique qui est un corps mathématique muni d'une part de l'addition et de l'opposé et d'autre part de la multiplication et de l'inverse. Ainsi, le groupe additif et le groupe multiplicatif.

[0035] D'une part, l'addition est définie assez classiquement par la concaténation. Mais cette fonction conc. dans la présente invention est continue, et le groupe comportant également l'opérateur opposée, ce qui donne une opération binaire. La classe conc. respectant les contraintes dans l'espace topologique considéré. S'agissant d'un espace non commutatif, qui a son propre temps dans l'algèbre non commutative. Ce qui contraint à faire plus attention que dans les cas de commutativité (Alain Connes - Géométrie non commutative - Conférence, Metz le 06 novembre 2007)

[0036] D'autre part la multiplication est définie d'une façon qui est propre aux $SOURCES$ du droit. En effet, on définit l'usage d'une classe disp, sans qu'elle ne signifie quoi que ce soit par elle-même (Whitehead and Russell - Principia Mathematica - p. 71) L'invention consiste en cela qu'elle donne à des dispositions qui ont pour objet des dis- positions et qui, en tant que telles, ne sont pas purement non techniques, un vêtement qui permette d'une part de produire un effet technique lorsque certaines circonstances sont réunies d'autre part, de montrer qu'une extension quelconque figurant dans une liste dressée et complétée en vertu de l'analyse des $SOURCES$ du droit, est <le même> que la classe. Enfin, ce vêtement donne à cette classe disp, le caractère de l'opération de multiplication dans la définition des opérateurs du corps mathématiques. Cette classe disp, est également binaire et a son inverse dans le groupe. La liste est une bibliothèque de fonctions écrites au moyen de la fonction continue conc. qui sont à l'origine des procédés non purement non techniques relatifs aux normes caractérisés notamment par les règles relatives au mode de formation de l'ordre juridique, aux mo- difications des actes juridiques, les règles relatives à l'existence juridique et l'entrée en vigueur des actes, les règles relatives au sens, à la citation, au renvoi, à la publicité etc (famille de parties d'une disposition d'un dispositif d'un acte juridique des $SOURCES$ du droit). De cette façon, on étend à toutes ces dispositions le principe dénommés « références inverses » par la commission supérieure de codification. En effet, «~ Dans bien des cas, un article d'un code est lui-même cité par renvoi dans d'autres codes où dans des dispositions non codifiées ; et toute modification de la substance de cet article appelle en bonne logique que soient vérifiées la pertinence et la cohérence des dispositions qui y renvoient. Il en va \textit{a fortiori} de même en cas de renumérotation, scission voire suppression de cet article. Il est donc indispensable que chacune de ces modifications donne lieu à une vérification de ce qu'il est convenu d'appeler les références inverses.-» Commission supérieure de codification - 2007, p.

17 et Elisabeth Catta, Alexandre Delliaux - Renvois et références inverses, outils de lé- gistique - Vingt et unième rapport annuel, 2010, p. 70.

[0037] Les classes d'homotopies relatives notamment à la signature sont l'occasion de programmer les questions relatives à la hiérarchie des auteurs des actes juridiques au moyen de groupes d'homotopies. D'autres questions sont à envisager, celle des procédures en vertu desquelles ces autorités ont été désignées (élection, nomination) Mais, en tout état de cause, ‘je' et ‘il' sont des invariants algébriques des trans- formations de la chaîne de caractères au corps topologiques, le dispositif d'accessibilité pointant vers cet invariant.

[0038] Pour compléter la description, il faut préciser que localement, la réunion de tous les articles d'un acte juridique contient l'acte juridique et que globalement, au plan des $SOURCES$ du droit, ledit article est compact. Cette caractéristique du dispositif d'accessibilité juridique muni de la topologie induite, est essentielle à la solution technique apportée par la présente invention. Ainsi, le calcul d'un ouvert suite à une modification commandée par une autre ouvert que lui-même est un recouvrement fini.

[0039] Les notions mathématiques de parties minorantes et majorantes permettent de ma- nifester le lien qui existe entre le dispositif et les motifs d'un acte juridictionnel tout en conservant au dispositif sa dimension de corps mathématique pour tout acte juridique qu'il soit ou non juridictionnel. Cette notion de partie majorante peut être reprise en ce qui concerne l'exposé des motifs des actes non juridictionnels.

[0040] D'autres généralisations plus fortes sont envisageables si l'on considère les travaux parlementaires, notamment lorsque relativement à l'application de la partie majorante à des dispositifs non juridictionnels par des programmes logiques, on envisage que cette application s'effectue non seulement en utilisant des raisonnements mais aussi une classe spécifique de partie majorante comme lesdits travaux parlementaires en tant que l'esprit de la loi ; celui-ci entrant dans les sous-parties du raisonnement.

[0041] C'est pourquoi, un dispositif d'accessibilité juridique dont une machine est équipée peut faire voir le « dispositif » non purement non technique d'un acte juridique comme un équivalent doté de propriétés propres exécutables par cette machine. Car ce « dispositif » est une suite ordonnée de caractères des $SOURCES$ du droit (chaînes de caractères). Cette suite est équivalente à un corps topologique non commutatif obtenu au moyen d'une transformation réalisée par un processeur vectoriel. Les instructions vectorielles (qui effectuent les opérations de transformations sur chaque glyphe de la base Y) que ce dernier exécute comprennent un morphisme de morphismes de morphismes qui produit en sortie un corps topologique non commutatif. Cette équivalence qui a lieu entre ladite suite ordonnée de caractères dudit acte juridique et un espace localement compact peut donc se résumer à un unique morphisme géné- ralisant les autres. Le corps topologique non commutatif qui en résulte, homéomorphe au « dispositif » non purement non technique d'un acte juridique dans l'espace uniforme des $SOURCES$ du droit, que la méthode adoptée emprunte la voix de deux spécifications suivantes : l'une mathématique et l'autre informatique. La spécification mathématique décrit les objets mathématiques qui constituent le vêtement des dits éléments non purement non techniques indispensables à ladite fabrication. La spéci- fication informatique consiste en la réalisation informatique de la spécification ma- thématique, pour rendre possible la production dudit corps, isomorphe audit « dispositif » non purement non technique d'un acte juridique dans l'espace uniforme des $SOURCES$ du droit et son utilisation.

[0042] La méthode comprend donc une phase de spécification mathématique, où la forme, les motifs et le « dispositif » sont les attributs de l'acte juridique dans leur version non purement non techniques. Pour rendre possible le caractère technique, il suffit de dé- terminer de façon spécifique chaque élément de l'acte - il n'existe pas de notion de mots vides dans la présente invention - en se rapportant aux mesures, distances et ap- proximations suivantes :

[0043] a) Premièrement, ledit acte juridique est un espace vectoriel X muni d'une base Y

[0044] b) Deuxièment, ledit acte juridique a une structure topologique additionnelle et est séparé

[0045] c) Troisièmement, ledit « dispositif » que comprend normalement ledit acte juridique, est d'une part, un ultrafiltre tel une collection des filtres chapitre, titre, acte juridique ou juridictionnel d'autre part, un corps topologique non commutatif (muni de la topologie induite) dont le type est soit législatif ou réglementaire soit, juridictionnel

[0046] d) Quatrièmement, ledit « dispositif », dudit acte juridique comprend une classe disp, de dispositions qui sont les lois de composition interne desdites $SOURCES$ du droit et ont pour objet tout ou partie d'un ou plusieurs « dispositif(s) » et entrent dans la dé- finition du corps.

[0047] e) Cinquièmement, ledit acte juridique comprend également, notamment, dans ladite forme, un auteur ‘je' qui s'échange, selon la technique de l'énallage, avec un acte juridique (loi, décret, arrêté, décision...) ‘il', formant un groupe commutatif d'énallage

[0048] f) Sixièmement, l'acte juridique est un ensemble de référence dans lequel tous les éléments relatifs à ladite forme d'une part sont le complémentaire dudit « dispositif », d'autre part sont les propriétés de chaque élément de l'ensemble définissant le corps.

[0049] g) Septièmement, une relation binaire est définie, dans l'acte juridique dont le corps est de type juridictionnel, entre ledit « dispositif » et lesdits motifs telle que : le majorant $x$ supérieur ou égal Y et le minorant $x$ inférieur ou égal à Y. Un élément $x$ du corps de type juridictionnel est un majorant du « dispositif » s'il est supérieur ou égal à tous les éléments du « dispositif » ; dans ce cas, la partie majorée du « dispositif » est les motifs. Un élément $x$ du corps de type juridictionnel est un minorant du « dispositif » s'il est inférieur ou égal à tous les éléments du « dispositif » ; la partie minorée du « dispositif » est dans ce cas tout ou partie du « dispositif ».

[0050] h) Huitièmement, lesdits motifs sont les parties bornées (Attendus ou Considérants) des corps de type juridictionnel de dispositif, incluses dans ces corps par homothétie et admettant un majorant et un minorant dans ledit acte juridique

[0051] i) Neuvièmement, les actes, titres, chapitres, articles sont une <structure> non purement non technique munie d'un <label> correspondant à un ordre, <structure> elle-même citée dans les « dispositifs » et constituant un réseau

[0052] La seconde phase est une phase de réalisation informatique, permettant de mettre en œuvre par ordinateur la spécification mathématique. La présente invention ne propose pas le programme lui — même mais décrit ce dont l'écriture informatique doit tenir compte et ce que le dispositif doit avoir de spécifique pour que la mise en œuvre du programme par l'ordinateur permette de donner à chacun des éléments de l'acte juridique le vêtement mathématique décrit dans la spécification mathématique. Dans cette optique, le programme comprend les écritures informatiques suivantes :

[0053] a) l'écriture informatique de la transformation d'une chaîne de caractères en entrée, en espace vectoriel X au moyen de la base Y. L'écriture tient compte :

[0054] (al) des vêtements mathématiques des éléments non purement non techniques de la spécification mathématique, notamment de la <structure>, de l'ultrafiltre, de la classe de dualité pour produire un compact en sortie

[0055] (a2) du groupe commutatif d'énallage.

[0056] b) l'écriture informatique :

[0057] (b 1) de l'opérateur multiplication du corps au moyen d'un morphisme de structure al- gébrique entre la structure pour l'écriture informatique de l'espace vectoriel X à partir d'une chaîne de caractères en entrée, comprenant au moins la base Y de l'espace vectoriel X et l'opérateur conc. d'une part, et la structure pour l'écriture informatique de la classe disp., comprenant au moins l'équivalent, dans l'espace de fonction, de la base Y de l'espace vectoriel X et de l'opérateur d'autre part

[0058] (b2) d'une bibliothèque de la classe de fonctions disp..

[0059] c) l'écriture informatique d'un morphisme de structure entre la structure algébrique pour l'écriture informatique des classes <structure> et <label> de l'espace vectoriel X à partir d'une chaîne de caractères en entrée, comprenant au moins la base Y de l'espace vectoriel X et l'opérateur conc. d'une part, et la structure algébrique pour l'écriture informatique des classes <structure> et <label> de l'espace de fonctions, comprenant au moins l'équivalent de la base Y de l'espace vectoriel X et de l'opérateur, d'autre part.

[0060] d) l'écriture informatique de la signalisation dans un « dispositif » des opérandes

(« structure », <labels>) qui sont les arguments des fonctions de la classe disp, en gé- néralisant la notion de distance dans un réseau de <labels> relativement aux notions de renvois, citations, déclassements, mentions et autres objets de la classe disp..

[0061] e) l'écriture informatique du groupe fondamental 'p à partir du groupe commutatif d'énallage pour l'exécution d'une homotopie induisant une relation d'équivalence entre toutes les applications définies dans la réalisation informatique du point d'entrée de la suite ordonnée de caractère de l'acte juridique au corps topologique non commutatif.

[0062] f) l'écriture informatique des structures algébriques nécessaires à l'exploitation par l'ordinateur de la partie majorée des corps de type juridictionnel

[0063] g) l'écriture informatique de l'implémentation dans une machine du dispositif d'accessibilité juridique pour notamment, rédiger les actes juridiques.

[0064] La classe de dualité permet de produire un compact en sortie au moyen des trans- formations naturelles d'un espace vectoriel X selon la classe de dualité suivante : [0065] a) la transformation naturelle de l'espace vectoriel X en son dual algébrique X*

[0066] b) la transformation naturelle du dual algébrique en son dual topologique X**

[0067] c) la transformation naturelle du dual topologique X** en sa catégorie duale (X**)op

[0068] La mécanique juridique en vertu de laquelle toutes les applications continues sont exécutées est représentée par le groupe commutatif d'énallage composé d'une part de la personne qui ne parle pas "il", la personne qui parle "je" et la personne logique dont il est parlé 'il' — élément neutre - ; d'autre part par l'opérateur d'équivalence entre la suite ordonnée de caractères de l'acte juridique et le corps topologique non commutatif, dit d'énallage.

[0069] Ce Groupe fondamental ‘p comprenant un opérateur d'énallage est le point d'origine et d'extrémité de deux lacets α1 et α2 en construisant un lacet parcourant d'abord la trajectoire α1, de ‘je' étant homotope à 'il' puis α2 de 'il' étant homotope à ‘je'. Ainsi, l'état du droit est bien celui qui, sur le chemin α1 ne parle pas et, celui qui sur le chemin α2 parle.

[0070] L'homotopie induisant une relation d'équivalence au moyen des classes d'homotopies de lacets obtenues à partir des signatures des auteurs des actes juridiques ‘je' et des mentions de forme (loi, décret, arrêté, décision ...) et des groupes géné- ralisant ces classes pour assurer l'ensemble des transformations continues, les unes dans les autres, des dispositions et des dispositifs de l'acte juridique.

[0071] La multiplicité des relations impliquées exige au sein du dispositif une configuration spécifique des processeurs, des supports d'enregistrements. Les processeurs sont vectoriels en cela qu'ils implémentent une famille de caractères nécessaires à l'écriture de tout l'acte juridique et dont la combinaison linéaire forme les mots, les phrases, les alinéas, les paragraphes et la structure de cet acte. Ils doivent pouvoir exécuter les deux opérations binaires du corps rendant possible :

[0072] a) l'addition, pour la concaténation

[0073] b) la multiplication pour circuler dans le compact

[0074] c) le calcul d'opposés permettant de définir l'opérateur de soustraction

[0075] d) le calcul d'inverse permettant de définir l'opérateur de division

[0076] Les processeurs implémentent avec les supports d'enregistrements et un com- mutateur la cinématique du point matériel incluant les référentiels logique, spatial, temporel et catégorique, ce dernier étant une formulation axiomatique qui relie les combinaisons linéaires ou les applications continues aux fonctions qui les préservent. Un commutateur permet de montrer qu'il est possible de mesurer les deux grandeurs - espace localement compact -, relatives à la connaissance du droit simultanément afin de produire l'homotopie de sous-recouvrements, l'une dans l'autre. Cette possibilité est vérifiée par le client au moyen d'un point d'accès où il entre ce qui est analysé par la machine comme «suffisamment proche» de la cible. Cet input est analysé par la machine comme un signal «suffisamment proche» de la cible qui lui permet de chercher l'image de celle-ci pour faire les calculs qu'elle exige avant de communiquer les états vocalement ou textuellement au client sur son terminal.

[0077] L'opération qui, à titre d'exemple, est ici particulièrement décrite est la conso- lidation : la consolidation dite « informative », laquelle n'a qu'une valeur strictement documentaire parce qu'elle est le fruit d'un travail technique et scientifique et, le cas échéant, éditorial. J'exclue la consolidation dite « constitutive », laquelle revêt une portée normative parce qu'elle emprunte la voie du processus normatif habituel.

[0078] « la consolidation est assurément une opération doctrinale parce qu'elle consiste à intégrer dans un acte dit de base (code, loi, décret, ... en droit français) des modi- fications de nature diverse, provenant de types de données jugés scientifiquement pertinents, selon une méthode préalablement définie, le cas échéant en procédant à des recherches et en mettant en œuvre des savoirs, des analyses et des interprétations ». Hervé Moysan

[0079] Il s'agit de faire de la consolidation non pas une opération doctrinale mais l'occasion d'une simulation du potentiel du droit consistant à régler lui-même sa propre création. Cette simulation de ses propres comportements physiques permettant d'obtenir ces états de lui-même au moyen du point matériel rend non nécessaire la voie classique de traitement des données. C'est donc une propriété de fermeture d'une structure ma- thématique, le corps topologique non commutatif d'un espace localement compact, qui donne une solution au problème.

[0080] Pour des raisons liées à la place et au rôle des technologies de l'information et des communications dans les métiers du droit, selon la présente invention, le terminal peut avoir des fonctions de télécommunication pour partager au sein de réseaux privés les éléments d'une famille de produits, et avoir des conversations privées entre profes- sionnels des métiers du droit ainsi que servir de clé de connexion aux réseaux profes- sionnels privés existants, offrir des prestations vocales ou textuelles, des fonctions de photographies ou de numérisation de documents professionnels dont le nom est mentionné dans les sources du droit, lesdites prestations sont offertes notamment par une bibliothèque logicielle ou un service web. Le terminal peut avoir des fonctions dédiées tel enregistrer les résultats des mesures effectuées par des cinémomètres de contrôle routier, disposer d'une fonction exclusive dédiée de surveillance électronique permettant une authentification biométrique vocale à des fins de vérification à distance de la présence de personnes sous surveillance électronique. De façon plus générale, le terminal dispose nativement des protocoles de sécurité dédiés à la communication sécurisée avec tout dispositif électronique créé par les sources du droit pour être utilisé de façon professionnelle dans les métiers du droit